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Au bout du monde – 2

Au bout du monde – 2



En route…

Je me stationner en double devant le café en question en remontant mes verres fumés sur ma tête en le cherchant des yeux tandis que des conducteurs impatients s’accumulait déjà derrière mon 4×4. En mettant mes clignotants d’urgence, je ne vis qu’une femme assise à la terrasse du café qui regarda dans ma direction pour se lever aussitôt en ramassant un gros sac à dos. Pas trace de mon étrange amant. Le croyant a l’intérieur je donner deux petits coups de klaxon en voyant cette fille superbe aussi grande que moi, aux longs cheveux bruns et droit venir vers mon 4×4, marchant fièrement tête haute. On aime bien se comparer nous les filles, je la regarder donc s’approcher en espérant que l’autre se manifeste au plus vite. Ça commençait à s’impatienter sérieusement derrière. Elle semblait avoir dans la quarantaine et portait des jeans taille basse préalablement déchirer aux genoux et aux cuisses, très moulant, et un joli tailleur bourgogne pas mal décolleter qui laissait deviner des seins plutôt lourds qui sursautait même si elle ne portait que des sandales. Une femme avec un sacré déhanchement qui n’avait rien a m’envier et que des noirs assis dans le café regardait langue a terre. J’étais en train de me demander s’ils allaient me regarder de la même manière quant j’allais devoir entré dans le café pour voir s’il était la quant elle m’envoya la main une fois près de mon camion et je compris. « T’inquiète pas je vais te reconnaître. » Mon coeur bondit et se mit a cogner dur dans ma poitrine tandis que je plissais les yeux de surprise bouche ouverte, tête en avant. « Ce n’est pas vrai ! » Me dis-je tandis qu’elle ouvrait la portière cotée passage pour rester la, a me sourire un peut tristement avec son sac a l’épaule.

— C’est toi ? Fis-je éberluer.
— Déçut, fit-il ou fit-elle, je ne savais plus.

Même sa voix me parut plus féminine qu’hier comme si c’était possible. Il n’avait pas l’air ridicule, mais pas du tout. Rien à voir avec les grandes folles du village gai que l’on voit dans les parades, bien au contraire; maquillage discret qui accentuait la beauté de son visage anguleux, ses beaux yeux noirs paraissaient plus étirer et du rouge luisant épaississait ses lèvres. Il, enfin elle portait le même rouge sur ses ongles mis long. Sans pouvoir m’en empêcher je regarder sa talle bien découper par le tailleur ajuster, ses hanches superbes et son entre-jambes, impossible de deviner qu’il y cachait un pénis, que cette belle grande fille était un gars. Il fallait vraiment le savoir et elle riait de me voir l’examiner comme si j’étais un homme en manque. La tête me tournait, je rougissais et je suais a grosse goutte. Je lui envier même ses grands cils et ses lèvres un peut boudeuse en me sentant ridicule. J’étais sous le choc. Je réaliser que j’allais devoir penser a lui… au féminin maintenant.

— Je monte ?

Un coup de klaxon me ramena à la réalité tout en devinant qu’il devait être pas mal nerveux de se présenter comme ça. Mais je n’hésiter pas une seconde.

— Ben oui, monte.

— Wow ! Fit-elle en grimpant pour lancer son sac sur le siège arrière un peu décourager par tout ce qui s’y entassait. Tu déménages ?
— Désoler, dis-je en la regardant s’attacher mon regard baissant bien malgré moi vers son décolleter profond, mon camion c’est mon deuxième chez moi.

Elle se contenta de me regarder avec un étrange sourire tandis que je reprenais la circulation. Elle aurait pu poser pour un magazine de mode, elle aussi, et sûrement en maillot.

