Le lendemain matin, pendant qu’on prend le petit déjeuner dans le jardin, mon mari me félicite encore d’avoir mené à bien ma mission avec le Yankee. Il est juste un peu surpris qu’après avoir été pratiquement violée, je fasse un grand sourire en direction de la camera. Il a dû prendre les gémissements de plaisir pour de la douleur, cet âne. Je retombe sur mes pattes, en lui disant :
— J’ai fait ce sourire tellement j’étais contente d’avoir remporté cette petite victoire pour mon pays.
Là, Luisa fait un faux mouvement et renverse un verre de jus d’orange sur la table ET sur moi. Enfin ! Il était temps ! J’attendais avec impatience une bêtise d’une des filles.
Affolée, elle me tamponne avec une serviette en balbutiant des excuses. Juan me dit :
— A ta place ma chérie, je lui ferais donner 5 coups de fouet par Ramón… ou 10.
Luisa se mets à genoux embrasse ma main en disant :
Pardon, pardon Madame, pas 10.
— Soit, tu en auras 5.
— Merci, Madame !
Elle me remercie de lui faire donner 5 coups de fouet : j’adore !!
Je termine de déjeuner en parlant de l’avenir du pays avec Juan, jouissant de l’air désolé de Luisa. À voir sa tête, ça doit faire mal… Je ne suis plus pressée : ça va se passer !
Mon mari doit aller au bureau et moi… j’ai quelque chose à faire, mais quoi ? Ah oui, le fouet à Lisa ! Je lui dis :
— Il faut encore te faire fouetter, toi ! Comme si je n’avais pas assez à faire !
— Oui, pardon, Madame.
Ramón loge dans des nouveaux bâtiments derrière la maison. Sa chambre est une petite pièce qui donne sur le côté du garage.
La porte est entr’ouverte, je la pousse et j’entre. Oh ! Il est occupé de se raser, nu devant un petit lavabo. Il se retourne et dit :
— Hola Señora.
J’ai un chat dans la gorge, quand je réponds :
— rrrr… Hola, Ramón… J’ai besoin de vous, pour corriger Luisa.
— Deux minutes et j’arrive, Madame..
On attend dehors Luisa et moi. Elle, tête baissée et moi… rêveuse.
Il sort vêtu d’un pantalon. Il est costaud ! Pauvre Luisa… non je rigole.
Je lui dis :
— Cette fille a renversé du jus d’orange sur la nappe et sur mes vêtements, je voudrais que vous lui donniez 5 coups de fouet.
— Vous êtes vraiment indulgente, Madame !
Il la regarde et lui dit :
— Tu as remercié Madame ?
Elle me regarde les yeux plein de larme et dit :
— Merci Madame et pardon, je ferai très attention.
Elle me remercie, encore ! Bon… je dis à Ramón :
— Je voudrais voir le fouet que vous employez et la façon dont ça se passe.
— Bien sûr.
— Luisa tu sais ce que tu dois faire, ce n’est pas la première fois, hein ?
— Hélas, non, Monsieur Ramón.
On va dans le garage. Elle tire un gros fauteuil avec des accoudoirs jusqu’au milieu de la pièce. Ensuite, elle va chercher le fouet et se met à genoux devant moi en me le tendant.
Le fouet se compose, d’un manche court et de 3 lanières plates. Elles sont, comment dire ? Patinées, voilà. Patinées d’avoir frappé des dizaines de fesses.
C’est le fouet qu’on emploie au Santa Roja pour punir les esclaves. Il fait mal, mais n’entame pas la peau. On peut donc punir, à nouveau, rapidement.
Ramón se tourne vers Luisa en lui disant :
— En position !
Elle relève sa jupe d’uniforme et enlève sa culotte blanche. Ensuite, elle se couche sur un des accoudoirs, de façon à ce que ses fesses soient le plus surélevées possibles.
Je regarde Luisa, enfin ses fesses bien rondes
et ambrées, couleur café au lait.
Ramón m’explique :
— Je vais lui donner 2 coups sur l’arrondi des fesses, 2 coups à la base et 1 coup sur le haut des cuisses.
Tout en parlant, il touche les endroits qu’il va fouetter. Il passe son doigt le long du pli des fesses en disant :
— Les deux coups ici, sont ceux qui vont le plus la gêner, chaque fois qu’elle va s’asseoir et, même, marcher.
Je touche les fesses aussi. Elle sont bien fermes et elle frémissent sous ma main. Ramón me dit :
— J’y vais ?
— Oui, oui !
Il lève le bras et :
Fffffzzzziiiii, le fouet s’abat sur les fesses.
Luisa pousse un cri « Aiiiieeeeee ! » aussitôt suivi par « 1 merci Monsieur Ramón », dit d’une voix tremblante.
3 marques rougs barrent les fesses.
Fffffzzzziiiii,
Le fouet frappe à nouveau l’ensemble des fesses mais les traces rouges sont décalées
« Aiiiieeeeee ! » « 2 merci Monsieur Ramón »,
Fffffzzzziiiii,
« Aiiiieeeeee ! » aussitôt suivi par « 3 merci Monsieur Ramón »,
Là le fouet a atteint la base des fesses.
Ça doit être plus douloureux, car ses fesses se contorsionnent.
Je dis à Ramón :
— Attendez un instant. C’est amusant, parce que lorsque vous levez le fouet ses fesses montent comme pour diminuer la distance entre le fouet et elles. Ensuite, elles s’enfoncent dans l’accoudoir.
— Oui, c’est la danse des fesses, ça.
— Allez y, Ramón
Fffffzzzziiiii,
« AaaIIIiiiieeeeee ! » « 4 merci Monsieur Ramón »,
À nouveau la base des fesses. Ah, elle n’aime pas ça elle pleure
Fffffzzzziiiii,
« Aiiiieeeeee ! » « 5 merci, Monsieur Ramón »,
Le haut des cuisses !
