On n’est jamais à l’abri d’une surprise.
Mon histoire s’est passée il y a quelques mois, déjà. Je ne sais pas pourquoi j’ai décidé de l’écrire, je pense que ça soulagera mon esprit. Pour un temps, au moins. J’espère.
Ma copine et moi, étions en couple depuis environ un an et demi et nous vivions ensemble, un petit appartement dans le centre-ville. Ce n’étailon/st franchement pas luxueux, dans les combles. Quatre pièces : salle de bain (une douche, grande, c’était d’ailleurs le seul truc de grand chez nous avec le lit), un salle à manger/cuisine, une chambre avec notre grand lit qui tenait à peine dedans) et un petit bureau. Froid en hiver, chaud en été. Qu’importe ! On était franchement très amoureux l’un de l’autre !
Nous étions tous les deux étudiants, moi en philosophie et lettres et ma copine en histoire de l’art. On payait le loyer avec notre salaire de notre job d’étudiant. Je bossais dans un fast-food comme un damné, histoire de ramener un peu d’argent et ma copine, elle était serveuse dans un bar. En fait, le propriétaire de notre appartement tenait le bar où ma copine travaillait.
Moi, c’est Cédric. 23 ans, je mesure 1,80 environ, très sportif, musclé, cheveux blonds bouclés. Je suis quelqu’un de timide, c’est ce qui a séduit ma petite amie. Mais honnêtement, étant du genre à éviter les conflits, à la limite du trouillard, ça ne jouait pas en ma faveur tout le temps. Surtout la fois où… Je vais y venir.
Elle, c’est Sophie… 20 ans, une des plus belles filles de la fac’, un vrai canon. Elle mesure environ 1 ,62m, 48 kilos, belles jambes, sportive, elle a les cuisses musclées, des fesses rebondies, des beaux petits pieds à la romaine (elle chaussait du 36), un ventre plat, de belles épaules, une poitrine magnifique avec des petits tétons (95c). Des longs cheveux noirs et les yeux en amende, verts, une bouche sensuelle, lèvres pulpeuses, des dents parfaites, un visage rond, un beau front. La peau mate de nature, elle avait les paumes des mains et des pieds légèrement plus claires, … Tout le monde me l’enviait.
Un jour, à la bibliothèque, je suis entré dans une petite salle annexe et un groupe de mecs parlaient en se marrant grassement devant un ordinateur portable, ouvert sur une page d’un réseau social. De loin, j’ai compris qu’il parlait d’une fille en disant d’elle qu’elle était bonne comme pas possible. Je me suis approché discrètement et j’ai compris que c’était de Sophie qu’ils parlaient…
– « Quel cul, putain ! Je lui mettrais bien ma langue dedans ! »
– « ‘tin ouais, je me ferais bien sucer par cette petite chienne ! »
– Rires gras…
Putain, j’enrageais ! Mais, je vous l’ai dit, de nature trouillarde, je n’ai rien dit, j’ai tourné les talons et je me suis tiré. Je n’en ai jamais parlé à Sophie. En moi-même, j’étais content de savoir qu’on la trouvait belle, et parfois, seul en y repensant, malgré moi, honteux, je bandais…
Niveau sexe, c’était franchement agréable : on baisait régulièrement, même si elle n’était pas fougueuse comme je l’aurais voulu. J’ai été le premier homme qu’elle a connu. Elle n’aimait pas trop les préliminaires, même si elle s’y laissait aller, pour me faire plaisir, je pense, mais bon ! C’était notre façon de faire. Je n’avais un sexe énorme, environ 16 cm et elle, elle n’était pas franchement du genre à être portée sur l’épilation et ce genre de trucs, mais elle le faisait, par hygiène, même si c’était très conventionnel, sa façon de se faire épiler.
Par contre, elle avait un cul magnifique, c’est vrai… Un sexe bandant comme pas possible, un petit abricot, mais comme elle n’était pas très épilation, on zappait souvent les préliminaires. Le reste, elle n’était pas particulièrement coquine, rien de sexuel avec son anus ! Hors de question ! Levrette, oui, on le faisait souvent, missionnaire, trop souvent… Quant à avaler, n’y pensons même pas ! Mais le reste, ça allait, je n’avais pas à me plaindre, je m’y étais habitué.
