LU SUR LE NET[/u]
je profitais de cette fin de journée pour aller à la plage après le travail.
Etant naturiste j’avais choisi la plage d’Ondres qui est à la fois sauvage et fréquentée.
Lors de nos activités sexuelles ma femme aime que mon sexe ou au moins mes bourses soient rasées et ce jour-là j’étais rasé de près.
Je me suis installé entre un couple et une femme qui était absorbée par sa lecture.
Je profitais du soleil tout en lorgnant sur la femme allongée à quelques mètres de moi. Elle semblait assez âgée mais très présentable.
A un moment elle se leva pour aller se baigner et mit un maillot. Je la regardai passer en me disant qu’elle n’était pas si mal que cela. Elle jeta un coup d’œil sur mon sexe et je crois qu’à ce moment-là l’aspect lisse de mes bourses l’intrigua.
Un peu plus tard dans la soirée je trouvai une excuse bidon pour l’aborder. On commença à discuter de tout et de rien. Je m’étais déjà aperçu qu’elle était une vraie blonde avec un pubis très léger. Elle semblait avoir une soixantaine d’années et était encore très jolie.
On parlait de la température de l’eau quand je l’invitai à se baigner. Elle accepta avec enthousiasme et me suivit entièrement nue. Je notai cette progression dans son attitude vestimentaire.
Arrivés à l’eau, elle eut peur des vagues malgré le fait qu’on avait pied. Elle n’osait pas entrer dans l’eau. Je lui tendis la main mais elle avait encore peur. Je lui proposai alors de venir dans mes bras pour la rassurer.
Elle le fit sans hésiter et je retrouvai dans l’eau avec une blonde nue dans les bras. Elle avait vraiment peur et je dus faire des efforts pour la rassurer. Je devais aussi faire des efforts contrôler mon érection intempestive.
Pour assurer ma « prise » je lui demandai de se mettre face à moi et de me tenir aussi dans ses bras. Comme elle était plus petite que moi je lui demandai de prendre appui sur mes cuisses avec ses jambes. Elle écarta les jambes face à moi et mon sexe se trouva directement à la porte du bonheur.
Elle sentit mon sexe frapper à l’entrée de sa vulve et me regarda pour me réprimander. Je lui dis qu’elle m’excitait et que je la trouvais attirante.
Elle resta ainsi dans mes bras pendant quelques instants, mon sexe toujours à l’entrée du sien mais elle ne me dit pas (à ce moment là) qu’avec le mouvement des vagues mon sexe caressait son clitoris. J’étais un peu trop occupé à éviter que les vagues ne nous emportent pour sentir où mon gland était.
Elle me proposa de regagner la plage et de nous allonger dans le ressac. En sortant de l’eau elle tomba sur le ventre et je lui tombai sur le dos, mon sexe entrant directement dans une chatte humide et chaude. Elle eut un cri et je me retirai vivement car nous n’étions pas seuls.
Une fois dans le roulis du ressac elle me tripotait avec plus d’assurance et je dus me retenir pour ne pas jouir car elle avait la main experte.
Nous regagnâmes nos serviettes et continuâmes nos conversations comme si de rien n’était pour ne pas éveiller les soupçons de nos voisins.
Après un bon moment la plage était quasiment déserte. Elle me demanda si j’avais déjà fait l’amour à une femme plus âgée que moi. Je lui parlai de mes aventures d’adolescent (en particulier l’aventure avec la mère de mon correspondant allemand dont je vous ai déjà fait part). Elle sembla rassurée. Je lui demandai si elle couchait avec des hommes plus jeunes et me répondit que cela ne lui était pas arrivé souvent.
Elle me dit ensuite combien elle avait aimé le moment dans les vagues et m’avoua à ce moment là où était mon gland et combien elle avait apprécié et qu’elle avait demandé à sortir de l’eau pour ne pas jouir en public. Je commençais à bander et elle mit sa main sur mon sexe et me masturba très délicatement, comme ci elle touchait de la porcelaine.
