Chapitre 2
« LA ROBE »
J’ai les couilles vides. Ca aide pour réfléchir car on peut solliciter plus largement le cerveau que pendant la défonce ou c’est Popaul qui prend les commandes. J’hésite dans mes choix vestimentaires. C’est confus. Je souhaite qu’elle soit habillée en soumise pour moi mais que, parallèlement, son accoutrement ne soulève pas une émeute sur son passage. Cruel dilemme, difficile exercice ou tout doit être pesé au fléau de la balance de l’ordre moral, des bonnes mœurs et des conventions sociales.
Mon apprentie soumise, est ravie. Le sperme, que je lui ai interdit d’essuyer, est maintenant en voie de séchage rapide et lui dessine des zébrures brillantes sur le visage. Elle se tourne vers moi et me demande gentiment.
-Comment voulez-vous que je m’habille, Maître ?
-As-tu une jupe longue, genre gitane ?
-Oui, Maître j’ai une jupe comme ça, toute blanche avec des jupons.
J’ai toujours pensé qu’une jupe longue et souple permettait à la femme de porter de la lingerie de pute sans éveiller les soupçons.
-Tu vas mettre cette jupe chérie, et dessous tu mettras un string ouvert, un porte-jarretelles et des bas. En haut tu mets un soutien-gorge assortis au string et par-dessus un petit caraco juste pour mettre en valeur tes seins de chienne. Je veux que tu saches et que tu me rappelles à tout moment, que tu es mon esclave. N’oublie jamais que tu n’es qu’une pute soumise et que tes trous m’appartiennent.
-Oui Maître…
Il lui fallu du temps à la demoiselle pour se faire belle, se pomponner, se maquiller, se parfumer bref se faire « belle femelle » pour son Maître. Au départ je voulais qu’elle garde sur son visage, les traces du sperme dont je l’avais aspergé. Mais devant ses explications convaincantes je me suis résolu à admettre que si je voulais qu’elle soit belle, il fallait bien qu’elle nettoie sa peau et fasse une toilette complète. Je lâchais résigné « la prochaine fois je cracherai sur tes seins, ça ne se voit pas trop et seules les nanas les plus initiées verront qu’elles ont affaire à une petite pute ».
L’air est frais et la voiture froide. Mel, referme son long manteau en drap noir épais et soupire de froid. Je mets le chauffage. La ville est grise d’une pluie fine glacée comme l’automne sait le faire. Les essuies glaces balayent le pare-brise façon métronome. Tout en conduisant vers le centre commercial je lui ordonne soudain : « montre-moi ta chatte de pute ».
– Tout de suite Maître, me répond la jeune femme en esquissant un sourire. Mel ouvre ses cuisses et remonte sa jupe sur sa taille. Le string ouvert encadre magnifiquement sa jolie chatte surmontée de sa petite plume de poils bien épilés. J’y glisse un doigt tout en gardant l’œil sur ma conduite. Elle pousse un léger gémissement et me demande :
– Veux-tu que je te suce Maître ?
Je freine pour ne pas griller un feu. En attendant le vert je prends ma soumise par les cheveux et la conduit brutalement vers mon pantalon. « Plus vite que ça chienne ! ». Je sens ses mains chercher confusément l’ouverture du pantalon pendant que je la tiens par les cheveux et lui fait tamponner la bouche sur ma braguette. Là, ça y est, la miss a réussi à extirper Popaul de sa prison de tissu. Ma queue est toute molle et sa bouche l’avale totalement. Je lâche les cheveux de ma pute pour enclencher la première, puis les reprends. Popaul est à moitié ragaillardi et je fais pression sur sa tête pour qu’elle garde ma queue bien au fond de sa bouche. Un nouveau changement de vitesse la libère et la voilà qui ahane pour retrouver son souffle.