— J’ai été surpris que tu me rappelles aussi vite. Dit-elle en ramenant ses longs cheveux derrière ses oreilles d’un geste si féminin et très naturel. Elle portait de jolies boucles d’oreille en argent, des petits dragons avec un bracelet assorti au poignet droit et une montre délicate. Il parlait de lui au féminin alors j’allais devoir m’y mettre aussi. J’avais même l’impression d’avoir tout bonnement embarqué une femme, une étrangère qui voyageait sur le pouce.
— WAIS, moi aussi, mais j’ai vraiment besoin de vacance. On pend le tunnel pour sortir de Montréal ?
— Oui !

On roula un moment dans l’intense circulation et elle me demanda :

— Pas trop décontenancer par mon apparence ?
— Oh oui, ça c’est sur ? Ce n’est pas croyable, je ne t’ai pas reconnu. Hier, chez toi, en voyant toutes ces choses pour femme dans ta salle de bain je me doutais un peut que… mais la. Wow ! Je suis même jalouse.

Cela parut la rassurer, probablement aussi le fait que je l’aie laissé monter. Mais honnêtement, je me demandais si j’avais bien fait et elle parut le deviner.

— C’est encore le temps de me larguer au coin de la rue tu sais, je vie en fille la plupart du temps. Je comprendrais tu sais, j’ai l’habitude. Tu pensais partir en vacance avec un homme et la… Mais tu étais si pressé ce matin que…
— Non, ça va. Ouf, j’ai chaud. Dis-je en baissant ma fenêtre en la regardant rire les yeux luisants et tout petit, si semblable aux miens.
— Quoi ? Fi-je en riant aussi.
— Tu files lesbienne je paris.

Cette fois j’éclatai de rire en prenant la direction du tunnel qui passait sous le fleuve St-Laurent en me mordillant les lèvres. J’étais trop consciente qu’elle avait un beau pénis et que je l’avais même sucé la veille.

— Un peu, j’avoue. J’essaie de me convaincre que je par en congé avec une amie, et sexy l’amie. Pas de gras sous les bras, le ventre plat, des seins qui se tienne encore, et je ne parle pas de tes jambes. T’as quel âge au fait ? 40, 45…
-52.

J’encaissai le coup difficilement. Orgueil de femme.

— Merde !

Cette fois, c’est elle qui rit aux éclats en se claquant dans les mains un genou en l’air comme une vraie fille. Étrangement je réaliser que je m’habituais déjà au fait qu’il était une femme maintenant mais… Sans vagin. En fait c’était peut-être plus une fille venue au monde avec une bite que l’inverse. Mon esprit s’embrouillait.

— Ce n’est pas drôle, fis-je un peu frustrer, si on va à la plage, c’est toi que les gars vont regarder, comme les noirs au café, langue à terre. C’est frustrant. Et si on se fait aborder par deux beaux gars on fait quoi ?
— Toi je sais pas, moi je leur dis la vérité tout de suite. Soit il se sauve, soit ça les excite.

Je lui jeter un oeil en riant avant de rajouter :

— WAIS, mais… ces délicats avec moi ma belle.
— Je sais, ne t’inquiètes pas, je ne vais pas te mettre dans l’embarras Julie, je suis trop heureuse que tu sois la et puis on va avoir notre plage privée. On va pouvoir laisser nos corps de bombe bronzés au soleil sans être déranger.
— Ouf ! Fis-je flatter mais un peut perdue.
— Ou… si on va quand même à la plage publique, on dira juste qu’on est lesbienne si on se fait aborder. Rajouta-t-elle pour m’agacer, je le vis bien dans ses petits yeux coquins.
— Seigneur non ! Dis-je tandis qu’elle riait comme une folle en s’essuyant les yeux pleins d’eau. Je vois déjà la une des journaux. « Julie Demers sombre dans l’alcool et le lesbianisme après son divorce. »

Cette fois on rit tous les deux a en avoir mal au vendre, et ça me faisait vraiment du bien. Mais je regrettais de ne pas avoir fait réparer ma maudite air climatiser. Mes slips tout humides me collaient à la fourche et mon soutien-gorge était tout trempe. J’avais hâte de me baigner tout autant que de m’étendre au soleil. Mais, je ne m’imaginais vraiment pas embrasser cette belle bouche couverte de rouge. Les femmes ne m’ont jamais attiré. Une fois là-bas je lui demanderai de redevenir un gars, surtout si on se baladait dans un village ou sur une plage publique.

