Petite aventure qui m’est arrivé il y a quelques temps avec une charmante demoiselle, petite chatain aux yeux gris-bleus et aux lèvres pulpeuses, munie d’un sourire à faire fondre.
Pour faire court, nous nous étions rencontrés totalement par hasard dans le train Paris-Bordeaux, alors que je faisais l’attraction de tout le wagon restaurant, en prenant l’amende la plus salée que j’ai connu à cause d’une erreur de billet.
Bref. Dépité mais pas abattu, je cherchais un moyen de rendre mon voyage plus agréable et j’avais déjà remarqué du coin de l’oeil l’intéressée.
Je ne sais honnêtement plus très bien quel prétexte j’avais trouvé a ce moment pour engager la conversation, mais quelques minutes plus tard, nous bavardions devant un café.
Et personnellement je n’en attendais pas grand chose (si,si!), hormis passer le reste du voyage en agréable et belle compagnie.
Avance rapide de trois mois, remplis d’échanges de sextos le soir pour se détendre avant de s’endormir, et j’en profite pour la rejoindre le temps d’un week-end à Madrid, ou elle finissais ses études.
Je vous passe également la journée touristique de rooftops tapas et mojitos bien que personnellement je prenais mon pied avec cet entracte totalement dépaysant, avec option cul à la clef 😉
Malgré tout cela, je la sentais tout de même sur la réserve à mon égard, malgré tout les messages échangés et le sens implicite de ma venue. Je décidais de ne pas trop forcer les choses. Arrivé en début de soirée, et confortablement installé dans le canapé avec une bonne bouteille, je reussi enfin à briser la glace, et une main sur la cuisse en entrainant une autre, je fini enfin par gouter au fruit que je convoitais depuis si longtemps.
Sa petite robe stretch sans manches qu’elle avais mis pour l’occasion ne me résista pas bien longtemps. Et j’avais eu l’occasion de me rincer l’oeil toute la journée. Je n’étais donc pas surpris en trouvant dessous une jolie paire de seins fermes et un cul a damner un saint.
Enfin libérée de sa pudeur, ma petite (1m57) brunette se fit un plaisir de sortir ma queue, déjà bien raide d’impatience, et de l’engloutir entre ses lèvres qui me semblaient toutes destinées a ce travail. Elle s’amusais goulûment, et pour mon plus grand plaisir, à aller et venir le long de ma queue, caressant mes testicules de ses petites mains expertes. (Et dieu sait que les filles qui oublient les testicules sont courantes)
Impatient comme je l’étais, je sentais que quelques minutes de plus de ce traitement me feraient jouir.
Je décidais de lui rendre alors la pareille et l’allongeais sur le canapé en retirant son string et en nous resservant une verre.
Je découvrais alors un petit abricot parfait et totalement lisse, les petites lèvres totalement cachées, son clitoris sortant à peine.
Mais après tant de sextos échangés, je savais déjà qu’elle adorais avant tout que l’on s’occupe de ses seins. J’en profitais pour tout de même glisser ma langue une seule fois sur sa petite chatte qui commençais a luire de désir, plus pour mon plaisir personnel que le sien, avant de remonter vers sa poitrine.
Je m’appliquais alors à reproduire les fantasmes que l’on avais échangés auparavant. Caresser longuement le dessus de sa poitrine et contourner ses seins, suivant leur courbes en les effleurants, les maintenant par en dessous pendant que ma langue faisais le tour de ses aréoles juste à leurs extrémités, avant de finir par aspirer et lécher ses tétons.
Elle commencais à se tortiller et gémir, les cuisses écartées entre mes hanches et je redescendis alors voir son petit abricot.
Impossible pour moi de me retenir plus longtemps de lui bouffer la chatte. Sorry, mais c’est mon petit plaisir perso, et je n’allais sûrement pas passer à coté, ha! Je m’appliquais à lécher ses jolis lèvres brillantes, gouter son nectar légèrement salé et humer l’odeur de sa peau à cet endroit précis.
Plaisir partagé, puisque je la sentais haleter de plus en plus sous les assauts de ma langue qui allais et venais entre son clitoris et ses lèvres.
Et sans avoir eu le temps de l’amener jusqu’a l’orgasme, elle pris ma tête pour la relever et me dis droit dans les yeux: « Prends moi maintenant je n’en peux plus!! »
Je me redresse alors et m’équipe d’une capote en tout hâte, puis me penche vers elle alors que je guide enfin ma queue entre ses lèvres…
Et là soit dis en toute modestie vraiment, je ne suis pas trop mal doté. La force de l’habitude aidant avec mes précédentes aventures, m’as appris à toujours y aller doucement, ne serais-ce qu’au début, et ne pas y aller trop profondément.
Mais alors même que je me sentais la pénétrer, elle lève alors ses cuisses amples et fermes et les croises derrière mon dos, tandis qu’elle m’aggrippe par les épaules. Elle serre alors brusquement les cuisses et je la pénètre à fond tandis qu’elle pousse un gémissement de plaisir et moi aussi, surpris pas une vague de plaisir soudaine.
Au diable la délicatesse et bien vite j’accélère le mouvement pour lui donner des vas et viens amples et profonds. Je m’étonnes encore un peu du fait qu’elle m’accepte entièrement mais j’oublie bien vite alors que le plaisir monte en flèche.
Et au bout de quelques minutes de ce traitement je la sens craquer juste avant moi, les cuisses tremblantes alors que je jouis en elle.
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