– Vois-tu, ma petite pute soumise, tu viens de faire parfaitement ce que ton maître veut que tu fasses. Tu dois être prête à tout moment, à satisfaire mes envies, mes désirs… Quelles que soient les circonstances si je décide que tu dois me sucer ou que j’ai envie de t’enculer, tu dois être prête à me satisfaire. C’est bien compris putain ?
– Oui, Maître…
– Bien, et que je n’ai pas à le répéter, est-ce clair ?
– Oui, Maître chéri…
– Très bien. Maintenant je vais t’apprendre la politesse envers ton Maître. A chaque fois que je te mets la queue dans un trou, que je te mets un doigt, à chaque fois que tu reçois du foutre dans ta bouche, sur tes seins ou ailleurs, bref à chaque fois que tu es la pute de ton Maître tu dois le remercier d’être sa soumise. « Merci Maître pour ta belle queue, merci Maître pour le bon jus de tes couilles, ou encore merci mon Maître chéri pour m’avoir laissé sucer ma queue de pute » voilà ce que tu dois me dire. Tu as compris ?
D’un léger mouvement de la tête Mel acquiesce. Je continue de conduire tranquillement alors que nous tournons dans la grande allée du bois de Boulogne. Les putes blacks et roumaines se disputent les contre-allées.
– Tu seras punie chienne soumise car tu ne m’as pas remercié pour la bonne queue que je t’ai fait sucer tout à l’heure, lançais-je assez sévèrement.
– Ooooh ! Je suis désolée mon Maître, je n’avais pas bien compris… Je suis désolée mon Maître et je vous remercie pour la bonne queue que vous m’avez fait sucer. J’aime cette queue Maître chéri, je suis totalement soumise à votre queue… Pardon, pardon, je n’oublierai plus.
Elle a la voix implorante d’une petite fille prise les doigts dans le pot de confiture et qui tente de minimiser sa faute. Elle s’est rapprochée de moi et caresse ma bite du bout des doigts. Je la repousse assez brutalement et lui ordonne de prendre le plug anal qu’elle a mis dans son sac. L’objet en métal doré, est terminé d’un bouton scintillant façon diamant, la seule partie du plug qui doit rester dehors une fois ce dernier mit en place. « Diamond butt » était-il indiqué sur le catalogue en ligne. Le diamant du fion quoi ! Lorsque je l’ai choisi sur internet, j’ai délibérément opté pour le plus gros. Celui-ci fait 15 cm de long et possède une boule de 6 cm de large. Je tiens en effet, à ce que la femme qui enfile ce gode ne puisse jamais oublier qu’elle le porte. Car le plug anal n’est pas un simple gadget qu’on enfonce dans le cul d’une femelle pour s’amuser ou chauffer la libido. C’est un objet majeur de la mise en soumission. Une femme qui porte un tel objet doit le sentir la pénétrer profondément. Elle doit à tout instant qu’elle le porte, ressentir la douleur du métal lui fouiller les entrailles, sentir l’objet élargir son trou, ressentir cette présence étrangère dans le tréfonds de son cul qui lui rappelle en permanence sa condition de pute soumise.
« Mets ce plug dans ton cul de pute » ordonnais-je. Mel le suce quelques secondes afin de le lubrifier, puis se renversant sur le côté, l’enfonce dans son petit trou. Comme je poursuis ma conduite vers notre destination je ne peux observer l’opération que d’un œil. La boule large et dorée, a du mal à pénétrer l’orifice. Je peux apercevoir entre deux coups d’œil sur la route, le plug qui fourre sa tête dans l’anus serré qui se rétracte comme s’il refusait d’être envahit par une présence étrangère. Un léger pet indique clairement que la résistance du trou a été vaincue. Et tout sourire, la blackette m’annonce la réussite de l’opération.
– Ca y est chéri, il est rentré.
– Tu le sens comment ?
– Je le sens fort dans mon cul, chéri, bien gros et bien profond.
– Quel effet ça te fait, salope ?
