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Le billard

Le billard



Voici une petite aventure qui m’est arrivée il y a quelques années maintenant.
J’ai rencontré, dans le cadre d’une réunion, un homme plutôt séduisant. Sportif, plutôt intelligent, c’est un beau parleur. Après une drague insistante, il avait réussi à me convaincre de dîner avec lui. Il faut dire que j’avais très envie de lui mais je ne voulais pas passer pour une femme facile ; même si je suis une affamée du sexe. Pour le rendez-vous, je me suis habillée plutôt sexy. Le jour du rendez-vous, je le vois arriver dans un coupé sport rutilant. Galant il m’a ouvert la portière en me complimentant :
« Michèle, vous êtes resplendissante dans cet écrin. »

La voiture étant basse, ma petite robe remonte très haut sur mes cuisse et durant le trajet, il n’a de cesse de mater mes jambes et mon décolleté profond. Je vois en arrivant qu’il sort le grand jeu en m’invitant dans un restaurant étoilé. Durant le délicieux repas, il fait des traits d’humours coquins avec des jeux de mots et des sous-entendus qui ont plutôt tendance à m’exciter. En repartant du restaurant, au moment où je monte dans la voiture, il me murmure :
« Vous êtes craquante Michèle. Si je ne me retenais pas, je vous ferais l’amour sur place. Prendriez-vous un verre chez moi ? »
Très féline et aguicheuse, je sui réponds :
« Pourquoi pas, votre compagnie est si agréable. »
Durant le trajet, Steph loupe trop souvent son levier de vitesse pour poser sa main sur mon genoux ou ma cuisse. A chaque effleurement, je frissonne et écarte insensiblement mes cuisses. Nous entrons dans une grande allée gravillonnée qui débouche sur un manoir 17éme. Je sui très impressionnée et intimidée en pensant à mes fantasmes de château médiéval et de donjon.

Quand nous entrons dans le hall, je reste quoitte devant ce décor de rêve. Je sursaute quand il s’empresse de m’embrasser et de me peloter sans détour les seins. L’homme élégant et courtois se transformait en mâle en rut et désireux de saillir sa femelle. Ce n’est pas pour me déplaire, mais j’avais envie de le faire languir. C’est un jeu qui peut-être dangereux mais tant pis. Ironique, je lui dis :
« Mais je croyais que vous m’invitiez pour me proposer un verre ? »
Il me sourit et me conduit dans un grand salon où trône un magnifique billard en me disant :
« Que désirez vous boire, ma chère ? »
« Un whisky s’il vous plaît. »
« Très bon choix Michèle. C’est une boisson noble. »
Il est à nouveau le séducteur, beau parleur. Je me retourne pour admirer ce billard en lui disant :
« Quel superbe billard avez-vous là. »
Il me tend mon verre de Jura 30 ans d’âge ent me disant :
« Votre nectar Michèle. Oui merci, savez-vous y jouer ? Je manie assez bien la queue. »
Je souris à cette allusion et déguste une gorgée du liquide ambrée, tout en lui répondant :
« Un de mes amis est adore le billard et m’a appris à utiliser la queue. »
Je fais une pose en reprenant une gorgée de whisky et reprend :
« vous savez, dés qu’il y a une queue et des boules, je suis toute excité. »
Il sourit et me propose alors :
« Faisons une partie alors que je vois comment vous tenez la queue ! »
J’adore la tournure des choses et vicieuse, je me colle à lui en le regardant droit dans les yeux pour le défier en lui disant :
« Pourquoi pas ? Mais il faut un enjeu ! »
Il rigole de me voir me comporter aisi et après quelques instants de réflexion il me propose :
« Huuum… Si nous faisions un streap billard ? »
Je fais une fausse moue en répliquant :
« C’est de la triche. J’ai beaucoup moin de vêtement à enlever que vous ! »
Il affiche un large sourire en me disant :
« He bien soyez bonne alors ! »
C’est fou à quel point j’aime ce genre de pari et à quel point je vais aimé le perdre.
Nous commençons et il me laisse l’honneur de casser. Ca commence bien. Aucune boule ne rentre.

