Sylviane – Masturbation métropolitaine
Je suis peut être une nymphomane, mais je ne connais guère de jours durant lesquels je n’ai pas eu au moins 1 orgasme. C’est presque une impossibilité pour moi. Certes quand je suis malade il m’arrive de déroger à cette règle tacite entre moi et moi qui veut que satisfaction bien ordonnée commence par moi même. Certes j’ai des amies qui comme moi ne peuvent s’empêcher de s’envoyer en l’air dans une journée sans galipettes. Mais plus nombreuses sont celles qui ne pratiquent pas assidûment la masturbation.
Cette habitude je l’ai prise étant gamine et à partir du moment où j’ai compris le plaisir que je pouvais me donner.. J’en ai usé.. voir abusé. Au début c’était que je manquais de partenaires.. Pas facile quand on est gamine surtout si on veut faire comme les copines de passer son temps à se caresser. Puis vient le moment où l’on a des copains qui voudraient bien vous rendre ce service mais qui en veulent un peu plus et donc on passe son temps à fantasmer sur les dits copains en s’usant le bout des doigts.. Puis arrive le moment où c’est à notre discrétion, si l’on veut s’envoyer en l’air on dit oui et c’est tout. Maintenant me direz vous encore faut il qu’ils ne soient pas trop maladroits.
Question de nature sans doute, il ne se passe pas une journée sans que j’ai une furieuse envie de prendre mon pied. Ce peut me prendre à tout moment, en pensant à un événement survenu ou à venir. Je démarre au quart de tour et une fois que cette envie est en moi, ancrée et présente il faut que je l’assouvisse. Ensuite la fréquence, honnêtement il faut au moins une fois par jour que je me donne du plaisir. Non pas que j’en manque à la maison. La plupart des matins nous faisons l’amour avec mon mari, le soir quand il est là on ne tiens pas sans se faire un câlin. Pour autant dans la journée il y a toujours un moment ou cette envie s’impose à moi. Et il faut que je la contente. Certes je crois qu’il y a maintenant une part de jeu, de rituel dans ces coups de folie. J’admets que certaines fois c’est pour le jeu que je cède à la tentation. Rien de plus jouissif que de se donner du plaisir dans les situations les plus improbables et les lieux insolites.
Ce n’est pas si vieux, j’ai eu un coup de fil d’une amie très chère alors que j’étais dans le métro. Elle nous invitait Christian et moi à une soirée coquine dont elle m’a raconté en partie le menu. Je prenais le métro peu après. Et dans la cohue je ressassais les diverses mignardises qui étaient prévue pour cette soirée. Comme toujours pressés les uns contre les autres, je me faisais mon petit film dans ma tête et j’ai senti monter en moi une envie de me caresser. Profitant du monde je réussis à glisser ma main entre deux boutons de ma robe, juste à bonne hauteur. Mon sein gauche frottait déjà depuis un moment contre une barre et le téton était tendu. Un jeune homme me tournais le dos et j’avais sa nuque devant moi j’étais tentée de la mordiller tellement j’étais excitée. Son eau de toilette était agréable et m’emplissais les narines reléguant au loin les odeurs moins agréables qui nous assaillent en ces lieux. Mes doigts glissaient sur ma petite culotte, dessinant mon abricot , je sentais déjà pointer mon clito en haut de ma fente. Je glissais légèrement mon pied pour ouvrir un petit peu le compas de mes cuisses. Puis mes doigts franchirent le frontière de l’élastique de ma culotte. Un monsieur d’un certain âge se trouvait souvent pressé contre mes fesses. Il ne s’en doutait pas le pauvre, il aurait peut être aimé. Mais ce contact répété m’excitait, dans ma tête je l’imaginais la queue à l’air en train de se frotter contre mes fesses fermes. Mon sein se pressait contre cette barre un léger mouvement du torse faisait frotter mon téton. Je le voyais pointer sous ma robe légère, je regrettais d’avoir mis une culotte. Mais mes doigts allaient et venaient dans ma fente qui par instant recevait un petit coup d’air non pas frais mais plus frais que la température de ma chatte qui montait en flèche. Je me mordais les lèvres pour ne pas gémir. Mon clito était maintenant sorti de son capuchon à force de caresses et je commence à mouiller abondamment.