– J’aime sentir être enculée comme ça, répond Mel en se réinstallant sur son siège tout en réajustant sa jupe.
– Il doit te faire un peu mal et t’enculer bien profond pour que tu te souviennes que tu le portes et que tu n’es qu’une pute soumise à ton maître
– Oui Maître, je le sens bien, je sens que je suis soumise à vous.
Nous déambulons dans le centre commercial. Les boutiques de vêtements, de chaussures, d’informatique, les restaurants, tous les magasins grouillent de monde. Ma blackette me tient par le bras et nous léchons les vitrines comme deux consommateurs lambda que rien ne distingue des autres dans cette foule hétéroclite et colorée. La devanture d’une boutique de prêt-à-porter féminin attire le regard de ma soumise. Une jolie robe, en stretch blanc, élégamment décolletée et ponctuée de très légers motifs graphiques blanc cassé, lui tape dans l’œil.
– Regardez chéri, elle est belle cette robe, me souffle Mel dans le creux de l’oreille.
Je comprends bien l’enthousiasme de ma pute pour cette robe très moulante qui j’imagine, l’habillera comme un fourreau et lui permettrait de mettre en valeur ses formes comme elle aime le faire. J’hésite cependant à franchir le pas de l’essayage et de l’achat car il est impératif de conserver entre elle et moi le principe d’une relation de Maître à esclave. Autrement dit il est hors de question qu’une soumise dicte la moindre décision à son homme, même si la demande est faite gentiment, tendrement, même si la soumise reste à sa place d’esclave.
– J’accepte de te payer cette robe si tu la veux, répliquai-je à ma jolie blackette en lui enserrant la taille pour la coller contre moi. Mais à une condition. Que tu ailles ce soir faire la pute sur les boulevards, que tu ailles sucer des bites, écarter les cuisses et te faire payer.
Mel, me regarde droit dans les yeux. Elle reste muette pendant quelques secondes. Je perçois qu’elle réfléchit intensément à ma demande et en soupèse les tenants et les aboutissants. Ses hésitations ont le don de m’énerver. Une soumise n’a ni à choisir, ni à dealer avec les injonctions de son Maître. Elle ne doit adapter la situation qu’en fonction des désirs de son homme et jamais au regard de ses propres convictions. Autrement dit, Mel aurait dû immédiatement approuver et se réjouir de ma proposition sans réfléchir, sans hésiter. A ce moment là, je mesure le chemin qu’il reste à parcourir pour que cette petite blackette qui affirme vouloir devenir ma « soumise », le devienne vraiment. Bref, son éducation reste encore à parfaire. « Viens suis-moi » lançais-je à la jeune femme en la prenant par le bras.
Nous sommes assis côte à côte, à la table d’un café. Je sirote un express tranquillement pendant que Mel, qui a reçu l’interdiction de commander quoi que ce soit, attends sagement que je lui parle. Notre table est installée dans un espace fermé propice à une certaine intimité. Personne ne peut ainsi remarquer que j’ai introduit une main de ma pute dans mon pantalon et que celle-ci me masse tendrement la queue.
– Ecoute-moi, chérie. Je vais te payer cette robe, non pas parce que tu me l’as demandé mais parce qu’elle me plait. Parce que je sais qu’elle t’ira bien et que tu feras bien pute en la portant. Mais la robe ce n’est pas le problème. Le problème c’est ton attitude. En effet, une soumise n’est pas là pour choisir ou faire ses emplettes comme au supermarché. Une soumise est entièrement, totalement, l’esclave de son Maître. Elle est là uniquement pour le satisfaire, pour répondre à ses moindres souhaits, pour se plier à ses fantasmes. Quand je t’ai dit que je te payais la robe mais que tu devais ensuite faire la pute de rue, tu aurais dû, immédiatement me remercier et te réjouir que je t’ordonne de te faire baiser et sucer des bites d’inconnus ce soir. Car en tant que soumise tu n’es qu’une porteuse de trous, tu n’es qu’une chatte, qu’un trou du cul, qu’une bouche qui ne demandent qu’à recevoir des litres de sperme. Une soumise c’est un vide-couilles qui n’en a jamais assez de recevoir du jus… Tu comprends petite chienne ?
