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NASSIMA ET SES FILLES Troisième partie AMAL

NASSIMA ET SES FILLES Troisième partie  AMAL



Mes relations avec Nawal sont devenues des relations de type épistolaire, mais par téléphone, au lieu que cela soit par écrit. Nous avons établi entre nous une convention que je devais absolument respecter: c’est toujours elle qui doit appeler, jamais moi, quelle qu’en soit la raison. Elle ne veut pas que son mari sache pour nous, ni qu’il ait quelque soupçon que ce soit concernant sa fidélité. Elle m’appelle assez souvent, quand elle est seule et qu’elle a la nostalgie des moments vécus ensemble. Elle me donne des nouvelles de notre fils au fur et à mesure qu’il évolue (il sourit ! il rampe ! il se lève ! il a fait quelques pas !il dit maman et papa ! etc.) et de sa maman qu’elle voit maintenant assez souvent, seule ou en compagnie de son mari.
Avec Nassima, elles parlent souvent de moi ; de l’importance que j’ai eue dans leur vie à toutes les deux. Il n’y a plus aucune jalousie entre elles me concernant. Sa maman lui avait raconté notre histoire à tous les deux et lui avait fait part de tout l’amour qu’elle avait eu pour moi. Elle ne regrettait pas de m’avoir quitté, sachant que tous les deux nous n’avions pas d’avenir commun. Elle ne regrettait pas non plus d’avoir épousé son actuel mari qui est un homme de bien et qui a beaucoup plus besoin d’elle que moi. Elle lui avait raconté son aventure avec moi. Il en aurait gardé un peu de jalousie.
– Je crois qu’elle t’aime toujours ; de la même manière que moi, je t’aime encore : d’un amour apaisé et sans espoir. Elle vit dans le souvenir de ce qui a été, qu’elle ne regrette pas, mais qu’elle pense perdu à jamais. La seule chose qu’elle regrette, ce sont vos relations au lit ! Mais même pour cela, la ménopause aidant, elle s’y est faite. Elle fait de temps en temps l’amour avec son mari, pour lui donner du plaisir. Mais elle, depuis qu’elle t’a quitté, elle n’a plus eu de réelle jouissance.
J’aimais beaucoup ses coups de téléphone qui me replongeait dans la nostalgie des jours passés avec la mère, puis avec la fille. Cela ne m’empêchait pas de vivre une vie qui avait repris son cours normal entre travail et amours plus ou moins sérieuses et plus ou moins longues. Il m’était même arrivé de revoir Nassima, à deux ou trois reprises : elle avait chargé Nawal de me demander de lui rendre visite sur son lieu de travail (le seul endroit où elle pouvait recevoir, un homme, sans que cela n’ait eu un air de rendez-vous amoureux !). Je suis passé la voir, par envie et par curiosité. Par envie, parce qu’elle avait gardé une place importante dans mes souvenirs ; par curiosité, parce ce que je voulais connaître de sa propre bouche, pourquoi elle n’avait pas voulu continuer notre histoire. Quand je l’ai revue, dans le même bureau où je l’avais rencontrée pour la première fois, j’ai eu un coup au cœur : tout m’était revenu en mémoire en une seule fois. Tous mes souvenirs jouaient aux autos tamponneuses dans ma mémoire. Elle était exactement la même qu’autrefois : un rayon de soleil, dans un monde de brume.
Elle m’accueillit avec le même sourire qu’autrefois, bien que ses yeux me semblaient plus tristes. Nous parlâmes de choses et d’autres, sans oser aborder un sujet qui nous aurait mis sur la pente glissante des souvenirs.
– J’ai voulu te revoir, dit-elle, parce que je voulais m’assurer que tu vas vraiment bien, mais surtout pour te remercier pour tout ce que tu as fait pour Nawal. Tu m’as fait retrouver ma fille – une fille aimante et gentille – et tu lui as permis de reprendre une vie normale. Même la relation amoureuse que vous avez eue ensemble ne m’a pas choquée. Et je sais pour l’enfant !
Elle me fit une bise sur la joue et me laissa partir. Je l’ai revue encore deux fois dans les mêmes conditions, et puis nos relations se sont distendues. Jusqu’au jour où elle m’appela directement sur mon portable pour que je passe à son bureau, parce qu’elle avait un service important à me demander. J’allais la voir le jour même, curieux de connaître la raison de cet appel.
Elle me fit la bise en me recevant ; me demanda de m’asseoir sur l’une des chaises disposées devant le bureau, s’assit sur la deuxième et me parla longuement d’Amal.
– Amal vient de terminer ses études d’interprétariat et depuis, elle cherche vainement du travail. Elle qui pensait trouver facilement du travail au niveau des Affaires Etrangères, a dû fortement déchanter : les places se disputent à coups de connaissances et de réseaux. Ce qu’elle n’a pas. Elle veut travailler, mais pas n’importe où et dans n’importe quoi. A défaut de diplomatie, elle voudrait bien travailler dans une des sociétés internationales implantées dans le pays et qui travaillent en langue anglaise. Et c’est là que toi tu interviens. Je sais que tu as tes entrées dans beaucoup de milieux. Peut-être pourrais-tu en parler à une de tes relations bien placées. Je peux compter sur toi ?
– Bien sûr que tu peux compter sur moi ! Je ne peux pas te dire tout de suite ce qu’il sera possible de faire, parce que personnellement je n’ai pas de contact sérieux au sein des grandes sociétés étrangères, mais je pense qu’en faisant intervenir quelques amis, nous finirons bien par trouver une solution satisfaisante. Dans une semaine, tu me recontactes ou bien tu m’envoies Amal au bureau, je pense que d’ici là j’aurai quelques réponses.
Tout en lui demandant des nouvelles de mon fils, je lui fis la bise et quittai le bureau en pensant aux relations qui pouvaient servir pour le règlement du problème Amal. Je repensai soudain à cet ami d’enfance, sorti major de promotion à l’Ecole Centrale de Lyon (après de brillantes études secondaires et préparatoires aux grandes écoles en Algérie) qui est maintenant PDG d’une société mixte activant dans le secteur pétrolier. Je savais qu’il sera très content de me revoir et peut être même de trouver un job intéressant, et d’avenir, à Amal. Je l’appelai donc le lendemain matin.
Après les salamalecs convenus, le rappel de quelques souvenirs communs, les félicitations pour les étapes professionnelles franchies, les nouvelles de la famille et des enfants (il en quatre !) je lui fis part de ma requête. Il réfléchit un instant puis me dit qu’à priori il aurait un poste, qui exige de très bonnes connaissances en langue anglaise, qui va se libérer dans quelques temps. Qu’il était intéressé de me rendre service (à charge de revanche, bien entendu !) mais que probablement, il faudra que la candidate accepte une période formation technique à l’étranger. Il me demanda de lui envoyer la personne, le mercredi de la semaine suivante, munie d’un mot de ma part et d’un dossier dont il me dicta le contenu. Après les remerciements d’usage, la promesse d’une rencontre prochaine autour d’un pot et le bonjour à la famille et aux amis communs, je raccrochais pour appeler Nassima et lui donner la bonne nouvelle. Elle me remercia chaleureusement (je crois que si j’avais été près d’elle, elle m’aurait sauté au coup et embrassé, tant elle était heureuse !) et promit de m’envoyer Amal, dès le lendemain. Je lui ai dit que ce n’était pas si pressé que cela, puisque le rendez-vous était pour le mercredi prochain. Je lui ai dit de m’envoyer sa fille le samedi suivant.