— Mais, non, fit-elle en se reprenant, je te taquine c’est tout.
— Ah oui ! Chut pas sûr la bombe. Dis-je tout sourire.
— Ton émission est terminée ? Me demanda-t-elle au bout d’un moment.
— WAIS, tu l’écoutes quand même pas ?
— Non, fit-elle en riant. Les émissions de fille… je laisse ça aux filles.

Encore un fou rire.

— Tu veux que je conduise Julie ?
— Tout à l’heure, quand on sera sorti de Montréal. J’ai vraiment l’air si vanné que ça ?
— WAIS ! Mais ça te va bien le look zombie.

La, je souris jaune, lèvres pincer, en lui faisait mes petits yeux méchants. Ce gars… plutôt cette fille, aimait bien taquiner les autres, ça se voyait dans ses yeux moqueurs et elle allait se rendre compte que j’étais forte a ce petit jeu la moi aussi. Je lui fis une petite grimace comme si on était de vieilles amies avant de répliquer :

— C’est loin t’ont coin perdu dans le bois sûrement rempli de mouche affamer et d’ours grognons qui vont me faire regretter les belles plages du Mexique ?
— 10 h de route. Déjà à te plaindre ça promet. Fit-elle rieuse.
— OK ! Ce n’est pas à côté et je ne dis pas ça pour me plaindre.
— WAIS ! WAIS ! Je paierai l’essence la vedette.
— Moitié, moitié.
— Vendu !
— Mais tu fournis le chasse-moustique.
— Est-ce que madame a d’autres exigences comme celle-là ?
— Non… Ça va ! Il y a des toilettes au moins ?

Là, elle rit en disant.

— Il doit y avoir un trou quelque part dans un buisson, sinon, j’ai une pelle.
— Seigneur !
— Tu veux que je fournisse le papier de toilette j’imagine ?
— Ben oui, écoute, je suis connu, quelqu’un d’important moi. Un tapis rouge minimum jusqu’au trou.

On rit aux éclats encore un moment les yeux pleins d’eau mais curieuse je lui demander en reprenant mon souffle.

— Ça fait longtemps que tu t’habilles en femme ?
— Quant mes seins on pousser ma mère ma sortit de l’école. Les autres étaient vraiment cruels, même si je les cachais du mieux que je pouvais, cela a fini par ce savoir à cause des maudits cours de gymnastique et des douches. Ma mère m’a inscrit ailleurs mais sous un nom de fille cette fois, Luce, et avant ma première journée de classe elle m’a habillé en robe et j’ai adoré. Elle ma apprise a me coiffer, me maquiller et comment me comporter et, comme t’as pu le voir hier, en gars je suis plutôt efféminer. Donc le changement a été bénéfique pour moi et logique pour elle. Je passais mon temps à jouer avec ses affaires en cachette de toute façon et depuis toujours. Même mon père était d’accord, il s’était bien rendu compte que j’avais des petites manières. Mes parents étaient fantastiques et très ouverts. Et même mes amis à ma nouvelle école n’y ont vu que du feu. Je filais le parfait bonheur jusqu’a ce que les garçons s’intéressent a moi et moi a eux mais aussi aux filles.
— Ouf, ça pas dû être évident ?
— Non ! Même très compliquer. Et toi, le garçon manquer ? Je paris que tu détestais porter des robes ou te maquiller et que tu passais tes journées sales a traîné avec une gagne de gars a te tirailler avec eux ou a faire des mauvais coups.

Je sursauter, à part ma mère et Marie, peut de gens savait ça.

