La chatte de cette nana n’était pas de toute fraîcheur. Elle avait cette vague odeur de pisse qui n’arrivait même pas à rebuter William dans son envie de la bouffer. D’ailleurs c’est ce qu’il était en train de faire, depuis quelques minutes. Il prenait les lèvres de ce sexe savoureux à pleine bouche, aspirait et buvait le foutre que cette pute voulait bien lui donner. Elle était excitée et plus il léchait, plus elle bougeait son bassin et mouillait plus le plus grand plaisir de son client. William aimait aller aux putes, ça avait l’avantage de ne demander aucune étape de séduction, et si on fixait les règles dès le départ tout était envisageable. Il était toujours possible de trouver une meuf qui acceptait la sodomie, l’uro, le BDSM, le fist… tout était une question de prix. Et William ne se posait jamais la question du prix. Son aisance financière était directement liée à son statut de rentier, et cela lui permettait de ne pas perdre de temps avec ce qu’on appelle couramment le « travail ». Lui, il n’avait pas de boulot, et ne cherchait dans la vie que des occasions de baiser… tout et tout le monde. Il n’avait même pas d’orientation sexuelle, il aimait foutre sa queue dans tous les trous.
Il commençait à avoir mal à la langue. Il arrêta de brouter la petite brune aux gros seins qui se trouvait dans la continuité du sexe qu’il avait en gros plan, se redressa un peu. Il bandait comme un âne et pour William « bander comme un âne » signifiait proposer vingt centimètres d’un phallus large de six centimètres, au prépuce intact, aux couilles douces et agréables au toucher. Pour faire simple : il était bien membré et il démontait bien ses partenaires. Il remonta donc sa langue sur le pubis de celle dont il ne connaissait même pas le prénom, pubis parfaitement lisse d’ailleurs ; il lécha au passage le nombril puis posa ses mains au dessus de sa tête, sur les gros nichons de la salope. Ils étaient vraiment gros… il continua son ascension jusqu’à sentir sa bite contre le sexe complètement inondé d’excitation de la jeune pute. C’est quasiment sans demander l’avis de personne qu’il se sentit glisser entre les lèvres et pénétrer d’abord d’un centimètre ou deux la chatte de sa prestataire sexuelle. Il fallut quelques pressions et coups de reins pour rentrer plus profond (ce qui entraîna des gémissements du côté de la gente féminine concernée) mais au final il la baisa en largeur, et en profondeur. Elle était chaude, trempée et motivée. Il joua un moment avec sa queue, la faisant entrer puis sortir, pressant contre le clitoris et sentant les grandes lèvres lécher son gland gonflé à bloc. A chaque poussée bien au fond la nana grimaçait de plaisir (de douleur ?) et William décida que cette baise avait assez duré. Il donna des coups de rein plus fort encore, plus rapides, jusqu’à sentir l’envie de jouir lui remplir le bas du ventre puis la bite. Il explosa alors dans la pute brune qui sentir le foutre chaud s’écouler en elle. Il resta une paire de minutes à l’intérieur avant de se retirer. La brune se redressa et essuya avec une serviette la queue maintenant demi-molle de William, qui se dirigea vers la douche, se rafraîchît et pris congés une fois rhabillé en regardant avec une certaine gratitude le corps charnu, esthétique et foutrement baisable de sa partenaire d’un instant. Peut-être qu’il la reverrait. Il avait eu sa gueule assez près du trou du cul de cette jeune nana pour se dire qu’il tenterait bien d’y rentrer sa bite. La voir écartée bien fort après son passage devait être apporteur de plaisir… bientôt. Pas maintenant.
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