La vie reprit son cours normal. Le samedi Amal s’est présentée très tôt à mon bureau. Je n’étais pas encore arrivé. Elle trouva Soraya, mon assistante qui la reçut chaleureusement, dès qu’elle apprit qu’elle était la fille de Nassima. Elle la fit patienter dans son bureau en lui proposant des rafraîchissements. Quand j’arrivais vers neuf heures et demie, je les trouvais en grande discussion, riant de bon cœur à propos de je ne sais quoi. Je reconnus du premier coup Amal, la copie conforme, en deux fois plus jeune, de Nassima. J’eus un petit serrement au cœur en regardant attentivement cette beauté. J’effaçais d’un coup de main tous les souvenirs qui voulaient remonter en bloc, fit la bise à la fille, considérant qu’elle était en quelque sorte de la famille, la fit entrer dans mon bureau et la fis asseoir sur le grand fauteuil. Je lui proposai, un rafraîchissement qu’elle refusa poliment, disant qu’elle venait d’en avoir un avec Soraya. Je la dévisageai un moment, essayant de trouver ce qui la différenciait de sa maman, à part l’âge ; je ne trouvai rien. Je lui expliquai ce qu’il fallait qu’elle fasse pour le boulot, lui demandai de me montrer le dossier qu’elle avait ramené pour le contrôler, lui fis un mot destiné à mon ami pétrolier, lui dictai l’adresse du rendez-vous et lui fis un croquis pour s’y retrouver plus facilement. Je lui demandai de me tenir au courant des suites et la laissai partir à contre cœur. Sa présence dans le bureau me paraissait comme un rayon de soleil. Son départ l’assombrit fortement.
Le mercredi après midi, dernière demi journée de travail de la semaine, je reçus un coup de fil d’Amal qui m’annonça que tout s’était bien passé et qu’elle commencerait à travailler le premier du mois prochain et que si elle donnait satisfaction dans trois mois, elle partait en formation en Angleterre pour une autre période de trois mois. Elle me disait cela d’une voix rieuse, cachant très mal sa joie.
– Merci ! Merci ! Merci, mille fois ! Je te revaudrai cela !
Sans même réfléchir, je lui répondis
– Fêtons cela ensemble au restaurant, demain !
Elle ne me laissa même pas le temps de réfléchir à la bêtise que je venais de prononcer et elle cria
– Oui !
Je fus le plus étonné des deux. Rapidement, je repris mes esprits, jaugeai la situation, me dis qu’il n’y avait rien de grave ni d’inconvenant d’inviter la fille de Nasima et la sœur de Nawal au restaurant. Je lui donnai rendez-vous le lendemain à midi au niveau de mon bureau (toujours pour éviter, les complications qu’une rencontre avec un homme pouvait lui créer au niveau du quartier où elle continuait d’habiter, car elle avait refusé de suivre sa maman dans sa nouvelle demeure).
Je passais le reste de la journée à penser à elle; à ce que je pouvais bien lui dire; aux sujets sur lesquels nous pouvions avoir une discussion suivie. Je ne trouvais rien. Je crois bien que la nuit j’ai rêvé d’elle. Le lendemain, contrairement à mes habitudes d’amateur de grasse matinée, je me réveillai aux aurores et me mit à penser à mon rendez-vous. Je me demandais si Amal en avait informé sa maman et comment celle-ci avait pris la chose. Je me demandais ce qu’elle-même pensait de cette invitation. Si elle la trouvait normale ou plutôt déplacée. Je me demandais pourquoi elle l’avait acceptée avec autant d’empressement. J’aurais aimé que Nawal m’appelle ce matin pour lui demander son avis. Je savais qu’elle m’aurait dit le fond de sa pensée, franchement et immédiatement. Je voulais lui parler de mon cœur qui battait la chamade quand je pensais à elle. Je voulais qu’elle me rassure.
Longtemps avant midi, j’étais devant mon bureau à l’attendre. Je discutais avec le gardien de service, quand elle arriva en taxi, à midi pile, belle comme un cœur, en costume bleu qui mettait en valeur, sans les accentuer, toutes les formes de son corps. Et des formes, elle en avait ! Elle avait vingt trois ans, mais paraissait plus mûre. Il n’y avait pas beaucoup de fantaisie dans son habillement. Tout était simple et classique. Même sa coiffure était simple : ses cheveux châtains foncés, coupés à hauteur des épaules, étaient coiffés sagement et lui recouvraient les oreilles. Une mèche rebelle venait de temps en temps lui couvrir un œil. Elle la remettait en place d’un élégant mouvement de la main gauche. Elle respirait la bonne santé : ses joues étaient roses comme si elles avaient été exposées longtemps à une brise froide. Sa grande bouche appétissante était entourée de belles lèvres pleines, que soulignait un simple trait de crayon marron clair. Ses grands yeux rieurs de couleur noisette n’étaient pas maquillés ; ils n’en avaient aucunement besoin.
J’allais à sa rencontre, lui pris les deux mains, y déposai un très léger baiser sur chacune d’elle et lui pris le bras pour l’amener à la voiture.
– Qu’est-ce que tu préfères un restaurant dans Alger, ou une promenade qui va nous amener jusqu’à Tipasa ou même Cherchell, si tu n’es pas pressée .
– Non je ne suis pas pressée ! Pourvu qu’on ne rentre pas trop tard la nuit ! Tu sais, ma réputation dans le quartier !
– Va pour Tipasa !
Je mis le moteur en marche et démarrai en trombe, comme si j’avais peur qu’elle ne change d’avis. Je me calmai bien vite et entamai une discussion sur le premier sujet qui me passa par la tête. Je lui demandai si elle voyait Nawal ; si leurs relations à toutes les deux étaient devenues normales ; si elle aimait sa sœur ; si elle aimait son neveu. Elle répondait à mes questions presque mécaniquement, comme elle répondrait à un professeur pendant un examen oral. Il me semblait que le sujet de Nawal ne la branchait pas trop. Je changeai de sujet pour lui parler du couple que formaient sa mère et son beau père. Là encore, ce fut le bide complet.
Je restais silencieux un bon moment, cherchant un sujet qui pouvait la brancher. Je lui posai des questions sur elle, sur sa vie, sur ses études, ses amis/amies. Et comme par enchantement, elle devint volubile. Elle me parla de ses études, qu’elle avait aimée faire ; de la langue anglaise qu’elle adorait, des ses amies étudiantes avec qui elle avait beaucoup ri, des ses professeurs, des étudiants qui l’avaient draguée, d’un petit ami qu’elle avait eu un temps, avant de le plaquer parce qu’il s’intéressait de trop près à une de ses amies.
– Des flirts ?
– Quelques uns, mais jamais rien de sérieux. Tout au plus quelques baisers sur la bouche et quelques caresses innocentes.
– Un petit ami, actuellement ?
– Ni un petit, ni un grand !
– Amoureuse de quelqu’un en secret ?
A ma grande surprise, elle ne répondit pas à cette question. Je me retournai pour la regarder et je vis qu’elle était toute rouge. J’avais l’impression d’avoir mis le doigt sur son jardin secret.
– Je suis sûr que tu tiens un journal intime ! lui dis-je en plongeant mon regard dans le sien.
– Comment le sais-tu ?
– C’est simple tu n’as pas voulu répondre à ma question de tout à l’heure, parce qu’elle était trop intime. Tu ne peux confier ce genre de problèmes qu’à un journal secret. J’aimerais bien le lire un de ces jours !
– Tu es fou ! C’est trop personnel ! Jamais personne ne le lira ! J’aurais trop honte !
– Pourquoi ? Il y a des choses de type sexuel dedans ? Et puis après, il n’y a rien de plus naturel !
– Non ce n’est pas cela ! C’est vraiment trop personnel !
– Bien n’en parlons plus ! Parles moi de tes attentes dans la vie. Qu’est-ce que tu veux faire. Comment tu vois ta vie future. A quel âge tu comptes te marier. Combien tu veux avoir d’enfants.