— WAIS ! En plein ça et j’ai fini mannequin. Ma mère n’en revenait pas, mon père non plus mais ils étaient fiers de leurs filles.
— Wow, fit-elle, on se complète si j’ai bien comprit. Tu fais l’homme, je fais la femme ?

Je la regarder en prenant un petit air dégoûter et lui fit une autre grimace et ce fut un autre fou rire.

Et c’était parti pour le bout du monde et… Je me sentais vraiment bien. De mieux en mieux en fait.

En conduisant cheveux au vent sur l’autoroute, j’avais l’impression d’avoir reculé de trente ans en arrière, quand je partais en voyage sur le pouce libre comme le vent. Je ressentais ce même sentiment de liberté qui m’habitait à l’époque. Même si je filais présentement tout de même un peut lesbienne et étrangement, ça ne me déplaisait pas du tout a présent. Il m’excitait en homme et je me rendis compte qu’elle m’excitait toute de même un peu en fille. L’idée de l’avoir étendu sur moi a me besogner me paraissait tout même étrange. Je n’étais pas certaine de vouloir essayer ça mais l’idée faisait son chemin. Je réaliser que j’avais sans doute refoulé toute sorte de fantasmes depuis des années, depuis mon adolescence même, en repensant a Marie. Finalement je me sentais rajeunir, je me sentais libre et surtout libre d’assouvir quelques fantasmes mais, pas vraiment ceux a lequel je me serais attendu après mon divorce. Non… vraiment pas. En la regardant du coin de l’oeil surveiller la route, je n’en revenais pas de sa grande beauté et de sa féminité si naturelle et je ressentis même un étrange chatouillement dans le bas ventre. Je trouvais ça de moins en moins bizarre de me sentir aussi bien avec elle tout en sachant que c’était un homme.

— Quoi ? Fit-elle en dégageant de longues mèches de cheveux de devant ses yeux en me regardant.
— Rien, je me demandais juste si ta perruque était bien accrochée.

Là, j’eus droit à une grimace à mon tour.

— Pourquoi tu ne laisses pas pousser tes cheveux ?
— Je me les suis coupés hier matin, je cherchais l’âme soeur, une femme, et je me suis dit qu’en gars avec une brosse ce serait plus simple et… t’es là.

Je la regarder septique en me mordillant une joue et dit :

— T’aimes ça me dire n’importe quoi, hum ?

Elle se contenta de sourire et là je me dis :

« Je vais m’éclater un peux bizarrement quelques jours, me faire bronzé, me reposer, ensuite, retour au boulot » j’avais des tas de projets en tête pour la nouvelle saison.

Une heure plus tard on fit un arrêt pour changer de place à une halte routière. J’hésité un peut a descendre en même temps quelle par gêne même si j’avais une grosse envie et hâte de me dégourdir les jambes. J’avais peur que d’autres la voient tout de suite comme un homme habiller en femme se baladant avec moi. Je savais bien qu’on allait me reconnaître, la place était bondée, mais… À voir deux garçons de 15 ou 16 ans avec leur père la regarder descendre de mon 4×4 les yeux vicieux et d’autres gars plus loin dans le même état, je n’hésiter pas une seconde de plus en rabaissant mes verres fumés. Comme prévu on fut le centre d’attraction, j’en suais à grosses gouttes en souriant à des fans et une fois dans le couloir des toilettes on se heurta fortement devant la porte des dames. Si fort que je dus replacer mes lunettes. On se regarda en riant et je dis, après m’être assuré qu’on était seul :

— Tu n’es pas à la bonne place ma grande.
— Mais si ma grande, fit-elle trop fort a mon goût en entrant fièrement devant moi.

Je soupirer longuement en la suivant un peut nerveuse. Comme il y avait d’autres femmes je me contenter de sourire embarrasser et prit une cabine à côté de la sienne et une fois mes slips et mes shorts aux genoux je m’assis pour soulager ma vessie et ne put m’empêcher de regarder par en dessous pour voir s’il pissait debout ou assit en retenant un fou rire une main sur la bouche.