Hormis le fait d’être timide, j’avais un autre gros défaut. Enfin, deux. J’aimais bien boire mon verre, souvent plus que de raison, et l’autre, le pire, celui qui nous a amené à mon histoire, c’est le jeu. J’aimais beaucoup jouer au poker, en ligne ou dans des salles de jeu, parfois de manière clandestine. Et à force de jouer, il arrive qu’on gagne ! Il arrive qu’on perde aussi… Un soir, j’avais joué beaucoup et j’ai perdu pas mal, environ 1500 €. Les mecs avec qui j’avais joué avaient des têtes de taulards, et honnêtement, il ne valait mieux pas ne pas payer… Ils m’avaient clairement fait comprendre qu’ils allaient me « fracasser la gueule », si je ne payais pas dans le mois. J’ai eu la trouille et j’ai dû faire un choix. Soit je payais ma dette, soit je payais notre loyer (550 €). Le hic, c’est que j’allais manquer trois mensualités. Putain ! Pour ce taudis ? Je m’arrangerais avec le proprio’, ce gros porc qui ne passait jamais, de toutes façons ! Je l’avais appelé il y a deux mois pour réparer la douche, et il m’avait envoyé balader ! Hors de question de demander à mes parents ou à ceux de Sophie, ils étaient fauchés, comme nous. Donc, j’ai fait un choix, et j’ai aussi décidé de faire le mort avec le proprio’.
Un soir, j’étais seul à l’appart’ (Sophie était partie chez ses parents pour le week-end), on frappe à la porte. C’était le proprio’, Mr. Didier. Une dégaine incroyable. Bourré de fric mais radin avec son personnel et ses locataires, il était très bling-bling. Un gros, genre 1,70m, 120 kg, gras, sentant l’eau de toilette à 10 km. Un air de pervers, Sophie me disait qu’il la mettait mal à l’aise.
– Oh ! Bonsoir Mr. Comment allez-vous ?
– Ferme-la ! Petit con ! Mon loyer ? Tu crois que ça me plaît de venir jusqu’ici ? Je veux mon fric.
– Ah, heu… C’est-à-dire, que voilà, j’allais vous appeler, j’ai un petit problème, je voulais savoir si je pouvais vous payer plus tard ?
Il m’a regardé comme si j’étais un clown et m’a clairement fait comprendre qu’il n’avait pas envie de rigoler… J’ai bien été obligé de lui avouer que j’allais pas pouvoir payer pendant trois mois.
– Soit je te pète les genoux, soit tu payes. Au choix !
La trouille au bide, je cherchais des solutions. Je lui ai proposé de travailler pour lui, refus. Je lui ai proposé de le payer plus tard, avec indemnités de retard, refus.
Puis, j’ai pensé à Sophie ; elle travaillait déjà pour lui, pourquoi pas une retenue sur salaire ?
– Hé, mais t’en con ou quoi ? J’la paye déjà pas grand-chose, il va me falloir des mois et des mois avant de voir mon fric, connard ! Là, il me poussait violemment, j’avais la trouille et je sentais les larmes monter… – En plus, vous allez bouffer quoi ? Non, oublie ça !
Mais, puisque t’en parle, de ta meuf… – Oui ? – Hé ben, c’est simple, tu nous prêtes ta copine. Bonne comme elle est, ça devrait le faire !
J’étais estomaqué. Je ne savais plus quoi dire.
– Heu, je … Quoi ?
– T’es bouché ? Ta copine, son cul, et on parlera règlement de dette. C’est oui, on s’arrange. C’est non, on parlera de tes genoux, ou de tes bras. Alors ? M’a-t-il lancé agressivement.
– Je sais pas, je, … Je tremblais, j’avais le souffle court, je me sentais mal. Puis il a dit, – Écoute, t’as deux jours pour la convaincre. Après, … Je sais ou te trouver ? T’as pigé ? Il s’est levé, ma tapoté la joue de sa grosse main calleuse, et il est parti.
