Histoires érotiques au travail Histoires tabous

dépucelage

dépucelage



Mon dépucelage
Depuis mes 15 ans, ma vie sexuelle était concentrée sur une amie. Je sortais avec des garçons, je me laissais copieusement peloter mais à 17 ans j’étais toujours vierge.
Je passais de heures à brouter le minou de ma copine, ça me suffisait jusque là. Les garçons, s’ils étaient gentils, après les avoir allumés, j’acceptais parfois de les faire éjaculer à la main. Je devenais habile à ce jeu. Pour quelques uns, TRES gentils, je me servais de ma bouche.
17 ans, plus quelques mois. Je décide qu’il est temps de voir le loup. Le problème est que je ne voyais pas qui pourrait faire le boulot correctement. Je m’en fichais du côté romance mais je voulais en garder un bon souvenir.
Illumination…
Depuis un bon mois, le meilleur copain de mon père me donnait des cours de math le samedi PM. Jamais été douée en math et lui était ingénieur civil. Quinqua ou quasi, mais beau mec : grand, sportif, sympa. Je me dis que ce mec doit apprécier le beaujolais nouveau, c’est pas encore du vin mais c’est sympa à consommer, comme moi.
Je me prépare au combat. J’enfile un chemisier court, ras du nombril, un pull dessus (ne pas alerter les parents sur le projet, ne pas faire peur au loup), une jupe tricotée pas trop courte mais avec un élastique à la ceinture, hyper simple à faire glisser et je fais ce que je n’avais jamais fait, pas de soutif, pas de culotte.
J’arrive, je m’installe à table pour travailler, comme d’hab. Juste avant, j’ôte le pull, défais le bouton du bas, défais un bouton de trop en haut et commence à faire mes exercices. Luc vient me voir travailler. Il a sa main gauche sur mon épaule gauche, penché sur moi. Il doit avoir une vue magnifique sur ma poitrine largement exposée dans l’échancrure du chemisier.
On travaille toujours. J’attaque, je lui dis que j’aime bien sa main. Avant qu’il ait pu répondre, discrètement je défais le dernier bouton. Je lui prends la main, je pose la joue dessus une seconde ou deux et l’emmène jusque sur mon sein gauche. « Tu es folle » remarque logique. Je lui demande de m’écouter. Je lui explique que je veux faire l’amour avec lui, que je suis vierge et que je veux un homme expérimenté, correct, beau, grand, j’en passe. Il me répond que si mon père apprend, il nous tue. J’ai gagné, ce n’est pas le fait de me sauter qui le choque. Je prends sa seconde main, l’amène sur le sein droit. Il continue de causer mais ne retire pas les mains. Je me cambre un peu et sans qu’il ne le remarque, ma jupe descend à mi-cuisses.
Je me lève et je pivote. La jupe est par terre, il n’a pas encore vu. Je me laisse partir en arrière, dos sur la table, pied gauche au sol, pied droit sur la chaise. Vraiment nue. Je lui dis de regarder. Il continue à bredouiller des mots sur l’amitié, le respect. Je me redresse en lui craint qu’il me fait chier à m’humilier comme ça. Idée excellente pour le perturber. Je l’embrasse. Là, il fait plus qu’accepter. Il a un pantalon de flanelle serré par un cordonnet. Je défais le nœud et plonge la main. Fichtre comme on disait. Il est raide comme la justice. D’un coup de poignet, j’extrais la bête. Il aime bien, c’est clair. Je me laisse glisser à genoux et je fais ce que je connais : je le suce. Il me laisse faire mais m’arrête à temps. Moi, je veux sa queue en moi, pas prendre des sels minéraux par voie orale. Je me retrouve comme avant : dos sur la table, exposée. Il commence à assouplir mon sexe de ses doigts. Il fait ça bien, avec délicatesse. Je le sens s’introduire. Il bute contre le voile de la vierge. Je lui dis d’y aller. Petite brûlure mais pas si grave. Il me baise, comme je voulais, comme un vrai mec, au fond. Je n’ai pas vraiment joui, j’ai dégusté le moment. Il s’est retiré. Il est parti laver sa queue.
Je reste nue. Il revient gêné. Je me remets au travail, nue. Il s’apprête à dire quelque chose d’idiot. Je lui réponds que je me sens bien.
Samedi suivant. J’y retourne. Un short et un T-shirt. À peine rentrée je me mets nue. Il me dit que ce n’est pas bien. J’avais imaginé le problème. Je me mets les coudes sur la table, debout, cul tourné vers lui et le préviens que je resterais comme ça tant qu’il ne m’aurait pas baisée. Il a l’air dépassé. Il me prend finalement par les hanches et là, il arrive à me faire jouir.
En semaine, j’invente chez moi des visites chez une copine et je vais le voir. On ne parle presque pas, on baise. Je reste habillée, juste la jupe troussée et le chemisier remonté. À la hussarde. Le samedi, c’est cours de math toute nue, entre deux moments d’égarement.
On a fonctionné pendant trois mois. Il m’a dit un jour qu’il fallait arrêter. Il avait raison.
Encore maintenant, je trouve que ce type était merveilleux. Je suis devenue femme avec une chance que peu ont eue.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire