Mon mari ne sait pas à quel point je suis chaude. Je lui cache des choses, il est tellement sensible, j’ai peur de lui faire du mal. Bien sûr nous avons une vie de couple très satisfaisante, j’aime son sexe, sa bouche et faire des cochonneries avec lui ! Mais depuis que j’ai cinquante ans, j’ai comme une urgence à baiser – me faire baiser surtout – que j’ai envie d’assouvir avant que les rides et les vergetures m’enlaidissent.
Sans fanfaronner, je pense être une assez belle femme, mince avec des formes, blonde aux cheveux longs. Je sens bien le regard des hommes sur moi quand je suis seule. Les jeunes, les matures, les vieux, les ados…j’ai l’impression que tous me désirent et ça m’excite.
Mais j’ai une nouvelle passion…les blacks.
Depuis que je me suis faite défoncer dans tous les sens par des hommes blacks puissants et vicieux, limite machos, je me sens esclave de leurs désirs, de leur concupiscence.
Ils me traitent de chienne, de salope de bourgeoise et j’aime ça. Je me sens en libre service pour eux et c’est divin. Ils me font jouir comme personne, même pas mon adorable mari.
La semaine dernière, j’étais en feu, en rut comme on dit pour un homme, une vraie chaudière.
J’ai prétexté d’aller passer la soirée avec Martha, ma bonne copine que j’ai mise au courant de mes aventures, et je suis partie seule dans une boite afro sur les quais à Bordeaux. Je me suis habillée en pire salope, profitant de la chaleur du mois d’août, petite robe courte échancrée, soutien gorges en dentelle blanche, talons de dix centimètres et pas de culotte, pour tenter d’aérer ma chatte qui dégouline presque non-stop. Mon mari a sifflé d’admiration quand je suis descendue de la salle de bains.
« Waouh, t’es magnifique ! Elle en a de la chance Martha ! »
« Merci chéri ! Heureuse de te plaire… »
S’il savait…
Sur le chemin j’étais surexcitée, je caressais le levier de vitesses comme si c’était un gros sexe…noir. J’avais hâte d’arriver !
Ah, voilà le parking. Je me gare à coté d’un 4X4 aux vitres teintées, je descends de la voiture déjà un peu grisée par ce qui allait m’attendre…
« Houlala…. »
La vitre de la voiture était baissée et quelqu’un m’interpelait déjà.
« Bonsoir mademoiselle… »
Un black d’une trentaine d’années me regardait intensément. J’ai essayé de ne pas montrer mon émotion.
« Madame ! » Répondis-je fièrement.
« Vous êtes seule jolie madame ? Vous savez que ce n’est pas un endroit où trainer le soir pour une jolie femme comme vous ? » Dit-il avec un grand sourire.
« Je n’ai pas peur »
« Si vous n’avez pas peur du loup, alors entrez donc, on pourra discuter au calme… »
Il ouvre sa portière. Je monte.
« Je m’appelle Jack…et lui c’est Elvis ! »
C’est son sexe qu’il me montre ! Une grosse queue d’ébène toute tendue qui jaillit de sa braguette. Je ne le vois pas en entier, ni ses couilles, mais la taille me laisse rêveuse…
« Enchantée ! Je m’appelle Louise »
« Bienvenue Louise…si tu as faim, sers-toi, il ne mord pas ! »
On peut dire qu’il est direct ! J’aime ça, pas de bla bla, pas de drague, juste du cul, ça me va très bien pour ce soir !
Il descend son bermuda jusqu’aux chevilles, découvrant de belles bourses bien pleines et un sexe majestueux.
Je pose ma main droite dessus en regardant Jack dans les yeux. Il pose une main sur mes cheveux et approche mon visage pour me rouler une pelle d’enfer, qui me fait fondre. Je sens sa langue me fouiller et pendant qu’il m’embrasse à pleine bouche pendant de longues secondes, je commence à le branler doucement, sentant la douceur et la chaleur de sa queue dans ma main.
« Tu es mariée, Louise ? »
« Oui »
« Tu es une salope infidèle, c’est ça ? »
« Oui »
« Tu es venue chercher de la grosse queue de black, c’est ça hein ? »
« Oui, c’est ça… »
« Beaucoup ? »
« Oui »
« Montre moi si tu suces bien comme une pute, et je verrais ce que je peux faire pour toi »
Je n’attendais rien d’autre ! Je baisse la tête sans me faire prier et j’engloutis sa divine banane épicée. Je le masturbe comme une folle, titillant son méat, léchant ses couilles, bavant sur son sexe. Je vais lui montrer comment je suce comme une pute ! Je me donne cinq minutes pour le vider dans ma bouche. J’accélère encore, je pompe, je fais du bruit, je gémis comme une possédée en frottant mon cul sur le levier de vitesses. Il tente une pause.
« Hé, t’as vraiment la dalle, toi ! »
Je m’accroche, le dévore de plus belle, de plus en plus vite avec mes deux mains pour qu’il ne puisse en aucun cas retenir la sauce. Il souffle fort.
« Oh putain !!… »
J’adore ce moment où je sens que le sperme est en train de se libérer irrémédiablement, de parcourir les canaux des couilles jusqu’au gland et que la bite se raidit encore pour exploser. J’enfonce son gros gland dans ma gorge et il balance toute la sauce en couinant, je bouffe tout, je me régale, c’est chaud, salé, épicé, ça coule encore et toujours, par petits jets que j’avale avec gourmandise. Putain c’est bon ! J’adore le sperme des blacks, je pourrais en boire toute la nuit !
Je le nettoie bien et relève la tête dignement.
« Alors ? »
« Alors quoi ? »
Il se remet de ses émotions on dirait…
« Je veux de la bite, qu’est-ce que tu as à me proposer ? »
Il ne dit rien, remonte son short et démarre. Je ne sais pas où il m’emmène mais je lui fais confiance, j’ai fait mes preuves, j’ai bien réussi le casting on dirait, il va falloir qu’il tienne ses promesses maintenant.
Au bout de vingt minutes de route, après avoir quitté la rocade, il s’arrête à la limite d’un quartier HLM avec des petites tours d’habitation pas très éclairées. On marche un peu et il se poste devant un interphone. Sonne.
« Ouais ? »
« Salut Hakim, c’est Jack, t’es toujours avec les poteaux ? »
« Ouais frérot, on regarde le match, tranquilles »
« J’arrive »
« J’ouvre »
On entre alors dans le bâtiment un peu glauque, et on prend l’ascenseur. Hakim ne parle pas, ne me regarde pas. Je flippe quand même un peu…je me dis que je suis folle de suivre un inconnu dans cette zone, habillée en pute, mais la tentation et l’excitation sont plus fortes que ma raison.
L’ascenseur s »immobilise au septième étage. On descend et Jack me fais rentrer avec une grande tape sur le cul dans un appartement enfumé avec trois mecs qui regardent la télé en buvant du rhum.
« Regardez les gars, j’ai apporté de la viande pour le barbecue ! » Clame t’il en me poussant au milieu du salon.
Ils sont plutôt pas mal habillés, chemises et pantalons de ville. Je m’attendais à les trouver en jogging….
« Youhou …! » Fait l’assistance.
« Je vous présente madame Louise, une bonne grosse salope infidèle qui cherche de la bonne bite de black. Elle suce vraiment comme une pute, je peux vous le garantir ! »
Putain que c’est bon d’être juste un objet, d’être traitée comme une chienne…
Ils se ressemblent assez tous les quatre, on dirait presque des frangins ou des cousins.
Un premier me tend un verre de rhum.
« Tiens, si t’as soif… »
Je le vide cul sec, un peu par provocation.
« Belle descente ! » Me dit un autre.
« Dessape-toi ! »
J’aime qu’on me donne des ordres clairs, ça m’excite encore plus !
Je leur fais alors un mini strip tease (je n »ai pas grand chose sur le dos !) qui me met dans une folle excitation, prenant bien mon temps pour retirer ma robe et dévoiler mon sexe rasé, mes seins aux pointes déjà tendues, mon cul accueillant.
Jack est resté debout près de la télé, je m’approche alors des trois autres gaillards qui sont sur le canapé et sur un fauteuil. Je me mets à genoux et commence à toucher avec admiration les bosses qui déforment leurs pantalons. Je me sens comme dans un rêve, un peu saoule déjà, j’ai l’impression de tourner un film, d’être si loin de la réalité !
Mais leurs queues sont bien réelles, elles. Je défais les braguettes consciencieusement et les sors l’une après l’autre en les caressant, en les reniflant, j’ai la salive qui monte devant leurs membres gonflés, j’ai besoin de sucer maintenant !
Je les goute tous les trois en suivant, passant d’une bite à l’autre, pendant qu’ils se marrent grassement sur mon comportement de chiennasse.
« Vas-y pompe nous bien salope ! Tu vas pas regretter le détour ! »
« T’es une pure chienne toi ? Hein, c’est ça ? Alors on va te traiter comme une chienne !! »
Ils se sont levés et m’entourent de leurs grosses queues maintenant, m’obligeant à leur faire des gorges profondes, à lécher leurs grosses couilles, posent leurs mains épaisses sur mon crâne pour guider ma bouche où ils veulent.
« Hey les garçons, regardez, j’ai l’accessoire qu’il faut pour la pute ! »
Hakim brandit alors une laisse de chien.
« C’est ça que tu veux petite chienne ? » Dit-il en me la fourrant sous le nez.
« … »
« Réponds ! »
« Oui, c’est ça »
« C’est bien, tu vas être bien obéissante… »
« Oui »
J’ai tout oublié, mon mari, mon fils, Martha, la boite afro, ma voiture sur le parking.
Je suis en chaleur, j’ai besoin qu’ils me pénètrent de partout, qu’ils me fassent crier…
« On va te faire faire une petite visite de l’appartement ! »
Ils m’attachent la laisse autour du cou et commencent à me balader dans l’appartement, me faisant visiter les chambres, le salon, la cuisine, les chiottes, me font même lécher la cuvette en me mettant des grandes claques sur la croupe.
On arrive dans la salle de bains.
« Lave-toi la chatte ! » dit le plus grand en montrant le bidet. Je m’assois en attrapant un gel douche et commence à me laver et à me caresser le sexe pendant qu’ils me fourrent leurs queues dans la gueule, je me mets deux doigts dans la chatte en astiquant mon clito et je suis déjà presque au bord de la jouissance. Putain qu’est-ce que c’est bon d’être humiliée, j’adore ça !!
On repart dans le salon
« Tiens, bois ! »
Jack me montre une petite coupelle en verre posée au sol. Toujours à quatre pattes je m’empresse de laper. C’est du rhum. Je la prends dans mes mains pour la finir d’un trait. Je n’en peux plus.
« Baisez-moi, s’il vous plait, défoncez-moi le cul ! » Je les supplie presque.
« Montrez-moi comment vous vous servez de vos grosses queues… »
« Ta gueule, c’est pas toi qui décide ! Tu vas nous sucer encore ! »
Ils viennent tous les trois se branler autour de ma bouche, leurs queues sont impressionnantes, tendues à bloc, ils me fourrent le gosier, me giflent avec leurs membres gluants, me font sucer leurs gros doigts, alors que je suis toujours en laisse, à genoux devant eux. Jack s’y met aussi, il bande à nouveau.
Les quatre sont à poil maintenant, m’encerclant de leurs bites, jouant avec ma bouche.
Je n’en peux plus, je pleurniche, je crie, quand ma bouche se libère un peu
« Baisez-moi ! Prenez moi le cul ! Défoncez moi la chatte !! »
Je me mets en position de levrette, j’écarte mes fesses avec mes mains, la tête sur le parquet et je leurs tends mon cul offert au maximum.
