C’était l’une de ces magnifiques journées de la fin du printemps, début de l’été. Il faisait environ 24C, le genre de température que nous n’avons pas souvent en Oregon. Je rentrais à la maison, revenant de l’école, et fouillant mon sac à dos pour y repêcher mes clés, « Merde !!! », me dis-je, je les avais oubliées. J’étais maintenant pris dehors jusqu’à ce que mon père revienne de travailler, dans quatre ou cinq heures. Je devais donc me trouver quelque chose à faire pour passer le temps. Quelques possibilités se présentaient d’elles-mêmes. J’étais horriblement en manque, l’excitation ne m’avait pas quitté de la journée pour quelconque raison. En temps normal, je me satisfais par la masturbation, mais ça n’avait pas fonctionné. J’avais besoin d’une bonne baise ! Mon fantasme !
J’ai donc décidé d’aller me promener un peu pour faire descendre la tension. Il y a un parc naturel tout près de chez moi, une petite portion épargnée par les marécages qui suivent le long de la rivière. C’est un coin isolé et rempli d’arbres, un bel endroit. Au moins, me disais-je, si je n’arrivais pas à me désexciter, j’allais me retrouver dans un endroit tranquille…
Je me suis vite retrouvé marchant en bordure de la rivière. Il faisait chaud et j’ai donc retiré ma chemise. Grosse gaffe, car je me suis mis à m’imaginer avec un autre gars qui ne portait pas de chandail lui non plus. Ma queue qui était déjà gonflée se durcit un peu plus encore, et poussait désespérément au travers de mon short en jeans.
Les légers flots semblaient tellement invitant, je me suis donc décidé de nager un peu, ça ne ferait pas de mal, et la température de l’eau me rafraîchirait les idées ! D’un autre côté, n’ayant pas mon maillot, j’allais devoir me baigner à poil, et ce fut assez pour m’exciter à fond. Vous voyez, je ne m’étais jamais baigné nu avant, et cette nouvelle sensation semi-érotique de mes parties flottant librement dans l’eau m’a vite transporté dans un fantasme masturbation des plus profond. Je devais me trouver un petit coin à l’écart, ainsi, je pourrais prendre tout mon temps pour me satisfaire.
Non loin d’où j’étais, il y avait une petite mare adjacente. Elle était peu profonde et entourée de larges feuillages de fougères. J’allais pouvoir rester complètement nu et personne ne me verrait. Je m’y suis donc rendu et retirant mes souliers, j’ai ensuite tout doucement enlevé mon short et mes boxers.
La sensation était des plus plaisante – totalement nu, une petite brise jouant avec mes poils pubiens et glissant autour de ma queue qui se tenait maintenant bien droite, comme un mat à d****au. Je me suis doucement avancé dans la mare. Elle était suprêmement plus chaude que je ne le croyais, et mes couilles n’ont pas protestée comme je l’avais prévu. Au lieu de tout ça, elles continuaient de pendre bien bas dans leur sac, préparant toujours ma sève que j’avais désespérément besoin d’extirper de ma queue.
Aussitôt ma queue sous l’eau, je sentais plus que jamais l’urgence de venir. La sensation que me donnait l’eau fraîche autour de ma queue bandée et chaude sera une sensation que je n’oublierai jamais – je me sentais tout à coup complètement libre, totalement libéré de tout vêtement, j’en devenais presque fou. Je me sentais un homme plus que jamais, dans tous les sens du terme…
J’ai nagé un peu plus loin, dans la rivière, et je pus confirmer que j’étais vraiment seul sur en bordure de cette dernière. J’étais seul, et libre de faire ce que bon me semblait. J’ai nagé pour revenir à la mare, et j’ai commencé à me masturber. Je ne pouvais m’en empêcher, cette sensation de liberté me rendant plus excité que je ne l’avais jamais été !
J’étais sur le point de jouir directement dans l’eau quand j’ai soudainement entendu du bruit dans les feuillages. Je me suis vite descendu dans l’eau, espérant que quiconque venait n’allait pas voir que je nageais complètement nu, ou encore voir mon érection qui s’étendait fièrement sur ses huit pouces en dessous de l’eau.
Un jeune homme sortit de derrière les arbres, le plus beau gars qu’il m’ait été donné d’admirer. Il ne portait aucun chandail, et il vit rapidement mon amas de vêtements qui reposait sur un billot non loin de la mare. Il me sourit.
— On dirait que tu as déjà pris la place, dit-il.
Il m’excitait au max, et je suis certain que ma queue a dû allonger d’un autre pouce ! J’avais toute la misère du monde à garder un air naturel et à cacher ma queue en même temps.
— Ouaip, Je… Humm, l’eau était chaude, alors j’ai sauté !
— Ça te dérange si je me joins à toi ? Me demandait-il en défaisant les boucles de ses espadrilles.
J’étais là, clignant des yeux nerveusement, mais j’ai finalement trouvé le courage de répondre :
— Non ! Viens !
Le gars enlevait maintenant son short. Je frémissais de l’extase total que je ressentais en ce moment.
— Au fait, moi c’est Jeff. On est voisin. Je t’ai déjà vu à l’arrière de chez toi en passant dans la rue. J’habite dans la maison bleue, à l’extrémité de la rue.
N’ayant jamais rencontré d’autres personnes que nos voisins immédiats, je ne pouvais faire autrement que de faire un signe de la tête. Le short de Jeff reposait maintenant sur ses chevilles et son slip blanc le suivait. Il était dos à moi, et la première chose que j’ai vue, c’est son magnifique cul tout serré, d’une blancheur extrême, comme le mien, dans les rayons de soleil qui perçaient.