Une fois sortit des toilettes je dus me prêter aux sempiternelles séances de photos avec monsieur et madame tout le monde et des enfants qui c’étaient visiblement passé le mot pour se dire que j’étais la. Je le fis de bon coeur comme toujours et retourner à mon 4×4. Elle était déjà installée au volant.

— Au moins, tu le fais en fille, dis-je amuser en m’attachant.
— Absolument, fit-elle en démarrant.
— Tu dois en profiter parfois pour te rincer l’oeil.
— Absolument pas.
— Pof, y me semble. Un homme reste un homme même avec des boules. J’eus droit encore à une jolie grimace. Pendant que j’y pense, je t’appelle comment ?

J’envoyai la main a une petite famille qui me saluait.

— Luce.
— Ah, ben oui, Luc, Luce, j’aurais dû y penser.
— Hum ! Je te l’ai dit tout à l’heure.
— Ben oui !
— J’y pense, fit-elle les yeux moqueurs en roulant doucement vers l’autoroute. On va pouvoir s’échanger nos vêtements et nos brosses à cheveux. C’est pratique non ?

Je me lécher une lèvre les yeux tout petits en le réalisant et dits :

— Ben oui, Seigneur ; les maillots, les camisoles, les petites culottes, les soutiens-gorge. WAIS, bien pratique. Mais j’ai tout ce qui me faut t’inquiète pas et je ne suis pas prêteuse.
— J’ai oublié de te dire d’apporter une robe de soirée ?
— Pour aller dans le bois, ben oui.
— Ce n’est pas grave, il y a une boutique au village.

La je lui jeter un coup d’oeil intriguer en me disant que ça devait être un de ses fantasmes de me voir en robes sexy. Un corps de fille mais une cervelle de gars. Mais pourquoi pas ?

— Un fantasme ?
— Hum ! Ben oui !
— Et toi, t’as emmené une jolie robe ?
— Absolument.
— J’ai vraiment trop chaud.

Elle rit de ma réponse tandis qu’on rembarquait sur l’autoroute et là, un groupe de motard nous dépassa lentement sur la gauche. Des vrais de vrais. Homme et femme; bronzé, musclé même les filles. Tatouer, tout de noir vêtu, cheveux longs ou court sous des casques décorer de crâne grimaçant et tout ce beau monde sur des motos d’enfer. Plusieurs nous sourirent, autant les gars que les filles et Luce leur envoya la main. Seigneur dieu ! Je rabaisser a nouveau mes verres fumés sur mon nez en me calant dans mon siège.

— Oh, fit-elle, il y en a quelques-uns qui sont craquants non ?
— Ben oui, fi-je platement. Gars ou fille ? Non, ne réponds pas. Appuie donc sur l’accélérateur un peu.

C’était reparti pour les rires.

Plus tard je croiser les bras, la tête contre la fenêtre a moitié ouverte en regardant défiler le paysage et…

Agresser par une bête sauvage

— Julie, Julie !

Je cligner des yeux et m’éveiller difficilement. J’avais mal au rein et comme je m’étais endormi les jambes croiser, la gauche était tout engourdie. Je vis qu’on était arrêté dans le stationnement bondé d’un casse-croûte en pleine forêt apparemment aux abords d’une route. Mon ventre gargouilla aussitôt en hument l’odeur de hot-dog et de patates frite.

— On est-ce qu’on est ? Demandais-je perdue en me massant la nuque d’une main, encore dans les limbes en grimaçant et me frottant le dos en me redressant.
— À 1 h au nord des Escoumins. Passe moi t’as commande, comme ça tu vas éviter les séances de photos. Il n’y a pas de table de libre, on va manger ici. Il y a des toilettes de l’autre côté de la cabane.
— Les Escoumins ? Mais… On a passé Québec, St-Anne de beaupré, prit le traversier a Tadoussac pour traverser le Saguenay et je ne me suis même pas réveiller ?
— Non ! Et on a fait le plein deux fois, dont une fois avec nos beaux motards. Dit-elle en se remettant du rouge devant le miroir de son pare-soleil et tout aussi habilement que moi.