Il affiche un large sourire en me disant :
« Bon, hé bien, je crois qu’il faut que enleviez quelque chose. »
Je le regarde droit dans les yeux et réplique :
« Bien Monsieur ! »
J’enlève mes escarpins. C’est à son tour et curieusement il rate aussi. Il enlève sa veste. Je prends la main mais déjà passablement éméchée et émoustillée, je me loupe et la bille ne rentre pas.

Je le vois jubiler en me demandant :
« Je suis bon prince. Au lieu de vêtement, détachez vos cheveux et faite moi profiter de votre magnifique décolleté ! »
Je m’exécute en me baissant et en faisant un effet de cheveux des plus sensuels. Il doit être troublé car, il loupe encore une foi sou coup. Je réfléchis et lui propose :
« Votre cravate Monsieur ! »
Je prends la main et cette foi, je rentre une bille.
« En levez votre chemise mon cher ! »
Je découvre son torse musclé et ne peux m’empêcher de passer ma langue sur mes lèvres. Déconcentrée, Je me loupe et là il ratrappe le retard en m’imposant :
« Ôtez votre robe Michèle ! »
Je suis cette foi très troublée et je sens ma petite chatte s’humidifier et des fourmillements familier envahir mon ventre. Je feints une gène et retire ma robe. Je me retrouve devant lui dans ma lingerie fine qui ne cache que peu de chose de mon anatomie. Je lis dans ses yeux l’excitation du mâle qui va bondir sur sa proie.
Lui aussi très troublé rate le trou. Je lui lance en rigolant :
« Décidément la partie va tourner court rapidement avec d’aussi mauvais joueurs. Le pantalon Sir ! »
Son regard est intense et il laisse tomber son pantalon. Je découvre une bosse énorme dans son boxeur. Le salop bande comme un âne et se n’est pas pour me déplaire bien au contraire.

J’ai les mains qui tremble légérement quand je reprend la queue et tente de mettre une bille dans un trou.Je ne suis déjà plus au jeu et mes pensée ne vont que pour imaginer ce membre flamboyant que j’imagine déjà dans ma bouche.

Tous ces sentiments mêlés font que je manque la bille et lui redonne la main.
« Hé bien Michèle, j’hésite entre votre soutien gorge qui emprisonne si fabuleusement votre magnifique poitrine ou le petit carré de tissu qui voile votre intimité. »
Je rougie bêtement et je sens honteuse que mon string doit être trempé de ma cyprine. Il joue avec moi en me faisant languir, puis se décide en m’ordonnant d’un voix enrouée d’émotion :.
« Le soutien gorge Michèle ! »
J’ôte mon soutien-gorge et je le vois jubiler quand je libère ma poitrine. Souriant de toutes ses dents, il me dit :
« Wahooo je sens que je vais bien m’amuser avec. Il sont…Huuum… Somptueux ! »
Je lui lance, coquine, en regardant la bosse que déforme son boxer :
« Merci monsieur mais c’est à mon tour et vous n’avez plus que votre boxer !!! »
Je peste quand je loupe mon tir et de voir ma mine de petite fille boudeuse, il me dit :
« Dommage c’est raté ! Lancez-moi votre string jeune fille ! »
Je suis réellement rouge de honte cette foi-ci car je sais pertinemment qu’il est trempé du jus de mon intimité. Mais je joue le jeu et lui jette ma culotte. Il l’att**** au vol et la hume en me regardant dans les yeux. Comme le ferait une soumise devant son Maître, je ne soutiens pas son regard et baisse les yeux. Ca semble l’amuser car il enfonce le clou en me disant :
« Votre string est trempé de votre jus d’amour ma chère et il en émanne un parfum aphrodisiaque. »