Putain, je savais pas quoi faire, je ne savais plus quoi dire, elle devait rentrer le lendemain matin.
J’ai pas dormi de la nuit, enchaînant entre les phases de sommeil, les réveils en sursaut, je bandais malgré moi, mais merdre, enfin, c’était ma copine, quoi ! Je l’aimais, comment j’allais pouvoir lui en parler ? Comment j’en étais arrivé là ?
Le lendemain, elle est arrivée vers 10h00, toute fraîche, toute joyeuse. – Bonjour, mon chéri, comment ça va ? Petit bisou sur mes lèvres, petite parlotte sur ses parents, leurs difficultés d’argent, me disant que ça commençait seulement à s’arranger et qu’elle ne voulait pas les brusquer, d’autant que son père avait quelques ennuis de santé. Comment j’allais mettre ça sur la table ? Bon sang…
– Tu te sens bien ? Tu as l’air malade. J’étais blême, évidemment. – Oh, je non, rien, ça va. – D’accord ! Je vais courir avec des amies aujourd’hui, OK ? – Heu, OK, ma chérie… Moi, je dois aller à la bibliothèque, on se voit c’soir ? – OK, mon cœur, je vais sûrement aller prendre un verre après, je ne rentre pas tard, j’ai pas beaucoup d’argent, j’ai dû en donner à mes parents pour leur voiture. – Ah, heu, je, oui, bredouillais-je bêtement.
Elle m’embrassa langoureusement, a tourné les talons, habillée en jogging (quel beau cul, en effet…), et elle est partie. – Je t’aime ! Oh, ma chérie, si tu savais…
J’y ai pensé toute la journée, évidemment, j’ai rien su faire de constructif de la journée. En arrivant à deux rues de l’appart’, une grosse berline klaxonne, c’était le propriétaire. – Hé, branleur, amène-toi. Tiens ! Il m’a tendu une enveloppe. Au cas où ma petite serveuse dirait oui, voilà mes instructions. Que voulait-il dire par là ?
– Tu lui en a parlé ? Grouille, espèce de minable, n’oublie pas tes genoux… Il a démarré, et je suis resté comme un con, l’enveloppe à la main.
J’ai couru jusqu’à l’appart’, ouvert la fameuse enveloppe. Un mot, tapé à l’ordinateur détaillait comment Sophie était supposée s’habiller, se préparer, au cas où il devait venir « la voir ». Elle devait s’épiler le maillot, raies des fesses, sexe, en laissant une ligne sur le dessus. Elle était supposée se faire un lavement. Pourquoi ? La vache ! Il avait préparé son coup, le gros porc… Ensuite, pédicure, manucure, maquillage et, habillement : hauts talons, ouverts, une robe courte transparente. Des bijoux. Il voulait quoi, ce porc ? En faire une pute ? C’était logique, pensais-je… J’ai eu rire nerveux. Bon sang, où j’étais supposé trouver le pognon pour tout ça ? J’ai regardé instinctivement dans l’enveloppe, quatre billets de 50 € s’y trouvaient. J’ai levé les yeux vers la pendule, 18h00, Sophie allait rentrer. J’ai attrapé une vieille bouteille d’alcool qu’on avait, et j’ai bu, pensant me donner du courage. Une chartreuse dégueulasse… Une heure après, Sophie est rentrée. – Je file sous l’eau, Cédric ! Elle réapparut en string, seins nus (qu’elle était belle…) et entra dans notre chambre en chantonnant. J’ai bu deux verres de plus, et je me lançai.
J’ai poussé la porte, elle était dos à moi, à genoux, occupée à trier des notes de cours. Elle était vraiment sensuelle.
– Ma chérie, je dois te parler… Elle s’est retournée, l’air un peu effrayé. – Quoi, rien de grave, j’espère ? Si, justement…
Je lui ai tout dit : le jeu, les menaces, les choix, la peur, le proprio’ (ce gros dégueulasse), sa proposition indécente, l’enveloppe, … Tout. Elle a commencé à pleurer, j’en étais malade. J’espérais un miracle… Elle dit non, catégoriquement, c’était non. J’ai expliqué les menaces, ma peur, l’amour que j’avais pour elle, puis, elle s’est tue, elle sanglotait, assises, la tête entre les genoux. On est resté deux bonnes heures comme ça, à pleurer tous les deux. Elle m’a posé des tas de questions ; « Juste lui ? Je dois baiser avec ce porc ? Quand ? Comment tu as pu ? Je croyais que tu m’aimais ! Comment tu as pu lui dire oui ?! », etc.
Elle a vu que j’avais bu, elle a réclamé un verre, puis un autre, pour enfin commencer à se calmer et, elle a lâché un timide « oui », du bout des lèvres, ses magnifiques petites lèvres. On allait en reparler, de ses lèvres…
On s’est endormi dans les bras l’un de l’autre, vers 03h00 du matin. Le mardi, en me levant, j’ai vu qu’elle était partie. Mal la gueule, j’ai attendu. Vers 15h00, elle est revenue avec des sacs de boutiques. Elle est allée s’asseoir dans notre fauteuil qui tombait en miettes, jambes croisées sur le côté. Elle n’a pas dit un mot. Puis, – Appelle-le, m’a-t-elle lancé. Elle le connaissait, bien sûr, elle travaillait pour lui, même si elle m’avait dit qu’il était plutôt du genre à venir ramasser le fric et aboyer sur le personnel qu’autre chose. J’ai donc appelé.
– Ah, c’est toi ! Alors ? – Elle a dit oui, dis-je. – Parfait, parfait, hahaaa… Il jubilait. On sera là demain soir.
« On » ? Comment ça, « on » ? Qu’est-ce qu’il voulait dire ?
Sophie m’a enlacé (premier geste d’affection depuis bien longtemps), et m’a dit qu’elle le faisait pour moi. Qu’elle m’aimait. J’étais encore plus mal.
Une attente horrible ! Le jour suivant, elle est allée au salon d’esthétique une bonne partie de la journée (il devait venir le soir-même). Vers 17h00, elle est rentée, elle s’est déshabillée dans la chambre, elle est repassée nue dans le salon pour aller vers la salle de bain et j’ai pu ent****rcevoir une petite toison au-dessus de son sexe… J’ai commencé à bander… Elle avait à la main une sorte de poire en caoutchouc, transparente. Elle a refermé la porte et j’ai entendu la douche couler. Elle est restée deux bonnes heure dans la salle de bain. Quand elle est sortie, tête baissée, elle était encore nue et est allée s’enfermer dans la chambre. Pas un mot. Je trouillais.
Vers 21h00, on a frappé à la porte. Mon cœur battait à 100 à l’heure. – Ouvre !
J’ai ouvert, et j’ai vu trois types dans le couloir sombre. Didier, le proprio’, un autre gros plus petit, aussi bling-bling que Didier avec un air de ressemblance frappant. Puis, un autre mec que je n’avais jamais vu, légèrement plus grand que les autres (presque ma taille), de même genre que les autres.
– Mais, vous aviez dit que, enfin, je devais vous la prêter à vous, je… Je ne savais pas quels mots sortir, qui a jamais eu à parler comme ça ?
– T’es con, ou quoi ? Le mot « associé », ça te dit quelque chose ? Lui, c’est Robert, mon frère (d’où la ressemblance) et lui, c’est Karl, l’autre propriétaire. On a ce bâtiment à trois, bête type ! Tu t’imagines que si je me tape ta meuf, eux, ils vont en penser quoi ? Comment ils vont être payés, hein ? Rires gras des deux autres.
– Heu, je, oui, enfin, je suppose…
– ‘tin, il fait chaud dans c’t’appart’ ! Ils enlevèrent leurs vestes, ils étaient en chemises, genre à fleurs, on voyait leurs énormes bijoux en or dépasser de leur chemise, ainsi que leurs poils grisonnants. Ils faisaient sales, mais ils ne l’étaient pas, c’était déjà ça, pensais-je.