Nous étions allongés face à face et je lui demandai d’allonger sa jambe supérieure pour pouvoir tâter du fruit qui se trouvait sous ta blonde toison. Ma main rencontra des lèvres beaucoup plus humides que je ne l’imaginais auparavant. Je n’eus aucun mal à entrer un puis deux puis trois doigts tout en lui titillant le clitoris. Elle commençait à gémir et me demanda de lui sucer les seins. Elle serait maintenant ma bite avec force et me branlait en me faisant mal.
Ses tétons étaient durs et très réactifs. Elle mouillait encore plus et avait arrêté de me branler pour profiter de son orgasme.
Elle coulait comme une fontaine. Je bougeai pour descendre ma langue de ses seins à son con pour boire à cette divine source. Son clitoris était assez gros et bien dur. Je continuais à la branler et à sucer quand elle se mit à crier.
Son orgasme fut fort et elle tremblait tant elle était émue. Elle me dit qu’elle était veuve depuis 5 ans et que c’était la deuxième fois qu’un homme s’occupait d’elle depuis et qu’elle voulait ratt****r le temps perdu. Elle m’avoua être une adepte des plaisirs solitaires. Je la crus sans problème.
Je lui demandai si elle avalait quand elle suçait et elle me dit qu’elle ne l’avait jamais fait volontairement mais que c’était arrivé quelquefois avec son mari « par accident ». Je lui demandai si elle voulait bien me le faire et elle me dit « pourquoi pas?! ».
Elle commença à sucer doucement et je lui demandai de se mettre en 69. Je pouvais tout à loisir bouffer de cette chatte blonde et baveuse alors qu’elle me faisait un pompier d’anthologie tout en me massant les couilles et en les suçant. J’essayai son petit trou avec un doigt mais la résistance rencontrée indiquait une virginité de ce côté-là et je n’insistai pas. Elle pompait bien et je ne pus retenir ma semence plus longtemps. Elle but avec application jusqu’à la dernière goutte.
Un peu plus tard elle me demanda de la branler à nouveau car elle avait aimé le début de notre session. Elle voulait que je la branle avec mon gland sur son clitoris. Je testai d’un doigt de l’humidité ambiante et je constatai qu’elle mouillait toujours. Elle se mit sur moi et commença à coulisser son clitoris le long de mon sexe. Elle mouillait abondamment et je lui suçais les seins. Elle jouit une fois de plus et au comble de sa jouissance elle s’empala vaginalement sur mon organe qui n’attendait que cela. Son écrin était bouillant et elle serrait encore assez bien. Elle s’activait sur mon vit comme une furie et la bouche ouverte, la tête en arrière elle émettait des sons rauques venant de son plus profond. Elle jouit encore.
Après quelques instants pour qu’elle récupère je lui demandai si elle voulait bien que je l’encule. Elle hésita mais je trouvai des arguments suffisants (le fait qu’elle ait joui alors que moi j’attendais toujours…) pour la décider à essayer.
Elle accepta et je m’enduis le sexe de crème solaire. Nous avions convenu que si cela lui faisait trop mal nous arrêterions.
Elle se plaça en levrette et je m’approchai de son petit trou. Deux doigts pour l’ouvrir furent suffisants après quelques instants de patience. Je présentai mon sexe à l’entrée et je commençai à pousser petit à petit. Elle se plaignit un peu au début puis quand mon gland était entré elle se recula d’un coup. J’ai eu l’impression que mon sexe était aspiré. Elle commença à bouger d’elle-même. Je sentais mon sexe compressé et je ne mis pas longtemps à jouir. Dès qu’elle sentit mon sperme dans son cul elle se retira et je finis de décharger sur son cul et son dos. Elle récupéra du sperme avec la main et se frotta les seins avec.
Je lui demandai pourquoi elle avait bougé autant lorsque je l’enculais et elle me répondit que c’était pour me récompenser du plaisir que je lui avais donné.
La journée touchait à sa fin et je devais rentrer. Nous allâmes nous baigner une dernière fois.
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