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Des études mal engagées 2

Des études mal engagées 2



Qu’avait-il bien pu arriver à Louise pour que, ce lundi matin, juste deux semaines après son entrée à la fac, elle se retrouve à genoux, nue dans les toilettes handicapées, figée et silencieuse ? Simplement par une succession de mauvais choix, aux mauvais moments, dans de mauvaises circonstances. Le tout en une soirée.

La première semaine de fac donne souvent lieu à des fêtes organisées pour accueillir les nouveaux arrivants. Louise, plutôt rangée, avait pris des résolutions pour ce passage à l’échelon supérieur, maintenant qu’elle était majeure et émancipée. Se lâcher, enfin. Pour faire plus de connaissances, profiter plus de la vie. Tout cela était de courte durée.

Quand on n’a pas l’habitude de boire, il faut s’attendre au pire quand on prend une cuite. Louise avait totalement lâché prise. Et à cet instant, dans les toilettes, les mains dans le dos, avec cette sensation désagréable de froid sur les genoux, elle le regrettait amèrement.

Prise dans la folie de la soirée, poussée par les uns et les autres, ne pensant qu’à s’amuser, elle avait abusé de l’alcool, mais pas que. De l’herbe par-dessus, le mélange des deux fut explosif pour elle. C’est au moment où elle se retrouva en train de danser, tout en se frottant contre un inconnu sur la terrasse, lui tout aussi alcoolisé, que tout a commencé.

Elle ne se souvenait pas des détails, seulement qu’elle dansait de manière provocante sur l’étudiant, allongé sur un transat. Ne se rappelant pas à quel point il en avait alors profité pour parcourir son corps. Par contre elle n’avait pas du tout oublié s’être fait violemment pousser au sol, se faisant allègrement insulter par une fille. Prise dans son délire, Louise s’était enfuie en courant. Le reste de la soirée était flou dans son esprit.

Elle s’était réveillée sur l’herbe, derrière un bâtiment de la fac, à côté de son vomi de la veille. Elle tituba tant bien que mal jusqu’à sa chambre, un mal de crâne épouvantable l’accompagnait. Arrivée dans sa piaule, elle se rendormit aussitôt sur le lit. Son sommeil ne dura pas longtemps.

Des bruits de coups violents sur sa porte résonnèrent dans la chambre. Sans se demander de qui il s’agissait, ou même pourquoi on venait à sa chambre elle se leva pour tourner le verrou. Au moment même où elle avait tourné le loquet, elle fut projetée à terre. La brutalité avec laquelle la porte avait été ouverte l’avait fait voler.

Trois filles entrèrent dans sa chambre, s’empressant de refermer la porte et le loquet derrière elles. Deux d’entre elles restaient en retrait, tandis qu’une fille, qui disait vaguement quelque chose à Louise, se tenait juste devant elle. Elle avait l’air très en colère. Encore sous le coup de sa soirée, Louise subissait la situation sans pour le moment réagir.

D’un seul coup, la fille se baissa à son niveau, lui montrant une photo d’un homme. Louise le reconnut : c’était le mec sur qui elle avait dansé la veille. Bien avant qu’elle entame une réaction, la fille lui cracha au visage.

Tu vois ça, grosse pute, c’est mon mec et toi, grosse traînée, tu es venue te frotter à lui comme une chienne en chaleur. Tu me dégoûtes, t’es vraiment qu’une merde.

Louise allait parler, mais aucun son n’était encore sorti de sa bouche qu’une énorme claque atterrit sur sa joue.

— Ferme tout de suite ta gueule, écoute très attentivement et surtout regarde !

La fille faisait défiler des photos, et dans les yeux de Louise on pouvait lire la terreur qui grandissait au fur et à mesure.

Trois séries de photos témoignaient de moments de la soirée dont Louise n’avait aucun souvenir mais qui s’étaient bels et bien déroulés, les clichés en attestant. La première série montrait Louise en train de sniffer un rail de coke au sous-sol de la fête, encouragée par des jeunes visiblement complètement défoncés. Sur la deuxième série, on voyait clairement Louise, une bombe de peinture à la main, taguant « bande de putes » sur le bâtiment des professeurs. La dernière série laissait apparaître Louise accroupie, pantalon et culotte baissée, urinant sur la pelouse devant le bureau du directeur de l’université. Sans lui laisser le moindre répit, la fille enchaîna :

— Si ces photos atterrissaient entre de mauvaises mains, tu serais virée sans hésitation d’ici, tu aurais même certainement des ennuis avec les flics et surtout, tu serais humiliée publiquement et jamais tu ne t’en relèverais. Bien sûr on peut s’arranger. Tu vois, pour une fille de mon standing, c’est important d’avoir des privilèges. Et quoi de mieux pour ça qu’une esclave personnelle ? Ton choix est simple, soit tu deviens mon esclave sans restriction et ta vie ici m’appartient, soit le destin choisira quel sort te réservera la publication de ces photos

Des larmes commencèrent à couler sur les joues de Louise. Elle ne se rendait pourtant pas compte de la position dans laquelle la mettait la fille. Non, elle se demandait comment elle avait pu en arriver là. Cette débauche, cet état pitoyable, comment après tant d’années à rester sérieuse, avait-elle pu ruiner sa fierté ainsi, par de stupides résolutions dictées par la société ambiante ? Parce qu’elle avait été faible. Elle avait cédé à des pratiques populaires, pourtant stupides et irresponsables pour la plupart.

Maintenant il fallait en assumer les conséquences. Pas seulement pour son honneur, mais vis-à-vis de ce chantage. Les effets de la soirée n’étant pas encore totalement estompés, son cerveau tournait au ralenti, elle n’arrivait pas à rester concentrée sur la situation, à réfléchir. Une autre gifle l’aida à se remettre sur le droit chemin.

— putain t’es encore défoncée, grosse merde ! Je n’ai pas de temps à perdre avec toi dans cet état. De toute façon la situation est simple : demain matin, à 7 h 30, tu seras à genoux, mains dans le dos, nue dans les toilettes handicapés du bâtiment Jaurès. Que ce soit moi ou elles, dit-elle en pointant ses amies dans son dos, tu obéiras au doigt et à l’œil à nos ordres et tout se passera bien. Les photos resteront dans mon téléphone. Et si tu es bien sage, à la fin de l’année elles seront supprimées. Sinon, tu sais ce qui t’attend.

Elle se leva, les trois filles partant en silence de la chambre de Louise. Voilà comment ce lundi matin, sans penser à quoi que ce soit, simplement concentrée sur le fait d’empêcher ces photos d’être publiées, elle se mit nue, à genoux dans les toilettes handicapés, arrivant à 7 h 15 pour s’assurer de ne pas être en retard. Attendant calmement, en apparence, de savoir ce que le sort lui réservait. Intérieurement les sentiments de panique et de honte se mélangeaient mais elle ne voulait rien laisser paraître…

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