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premier adultère : elle ne suce pas de bite (suite

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Il fallait bien que je la remercie comme il se doit pour ce merveilleux quart d’heure passé à me faire aspirer les boules avec ardeur.

Me faire sucer langoureusement les couilles, j’ai toujours adoré cela. Ma femme me l’avait bien fait quelquefois, quand nous étions un jeune couple, mais cela ne s’était pas reproduit depuis trop longtemps. Je me suis demandé, juste après avoir juté, comment j’avais pu me passer de ce plaisir depuis quelques années ?
De cette sensation de soumission mutuelle : la dame à genoux, soumise à son amant, et l’homme debout, offrant ses parties les plus précieuses au bon vouloir de sa maîtresse.
Je me disais déjà que ma femme allait devoir retrouver le chemin de mes couilles, ou alors elle ne restera pas cocu qu’ une seule fois…

A mon tour de m’occuper de ma partenaire. Alors que nous nous embrassions debout, j’entrepris délicatement d’enlever la jupe de son tailleur puis de l’asseoir sur la table de réunion. Elle portait une petite culotte rouge. J’aime cette couleur, je ne lui ai pas enlevé tout de suite. Son regard plein de sensualité ne me lâchait pas une seconde. Elle savait que c’était à son tour de profiter, bien que sa position, le dos sur la table de réunion, ne devait pas être très confortable.
Je pris ses jambes pour les lever en l’air, puis je pris ses mains pour les mettre sous ses genoux, de façon à ce qu’elle maintienne elle-même ses jambes plaquées contre son ventre, me laissant plus de liberté.
J’avais les mains libres, mais c’est pourtant avec les dents que j’arracha sa culotte. Cela l’a fit un peu rire. Moi aussi.

Elle avait une belle chatte, parfaitement épilée, avec juste un fin filé de poils pubiens, des petites lèvres roses humides, une chatte bien ouverte, dans l’attente insoutenable de se faire pénétrer. Sans plus attendre, j’y ai enfoncé deux doigt qui glissèrent sans effort tellement son vagin était trempé. Ses gémissements étaient de plus en plus fort au fur et à mesure que j’excellerai le mouvement. Je me mis à lui lécher le clito et c’est là que j’ai eu droit au premier « oh putin !!! » prononcé par cette femme magnifique et si classe en temps normal. Cela m’interpella quelques instants mais je continua mon travail.
Son petit trou était lui aussi appétissant, mais je me refusait à y goûter. Si elle refuse de sucer ma queue sous prétexte que c’est avec ce même organe que les hommes urinent, je me suis dit qu’elle trouverai inappropriée de lécher ou ce faire lécher l’anus…

Depuis 10 ou 15 minutes que je léchais et doigtais sa chatte, ma queue avait retrouvé sa taille optimale, dure comme un barrot de prison.J’étais très excité à l’idée de baiser sa superbe chatte, moi qui n’avait baisé que celle de ma femme ces 8 dernières années. Ma femme a une très belle chatte également, bien étroite, mais en goûter nouvelle, que ce fut bon !

Je me redressa, tira ma partenaire par les cuisses pour la rapprocher du bord de la table.
Elle me dit alors : « ouvre mon sac, j’ai des capotes ».
Je lui fis alors une des réponses les plus stupides de ma vie : « pas le temps pour ca, il faut que je te baiser tout de suite »
Et je m’enfonça en elle immédiatement. Elle ne protesta pas, elle gémit de plaisir approbateur.
Avec le recul, c’est vraiment bête de ma part et à ne plus jamais refaire. Quand on pense au conséquence que cela peut avoir…

Je ne pris pas le temps non plus de lui mettre des petits coups de bite pour commencer. Je fit tout de suite de grands va et viens rapides et profonds. J’ai eu droit à plusieurs  » oh Putin oui » et des « vas-y » pour m’encourager. Je n’en avait pas franchement besoin…
Elle tenait toujours ses jambes repliées sur son ventre. Je n’avais pas encore peloté ses seins. J’entrepris d’ouvrir son chemisier. Cela me fit ralentir la cadence des coups de queue. C’est certainement pour cela qu’ elle fini par ouvrir les boutons à ma place. Je remonta assez sauvagement et maladroitement son soutien-gorge pour accéder à ses deux beaux petits seins. Je caressais ensuite successivement l’un et l’autre en tira parfois ses tétons pointus. Elle m’encouragea encore à sa manière.

Après 15 bonnes minutes de pilonnage, je sentis que le moment était venu de l’arroser de ma semence. Je ressorti ma queue de sa chatte trempée sans prévenir et lançais cinq ou six jets de sperme. Les deux premiers terminèrent leurs courses entre ses seins ( comme quoi on avait bien fait d’ouvrir le chemisier). Les autres jets ruisselèrent de son clito jusque son anus. Cette vision me remplit de satisfaction. Madame l’était également.

Après quelques minutes pour se remettre de nos ébats, et un petit café à la machine dans le couloir, nous avons fait quelque chose de très professionnel : nous nous sommes assis à la table de réunion pour terminer l’étude du dossier là où nous nous étions arrêtés.
20 min plus tard. Elle me souhaita bonnes vacances. J’en fit de même. Elle partait deux semaines à Biarritz, avec son mari et son fils.

Voila, c’était ma première relation adultère.

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