– Oui, mon Maître, je comprends…
Mel, continue de me masser la queue qui durcit paresseusement sous ses caresses. Elle n’ose pas lever les yeux sur moi tant le ton est cinglant. Je sens bien qu’elle s’applique dans la branlette qu’elle me prodigue. Dans l’espoir sans doute, de m’amadouer et faire baisser ma colère.
– Alors qu’as-tu à dire maintenant, lui soufflais-je ?
Une ombre de confusion assombrit son visage. La jeune femme lève ses yeux vers moi où je lis les signes d’un grand désordre intérieur. Sa main se crispe sur ma queue comme pour me faire partager la tempête qui agite ses pensées. L’expression de son visage traduit maintenant l’affolement. Visiblement elle cherche la réponse qui conviendra à son maître sans avoir la conviction d’avoir trouvé la bonne. Je vous l’ai déjà dit : son apprentissage reste à faire.
– Merci Maître, de… me dire… de m’envoyer… de m’envoyer faire la pute, me chuchote-t-elle à l’oreille tout en serrant ma queue comme pour se convaincre qu’elle prononce les mots qui satisferont son Maître.
– C’est un bon début mais ça n’est pas suffisant, lui répondis-je. Non seulement tu iras faire la pute ce soir mais tu seras punie. Je ne sais pas encore qu’elle punition tu auras mais elle sera sévère pour te montrer ce que mérite une soumise qui enfreint les règles. Pour le moment va essayer cette robe et si elle te va, achète-la.
A SUIVRE…
Les grands boulevards brillent encore de la pluie d’octobre qui les a mouillés toute la journée. Mel est assise à l’avant à mes côtés alors que la voiture roule lentement le long des trottoirs gris. Il fait frais mais le ciel s’est lassé de pisser ses nuages sur la capitale. Sous son grand manteau noir j’entrevois la robe blanche qu’elle a acheté tout à l’heure et dont la coupe mini laisse apparaître le haut de ses bas et les attaches de son porte-jarretelles. Comme je l’avais imaginé devant la vitrine du magasin, le décolleté est large et profond laissant envisager sa forte poitrine. Je la sens nerveuse. Elle mordille ses ongles rouges et ne cesse de réajuster ses longs cheveux noirs. Je lui dis de rester calme et de bien écouter mes ordres.
– Tu vas tapiner sur le boulevard jusqu’à ce que je vienne te chercher. Si ça me plait je te laisserai ici jusqu’à deux ou trois heures du mat’ ou peut-être toute la nuit si j’estime que c’est nécessaire. Tu montes avec tous les hommes qui te paieront quel que soit leur bagnole ou leur aspect. Tu nettoies juste leur bite avec tes lingettes et tu refuses qu’ils te baisent sans capote. Par contre, s’ils te le demandent tu les suces sans capote et tu prends le foutre dans ta bouche mais tu n’avales pas.
– Oui, d’accord, Maître. Mais puis-je vous posez une question ?
– Vas-y…
– Si un client veut me sodomiser….
– Stop, pas de mot comme ça avec moi, petite chienne. Ne dit jamais « sodomiser » dit, « enculer »…
– Oui Maître… Si un client veut m’enculer qu’est-ce que je fais Maître ?
– Normalement l’enculage, tout comme l’avalage du sperme, c’est réservé à ton Maître. Mais si tu vois que le client est prêt à rallonger son fric pour te défoncer le cul, donne lui ton petit trou. Mais tu entends, il faut qu’il allonge du pognon pour ça !