Sans nous en rendre compte, une heure avait passé et nous n’avions toujours pas mangé. Je lui dis qu’on allait s’arrêter au port de Bou Haroun qui se trouvait sur notre chemin pour y manger de bons plats de poissons frais. Elle accepta avec plaisir et dix minutes plus tard nous étions dans le port grouillant de monde comme à son habitude et nous nous attablâmes dans un restaurant qui paraissait propre et bien fréquenté. Nous mangeâmes avec appétit tous les plats que le serveur nous proposa. Et ils étaient délicieux ! Nous poursuivîmes notre route en continuant de parler de tout et de rien. Les seuls sujets qui, à chaque fois qu’ils revenaient semblaient la plonger dans une profonde mélancolie étaient Nawal et sa maman.
Nous passâmes ainsi l’après-midi à visiter plein de lieux historiques et touristiques qu’elle n’avait encore jamais vus: le tombeau de la chrétienne, qui dit-on renferme les restes de Cléopâtre Selenée (la fille des amours de César et Cléopâtre et femme de Juba II, un des princes berbères de l’Algérie Romaine) ; les ruines romaines de Tipasa, qu’elle voyait aussi pour la première fois et dont l’état de conservation, malgré la multitude de tremblement de terre qu’a connu la région, l’a étonné ; la Corniche du Chenoua, magnifique route de montagne longeant la mer et donnant sur des paysages et des sites féeriques ; le musée de Cherchell, tout petit mais remplis de pièces rares de l’époque romaine. Je voulais continuer pour lui monter quelques autres paysages splendides au-delà de Cherchell, y compris la curiosité d’une région nommée Beni Houa (Filles d’Eve) renfermant une population comprenant énormément de blonds et dont la légende raconte qu’ils seraient les descendants de religieuses du nord de l’Europe, dont le bateau se serait échoué là et qui avaient fini par épouser des paysans de la région.
Mais il était tard et il fallait prendre le chemin du retour. Il commençait déjà à faire nuit. Je lui dis que de toutes les façons on arrivera de nuit à Alger ; autant prendre notre temps, nous arrêter sur le chemin pour y manger et rentrer doucement. Elle ne fit pas d’objection. Nous mangeâmes dans un restaurant sur le port de Tipasa et nous reprîmes la route vers Alger. Je voulais la garder avec moi le plus longtemps possible. Je me sentais vraiment bien en sa compagnie. Je commençais à me sentir triste à l’idée de la quitter.
– Comment vas-tu faire pour rentrer chez toi ? Tu ne veux pas que je te dépose ?
– Non ! répondit-elle, d’une voix bizarre dans laquelle, il me semblait percevoir de la tristesse.
Une intuition fulgurante me traversa l’esprit : elle voulait rester avec moi pour la nuit !
– Je vais te faire une proposition, qu’il ne faudra par prendre mal, lui dis-je en prenant toute sorte de précaution. Viens passer la nuit chez moi, il y a plein de pièces vides. Et demain, à l’heure que tu voudras, je t’appelle un taxi pour te ramener chez toi.
Elle ne répondit pas tout de suite, mais je la sentais souriante. Mon intuition ne m’avait pas trompé.
– Je n’osais pas te le demander ! » répondit-elle d’une voix d’où transparaissait une grande émotion.
Mon imagination se mit à prendre un envol et alla explorer des territoires interdits. Elle s’intéresse donc à moi de la même manière que moi je m’intéresse à elle. Elle doit nourrir des sentiments profonds pour moi. Je suis sûr que je suis l’homme caché de son journal intime. Et tant d’autres balivernes que même un jeune homme de son âge ne tiendrait pas. J’étais, l’espace d’un moment, redevenu un jeune collégien amoureux d’une camarade et imaginant toutes sortes de choses. Je ne laissais rien transparaître de mon émoi et surtout du bonheur qui m’habitait. Nous arrivâmes à la maison ; je mis la voiture au garage et nous prîmes l’ascenseur jusqu’au dernier étage où se trouvait le duplex que j’occupais. Elle jeta un regard intéressé sur l’appartement, semblait satisfaite de ce qu’elle y voyait et se retourna subitement pour déposer un baiser sonore sur ma joue. J’en étais resté paralysé un moment qui me sembla une éternité.
– C’est pour te remercier de cette merveilleuse journée. C’était vraiment magnifique et intéressant. J’en redemande !
– Viens je vais te montrer ta chambre, lui dis-je en lui prenant inconsciemment la main.
Elle ne retira pas la sienne ; au contraire, elle serra la mienne et la garda. Je n’osais pas la regarder, de peur de lire dans ses yeux les mêmes pensées que les miennes. J’ouvris la porte d’une chambre dans laquelle je ne mettais jamais les pieds, mais dont je savais que la femme de ménage la nettoyait et la rangeait régulièrement. Elle y jeta un regard rapide, se retourna pour me regarder dans les yeux et, d’un air effronté et coquin, elle me dit dans un souffle :
– Dans ta chambre !
J’étais complètement perdu ! D’une part Amel faisait exactement ce qu’au fond de moi, je souhaitais qu’elle fasse. Et de l’autre je ne voulais pas qu’on en arrive là parce qu’elle était la fille de Nassima et la sœur de Nawal. Toutes deux ont été mes amantes. Je les ai aimées toutes les deux très fort. Je ne pouvais pas décemment aimer la troisième et en faire elle aussi mon amante. Dans ma tête et dans mon cœur tout se bousculait. Je ne savais que faire. C’est alors qu’Amal, sentant mon désarroi, prit les choses en main. De la main qui était toujours dans la mienne, elle m’obligea à la suivre. D’instinct elle savait où se trouvait ma chambre et m’y conduisit, comme un petit garçon obéissant et craintif. Elle ouvrit la porte, s’arrêta un instant, se retourna vers moi pour me dire :
– Elle est exactement comme je l’imaginais ! Si un jour je te montrais mon journal intime tu y liras la description d’une chambre analogue à celle –ci !.
Elle n’avait toujours pas lâché ma main et me tira vers le lit. Elle me força à m’y asseoir et s’assit à côté de moi. Elle me tenait toujours la main, que maintenant elle portait à sa bouche pour l’embrasser.
– Depuis, le jour du mariage de maman, je suis tombée follement amoureuse de toi. Je voyais comme tu souffrais du départ de maman et surtout de son mariage. Je t’ai trouvé très touchant dans ta souffrance. D’ailleurs tu as dû remarquer que je ne t’ai pas quitté d’une semelle, ce soir là. Et puis cette salope de Nawal est entrée dans ta vie et t’a éloigné de moi. J’en ai beaucoup souffert et j’en ai voulu à Nawal et je lui en veux encore aujourd’hui, même si au fond de moi, je sais que ton aventure avec elle a eu des répercussions heureuses sur elle et sur maman. Mais je lui en veux encore pour tout l’amour que tu lui as donné et de celui que je sens encore en toi quand tu parles d’elle. J’ai encore peur aujourd’hui qu’elle revienne et te séduise encore. Elle est tellement belle et expérimentée !