Ils avaient apporté à boire, whisky, rhum, vodka, en grosse quantité, 6 bouteilles au moins… La vache ! L’un deux avait une petite valise, j’allais comprendre ce qu’il y avait dedans plus tard.
– Didier a dit, bon les gars, vu que c’est moi qui ai trouvé le truc, c’est moi qui démarre, ensuite, toi, Karl, puis toi Bob, OK ? – Ouais ! Dirent-ils.
On avait un fauteuil trois places plus un deux places. Didier s’est assis dans le deux places, Bob et Karl dans le grand qui était presque en face de la porte de la chambre. Le deux places, sur le côté. Moi, je me suis assis sur une chaise à dossier, avec le sentiment d’être transparent. Ils en étaient déjà à leur 3ème verre quand on entendit du mouvement venant de la chambre. Sophie allait arriver…
La lumière du salon était tamisée, mais on voyait nettement. Enfin, la porte s’est entrouverte…
La vache, j’ai été le premier à la voir. J’étais scié. D’ordinaire, je trouvais Sophie plus qu’attirante, mais là, j’aurais vendu mon âme pour ne serait-ce que renifler dans son cou… Elle était stupéfiante. Elle portait des escarpins noirs d’où on pouvait voir ses petits pieds sexy, elle portait la fameuse robe transparente, avec juste un tout petit string, pas de soutien-gorge, elle avait un bijou à la cheville, une chaînette autour de la taille, elle était maquillée outrageusement, les lèvres avec du rouge, un collier serré autour du cou, les cheveux tirés en arrière, en queue de cheval. J’aurais vendu mon âme pour elle oui. Je l’avais fait, mais je n’allais pas en profiter le moins du monde, ce soir. J’en étais malade…
– Oh, la vache ! Dit Bob, quelle bombe ! Putain… La nuit qu’on va se payer ! Les autres embrayèrent dans les qualificatifs dégradants. Elle s’est plantée tête baissée eu milieu du salon, pas un regard pour moi. Immédiatement, Didier lui a servi une bonne dose de vodka qu’elle dû avaler cul-sec, histoire de la détendre. Il lui demanda si elle avait bien compris ce qu’on attendait d’elle, elle répondit un timide « oui ». Parfait ! Dit-il. Sur ce, il s’approcha d’elle (avec les talons, elle avait son visage presque à hauteur du sien). Il l’embrassa goulûment, elle essayait de résister, mais elle finit par lui rendre son baiser dégueulasse, il lui pelotait le cul, passant sa main entre ses fesses. Il s’est mis à lui lécher le visage comme un gros sale, je pleurais doucement, en silence. Il s’est reculé et a déboutonné sa chemise laissant apparaître un ventre énorme, plein de poils. Il se déshabillait, les autres se tripotaient l’entre-jambes. Il s’est retrouvé en slip, et demanda à Sophie de le lui enlever. Elle s’est exécutée, tremblotante, laissant apparaître une queue énorme, environ 20 cm à vue d’œil, voire plus, et surtout, deux énormes couilles, lisses, qui pendaient en dessous de sa queue déjà à moitié dure. – Allez ma grande, suce-moi la queue… Elle se mit à genoux, hésitante, et commença par lécher doucement cette queue impressionnante. – Prends un autre verre, whisky, cette fois, ça va te chauffer ! Elle but difficilement le fort breuvage, et dû se remettre à l’ouvrage, sous les encouragements sans appels de ce cochon. Là, elle la prit en bouche, difficilement, elle qui n’affectionnait pas la fellation, mais là, elle n’avait pas le choix… Elle lui tirait une pipe du genre qu’elle ne m’avait jamais faite. J’étais vraiment mal, mais putain, quelle trique j’avais… Didier l’encourageait, lui disait qu’elle faisait ça bien, lui demandait de lui lécher les couilles. Elle le suçait depuis 10 minutes maintenant et le malaise qu’elle avait montré au début commençait à la quitter. Le porc lui, grognait comme une bête, il a dit qu’il allait éjaculer, là elle a fait mine de reculer mais, pas le choix hélas, elle dû avaler le sperme de ce cochon… J’ai compté au moins 5 fois où elle a dû déglutir, pendant que cette bête se vidait les couilles dans la bouche de ma chérie…