– Oui, Maître j’ai compris, s’il veut me sod… pardon m’enculer, il faut qu’il allonge 50 de plus.
– Ou plus si tu sens que c’est possible. La seule chose qui t’es strictement interdite, parce qu’elle est exclusivement réservée au Maître, c’est l’avalage. Le seul jus que tu as plaisir à avaler c’est le jus de mes couilles.
– Oui Maître, j’aime avaler le bon jus de tes couilles…
– BIEN !! tu commences à comprendre ce qu’il faut dire à ton Maître. Allez, sort maintenant chienne, tu es arrivée à ta place de pute. Tu es là pour sucer, pour prendre du jus dans ta bouche, pour te faire défoncer la chatte par des grosses queues bien dures. Encore une chose avant de quitter.
– Quoi, Maître ?
– N’oublie pas que tu n’es qu’une pute, une chienne, une salope soumise. N’oublie pas que tu n’es qu’une vide-couilles, une putain et que tu n’es bonne qu’à te faire baiser et défoncer les trous.
– Oui Maître, je ne suis qu’une pute et tous mes trous t’appartiennent…
Je démarre. Dans mon rétro, j’aperçois ma blackette fouiller dans son sac pour y chercher ses cigarettes. La flamme du briquet illumine un bref instant son visage maquillé et fait briller ses lèvres glossées rouge vif. Elle est belle pensais-je en passant les vitesses et en m’interrogeant pour savoir si je devais l’observer de loin ou rentrer tranquillement à la maison. Mes pensées furent interrompues par l’apparition à un carrefour du boulevard, d’une jolie pute métisse aux cheveux jais en cascade et à la mini-jupe jaune vif. Perchée sur des talons aussi vertigineux que ceux que porte non loin de là ma soumise elle se rapproche de la voiture que je gare à quelques mètres d’elle. L’idée qui me titille les testicules est de baiser cette jolie pute devant ma soumise pour lui faire comprendre qu’elle n’est qu’une esclave.
– 40 euros la pipe, 50 l’amour, m’annonce laconiquement la pute au travers de la vitre ouverte.
– Monte !
Nous roulons lentement sur le boulevard. La jeune métisse est assez belle et pulpeuse. Ses longues jambes à hauts talons attirent mes yeux comme un bonbon fascine le regard d’un enfant. Je sens un durcissement entre mes jambes. Je me gare sur un arrêt de bus vide.
– Comment t’appelles-tu ?
– Naomie.
– Bonsoir Naomie. Tu es très jolie et je voudrais te proposer quelque chose.
– Quoi ? m’interroge la jeune métisse sur le ton de celle qui en a vu d’autres et qui est habituée à se voir proposer des choses les plus extravagantes par les clients qu’elle racole.
– Oh, rien de méchant jeune fille. Juste je voudrais te baiser devant ma femme qui tapine là-bas un peu plus haut sur le boulevard.
– Tu veux me baiser devant ta femme !! C’est 50 de plus !
Youppie ! La pute fait la pute. Elle baise ou le client veut baiser et comme le client le lui demande à condition qu’il allonge le pognon. Banco, ma belle pute, tu auras tes 100 roros et je te baise devant ma soumise pour lui rappeler que le Maître baise, voire encule qui il veut, devant elle ou sans elle.
– Cinquante de plus pour une bonne sodo. Ca fait 150 en tout. C’est ok ?
– Ok pour 150, me répond la pute en se remaquillant dans le rétro passager. Ou on va ?