– Moi lui répondis-je, ému jusqu’aux larmes, ce n’est pas Nawal qui me gène. Pour nous deux l’histoire d’amour est terminée ; il ne reste que de la tendresse, parce qu’au fond, elle est très différente de la fille vulgaire et provocante dont elle avait toujours donnée l’apparence. Elle est très sensible et peut être d’une gentillesse absolue, quand elle trouve les conditions de son épanouissement. Regarde comment elle se comporte avec son fils et même avec son mari. Elle a réellement changé. Et puis il y a autre chose qui nous rassemble elle et moi, notre fils. Tu sais que son fils est de moi, n’est-ce pas ? Nawal, n’est pas pour toi et moi un problème. Le seul vrai problème c’est ta maman. Je suis sûr qu’elle prendra très mal l’amour qui nous lie. Et elle aura raison ! Elle a été ma maîtresse et mon amoureuse pendant longtemps et je suis sûr qu’au fond d’elle, elle a la nostalgie de nos moments d’amour et de bonheur. Tu sais que je l’ai aimée sincèrement et que j’ai vraiment souffert de notre séparation. Je ne peux pas décemment la remplacer par sa fille. Je mets entre parenthèse l’épisode Nawal qui n’a été qu’un heureux accident. Mai avec toi, c’est d’amour qu’il s’agit, pas de cul ! Comment feras-tu comprendre à ta mère, dont tu es la prunelle de ses yeux, que tu es amoureuse de son ex ?
– Maman je m’en charge ! dit-elle presque avec colère. Dis moi seulement que tu m’aimes ou que tu vas m’aimer et tout le reste n’a pas d‘importance !
Vaincu et tellement heureux de l’être, je la pris dans mes bras et l’embrassai avec la fougue d’un jouvenceau. Je plongeai mes yeux dans les siens pour y rechercher la preuve qu’elle m’aimait réellement ; ils étaient si profonds et si pleins de tendresse, que plus rien ne compta plus pour moi. Je lui pris la tête entre les mains et appuyai ma bouche contre la sienne avec dans l’idée de lui donner un baiser doux et tendre ; un vrai baiser d’amoureux. Elle commença par me rendre mon baiser de la même manière que moi je le lui donnai et puis rapidement il dérapa vers un baiser torride d’amants.
Je lui pris sa grande bouche dans la mienne et lui suça goulûment ses lèvres charnues. Elle se laissa faire un moment et voulut me rendre la pareille : elle prit elle aussi mes lèvres dans a bouche et les suça en avalant ce qu’elle pouvait avaler de ma salive. Nous reprîmes un peu notre souffle et nos bouches reprirent possession l’une de l’autre. Je la forçai avec ma langue à écarter ses dents pour y faire pénétrer ma langue qui alla immédiatement fourrager dans sa bouche à la recherche de salive à boire et surtout de sa langue à défier. Elle avait une langue agile et pointue bien préparée au combat de bouches. Elle se défendit pied à pied et rendit coup pour coup. Parfois même elle prenait l’avantage et pourchassait ma langue dans ma propre bouche, prélevant au passage toute la salive qu’elle pouvait prendre. C’était tellement bon ! Le baiser torride que nous échangions mit le feu à nos corps. Je la sentais qui se collait à moi, qui frottait son opulente poitrine contre la mienne et qui frémissait de désir. Tout en continuant de l’embrasser fiévreusement, je la renversai sur le lit et lançait une main à la recherche d’un de ses seins que je caressai par-dessus sa chemise. A bout de souffle, nous arrêtâmes le baiser.
Elle releva le buste pour enlever la veste de son costume qu’elle avait gardée. J’en profitais pour déboutonner son chemisier et ouvrir la voie qui conduisait à son opulente poitrine. Elle m’aida à déboutonner tous les boutons et à sortir le chemisier du pantalon. Sa large poitrine s’offrit à mes yeux. Je tendis la main pour la caresser et la glisser sous le soutien gorge pour prendre possession d’un sein volumineux, ferme et d’une douceur de soie. Elle gémit quand ma main entra en contact avec son sein. Je le sortis du bonnet qui tentait de le cacher et me mis à le tripoter tout doucement. Sa douceur était divine ! Je voulais les voir tous les deux ensemble et essayai de dégrafer maladroitement son soutien gorge. Elle releva encore une fois le buste pour me permettre d’atteindre les crochets dans le dos. Après des acrobaties dues à ma maladresse, elle enleva tout d’un coup, chemisier et soutien gorge m’offrant à voir le magnifique spectacle de deux seins volumineux, qui pointaient comme des obus vers le plafond de la chambre. J’en pris un dans chaque main et, délicatement, je me mis à les palper et les tâter. Je remarquai que la manœuvre lui plaisait énormément. Ses seins étaient très sensibles et constituaient pour elle une zone très fortement érogène.
J’appuyai un peu plus mes caresses, insistant sur ses tétons violets, durs et tendus, que je pressais entre mes doigts, faisant attention à ne pas lui faire mal. Je faisais rouler ses tétons de plus en plus vite entre le pouce, l’index et le majeur, tirant de mon adorable amante des petits gémissements de plaisir. J’arrêtai un moment mes caresses sur les tétons et entrepris de les lui téter. J’en introduisis un dans ma bouche et me mis à le lécher et à le pincer avec mes lèvres. Je l’avais même mordillé légèrement pour tester sa fermeté. Elle aimait cette façon de jouer avec son téton. Elle me tint la tête de manière à me faire comprendre que je ne devais pas m’arrêter. Je le suçais goulûment comme un bébé suce le sein de sa maman. Elle n’arrêtait plus de gémir et de tortiller ses hanches et ses fesses. Je passais à l’autre sein à qui j’appliquais le même traitement. Elle commençait à ne plus contrôler le mouvement de ses hanches qui essayaient de venir se frotter contre moi. Et en même temps son souffle devenait de plus en plus court.
J’abandonnais sa poitrine et descendis embrasser et lécher son ventre et son nombril. Ma main alla se caller entre ses cuises, à travers le tissu du pantalon de son costume. Elle eut un frisson, tout en relevant son basin pour accroître la pression de ma main sur sa chatte. Je frottai vigoureusement sa chatte. Elle posa sa main sur la mienne et l’obligea à frotter encore plus fort, pendant qu’elle écartait ses jambes au maximum. Elle bougeait ses hanches au même rythme que mes caresses. N’y tenant plus d’excitation, je lui demandais d’enlever son pantalon et sa culotte et de rester totalement nue. Elle n’y voyait aucun inconvénient. En un tour de main elle fut nue comme un ver. Superbe et provocante, elle s’offrit à mon regard concupiscent et se laissa admirer avec un plaisir évident.
– Dis-moi que je suis belle et que je te plais ! dis-t-elle en me regardant droit dans les yeux.
– C’est toi la plus belle ! lui dis-je en posant ma bouche sur son pubis dont elle avait laissé pousser un petit triangle de toison affriolant.
Au contact de ma bouche, elle eut un long frisson de désir. Elle me tint la tête pour la pousser plus bas, vers son coin de paradis. Je changeai de position pour venir me placer à ses pieds, lui écarter les jambes, lui soulever les genoux et mettre ma tête entre ses cuisses. J’avais tout le paradis sous les yeux! Elle avait une chatte superbe ! Bombée et longue avec des grandes lèvres charnues de couleur sombre ! Pas un poil autour de la vulve en dehors du triangle qu’elle a laissé sur son pubis ! Je posai ma main légèrement sur sa chatte qui était en attente de caresses. Elle se tendit un peu au contact de mes doigts puis me laissa la caresser tout doucement. Je ne voulais pas l’effaroucher en y allant franchement. Je voulais que, par de douces caresses, elle s’ouvre toute seule et me laisse insensiblement pénétrer dans son paradis. C’est effectivement ce qui se passa, mes doigts tout en les caressant pénétrèrent insensiblement entre ses grandes lèvres qui commencèrent à se remplir de mouille. J’écartai plus largement les grandes lèvres pour découvrir l’intérieur de sa vulve : des petites lèvres d’un rouge vif qui contrastait avec la couleur sombre des grandes lèvres et de l’entrée du vagin. Je ne voyais pas encore nettement son clito.