Jeff s’est ensuite retourné, me donnant l’opportunité de voir son corps dans toute sa splendeur. Il était mince, pas vraiment musclé, pas mal comme moi quoi. En fait, nos proportions étaient très similaires. Son torse était d’un blanc Oregon, tout comme le mien, avec deux beaux tétons déjà durcis par la douce brise qui les caressait. Quelques poils fins s’étendaient entre ses deux pectoraux. J’étais jaloux de son beau torse.
Mes yeux se promenaient de haut en bas, suivant les lignes masculines de son corps sans même réaliser ce que je faisais. Le poil au-dessus de sa verge était blond et formait une touffe fine, comme graines d’un pissenlit très mûr, autour de la base de celle-ci. On aurait dit que le tout se serait envolé au vent en soufflant dessus. Et puis son sexe ! Il était au moins aussi gros que le mien, et bien bandé. Contrairement au reste de son corps, il était d’une teinte rosée, presque violacée.
— S’cuse-moi, je m’excite un peu quand je suis à poil.
Il est devenu aussi rouge que le bout de sa queue alors que je la regardait avec envie. J’en salivais. J’ai donc décidé de lui montrer qu’il n’était pas le seul, alors je me suis relevé.
— J’ai le même problème comme tu peux voir !
— Veux, heu, veux-tu un peu d’aide pour ça ?
Je n’en croyais pas mes oreilles. C’était mon fantasme qui devenait réalité. J’ai à peine pu faire un signe d’acceptation de la tête qu’il sautait déjà dans l’eau à côté de moi, nous avions de l’eau aux genoux.
Il se tenait à quelques centimètres de moi, et j’ai allongé le bras pour lui effleurer son doux visage. C’est ce qui brisa la glace entre nous. Il me prenait l’arrière de la tête et m’attirait vers lui jusqu’à ce que nos lèvres se touchent. Il m’embrassait voluptueusement sur tout le visage. Ma queue se frottait à ses cuisses, et de son autre main, il l’agrippa avec fermeté alors que mes mains découvraient son torse sublime. Nous nous sommes laissés tomber à genoux dans la mare, nos queues submergées, se frottant l’une à l’autre. Jeff explorait avec ses mains mon dos, son corps en entier était pressé contre le mien: nos visages, nos torses, nos queues, nos jambes. Je me sentais comme si nous ne faisions qu’un, nos corps s’imprégnant l’un dans l’autre.
Jeff s’est ensuite penché, et a ramassé une poignée de boue dans le fond de la mare. Il m’a ensuite étendu le tout sur les pecs. Il s’est de nouveau penché pour en prendre plus, et l’étendait maintenant sur mon abdomen, puis dans mon dos et sur les fesses. Une dernière poignée serait ensuite étendu dans mes poils au dessus de mes organes génitaux.
Je me suis donc allongé sur le sable en bordure de la mare, mes pieds reposant toujours dans l’eau. Jeff s’est ensuite penché et a engouffré ma queue jusqu’au fond de sa gorge. Il suçait tellement fort que j’aurais pensé que ma queue s’en détacherait et serait aspirée par sa bouche. À mon tour, j’ai pris un peu de boue pour l’étendre sur ses fesses toutes blanches, mes doigts se frayant un chemin jusqu’à sa rosette. Le temps d’en appliquer sur ses couilles bien dodues, je jouissais comme jamais, explosant dans bouche.
Je ne voulais pas faire cesser cette sensation. Jeff continuait de me sucer jusqu’à ce que plus rien ne sorte de ma queue. Le temps qu’il reprenne son souffle, ma queue s’était de nouveau raidie et en redemandait encore !
Je me suis levé et je l’ai retourné sur le ventre. La boue sur son derrière rendait la peau lisse et glissante, agissant ainsi de lubrifiant alors que j’enfilais mon gland encore dégoulinant de sève dans son petit cul bombé. Jeff m’a agrippé les fesses avec les mains, s’empalent sans retenue sur ma tige excitée, m’excitant la rosette avec ses doigts. Ses longs bras lui permettaient de m’enfiler 1 doigt, et puis deux, et puis un troisième prit sa place. J’agonisais, je jouissais, j’étais dans un état d’extase totale. Faisant le tour de sa taille avec mon bras, j’ai saisi sa queue que je désirais tellement depuis tout à l’heure, et m’approchant de mon second orgasme, j’accélérai la cadence de mes mouvements et de ma main sur sa queue.
Il faisait durer le plaisir cependant. Une fois sorti de son cul, je l’ai de nouveau retourné et j’avalais son membre bien droit, tout comme il me l’avait fait quelques minutes plus tôt. Ses mains me jouaient dans les cheveux alors que je savourais chaque spasme de sa queue entre mes lèvres. Soudainement, nous étions l’un par-dessus l’autre, nos salives, nos spermes, l’eau, la boue et le sable, formant un drôle de mélange aux effets aphrodisiaques dans cette passion adolescente.
Je suis venu une fois encore par la suite, Jeff deux fois. Alors que nous étions étendus sur le sable après toute cette gymnastique, nos bras entourant le corps de l’autre, nos bouches à quelques centimètres, nous nous embrassions sans s’en lasser. Je savais que ce fantasme que je venais de réaliser en baisant avec un autre gars allait être ma voie.
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