J’hallucinais, moi qui pouvait conduire 12 h d’affiler normalement.

— Ils devaient me regarder dormir bouche ouverte, ce n’est pas gênant du tout.

J’eus droit à un petit sourire vraiment craquant.

— Ils nous ont invités à leur club si le coeur t’en dit, c’est à une heure de chez moi.
— Non merci !

Vingt minutes plus tard elle revint avec un plateau. J’avais profité de son absence pour me refaire aussi une beauté et retourner au petit coin sans me faire remarquer. Affamer je m’empiffrer en un temps record. Quant on eu terminer elle voulu aller jeter nos restes a la poubelle mais je lui pris le plateau en disant :

— Laisse, j’y vais.

J’avais besoin de me dégourdir les jambes mais surtout les fesses qui me picotaient.

Une fois dehors le soleil m’éblouit et je sentis l’asphalte brûlant sous mes sandales. En arrivant devant une grosse poubelle presque pleine j’y vis un écureuil gris qui me fixait méchamment.

— Fout le camp niaiseux.

Mais, au lieu de fuir et attirer sans doute par la bouffe toute fraîche il voulut sauter sur mon plateau mais par réflexe je le lâcher et l’écureuil atterrit sur ma gorge pour planter ses petites griffes dans ma peau. Je crier paniquer menton en l’air cou étirer pour protéger mes yeux en sentant son petit cul tout chaud et poilu glisser rapidement jusque dans mon décolleter ou il resta coincer. Je crus même sentir un mini pénis dans ma craque de seins mais je devais halluciner dans ma panique. Il couina, ses petites pattes arrière patinant, m’égratignant les Boulle et ça me brûlait. Je baisser les yeux et il me fixait le salaud avec ses petits yeux noirs en criant tout aussi paniquer que moi. Je l’agripper par le coup pour l’extirper de là et le jeter sous les arbres ou il disparue en m’insultant et pas a peut près.

— Ça va, fit Luce qui arrivait morte de rire.
— WAIS ! Fi-je honteuse en regardant autour pour voir qu’il n’y avait personne en tirant ma camisole pour regarder mes seins. Ma main tremblait. Je vis une bonne dizaine de petites égratignures sous ma trace de bronzage, elle saignait un peu jusque sous mon beau soutien-gorge blanc.
— On s’est fait attaquer par une grosse bébête. Dit-elle morte de rire en ramassant le plateau.
— Aaaaaah ! Fis-je exaspérer en riant et lui donnant une tape sur un bras. Ce n’est pas drôle, ça brûle.
— Je peux voir ?
— Non !
— On va à clinique ?
— Non !
— Tu veux porter plainte aux agents de la faune ?
— Arrête ! Fi-je en riant.

Je rembarquer en retenant un fou rire, pas elle, elle en pleurait et ses seins en sursautaient. Je pris des serviettes de papier pour éponger mes petites blessures et je les laisser la finalement. Décidément, c’était ma journée papier dans le soutien-gorge. Ça me gonflait les seins. Je me les tapotai en levant la tête amuser pour la regarder et je vis une petite famille qui elle, me regardait arrêter juste devant le camion. Même les enfants avaient les yeux tout ronds en m’envoyant la main. Le feu me monta aux joues. Je lâcher mes seins aussi secs et leur envoyai la main a mon tour, mort de honte.

En sortant lentement du stationnement Luce riait toujours. Agacer, mais retenant un fou rire, je lui donner un léger coup de coude dans les côtes en disant :

— Arrête de te foutre de ma gueule.
— Oui madame. Outch, je suis une fille fragile moi.
— Fragile mon oeil. Tu veux que je conduise ?
— Non, t’es trop cute à voir ronfler.
— J’ai assez dormi pour la journée.
— Hum… fit-elle songeuse, pas sûre.