Demi-tour rapide et nous voila Naomie et moi à la hauteur du poste de ma soumise qui toutefois a disparu. Une passe me dis-je in petto. Très bien nous attendrons son retour ici, le coin est calme et tranquille et le petit renfoncement que fait l’entrée d’un garage autos évidemment fermé à cette heure, permet de se protéger des regards indiscrets. Je sors les briffetons et les tends à la pute. Elle les fourgue dans son sac puis recule son siège. Sa bouche avale ma queue qui durcit sous les va et vient de ses lèvres. Pendant que la petite pute métisse me suce vigoureusement je peux guetter dans mon rétro, le retour de ma soumise. Et la voilà qui pointe sa chatte et ses talons en sortant de la voiture de son premier client. J’att**** la pute par les cheveux et lui imprime un mouvement rapide de va et vient. Elle encaisse sans broncher et je sens sa poitrine effleurer ma cuisse en cadence. Je l’arrête soudainement. Elle se relève.
– Montre tes seins,
La petite s’exécute pendant que je sors de la voiture pour faire signe à Mel qui a repris son tapinage à quelques mètres de là. Ma soumise est étonnée de me voir. Elle m’a vu partir en voiture il y a plus d’une demi-heure et voila que je réapparais brusquement dans son dos. Petite trotte vers son Maître, tout sourire. Sans doute espère-t-elle que sa soirée de pute des rues est déjà terminée et que son homme va la reprendre pour lui tout seul dans le doux cocon de leur maison.
Arrivée à ma hauteur elle aperçoit la petite métisse dans la voiture et ouvre des yeux ronds.
– Accroupies-toi putain, lui ordonnais-je.
Mel écarte largement ses cuisses et se pose sur ses talons. Je ressors ma bite et lui fourgue en bouche. Ca réveille Popaul qui se remet doucement au garde-à-vous. La pute métisse contemple la scène de la voiture sans rien dire. J’att**** Mel par les cheveux.
– Tu vas retourner faire la pute, mais avant je veux que tu regardes ce que je fais à cette jolie petite salope.
Mel semble ne pas bien comprendre. Elle sourit benoitement et me regarde engouffrer la métisse sur les sièges arrière, relever sa mini-jupe et tirer son string vers le bas.
– Viens me mettre la queue dans son cul toi, lui ordonnai-je sèchement.
Ma soumise s’empare de la queue de son Maître, lui enfile une capote et la place devant le petit trou brun de la pute. Le gland force le passage trop sec pour se laisser conquérir.
– Lèche son cul pour le lubrifier, ordonnais-je à ma soumise qui se tient collée à moi tout en caressant mon dos.
Mel, se penche, crache puis lèche l’anus de la métisse qui ouvre ses fesses avec ses deux mains. Je peux admirer les deux trous café foncés et tout rose dedans bien ouverts. Le spectacle m’excite. Je prends la main de ma soumise et la repose sur ma queue. « Elle est bien dure ! » souffle-t-elle admirative. Le petit trou bien lubrifié, se laisse pénétrer sans barguigner. A la lueur pâlotte des réverbères je peux voir ma queue s’enfoncer puis ressortir de ce beau cul de métisse. La pute se met à couiner. Mel se frotte à moi avec ses seins et me susurre des cochonneries. « Vas-y, encule la bien fort… Vas-y Maître, encule cette chienne, elle veut que tu lui défonces le trou… vas-y, plus fort, vas-y chéri, montre lui qui est le Maître, défonce-la fort cette pute, cette salope de pute, cette chienne à foutre… ». Je poursuis mes allers et retours mais le souffle me manque. Je sens le trou de la métisse me serrer la queue et en contre-champ la voix off de Mel qui me dis de lui « cracher mon jus dans sa bouche de pute ». D’un geste soudain j’ordonne à la métisse de se retourner pour me sucer. Je retire la capote et lui enfonce ma queue direct dans la bouche. Je lui baise la bouche pendant que Mel poursuit ses incantations. « Crache lui tout dans la bouche ! oh oui mon Maître, crache tout dans sa bouche de pute, sa bouche de salope à sperme ».