J’avançais la tête vers sa chatte et me mis à la lécher. Ma langue se promena quelque temps entre les grandes lèvres qu’elles léchèrent en suivant le sens de la fente. Puis j’y mis toute ma bouche et commençai à embrasser et sucer les petites lèvres. Ma langue se mit à la recherche du clito qu’elle finit pas découvrir au détour d’un pli. Je le titillais un moment avec la langue tirant de mon amante des gémissements de plaisir et des soulèvements de hanches qui cherchaient à la faire pénétrer plus profondément dans le tunnel. Je pris son clito entre mes lèvres, le serrai fort et me mis à le sucer. Il était dur, ferme et très doux. Elle n’en pouvait plus d’excitation. Elle remuait de plus en plus fort ses hanches qu’elle soulevait de plus en plus haut. Ma langue alla à la rencontre de son pucelage qu’elle rencontra à une très courte distance de l’entrée. Elle alla cogner sur lui, histoire de tester sa résistance et surtout sa sensibilité au titillement. Elle se crispa légèrement quand elle sentit ma langue cogner sur la membrane, mais se détendit totalement en reprenant ses gémissements et ses mouvements désordonnés des hanches, quant elle comprit qua ma langue ne pouvait pas la dépuceler : elle était trop courte et pas suffisamment rigide pour le faire.
Je me décidai à la faire jouir une première fois avec ma bouche, avant de passer aux choses sérieuses du dépucelage. Je me mis donc à lui sucer la chatte en lui soulevant les genoux que je lui fis poser sur sa poitrine. Ses cuisses ainsi écartées, laissaient à ma bouche plus de liberté pour la sucer très fortement. Je plongeai donc carrément ma tête entre ses cuisses et à grands coups de lèvres et de langue, je me mis à la sucer, la lécher et la pénétrer vigoureusement. Je faisais faire à ma bouche des mouvements de va et vient horizontaux entre ses grandes lèvres et à ma langue des mouvements verticaux et parfois circulaires à l’intérieur de son vagin. Amal commençait à pousser des petits cris de plaisir qui prirent le relais de ses gémissements. Elle n’arrêtait pas pour autant le mouvement désordonnés de ses hanches, avec cette fois ci une forte pression de ses mains sur ma tête pour la maintenir entre ses cuisses.
Je l’entendais vaguement prononcer des paroles de plaisir que ses cuisses sur mes oreilles m’empêchaient de comprendre. Je sortis un moment ma bouche de sa chatte pour faire participer son anus à la manœuvre. Elle ne s’attendait pas à ce que j’entreprenne son cul de cette manière. Elle parut un peu déçue mais rapidement, le va et vient de ma bouche et de ma langue entre son vagin et son cul lui plut. Quand je sentis que son anus était suffisamment lubrifié, j’introduisis difficilement un doigt dans son cul. Elle se crispa fortement, refusant inconsciemment de le laisser pénétrer. Je le retirai et recommença à mouiller plus fort son anus, tout en lui suçant la vulve. J’essayai encore une fois d’introduire un doigt dans l’anus et cette, fois, malgré la crispation, il pénétra plus facilement. Je le laissai un moment immobile en reprenant le cunnilingus là où je l’avais laissé. Avec ma bouche je suçai, léchai et aspirai tout le jus que maintenant elle produisait en quantité. De temps en temps j’allai taquiner son clito pour accroître très fortement l’excitation. Parallèlement je faisais faire à mon doigt des mouvements montants et descendants et parfois tournants, dans son cul. Son excitation, déjà grande avant cela, atteignit un paroxysme. Ses cris devinrent plus forts ; la pression de ses mains sur ma tête m’empêchait de bien respirer et le mouvement de ses hanches prit encore plus d’ampleur.
J’accélérai le mouvement de ma bouche sur et dans sa chatte et celui de mon doigts dans son cul, en en synchronisant le rythme. Au bout d’un moment, je sentis que tous ses muscles se tendirent et qu’elle était sur le point d’exploser. J’eus la sensation qu’elle allait avoir une très forte jouissance et qu’elle allait décharger des tonnes de jus dans ma bouche. J’étais en attente de l’évènement. Il arriva comme un torrent en furie : elle poussa un long hurlement et déchargea longuement, très longuement, dans ma bouche. J’eus l’impression qu’elle avait eu plusieurs orgasmes, l’un derrière l’autre. Epuisée, elle se relâcha totalement sur le lit et tenta de reprendre sa respiration. Quand tout revint à la normale, elle ouvrit les yeux, me regarda avec un sourire lumineux et dit dans un souffle :
– Tu m’as faite jouir très fortement rien qu’avec ta bouche ! Je ne croyais pas cela possible ! C’était magnifique !
– Ce n’est qu’un début, mon amour ! Avant le matin tu auras connu d’autres jouissances encore plus intenses ! Je t’en fais le serment !
Je revins m’allonger près d’elle et l’attirai dans mes bras en déposant doucement sa tête sur mon épaule et en lui caressant longuement et tendrement la nuque. Son corps nu et chaud était collé au mien, encore tout habillé. Je passai mon bras libre autour de sa taille pour la coller encore plus fort contre moi. Je sentais sa respiration chaude et humide, légèrement saccadée, comme une caresse sur mon cou. J’étais encore très excité, mais je préférais la garder comme cela dans mes bras, dans cette position protectrice et tendre, plutôt que de la brusquer en voulant tout de suite assouvir ce désir qui taraudait mes entrailles. Je lui parlai doucement d’amour et d’avenir pour nous deux. Je lui proposai de venir vivre avec moi, sachant qu’une telle proposition que je n’avais jamais faite à personne, allait changer totalement le cours de ma vie. Je lui proposais en sorte d’abandonner la vie de liberté que j’avais toujours menée, et que j’avais adorée, pour devenir son prisonnier.
Elle avait dû se rendre compte de l’importance da la proposition que je venais de lui faire. Elle retira subitement sa tête de mon épaule et me regarda droit dans les yeux avec étonnement.
– Tu te rends compte que tu viens de me proposer d’aliéner ta liberté pour être avec moi ! Ce n’est pas sérieux ! Je sais que tu n’es pas capable de supporter les contraintes de la vie de couple ! Tu es un séducteur qui ne peut pas vivre sans papillonner de fille en fille. Je te vois mal, t’arrêter un jour, même pour moi. Même si tu tombais fou amoureux de moi, tu ne pourras jamais être l’homme d’une femme ! D’ailleurs moi je m’en fous ; il me suffit que tu m’aimes et que tu reviennes toujours à moi ! Et puis je suis de nature chiante dans la vie quotidienne ; j’ai beaucoup d’exigences insupportables qui te rendront neurasthénique si tu vivais avec moi. Embrasse-moi plutôt !
Je déposai un long baiser passionné sur ses lèvres. Elle y répondit avec autant de passion. Je la retournai sur le dos pour mieux admirer son superbe corps.
– Tu es si belle ! Tu as l’air si fragile comme cela ! J’ai peur de te faire mal, rien qu’en te touchant ! Et pourtant j’ai tant envie de toi !
– Moi aussi, j’ai envie ! Je veux devenir une vraie femme ! Te donner autant de plaisir que tu m’en as donnée tout à l’heure. Fais-moi l’amour ! Déshabilles-toi ! Je veux que tu sois nu comme moi. Je veux te voir !
Elle m’aida à enlever mes vêtements, en s’acharnant sur mon pantalon qui lui donnait du fil à retorde. Quand elle y arriva enfin, mon sexe avait tellement grandi qu’il sortit du slip par le haut. Tout le gland et une partie de la hampe dépassaient fièrement. Amal, regarda le spectacle avec des yeux brillants d’étonnement et d’envie.
– Qu’est-ce qu’il est grand ! » fit-elle un peu émue.
Elle tendit une main mal assurée pour le toucher, le tâter et le palper. Elle hésitait à le prendre fermement dans sa main. Comme si elle en avait peur.