– Bois encore, puis viens près de moi, beauté ! Dit Karl. Elle s’est exécutée, puis s’est mise accroupie pendant que Karl enlevait son pantalon, puis son slip. Là encore, grosse queue, aussi longue que celle de Didier qui se caressait la queue tout en buvant un whisky qu’il venait de se servir. Et encore, Sophie s’est mise à sucer. Le gars lui tenait la queue de cheval et faisait aller sa tête de haut en bas. – Passe ta langue autour de mon gland, ouais, haaa, mouille bien ma queue, ma chérie… Comme ça, ouiii, c’est bon, tu es douée tu sais ?! Elle pompait, encore, et encore, et encore, elle lui caressait ses énormes couilles tout en suçant. Elle était douée, pensais-je. Je n’avais jamais eu droit à pareil traitement… Elle était tellement douée que l’inévitable se produit, ce dégueulasse a éjaculé dans la bouche de Sophie qui n’eut d’autre choix que d’avaler une bonne dose de sperme, à nouveau… Puis, instinctivement, elle s’est agenouillée l’air hagard face à Bob qui avait déjà enlevé le tout, laissant apparaître une queue qui n’avait rien à envier aux deux autres. Et encore, elle dû sucer, sucer encore, lécher ses grosses couilles. Elle gardait les yeux fermés, je devinais qu’elle se sentait honteuse, mais je me sentais impuissant, au contraire de ma queue qui ne demandait qu’à expulser trois jours de foutre…
Enfin, il a éjaculé et, de nouveau, elle avala le sperme de ce type, difficilement cette fois. Il lui en coulait sur le menton. J’étais excité comme jamais…
Puis, Didier s’est levé, l’a attrapée par la taille, l’a tournée vers moi (je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer que le sperme au bord de sa bouche et sur son menton avait disparu, sans qu’elle ne se frotte la bouche, justement…), et a commencé à lui enlever sa robe. Il s’est mis accroupi et a abaissé son petit string, elle était maintenant totalement nue. Il l’a amenée sur le fauteuil, et lui a demandé de se mettre sur le côté de celui-ci, s’est assis et lui a demandé de le sucer à nouveau, pour le faire redémarrer. Une fois à nouveau en forme, il l’a mise à genoux sur le fauteuil, les coudes sur l’accoudoir et à commencer à lui bouffer son cul par derrière. Clairement, de là où j’étais, je voyais bien sa grosse langue dans son anus, son pouce dans sa chatte. Elle gémissait, mais elle n’avait pas un regard pour moi. Ça a duré comme ça, environ 10 minutes jusqu’à ce qu’il se décide à la pénétrer. L’ultime tabou, pensais-je ? Non, j’allais m’en rendre compte plus tard. Sa queue à l’entrée de sa petite chatte, il la pénétra lentement, je voyais chaque centimètre entrer dans la chatte de cette fille que j’aimais tant. Une fois au trois quart en elle, il agrippa ses hanches et commença à la baiser sauvagement, et sans capote… Heureusement qu’elle prenait la pilule… Elle hurlait ce qui semblait être des cris de plaisir et je voyais l’énorme bide de Didier claquer contre ses fesses… Ce spectacle était hypnotique… Il s’est mis à la fesser, lui arrachant des petits cris aigus. Puis, il a mis son énorme pouce en bouche, pour le mouiller. Là, il a commencé à lui entrer lentement son pouce dans l’anus. Il s’est tourné vers moi pour que je n’en perde pas une miette. Je n’avais pas remarqué que Karl avait ouvert la valise et en avait sorti un plug anal, plug qu’il a présenté à la bouche de Sophie qui, hébétée, a ouvert la bouche par réflexe pour le sucer, tout en se faisant baiser en levrette par Didier. Karl le lui enleva de la bouche pour le donner à Didier qui, à la place de son pouce, inséra le plug dans le petit cul de Sophie. Là, j’ai compris qu’ils avaient la ferme intention de l’enculer… Avait-elle compris aussi ? Je n’en avais pas la moindre idée. On était arrivé à un tabou plus loin, apparemment. Elle ne protesta pas, en tout cas. Didier s’est ensuite retiré pour que Karl prenne sa place derrière elle. Didier a ensuite présenté sa queue à Sophie qui l’engloutit sans protester, pour avaler sa quatrième dose de foutre de la soirée. Bob, lui servait un verre aux autres.