« S’il vous plait… »
Enfin ! Un premier gourdin entre en moi…je m’évanouis presque tellement c’est bon ! Je suis tellement mouillée qu’il rentre en une fois, je sens mon ventre qui se remplit de chair, mon dieu qu’elle est grosse, qu’elle est bonne ! Il me lime, me besogne comme j’aime. Je jouis déjà une première fois. C’est à peine si j’ai senti qu’un autre mastard m’a pris la bouche. Mon baiseur se déchaine, en me tenant puissamment par les hanches, il me défonce la chatte pendant au moins un quart d’heure en me traitant de tous les noms.
Je jouis une deuxième fois. Lui aussi. Il sort de ma chatte et répand son foutre chaud sur mon cul en braillant
« Tiens salope !!! » Et se dépêche de me la mettre en bouche pour que je la nettoie bien.
Un autre est derrière moi maintenant, je sens son engin qui force mon anus, bien aidé par le sperme du premier qui fait office de gel. Il rentre sans problème, mes trous sont grands ouverts. Il est gros, me pénètre jusqu’aux couilles que je sens battre contre ma chatte. Il me laboure le cul, me défonce les entrailles, mon ventre est en feu, mon sphincter n’est plus qu’un trou béant qu’il démonte en me tirant sur les épaules. Je pars dans un orgasme incroyable, qui me secoue tout le corps, qui me fait m’arcbouter comme une bête en rut sous les coups de boutoir de mon étalon. Je hurle puis retombe, ivre. Mon enculeur se déloge de mon anus et vient se branler dans ma bouche ouverte, déverse aussitôt son flot de sperme chaud que je bois comme du petit lait, pour me redonner des forces.
Ils en veulent encore. Il me soulèvent comme une poupée et m’installent sur le lit, en levrette, m’attachent les mains au cadre et me bandent les yeux. Je suis devenue leur jouet.
Les deux qui n’ont pas joui me prennent alors en sandwich sans ménagement, me déboitent le cul et la chatte comme des malades, j’ai le bassin en feu, ils me tirent les cheveux, la bouche, leur sueur coule sur moi, leurs odeurs sont fortes. J’aime ça, je sens un nouvel orgasme qui monte, je n’aurais même pas besoin de mon clito pour jouir tellement la double pénétration est divine. Mon ventre explose, j’ai l’impression de pisser et de chier en même temps que je jouis, que mes entrailles s’ouvrent.
Ils continuent de me labourer pendant des plombes, je ne les sens presque plus en moi tellement je suis stone, gavée de jouissance, heureuse.
Comme je l’espérais ils se sont soulagés ensuite dans ma bouche, les deux en même temps, me donnant à boire leur foutre abondant que j’ai adoré.
Ils ont continué à jouer avec mon corps pendant que je somnolais, me pénétrant de partout, vidant leurs couilles dans ma gorge, ils n’en finissaient plus de bander, de jouir, de bander à nouveau, de me remplir encore, j’avais l’impression qu’ils étaient dix, je n’entendais plus qu’un brouhaha, comme désincarnée, inconsciente. Mais c’était bon de les sentir se déverser en moi, me gaver de foutre, aller et venir sans cesse dans mes orifices. Je crois même qu’ils ont essayé de me sodomiser à deux en même temps, mais je n’en suis plus très sûre…
Quand je me suis réveillée, c’était déjà le matin. J’étais toujours sur le lit mais ils m’avaient détachée et avaient retiré le bandeau de mes yeux. J’avais toujours la laisse. J’ai fait un tour dans l’appartement, ils dormaient, éparpillés sur les canapés et dans les chambres, leurs beaux sexe au repos posés sur leurs cuisses.
Mon visage était tout collant de bave et de sperme, ma bouche encore tapissée de leur semence. Je me suis passé un peu d’eau au robinet de la cuisine, me suis recoiffée vite fait, j’ai ramassé mes affaires qui trainaient par terre, me suis habillée et suis sortie de la cité pour appeler un taxi. Je dirai à mon mari que j’avais un peu bu et que j’ai préféré dormir chez Martha plutôt que prendre la voiture.
Mais surtout, j’ai gardé la laisse, l’ai rangée dans mon sac comme le trophée de cette folle nuit de sexe. On ne sait jamais, ça peut toujours servir..
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