– C’est la première fois que tu vois un sexe d’homme ? » lui demandai-je.
– Non j’ai vu ceux de quelques flirts. Mais aucun aussi gros et long !
– Embrasse-le ! lui dis-je d’une voix presque inaudible.
Elle baissa la tête, toujours de manière hésitante et l’approcha de mon bas ventre. Entre temps j’avais abaissé le slip pour libérer complètement le membre et le présenter devant sa bouche. Elle déposa un très léger et très furtif baiser et retira vite sa tête. C’était comme si elle avait peur de lui.
– Recommences, lui dis-je ! N’ai pas peur, il ne mord pas ! Il aime être caressé par une main de femme et embrassé et léché par une bouche de femme ! Fais lui plaisir, il te le rendra au centuple un peu plus tard. Tu vas finir par l’adorer quand il t’aura possédée !
Elle recommença la manœuvre et cette fois ses lèvres s’attardèrent sur le gland. Elles s’ouvrirent légèrement pour laisser pénétrer la pointe qu’elle serra entre ses lèvres tout en envoyant le bout de sa langue le titiller. Je sentis une légère décharge sur mon membre qui s’en alla irradier jusqu’à l’intérieur de mes entrailles. Mon sexe frémit et voulut pénétrer plus en avant dans sa bouche. Il rencontra deux rangées de dents légèrement entrouvertes mais qui refusaient de s’écarter plus. Je lui pris la tête entre mes mains et la tint fermement, tandis que j’exerçai une forte pression sur sa bouche pour qu’elle s’ouvre. Elle résista encore un peu, puis céda. Elle écarta ses dents pour laisser passer l’engin, qui pénétra dans sa bouche.
Ses dents raclaient la peau du sexe et me faisaient un peu mal. Elle n’avait encore jamais pratiqué la fellation ! Pensai-je un peu étonné. Je ne dis rien, me contentant d’appuyer un peu plus fort pour que mon sexe pénètre plus en avant. Arrivé devant l’entrée de la gorge, j’arrêtai le mouvement, sachant qu’il allait provoquer un réflexe de déglutition ou de vomissement. Je fis refaire le chemin inverse à mon sexe qui revint se positionner à l’entrée de la bouche.
– Ecarte bien les dents ! lui dis-je cette fois-ci.
Elle obéit, sans rechigner. Je fis pénétrer le membre, toujours avec autant de précaution, jusqu’à ce qu’il dépasse l’entrée de la gorge, sans l’y laisser trop longtemps, uniquement pour l’habituer à la présence du monstre. Je refis la manœuvre plusieurs fois en prenant soin de ne pas la traumatiser. Quand je sentis que sa bouche et sa gorge avait pris le mesure de mon gourdin et qu’elles s’étaient habituées au mouvement de va et vient, j’y allais un peu plus franchement en accélérant la manœuvre. Elle comprit très vite ce qu’il convenait de faire et s’appliqua à le réaliser par elle-même. Elle me tint par les hanches et avança et recula la tête à un rythme de plus en plus rapide. Elle essaya même de l’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge, comprenant au gémissement de plaisir qui sortaient de ma bouche et à la pression plus forte de ma main sur sa tête, que j’adorais cela. C’était bon ! Et j’en voulais encore ! Elle continua longtemps à sucer et pomper. Elle avait même failli étouffer plusieurs fois, sans pourtant s’arrêter un instant. Elle voulait absolument me donner un maximum de plaisir. Elle finit même par faire entrer sa langue et sa main dans le jeu. Sa langue pour titiller le gland de mon sexe chaque fois qu’il arrivait à sa hauteur en le léchant et l’enveloppant. Sa main pour palper et caresser mes couilles devenues dures comme de la pierre.
C’était divin ! Je sentais que je n’allais pas tarder à exploser dans sa bouche. Je me posai furtivement la question du lieu de mon éjaculation – dedans ou dehors – mais je n’eus pas le temps de décider de quoi que ce soit. La jouissance arriva tel un torrent. Je déversai une quantité incroyable sperme dans sa bouche en plusieurs giclées. La première alla directement à l’intérieur de sa gorge et avait failli l’étouffer. Heureusement que la deuxième giclée mit un peu de temps pour arriver ; le temps que la première soit totalement avalée. Quand je me retirai, repu et heureux, je laissai Amal s’escrimer encore avec tout le sperme qui était encore dans sa bouche. Je la regardai tenter d’avaler courageusement le tout, sachant combien ce qu’elle faisait me donnait de plaisir. Je n’étais pas sûr qu’elle aimait le goût du sperme, mais je lui étais reconnaissant de l’effort qu’elle faisait. Je me mis à genoux face à elle lui pris son visage entre mes mains, lui dis que je l’aimais et l’embrassais tendrement sur sa bouche qui avait encore en elle l’odeur et le goût de mon sperme.
– Tu es très douée ! lui dis-je. Très rapidement tu vas devenir experte en fellation. Je ne pensais pas qu’une fille de vingt trois ans, aussi désirable, pouvait être encore innocente de ce côté. C’est la pratique la plus fréquente pour les filles qui se prêtent aux jeux érotiques, tous en restant vierges, conformément aux règles sociales. Nos filles sont en général très expertes en pipes faites aux garçons. D’autres acceptent, parfois difficilement, vu la connotation de péché religieux qui l’accompagne, de se faire sodomiser ou pratiquent le coït superficiel (« in ore vulva », comme on dit de façon savante) qui se termine parfois très mal, vu que les accidents arrivent souvent du fait des mouvements incontrôlés du garçon et de la fille pris dans la tourmente du désir et de l’excitation. L’essentiel, étant bien entendu de prendre du plaisir, tout en gardant intact leur hymen. Je pensais que tu avais suivi ce chemin. Or il s’avère que tu es une vraie vierge, une innocente ! N’est-ce pas ?
– Oui ! Je n’ai jamais eu de rapports sexuels, hormis quelques flirts sans suite. Je me suis toujours réservée à celui que j’aimerai. Je n’ai rien contre l’amour hors mariage, mais moi je veux le faire avec l’homme de ma vie ; celui que j’aimerai. Et tant pis si lui ne m’aime pas autant que moi. A celui-là, je donnerai tout, hymen compris ! Et cet homme c’est toi ! Je veux être ton amante, dès ce soir. Je n’exige rien de toi, si ce n’est de m’aimer beaucoup. Le mariage ne m’intéresse pas, comme il ne t’intéresse pas. Je veux passer des moments de bonheur avec toi ; tant pis s’ils ne durent pas très longtemps ! Je veux un amour fort et passionné ! Un amour plein de sensualité et d’érotisme ! Je suis prête à tout apprendre, à casser tous les résidus de tabous qui peuvent encore être en moi ! Je veux être heureuse et te rendre heureux !
Nous étions toujours à genoux, nous faisant face, totalement nus. Je la serrai très fort dans mes bras, pour lui communiquer tout mon amour. Je l’embrassais frénétiquement sur tout son visage y déposant des grands baisers bien sonores et mouillés sur les joues, la bouche, le nez, les yeux, le front, le menton, le cou,…Je lui caressais longuement les épaules et le dos. Avec mes doigts je me mis à suivre le sillon de sa colonne vertébrale depuis la première cervicale jusqu’au coccyx, et retour. Je ne la caressais pas, je la chatouillais du bout des doigts, lui communicant tout le désir que j’avais d’elle. Elle aimait visiblement l’effet que ces chatouilles avaient sur elle. Elle se serra plus fort contre moi, faisant jouer son opulente poitrine contre la mienne. Elle y écrasa ses seins voluptueux, transmettant à tout mon corps cette sensation de douceur, de fermeté et de sensualité qui mit le feu à mon sang. Mes doigts continuaient à se promener le long de son échine. Chaque fois qu’ils arrivaient au niveau de la dernière vertèbre et qu’ils allaient vers le début de la rainure des fesses, elle se crispait légèrement, comme si elle attendait qu’ils aillent plus loin vers la fente de ses fesses ou plus bas encore, vers sa vulve.