Hélas !! voilà ma correspondance, prestement je sors ma main de sous ma robe et là je vois mes doigts luisants et mouillés. Je n’hésite pas une seconde a les mettre dans ma bouche et à lécher tout en me préparant à descendre de la rame. Et là sur le quai je commence à marcher. J’ai une sorte de flash de plaisir qui m’envahit. Chose non prévue et compte tenu de la taille de mon clito il est sorti, saillant et gonflé et il frotte décalotté contre ma culotte. C’est proprement génial ou l’enfer au choix. Chaque pas semble me rapprocher d’un orgasme imminent. Le frottement stimule mon bouton à chacune de mes courtes enjambées. Heureusement que ma peau est sombre sinon j’aurais le rouge aux joues c’est certain. Je marche lentement car la sensation est vraiment forte. Tant pis si je manque ma correspondance je ne suis même pas sure que je vais tenir. L’idée même sue je puisse jouir comme çà m’excite encore plus. L’inquiétude aussi grandit car je me demande si les gens ne se rendent pas compte de mon état fébrile. Mes lèvres sont grasses et humides je les sens frotter l’une contre l’autre. Si je cédais à la tentation je me laisserais tomber sur le sol ou sur un banc les cuisses écartées pour jouir comme une dingue. Là c’est insidieux, la pression monte, mon excitation grandit avec une lenteur exaspérante. Je ne peux arriver à la satisfaction de cette manière, je ne fais qu’aggraver mon état mais j’adore çà. La cohue comme toujours mais je marche lentement. C’est insupportable quand j’accélère le pas le frottement contre mon clito est intenable. Je mords mes lèvres, je me mange la bouche pour ne pas pousser de cris. Et dans ma tête le programme de cette soirée tourne dans ma tête. Jamais trajet ne m’a paru aussi long. Maintenant je sens l’humidité se répandre dans mon entrecuisse. Je suis parcourue de frissons à chaque pas que je fais. Je n’ose regarder les autres personnes de peur de les voir me dévisager. Un autre pas mon clito qui se frotte contre le tissu, on me passerait du papier de verre sur le bouton je ne ressentirais pas plus le frottement. Et l’humidité qui devient de plus en plus sensible. Ma culotte est trempée je le sens et également je sens le chatouillis de petites gouttes qui commencent à couler le long de mes cuisses. Le phénomène s’accélère alors que je presse le pas. Encore quelques dizaines de mètres je serais sur le quai. La rame arrive, je presse le pas, le frottement est vraiment intenable, les petites gouttes qui filent sur mes cuisses descendent plus bas, je n’ose regarder mais il est bien possible qu’elles soient visibles. Cohue, frottement contre les autres passagers. Mes seins me font mal tant mes bourgeons sont tendus et frottent eux aussi contre le dos du monsieur qui me précède. Serrés comme des sardines. Plus les minutes passent, plus je suis au bord de l’explosion. Ma tête est comme du coton, j’ai du mal à penser. Maintenant que je ne marche plus mon clito est moins sollicité je ne peux atteindre le plaisir malgré les mouvement de mes cuisses l’une contre l’autre. A nouveau je profite de la promiscuité, je glisse ma main entre les boutons de ma robe, mes doigts glissent dans l’élastique de ma culotte, ils descendent, la moiteur est incroyable, puis maintenant l’humidité je suis trempée bien au dessus de ce que j’avais pensé. Je n’en peux plus j’ai besoin de me libérer de jouir. Mes doigts approchent mon clito, je le touche, explosion de plaisir, décharge électrique mes jambes semblent se dérober sous moi. Ma bouche s’ouvre pour un cri de plaisir que je retiens in extremis me mordant l’intérieur de la lèvre inférieure à en avoir le goût du sang dans la bouche. La force de la vague qui m’engloutis est incroyable, je perds pied, je tremble, mon sexe explose littéralement dans ma culotte. Je me sens palpiter, m’ouvrir me ferme au rythme de mon orgasme. Mes cuisses sont mouillées je le sens, les petits ruisseaux de plaisir coulent à l’intérieur satiné de mes cuisses. Je ne suis plus connectée à la réalité. Personne ne me dévisage pourtant si ils savaient !! Ils me sauteraient dessus pour me violer.. et je serais consentante. Je suis tétanisée accrochée à la barre je vois passer ma station alors que je suis frissonnante de plaisir. Je jouis comme une dingue sans que personne ne semble le remarquer. Mes jambes sont molles je suis comme vidée. Je finis pas rentrer chez moi. Je me précipité dans la chambre laissant tomber ma robe dans le couloir. Plantée devant la glace je me regarde, ma culotte est enfoncée dans ma fente, elle est a tordre. Les bouts de mes seins sont gonflés durs comme ils le sont rarement. Ma chatte est luisante lubrifiée de mouille, de fines rigoles brillantes courent le long de mes cuisses jusqu’à mes genoux et même une longue trace luisante cours jusqu’à mon mollet droit.
Je me laisse tomber sur le lit, cuisses écartées, j’écartèle mes lèvres avec mes doigts dévoilant le rose de mon sexe qui tranche sur ma peau foncée. Je suis crémeuse, pleine de petit lait épais, que je récupère de mes doigts avant de le lécher de me repaître de mon plaisir. Plaisir qui est encore insolemment à l’affût. Mes doigts se mettent à fouiller mon sexe tandis que l’autre main caresse mon clito.. et je me fais jouir plusieurs fois de suite… hurlant de plaisir fantasmant des étreintes violentes et bestiales. Je finis par succomber à une mini syncope qui me laisse presque sans vie sur le lit. Cette petite mort que j’aime tant.
Sylviane.
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