Le jus coule le long de ses lèvres. La métisse tente discrètement de recracher le sperme qui lui rempli la bouche. Je n’aime pas ça mais c’est le lot de ces filles qui vous affirment, avant que vous ne les baisiez, les yeux dans les yeux, qu’elles avalent mais qui, au moment fatidique, recrachent le jus ou pire, ferment la bouche pendant que votre queue expulse la mayonnaise. Une pute ça fait la pute ! ça ment comme un arracheur de dents. Je le sais, mais c’est toujours avec une certaine frustration que je vois couler mon foutre hors de la bouche d’une femme. Du coup je sors ma bite de cette bouche qui refuse mon sperme et l’enfourne brusquement dans celle de ma soumise toujours accroupie à mes pieds.
– Suce ! aspire le jus et avale négresse, lui ordonnais-je violement et lui tenant la tête par les cheveux.
Les joues de ma soumise se creusent par l’effort qu’elle fait pour aspirer les dernières gouttes de foutre. Sa langue fouille les recoins du gland pendant qu’elle me fixe des yeux comme pour protester contre le peu de jus qu’elle parvient à recueillir. La métisse qui a comprit que s’en était terminé pour elle, réajuste sa robe et son string tout en admirant, du coin de l’œil, la prouesse de cette fille qui s’acharne à assécher les couilles de son client.
– Elle prend tout dis-donc, lâche-t-elle en ajustant son soutien-gorge.
– C’est une vraie chienne soumise, répliquais-je. Je la nourrie de mon jus et elle aime ça.
Mel me montre la bouche grande ouverte, les quelques gouttes de foutre qu’elle a recueillit laborieusement. Géné par la faible lumière que diffusent les réverbères je constate néanmoins qu’elle n’a aspiré qu’une infime dose de sperme frais dont quelques gouttes seules brillent sur sa langue tendue. « Avale » lui ordonnais-je et me reboutonnant.
Les bollocks vides je n’ai plus rien à faire le long de ce boulevard parisien. Des voitures, en maraude, conduites par des hommes seuls passent et repassent derrière notre trio toujours abrité des regards dans l’embrasure du porche du garage auto. Je me retourne vers ma soumise alors que la métisse récupère son sac et nous quitte pour aller reprendre son tapin quelques dizaines de mètres plus loin.
– Tu n’as pas reçu assez de foutre ce soir. Une pute comme toi se doit d’en prendre plus que ça. Tu vas donc rester faire la pute ici et te faire baiser par des clients, comme une chienne que tu es. Je t’ordonne de prendre plein de jus de couilles et quand tu en auras pris suffisamment pour que j’estime que tu as mérité d’être une soumise et que tu as payé pour tes fautes envers ton Maître, je te téléphonerai pour que tu rentres à la maison. Est-ce clair négresse soumise ?
– Oui Maître, merci Maître de me souiller comme je le mérite. Je ne suis qu’une pute à foutre et j’obéis à tes ordres.
En démarrant la voiture je vois ma pute reprendre sa place sur le trottoir. Perchée sur ses hauts-talons et moulée dans la mini-robe que je lui aie achetée cet après-midi, elle en jette ! Ses longues jambes gainées de bas blancs mettent en valeur sa silhouette fine et élancée. Une voiture s’arrête à sa hauteur. Mel se penche à la portière en prenant soin de rester de profil afin de faire ressortir la cambrure de ses fesses. Technique classique de séduction ! Bingo ! Au moment ou elle s’engouffre dans la berline de son client je peux apercevoir très fugacement le triangle de dentelle blanche de son mini-string alors qu’elle relève ses cuisses pour s’asseoir sur le siège avant. J’enclenche la première. Dans mon rétro j’aperçois ma soumise s’emparer des deux billets que lui tend son nouveau client. Fin l’épisode pour moi. En conduisant le long des boulevards extérieurs, ponctués tous les cinquante mètres de filles plus ou moins jeunes, plus ou moins déshabillées, je pense à la punition qu’il me faudra infliger à ma soumise quand elle rentrera de son tapin.
A SUIVRE
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