– Tu m’excites ! Montons sur le lit ! murmura-t-elle à mon oreille.
Je me levai et lui pris les deux mains pour la relever du sol. Je la fis allonger en travers du lit, lui écarta les jambes pour me mettre entre ses genoux. Je les lui fis relever jusqu’au niveau de sa poitrine pour dégager la voie vers les trous du paradis.
– Je vais te caresser la chatte avec mon sexe, lui dis-je. Je vais te faire jouir encore une fois sans pénétration et sans dépucelage. Tu verras, cela va beaucoup te plaire. Mais fais attention à ne pas trop gigoter. Je ne veux pas que ton dépucelage soit accidentel ! Je le veux volontaire et assumé !
Je pris mon engin dressé comme un poteau vers le plafond de la chambre, l’approchai de la chatte de ma mie, introduisis doucement la pointe du gland entre ses grandes lèvres bien ouvertes et me mis à la promener le long de la fente, sur les petites lèvres et la frottant au passage sur son clito. Elle avait fermé les yeux pour mieux apprécier les sensations qui lui parcouraient tout le corps; elle avait des tous petits gémissements de plaisir. Elle souriait aux anges, tellement elle était à son plaisir.
De temps en temps, je tentais une toute petite pénétration dans l’entrée de son vagin et en ressortais très vite ; je voulais qu’elle ressente dès maintenant la sensation que faisait la pénétration d’un sexe dans sa chatte. A chaque fois, elle se crispait involontairement et se relâchait, dès que la menace du dépucelage s’éloignait. Elle adorait les sensations que lui donnaient les caresses de mon gourdin. A un moment elle se mit même à gigoter, me forçant à faire plus attention pour qu’il n’y ait pas d’accident. Je lui pris sa main droite et la lui posai sur un sein, lui demandant de le caresser pour accroître son excitation. Elle ouvrit les yeux pour confirmer qu’elle avait bien entendue ma demande, me sourit et entreprit de caresser un de ses tétons avec deux doigts. Ses yeux brillaient d’excitation, sa bouche était ouverte et la bave commençait à couler depuis la commissure de ses lèvres, le long de ses joues jusqu’au couvre lit.
Je lui pris sa deuxième main et la porta sur mon sexe. Elle me regardait étonnée de ce que je voulais lui faire faire. Je lui dis de prendre la hampe comme je le faisais juste avant et de guider elle-même les caresses. Comme cela lui dis-je elle pouvait se caresser en fonction des sensations qu’elle avait ou qu’elle voulait avoir. L’idée lui plut tellement, qu’elle n’a plus refermé les yeux depuis. Elle releva la tête pour suivre le mouvement qu’elle faisait faire à mon sexe sur la surface de sa chatte. Ce que d’évidence elle préférait, c’était le titillement de son clitoris qui la faisait pâmer et la légère pénétration du vagin qui lui tirait des gémissements de plus en plus forts. Sa chatte coulait comme une fontaine. Le terrain devenait glissant. Dans sa main qui le serrait très fort et sur sa chatte mouillée, mon sexe se sentait bien. Mais il avait envie d’aller au fond. C’était un combat continu entre la main de Amal qui voulait le maintenir en surface sans dépasser l’endroit où était fourré son clito et mon gourdin qui s’obstinait à vouloir aller au fond du garage. De temps en temps d’ailleurs, il lui arrivait d’avoir le dessus et d’aller cogner légèrement sur l’hymen, avant que la main ne le ramène à la raison. C’était un merveilleux combat qui nous amena tous les deux au bord de la jouissance.
Je ne voulais pas jouir maintenant, craignant la grossesse. Je me retenais du mieux que je pouvais, c’est-à-dire très difficilement, ayant laissé la direction de la manœuvre à ma mie. Elle, encore novice à ce jeu, ne se doutait pas de la difficulté que j’avais à me retenir. Elle continuait à manœuvrer mon gourdin d’une main de plus en plus experte, ayant fini par trouver le rythme qui lui convenait le mieux. Au bout d’un moment je la voyais qui commençait à avoir le regard qui se voilait progressivement, la bouche qui s’ouvrait, tous ses muscles qui se tendaient et le souffle qui devenait de plus en plus court. Elle explosa d’un coup en déchargeant sur le gland de mon sexe et sur sa main. Elle s’était mise à gigoter très fortement m’amenant à éloigner le sexe de l’entrée de son vagin pour qu’il n’y pénètre pas par accident. Le retrait du sexe la contraria quelque peu, elle le remplaça par son doigt avec lequel elle continua de se caresser jusqu’à avoir une deuxième jouissance. J’étais content d’avoir pu résister à la tentation d’un dépucelage accidentel.
Je voulais avoir le plaisir de la déchirer et de lui faire aimer cela. J’ai en moi, très profondément ancré, le fantasme du dépucelage et du sang des vierges. Probablement un atavisme ou un gène barbare hérité des temps anciens. Mais le dépucelage d’une vierge a toujours été pour moi le must de l’érotisme. Et Amal, mon superbe amour de vingt trois ans, était encore vierge et m’offrait son hymen en cadeau. Je lui dis que j’étais heureux qu’elle soit encore pucelle et qu’elle me faisait cette nuit le plus beau cadeau qu’une femme pouvait faire à l’homme qui l’aime. Elle eut un sourire de femme heureuse de donner du bonheur, mais ne dit rien. Je lui dis que j’allais maintenant la pénétrer et faire d’elle une vraie femme ; ma femme !
– Comment veux-tu que je m’y prenne : en douceur pour te faire le moins mal possible, mais avec une jouissance tout juste acceptable ; ou alors comme moi je le veux en te faisant mal, mais en transformant rapidement la douleur en plaisir très fort .
– Ce qui te fera le plus jouir ! répondit-elle.
Je lui dis d’ouvrir le tiroir de la table de nuit à côté d’elle et d’en retirer la boite à préservatifs qui s’y trouvait. Je lui dis que je ne voulais pas qu’elle tombe enceinte pour le moment. Elle prit la boîte me la donna, j’en retirai un préservatif, déchirait la protection et le lui donnai pour qu’elle me l’enfile. Encore une chose qu’elle n’avait jamais faite et qu’elle fit avec délectation. Je l’embrassai très tendrement et très longuement pour la détendre, sentant en elle une crispation due à la crainte de la douleur. Je la fis s’allonger sur le dos, les genoux repliés sous ses cuisses que j’écartai au maximum. Elle se laissa guider docilement J’entrai entre ses genoux et ses cuisses, pris mon sexe dans une main et le guida vers sa superbe chatte, à demi ouverte. D’une légère pression, j’ouvris plus largement ses grandes lèvres et fis promener le gland entre elles pour le mouiller. Sa chatte était encore très mouillée des suites des caresses antérieures ; je n’eus donc pas à lubrifier l’entrée du vagin pour faciliter la pénétration ; elle l’était déjà en excès.