– La vache, Didier, t’es un génie ! – Haha ! Quand on a une opportunité, on la saisit, les gars ! – Putain, c’qu’elle est bonne ! Hé petit ! Me dit-il, tout en baisant ma Sophie. Franchement, ta copine, c’est une vraie bombe, d’habitude, je paie pour un cul comme ça ! Ses seins ballottaient, ses fesses claquaient. J’étais hypnotisé. Ces types gras avaient de l’énergie, malgré tout !
Puis, Karl se retira et fit mettre Sophie à genoux face à lui pour décharger dans sa bouche. Et de cinq, me dis-je, la queue plus gonflée que jamais. Sophie avala à nouveau du foutre et bu une autre dose de whisky, pour ensuite se diriger vers Bob, qui la fit s’asseoir sur sa queue, un plug toujours dans le cul. Tout en la baisant et en lui léchant les seins, il lui enleva délicatement le plug, n’omettant pas de le lui mettre dans la bouche. Je comprenais maintenant ce qu’était la fameuse poire en plastique dont Sophie s’est servie sous la douche. Elle était propre de partout, donc… Il lui mit un doigt dans son cul, tout en continuant de le baiser. Sophie avait la tête en arrière, les yeux fermés et elle se mordillait les lèvres. C’était absolument incroyable, comme spectacle…
Peu de temps après, enfin, il me semble, Bob s’est mis à grogner et, de nouveau, Sophie dû se mettre à genoux et avaler du foutre. La vache, quelle endurance, tous les quatre ! Je me sentais comme un fantôme, sur ma chaise, je transpirais comme un fou, et j’avais maintenant la main sur la queue.
Là, ils l’ont prise à deux, un devant dans sa bouche, l’autre derrière dans sa chatte. Ils alternèrent ainsi un bon moment, tout en claquant ses fesses qui rougeoyaient bien, à présent. Ils la firent se mettre sur le dos, Karl releva ses jambes et Bob lui frottait sa queue sur le visage, en riant grassement. Didier lui, me regardait souvent, l’air narquois, contant de m’humilier apparemment. Là, Karl lui enleva ses escarpins qu’elle portait depuis près de 3 heures maintenant, les jeta au milieu de la pièce et lui pris les chevilles, les jambes écartées. Bob avait sa queue dans sa bouche maintenant. Karl approcha son pied droit et le lécha du talon aux orteils qu’il se mit à sucer en bavant. Ça les rendait a****l de baiser une si belle fille qui d’ordinaire, ne regardait pas les gros porcs ventrus qui avaient deux fois son âge, facilement… Ils jouirent à deux minutes d’intervalle, Bob, le premier dans sa bouche, Karl, sur son ventre. J’ai pas pu résister, à force de me toucher, j’ai éjaculé dans mon futal, au moins 8 jets, je sentais le sperme couler le long de ma cuisse… Putain, j’étais effondré…
Là, Didier, après avoir dit à Sophie de s’essuyer le sperme sur son ventre, lui dit qu’elle pouvait aller à la salle de bain se rafraîchir un peu. Elle était en effet dans un drôle d’état ; le cul rouge, la chatte coulante, l’anus moins serré qu’à l’ordinaire, les lèvres gonflées, la bouche endolorie. Pas un regard pour moi, elle est allée vers la salle de bain pour revenir 5 minutes après, remaquillée. Là, ils sont allés vers la chambre. Bob se coucha sur le lit et fit Sophie s’installer sur sa queue. Karl s’est mis à genoux sur le côté pour se faire sucer et, Didier commença à ouvrir un tube de gel transparent qu’il a badigeonné sur l’anus de Sophie, en lui mettant un doigt dans le cul. Il s’est badigeonné la queue de gel aussi et s’installa derrière elle. De là où j’étais je voyais tout, surtout quand Didier plaça sa queue sur l’anus de Sophie qui criait comme une