Je vous livre le chapitre 1 de histoire en cage car, a priori il n’est pas passé.
Bonjour, je m’appelle Julien et j’ai 16 ans. Du plus loin que je me souvienne j’ai toujours eu que des amis de mon âge et rarement j’ai croisé des filles qui me plaisaient. Par contre je craquais souvent quand je croisais de beaux mecs, curieusement pas trop mâles mais au visage assez mignon.Il y a 6 Mois j’ai croisé comme ça Benjamin, beau garçon de 17 ans et ses yeux m’ont fait frissonner du premier coup, comme deux flèches sur moi qui me dévisageaient. J’ai rougi, je me sentais jaugé comme une fille je pense doit se sentir jaugée par un garçon, en pire je crois. C’était à la sortie du collège et je suis resté planté comme un idiot, scotché par son regard. Il s’est rapproché et avec un petit sourire m’a demandé si j’allais bien. J’ai du bafouiller sans même me rappeler ce que j’ai répondu. Il est parti , je l’ai suivi du regard jusqu’à on scooter qu’il a enfourché et il a disparu.
Je n’ai pas arrêté depuis d’avoir son regard sur moi dans mes pensées. Et c’est seulement 15 jours après que je l’ai croisé dans la rue. Je sortais de je ne sais plus quel magasin, quand il s’est trouvé face à moi.
— Salut! Ça va?
— Euh, oui et toi?
Cette fois je voulais pas le lâcher sans en savoir plus.
— J’ai pensé à toi mais je crois que tu ne vas pas aimer quand je l’ai fait!
J’ai souri.
— Pourquoi tu dis ça! Moi aussi j’ai pensé à toi très souvent. C’était à quel moment?
Il m’a fusillé de ses yeux.
— Au lit. Je t’imaginais et à chaque fois j’ai jouis comme un fou!
J’étais sous le charme de ses yeux, je rougissais mais j’ai répondu:
— Comme moi je t’imagines dans mes rêves!
En parlant je me cambrais et, mais c’est lui qui me l’a dit après, je tendais mon corps vers lui. Tout mon corps d’après lui. Je n’en ai pas le souvenir.
— Tu as le temps de boire un verre?
— Je vais le prendre ce temps là. Au fait moi c’est Julien.
Il m’a tendu la main, et il a gardé la mienne dans la sienne juste un peu trop.
— Moi c’est benjamin.
— On va où boire ce verre?
— Mon scoot est là et j’ai deux casques, on peut aller chez moi.
— Ok.
Il m’a tendu le casque un peu trop grand mais ok quand même, s’est assis sur la selle.
— Grimpe derrière!
J’ai enjambé le scoot et me suis collé à lui quand il a démarré, me suis cramponné à ses hanches, la tête collée contre lui. Je sentais son odeur de mec. On a pas roulé longtemps et il s’est garé devant une maison particulière.
— Descends, on est arrivé.
Il m’a fixé les cuisses.
— Ça t’a pas déplu on dirait!
— Oh, excuse!
— Non j’ai bien aimé te sentir comme ça!
On est rentré chez lui, il m’a expliqué que ses parents bossaient tous les deux et rentraient tard. Il m’a demandé ce que je voulais. Je l’ai fixé.
— Toi, si tu veux!
Il a rigolé.
— Moi c’est toi que je veux! Et tout à moi.
— Pourquoi pas! Si tu me laisse le temps.
Il s’est assis contre moi sur le canapé, a mis la main sur mon genoux et s’est penché sur moi, j’ai fermé les yeux et entrouvert les lèvres ; il a fouillé ma bouche de la langue, remontant la main entre mes cuisses. Il a malaxé à travers mon pantalon, s’est reculé un peu pour défaire les boutons de ma chemisette et ma ceinture. Il a ouvert la braguette et a palpé ma queue dans le slip. Il l’a sortie et l’a embrassée, s’est relevé en souriant.
— Mets-toi à l’aise et tu me mets comme toi.
j’ai viré mes skets, mon pantalon et ma chemisette avant de soulever son tee shirt qu’il a retiré. J’ai défait sa ceinture, écarté son jean et l’ai laissé glisser à ses pieds. Il portait un boxer bleu tendu comme j’en avais jamais vu! J’ai léché son ventre, il avait une ligne de petits poils du nombril jusqu’au boxer, qui quand je l’ai écarté pour dégager son sexe, disparaissait dans ses poils. Son sexe vu de si prés m’a paru énorme! Je l’ai léché doucement jusqu’aux couilles comme j’avais vu sur le net. Il s’est laissé aller sur moi, se frottant sexe contre sexe. Il m’embrassait, ses mains me caressaient partout et j’ai poussé un petit cri quand il a touché mon anus.
— Excuse. T’es puceau?
— Oui mais bon laisse moi le temps.
— Montre moi.
Il a soulevé mes cuisses et a avancé le visage entre mes fesses.
— Attend, j’ai pas pris de douche!
— Ok mais tu m’affoles. T’as vraiment un joli petit cul!
— Bah si tu veux je reviendrais , je sais où t’habites et cette fois tu pourras, enfin j’espère avec la queue que t’as! Je m’attendais pas à ça!
— Tu pourrais quand même me sucer, j’ai envie de toi!
J’ai changé de position et me suis attaqué à son sexe, une main sur les couilles que je caressais j’ai sucé sa queue, serré les lèvres pour dégager le gland et j’ai salivé un maximum. Il me tenait la tête mais je pouvais pas tout avaler. Il m’a repoussé assez vite pour me gicler au visage à ma surprise.
— J’ai pas pu me retenir! Attend je vais te faire la même chose.
Il m’a sucé, pressait ma queue pour retenir le jus, caressait mes couilles jusqu’à ma rondelle. j’ai couiné et j’ai jouis, on s’est léché le visage, se goûtant nos jus en souriant.
— Je vais te ramener mais je garde ton slip en souvenir.
— Laisse moi ton boxer, je veux le sentir cette nuit.
— Ok.
— Tu devrais essayer de porter des slips tanga, ça fait des fesses superbes. J’en ai vu pour mecs et ça sépare les fesses d’un centimètre quand tu les portes assez haut sur les hanches. Si tu veux on passe là où j’en ai vu et je t’en achète.
— Si ça te plait je suis ok! Je t’ai dit, tout pour te plaire.
Il m’a fixé du regard.
— Attends-toi à être surpris si t’es partant avec moi.
— Pas de problème. J’aime être surpris.
Il s’est installé sur le scoot.
— Aller grimpe bonhomme et accroche toi.
Cette fois je l’ai tenu bien plus bas, mes mains dans ses poches. Il s’est arrêté dans le centre devant une boutique de mode homme.
— Viens avec moi.
Je l’ai suivi au rayon sous vêtements. Y avait effectivement des slips que je ne connaissais pas appelé « Tanga » et vu le dessin sur l’emballage le bout de tissus était hors de prix.
— T’es fou! C’est très cher!
— Non, on en parlera plus tard, je te dirais ce que font mes parents. Prends en trois je te les offre. Prends une taille en dessous de tes slips, tu verras et je te verrais avec la prochaine fois.
J’ai choisi deux rouges et un bleu.
— Bon, cette fois je te ramène chez toi. Donne moi ton numéro de portable, on se reverra très vite pour bien plus!
Il m’a ramené au pied de mon immeuble, m’a roulé une pelle dans l’entrée en caressant mes fesses.
— La prochaine fois t’y passes mec!
— J’y compte bien!
Et il a disparu dehors, me laissant avec mon sac d’achat.
Ajouter un commentaire