Je fis pénétrer légèrement la partie supérieure de mon gourdin dans le vagin étroit de ma belle. Elle se crispa un peu s’attendant à ce que je la déchire tout de suite. J’allai cogner légèrement sur l’hymen, mais ne voulut pas encore le forcer. Je ne voulais pas la traumatiser en le prenant comme une brute. En vérité, je prenais mon pied à la faire attendre ainsi ; espérant le coup de boutoir qui allait déchirer son hymen et le craignant en même temps. Je me régalais à la regarder espérer la délivrance, se crisper en croyant y être et se relâcher pendant le retrait de l’engin. Je fis la manœuvre quatre ou cinq fois, l’habituant ainsi à ce jeu de cache-cache. A la sixième fois, j’y allais franchement et la déchirais d’une forte pression du bassin. La douleur qu’elle ressentit à l’éclatement de son hymen lui fit pousser un long cri strident, suivi d’une crispation de tous ses muscles. Je laissai mon sexe enfoncé au plus profond de son vagin étroit, humide et chaud et l’embrassai longuement et tendrement pour l’apaiser. Je revins vers la sortie en prenant la précaution de ne pas dépasser le niveau de la blessure pour ne pas réveiller la douleur. Je fis ainsi quelque courts mouvement de va et vient tout au fond de son vagin. Elle commençait à retrouver le plaisir qu’elle avait au début avant la déchirure et se remit à gémir tout doucement. Je continuai un long moment à aller en venir au fond de son vagin, faisant attention à ne pas accroître l’amplitude du mouvement.
Elle reprit totalement confiance et se laissa aller. Elle prenait de plus en plus de plaisir à sentir mon gourdin faire des petits allers-retours tout au fond d’elle. De temps en temps je faisais faire à mon sexe des mouvements circulaires, toujours au fond du vagin ; Elle le sentait encore mieux et gémissait plus fort. Puis au bout d’un temps j’augmentais insensiblement l’amplitude des va et vient, jusqu’à arriver à l’emplacement de l’hymen déchiré et puis jusqu’à l’entrée du vagin. Elle eut encore un peu mal au passage du gros sexe sur la déchirure, mais très vite le plaisir l’emporta sur tout le reste. Maintenant, j’y allais franchement ; je ne prenais plus aucune précaution. Je l’agrippai par les hanches et je la tirai en poussant des hans de bûcheron à chaque fois. Mon gourdin allait et venait dans ce vagin si étroit, si chaud, si visqueux et si doux. Elle le ressentait très fort en elle ; elle aimait la manière vigoureuse dont il la pénétrait et prenait possession d’elle, en maître absolu des lieux. Elle adorait sa force, sa dureté et en même temps, sa douceur. Elle l’aimait. Et elle criait qu’elle l’aimait ; qu’il était son maître ; qu’il était son Dieu. Elle criait qu’elle allait jouir comme une folle ; que mon zob allait l’emmener au paradis. Et qu’elle voulait y rester, au paradis. Qu’il ne fallait plus qu’il quitte sa chatte ; que celle-ci était devenue sa seule maison.
Et puis elle poussa un très long râle et déchargea très fort, plusieurs fois, jusqu’à ce qu’elle s’écroule sur le lit en détendant tous ses muscles. Je restai en elle, le gourdin encore tendu. Je continuai à la piner plus en douceur, espérant réveiller ses sens rassasiés et la faire jouir encore une fois, avant que moi-même je ne décharge tout le foutre que j’avais accumulé. Je retournai au fond de son vagin et repris les lents mouvements d’allers-retours. Je lui soulevai le bassin pour que mon sexe aille au plus profond d’elle. Petit à petit, je sentis qu’elle s’animait et que le désir renaissait. Elle reprit ses petits gémissements et tortillait ses hanches pour accompagner le mouvement de mon gourdin dans son ventre. Elle referma les yeux et remonta dans son monde merveilleux pour savourer son plaisir. Elle souriait de bonheur tout en gémissant, balançant sa tête et bavant
Le spectacle de ma belle enfermé dans son paradis de plaisir accrut mon excitation. Je me mis à donner des grands coups de reins faisant voyager mon engin entre l’entrée du vagin et le fond ; de plus en plus rapidement et de plus en plus fort. Elle criait qu’elle était au paradis et qu’elle voulait y rester et y mourir ; qu’elle n’avait jamais eu autant de plaisir ; qu’elle était folle d’être restée vierge jusqu’à maintenant ; qu’elle aurait dû venir, il y a bien longtemps pour se faire dépuceler. Moi je n’y tenais plus. Mon sexe allait éclater tellement il était gonflé. J’accélérai le mouvement et nous eûmes en même temps un long râle de jouissance, qui me fit éjaculer une quantité incroyable de sperme à l’intérieur du préservatif et la fit décharger une autre quantité de jus à l’intérieur et à l’extérieur de son vagin. Nous nous affalâmes tous les deux épuisés.
Nous restâmes ainsi longtemps allongés l’un sur l’autre jusqu’à ce que notre souffle ait repris son rythme normal. Je me levai de sur elle et je regardais son entrecuisse qui était rouge de sang. Elle avait beaucoup saigné. Je lui demandais de vérifier si elle ne saignait plus. Le sang ne coulait plus. Je lui ai pris les mains pour les embrasser en signe de reconnaissance et d’amour.
– Je t’aime tant ! » lui dis-je.
– Pas plus que moi ! répondit-elle.
Nous prîmes une douche bien chaude et nous dormîmes comme des souches. Le lendemain nous passâmes, toute la journée au lit à nous aimer et à parler d’avenir et de la manière dont on allait annoncer cela à Nassima et Nawal. Je lui suggérai de passer par Nawal pour arranger les choses. Elle accepta, craignant d’affronter seule sa mère. Comme je n’avais pas le droit de l’appeler, je lui dis de lui dire de m’appeler dès qu’elle sera libre de le faire.
Nawal m’appela le surlendemain, curieuse d’apprendre ce que j’avais de si important à lui annoncer. Je lui racontai toute l’histoire, ne passant sous silence que les instants intimes que, me connaissant, elle pouvait facilement imaginer. Anxieux, j’attendis le verdict définitif de Nawal. Je savais d’instinct que la solution allait venir d’elle.
– Tu l’aimes vraiment ? Elle, je sais qu’elle t’aime depuis très longtemps. Et qu’elle m’en a voulu de t’avoir pris à elle. Ecoute, moi je crois que c’est la plus belle chose qui pouvait t’arriver, à toi d’abord, parce qu’Amal est une brave fille qui a toutes les qualités pour rester auprès de toi très longtemps et te donner beaucoup de bonheur. Pour elle aussi, parce que tu es un bon parti et un merveilleux coup. Et même pour maman qui verra « la prunelle de ses yeux » heureuse et casée. Mais il faut que tu décides à te caser. Si c’est le cas, je me charge de préparer maman et dans deux ou trois mois ce sera elle-même qui te demandera de l’épouser. Et puis pour moi et notre fils, c’est une merveilleuse nouvelle, parce que comme cela, devenus proches parents, nous pourront nous rencontrer souvent chez maman et tu pourras voir grandir ton fils et peut-être même lui donner des frères et sœurs.
Merveilleuse Nawal !Tout se passa comme elle l’avait prévu. Amal était partie faire sa formation en Angleterre pendant trois mois. A son retour, tout était arrangé. Nous nous mariâmes très rapidement et nous ne nous quittâmes plus. Je crois que je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie. Même Soraya, mon assistante, qui est certainement, la personne qui me connaît le mieux, a constaté que j’étais plus épanoui et plus heureux. Elle était réellement heureuse pour moi. Je pus voir souvent Nawal, plus belle que jamais et enceinte jusqu’au cou d’une fille, Nassima qui jouait à la mamie gâteau avec mon fils, ce dernier qui était un adorable bambin plein de vie et qui grandissait à vue d’œil. Il s’était attaché à sa tante et venait souvent jouer chez nous. Amel, elle était devenu pour moi le centre du monde. Nous eûmes deux enfants, un garçon et une fille, et nous nous aimons toujours comme au premier jour. Faisant l’amour comme des bêtes, dans tous les lieux et par tous les temps. Amel a pris goût aux jeux érotiques et découvre tous les jours de merveilleuses choses pour corser nos relations amoureuses.
– FIN –

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