folle, sans prononcer le moindre mot. Il la pénétrait doucement, en rythme avec les autres. J’ai regardé environ 10 minutes, quand j’ai aperçu un petit morceau de tissu, entre le fauteuil trois places et une bouteille de whisky. Je reconnu le string de Sophie, celui-là même que je lui avais offert pour son anniversaire… Je l’ai ramassé et j’ai été surpris de réaliser qu’il était trempé… Je l’ai approché de mon nez et j’ai immédiatement reconnu l’odeur de l’excitation… Putain, elle était excitée de la situation ! Je bandais de plus belle… J’ai tourné la tête et j’ai compris qu’ils avaient arrêté de la partouzer, pour l’enculer un par un. C’était dingue… Bob l’enculait sauvagement, puis, il s’est retiré et a éjaculé sur son cul. Karl, lui, a présenté sa queue devant sa bouche pour se faire sucer, tandis que Didier se branlait lentement en lui caressant la chatte par derrière. Karl na tarda pas à jouir, encore, dans sa bouche… Il sortit en compagnie de Bob et ils allèrent vers la salle de bain. Didier, présenta sa queue à son petit abricot, et la pénétra lentement, en tournant la tête vers moi, un large sourire sur son visage de porc. Ce sont les deux autres qui m’ont fait sortir de ma rêverie : – Dis-donc, machin là, tu devrais appeler ton proprio’ ! Elle coule fort ta douche ! Hahahaha Putain t’es con Karl ! Je n’avais même pas envie de répondre… Ils se tournèrent pour se rhabiller. Je retournai à ma vision, mi-horreur, mi-spectacle excitant… Et de fait, je bandais de nouveau. Là, Didier donnait Sophie de plus en plus fort, il hurla comme un bête, se vidant les couilles dans la chatte de la fille dont moi, j’étais amoureux… Quel enfer… Il fit le tour de Sophie qui resta le cul en l’air et se fit nettoyer la queue. Il me regardait, méprisant de son sourire sale. Il comprenait que je jouissais dans mon pantalon. La tache était bien visible, maintenant. Il lui prit le menton, releva son visage vers lui, pressa ses joues et lui dit : – Quand tu veux pour remettre ça, ma chérie. J’ai pris un pied incroyable… Allez les gars, on y va. On se reverra, branleur ! Je sais pas encore si ta dette va être payée si facilement ! Hahaha !
Je les ai raccompagnés à la porte. Une fois fermée, je me suis appuyé dos à la porte, et j’ai attendu. Seul, dans le noir du petit hall d’entrée entre un placard et la porte de la salle de bain, je chialais… Au bout d’un moment, je ne sais pas combien de temps, je me suis décidé à aller voir comment allait Sophie. En entrant dans le salon, je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer que ça puait la baise et le sperme. J’en étais malade… Je me suis tourné vers la porte de la chambre. J’ai vu Sophie, couchée sur le ventre, les jambes légèrement écartées. J’étais persuadé de la retrouver en miettes, détruite moralement par les assauts répétés de ces porcs, par les outrages qu’ils lui avaient fait subir. Elle ne pouvait pas me voir, de la façon dont elle était allongée. En regardant attentivement, j’ai remarqué qu’elle se massait le sexe, tout doucement, avec sa main entre son ventre et le lit. Puis, lentement, elle amena sa main vers sa bouche… Elle répéta le geste deux fois avant que je ne réalise qu’elle amenait le sperme qui coulait de son sexe à sa bouche… Est-ce que ça avait été une si rude épreuve, pensais-je… ? En tout cas, notre vie sexuelle allait en être chamboulée pour toujours… On n’est jamais à l’abri d’une surprise…
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