Me voici juste en porte jarretelles devant cet homme triomphant. Mais orgueilleuse, je lui rétorque :
« Mais Monsieur, la partie n’est pas terminée ! »
Très sexy, je me place pour jouer mon coup et essaye de rester concentré sachant qu’il me dévore des yeux. Mais alors que je suis penchée sur la table, je sens quelque chose de dure remonter le long de ma jambe pour s’appuyer sur mon coquillage. Je reconnais la dureté de la queue de billard. Dans ma position, mon sexe est accessible et offert à la vue de mon hôte qui en exerçant une pression sur ma vulve me dit doucement :
« Alors ma chère Michèle ! Si vous ratez ce coup-là, je ferais de vous ce que je veux. Vous serez à moi totalement pour toute la nuit. »

Je le laisse jouer ainsi mais suis incapable de tirer la bille. Le contact de cette queue en bois sur ma chatte en feu me tire un gémissement de plaisir. Il accentue ce va et vient dans mon vagin. Je lâche la queue de billard que je tiens en main. Je me sens soumise à sa merci et j’aime ça. Puis d’un coup, il retire la queue de ma chatte. Esquissant un mouvement pour me relever, il m’ordonne sur un ton plus autoritaire et passant au tutoiement :
« Bouge pas ! »
Je suis totalement sous son contrôle et obéis, restant dans cette position obscène.

Il doit admire ma croupe offerte en me disant :
« Je ne te pensais pas aussi chienne. Et j’adore les chiennes!’ Tu veux d’la queue ? J’vais t’en donner ! »
Le mâle sauvage reprend le dessus et me prenant les hanches, il se met à me saillir avec une v******e presque bestiale.’Chaque coup de boutoir, me procure du plaisir. Je gémis, je crie, j’exprime mes sensation de façon sonore.

« Hummm, grosse salope ! J’vais t’faire gueuler comme une chienne ! »
L’homme courtois et délicat avait totalement disparu pour mon plus grand plaisir. J’adore être secouée et insulté lorsqu’on me baise. D’une main, je lui caresse les couille. Je lui dis :
« Tu t’sers mieux de ta queue de d’une queue de billard. Huuum qu’el est bonne ! Oui baise moi bien fort ! »

Steph entre ses doigt dans mon cul tout en continuant son burinage.
« Ha..ha ..ha, oui, j’aime, prends moi le cul !!! J’veux ta grosse bite dans mes fesses ! »
« T’es vraiment une grosse pute ! Tu vas voir comment j’vais t’éclater la rondelle petite salope ! »
Il s’enfonce dans mon conduit étroit et je hurle comme en transe. La douleur est forte mais rapidement se transforme en plaisir d’être bien remplis et dilaté.
Il se retire brutalement, me prend par les cheveux en me retournant comme une crêpe et me lance :
« Suce ma queue et avale mon jus putain ! »
Il me fourre sa hampe au fonde de la gorge et rapidement des spasmes s’emparent de sa tige et de long jet crémeux tapissent mon palais et me frappe le fond de ma gorge. Il me garde un moment enfoncée sur son memebre ramolissant et me relâche enfin.

J’essaye d’avaler ce qque je peux et de reprendre ma respiration, alors quer je l’entend dire :
« Tu m’a bien vidé les couilles ! T’es une sacré chaudasse toi sous tes airs de bourgeoise ! »
Puis reprenant son air courtois d’homme du monde, il continue en me disant :
«  J’organise une soirée  « style upper floor » Samedi soir. Tu sera la bienvenue et la vedette de la soirée ! Je pourrais ainsi montrer aux autres le pouvoir que j’ai sur vous chère amie et comment je sais vous rendre chienne, vous manipuler physiquement et mentalement. Je les laisserais vous prendre tout en jouant le maîtres de cérémonie. »
Je me remet de mes émotions en pensant à ces fantasmes et en imaginant être prise par plusieurs hommes en public.

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