Je secouer la tête décourager.

Mais 10 minutes plus tard je sombrer a nouveau dans un sommeil sans rêves.

Un soubresaut m’éveilla, en ouvrant les yeux à demi mon coeur bondit, Luce avait détaché son jean sortit son sexe et se masturbait lentement en conduisant. J’apercevais une partie de son slip de femme noir. Mon coeur se mit à battre plus vite. Je ne bouger pas d’un poil en me sentant voyeuse, les joues en feux mais en même temps je la trouvais pas gêner de faire ça, en conduisant mon 4×4 en plus. Si on la voyait et avec moi. Mon côté rationnel me disait de lui dire d’arrêté mais c’était si étrange de voir cette belle grande fille avec une bite bien droite et gonflé a bloc et sa main délicate aux ongles rouges qui allait et venait jusque par-dessus son gland. Je me mis à saliver en sentant une boule de chaleur m’envahir le bas ventre et la pointe de mes seins gonfler comme a chaque fois que je voyais un pénis en érection. Ses mamelons pointaient également sous le tailleur et je ne savais pas trop quoi penser en la regardant faire. Faisant toujours semblant de dormir je m’aperçus qu’elle jetait des coups d’oeil à mes cuisses et a ma poitrine. À 50 ans, c’est toujours agréable de savoir que l’on excite toujours. Je me sentis mouiller et dut déglutir et elle dit en lâchant ça bite pour poser sa main sur ma cuisse tout près de mon sexe ce qui me donna des frisons jusque dans la colonne :

— Je sais que tes réveiller la voyeuse.

Je soupirer en esquissant un sourire embarrasser tout en me disant que c’est elle qui devrait l’être.

— Faut pas te gêner. Dis-je tout bas sans me redresser, si on te voit tu sais ce que ça coute ?
— La route est déserte et… t’es tellement belle Julie !

Sa main de femme glissa sur mon sexe qu’elle pressa et malgré moi mes cuisses s’écartèrent, mes yeux se plissèrent fixant toujours son membre. Je mouiller plus en ressentant des petits papillons dans le bas ventre. Sans plus réfléchir je détacher ma ceinture et me pencher sur elle pour commencer a sucé ça bite en la masturbant a poing fermer la tête étrangement coincer entre le volant et ses seins. Elle lâcha mon entrejambe pour me caresser la tête tandis que je lui prodiguais une fellation digne d’un porno. En le faisant, sentant son gland aller et venir sur ma langue et contre mon palais, je me disais que ce n’était pas la chose la plus intelligente à faire pendant qu’elle conduisait mais je ne pouvais m’en empêcher.

Ma main devint rapidement glissante à cause de ma salive et je la resserrer pour la masturber avec force en me frappant les lèvres, ne gardant que le gland dans ma bouche la sentant se crisper déjà. Je ressentais un tel désir qu’une étrange fièvre parcourait tout mon corps. Je n’ai jamais été une bonne suceuse mais là, je me dépassais. J’y mis tellement de coeur et d’énergie que ce qui devait arriver arriva ; sa main se resserras sur ma tête, elle gémit et un long jet de sperme salé jaillit jusque dans ma gorge me faisant sursauter mais que j’avalai aussitôt ainsi que les suivants. Je la sucer encore un moment avant de me redresser, un peut étourdit, le coeur battant pour m’essuyer la bouche en regardant autour pour voir s’il y avait quelqu’un d’autre. Mais la route était déserte. Je lui essuyer la bite avec des kleenex en souriant, elle était si belle a voir grimacer avec ses yeux noirs tout petits et brumeux.

— Merci ! Fit-elle.

Je ne dis rien me contentant de soupirer en me sentant alangui, si bien, avec encore le goût saler de son sperme dans ma bouche. Je me caler contre la porte bras croiser fixant son sexe qui ramollissait. Mes yeux se fermaient de fatigue et…

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