Ramón me dit :
— Encore 5, Madame ?
— Euh… non, c’est bon.
Je touche les fesses de Luisa qui se serrent d’apréhension. Je suis les traces du doigt, elles sont bien rouges et larges, mais à peine en relief.
Ramón lui dit :
— Tu sais ce que tu dois faire.
Luisa se relève péniblement, se met d’abord à genoux devant moi, puis se baisse et embrasse mes pieds. Oh ?!
Ensuite elle se redresse et me regarde le visage plein de larmes en disant :
— J’implore le pardon de ma Maîtresse.
Putain! Mon vagin a un spasme. Je dois dire quelque chose.. euh… :
— C’est bon, mais fais plus attention, à l’avenir.
— Oui Madame, merci Madame.
Je me tourne vers Ramón et lui demande :
— Ça fait si mal que ça ?
— Je crois que les filles exagèrent parce que je ne frappe pas fort.
Je me tourne vers Luisa, toujours à genoux,
— Tu exagères pour qu’il te ménage, hein ?
— Oh non, Madame, je vous jure sur la Madone que ça fait vraiment mal.
Ramón me dit :
— Il n’y a qu’un moyen pour le savoir.
Ouais, je le vois venir l’autre ! Mais bon, si je n’essaye pas je ne saurai jamais. Il me montre le fauteuil en disant :
— Un petit coup sur votre jupe et vous saurez.
Je me dis « tu es folle ! ». Oui, mais, ça m’exciterait tellement, de savoir ce que ressente les filles, mais seulement un coup et pas trop fort et j’ai une culotte et une jupe !
Je regard Luisa à mes pieds. Et, puis, ma libido prend le contrôle et me fait dire :
— D’accord, mais un petit coup.
— La moitié de ce que je donne aux filles et sur votre jupe !
Je me couche sur l’accoudoir du fauteuil.
Il me dit :
— Les fesses plus haut, Madame et écartez un peu les jambes. Voilà… Prête ?
— … oui…
Fffffzzzziiiii,
« AaaIIIiiiieeeeee ! »
Ouch !! Ça fait mal ! Je me relève aussitôt en me frottant les fesses Je lui dis :
— Putain! Ça fait mal !
— C’est le fouet, Madame. Dites, ça ne vous dérange pas si je garde Luisa encore 5 minutes.
Il me désigne la grosse bosse dans son pantalon.
Je lui dis :
— C’est de fouetter Luisa qui vous excite comme ça ?
— Non, non, ce n’est pas Luisa qui me fait cet effet.
Oui… euh… Miriam, arrête !!
En me frottant, toujours les fesses, je lui dis :
— Bon, je vous laisse, merci pour les explications et pour la… démonstration.
— À votre service, Madame.
Il lève son fouet et ajoute
— Et, quand vous voulez…
Je retourne vers la grande maison… Mes fesses se rappellent à mon bon souvenir. Et ce n’est qu’un petit coup et sur ma jupe !
J’ai dû me laisser faire par Mr Snow, alors je ne suis plus à une petite indécence prêt. Mon mari, m’a dit que je pouvais… euh… utiliser les servantes pour calmer mes envies sexuelles. J’ai une grosse envie !
Luisa est occupée avec Ramón, les deux autres servantes sont mignonnes, mais je n’en ai pas spécialement envie. Alors, il reste la cuisinière, elle est très grosse mais plutôt, appétissante. Elle a environ 40 ans.
Je vais à la cuisine et je lui dis :
— J’ai besoin de vous dans ma chambre, Lotta.
— Oui, bien sûr, Madame.
On monte. Je me déshabille et je lui montre mes fesses.
Elle s’écrie :
— Oh, mon Dieu, Madame, vous avez été fouettée ! C’est Monsieur qui vous a fait ça ?
J’éclate de rire, il en serait bien incapable. Je lui dis :
— Non, c’est moi qui ai voulu voir ce que ça faisait. Et, euh… je ne sais pas comment vous dire…
Elle a compris :
— C’est un très grand honneur de pouvoir vous satisfaire. Comment voulez-vous Madame ?
— Déshabillez-vous et couchez-vous sur le lit.
Elle enlève sa robe ample. Ah oui, elle est grosse, mais une belle grosse. Tout est bien rebondit. Je me couche sur elle tête bêche, en position de 69, mais, en posant ma joue sur son gros ventre doux et élastique. Peut-être un peu trop odorant, mais j’ai trop envie.
Elle pose ses lèvres sur les miennes, enfin, sur celles du bas.
Bon, pensons à quelque chose de triste, les maladies, les fractures, les rides, les cheveux blancs, les… coups de fouet sur les fesses des esclaves… je…
— ooouu…ooouuuiiiii !
Voilà, ça c’est fait. Je reste comme ça, Lotta continue à m’embrasser. Elle plonge même sa langue… entre mes fesses. Oh, j’adore ça, c’est tellement… sale de faire ça ! Enfin, je suis propre, mais, quand même ! C’est dégoûtant, mais en même temps très excitant.
Je suis bien, couchée sur un gros coussin mou et chaud, avec une langue qui explore tout ce qui se trouve entre mes cuisses et qui se concentre, bientôt, sur un point hyper sensible. Je gémis sur son ventre…
Tiens, bon, Miriam… attend un peu. Non impossible, je jouis à nouveau :
— Ooooohhh c’est bon ouiiiiiiiii !!
Voilà. Je quitte mon matelas de chair et je lui dis :
— Merci Lotta, c’est très agréable.
— Tout le plaisir est pour moi, Madame.
*-*-*-*
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