J’en aurais sursauté, si je n’avais pas le sextoy qui vibrait en moi et me retenait à la chaise ! Merde ! Qui avait bien pu me photographier dans cette position plus que gênante ? Lentement, je m’avançais, sortant le sextoy centimètre par centimètre de mon derrière… il vibra encore un peu, tout humide, au milieu de la chaise, avant de s’arrêter. J’avais un peu mal, mais en même temps, ne plus avoir le jouet créait un grand vide en moi… Mais je ne pouvais me concentrer sur ce vide, mon esprit en état de panique à cause du flash. Je sortis la tête du cagibi… mais ne vis personne. Il fallait que je me rhabille, puis que je fouille l’étage… Il fallait aussi que je nettoie le sperme que j’avais laissé sur la chaise, sur le sol… non, ça après, d’abord retrouver qui m’avait photographié… donc d’abord remettre mes vêtements…
Mes vêtements ?
Je sentis la sueur froide couler le long de mon épine dorsale et mes cheveux se dresser sur ma tête : mes vêtements n’étaient plus là ! Ils étaient pourtant bien derrière la chaise (j’avais trouvé cela une bonne solution, pour éviter que mon sperme ne les salisse !)… je regardais tout autour de moi, mais plus de vêtements ! J’étais tellement occupé à me donner du plaisir que je n’avais pas entendu quelqu’un s’approcher, piquer mes vêtements, et me photographier ! J’étais totalement dans la merde !
Complètement nu, je sortis du cagibi. Je vis aux petits chiffres digitaux rouges immobile que les ascenseurs n’étaient pas en mouvement. Sur ma gauche, les bureaux vides et les bureaux de Stéphanie et d’Andréa étaient sans lumières et complètement silencieux. Qu’allais-je faire ? Je n’allais quand même pas rentrer à poil ! La seule lumière de l’étage venait de mon bureau. Mon bureau où se trouvait mon manteau ! Avec lui je pourrais rentrer chez moi plus ou moins discrètement, en tout cas sans me faire arrêter pour outrage à la pudeur sur la voie publique !
Je me rendis dans mon bureau… pour constater que mon manteau n’était plus là ! Catastrophe ! Je portais mes mains à ma tête ne sachant plus quoi faire… en tournant sur moi-même, je vis la porte du bureau de Nancy grande ouverte… et sur son bureau… mes vêtements ! J’entrais, en réalisant que si les lumières étaient allumées et la porte ouverte, c’est que… je m’arrêtais au milieu de la pièce et tournais sur moi-même, vers les fauteuils, sentant sa présence. Elle y était assise, sirotant un verre de vin blanc, me regardant. Mais pas avec un sourire sensuel ou des yeux rieurs. Elle avait le regard dur et les lèvres serrées… Lèvre qu’elle entrouvrit pour dire, d’une voix dure…
– Pathétique !
– Je…
– Pathétique, comme tous les hommes ! On leur offre une situation de rêve, un poste prestigieux, de l’argent, et ils mettraient tout par terre juste pour sentir le plaisir de leurs petits sexes qui éjaculent…
Le rouge aux joues, honteux, je baissais la tête, cachant mon sexe derrière mes mains. Elle posa son verre de vin sur la table basse, juste à côté d’un appareil photo, puis se leva, et vint vers moi. Je sentais qu’elle me toisait du regard, mais n’osait pas la regarder dans les yeux, je gardais la tête baissée… Alors, avec une force et une vivacité que je ne lui aurais jamais devinée, elle écarta mes bras, violemment, et attrapa mes testicules, à leurs bases, juste en-dessous de mon pénis. Et elle serra fort ! Je serrais les dents sous la pression, la douleur…
– C’est pour ça que nous vous dominons. Parce que pour nous, le sexe n’est pas une drogue, pas que du plaisir, c’est une arme, une arme de pouvoir…
Il y a des choses que je ne comprenais pas, mais la pression qu’elle exerçait m’empêchait de parler, de penser…
– J’ai de quoi te faire virer, des photos très compromettantes, tu comprends ?
Je hochais de la tête, pour lui dire que je comprenais
– Est-ce que tu veux être viré ?
Je fis « non » de la tête.
– Est-ce que tu veux que j’affiche ces photos dans tout l’immeuble ?
Je refis « non » de la tête.
– Alors tu veux rester près de moi et m’obéir complètement et totalement ?
Je fis « oui » de la tête…
– Bien… alors à genoux !
Elle me lâcha les testicules, et je me mis à genoux, devant elle. Je voyais ses chaussures noires à talons hauts, ses bas résilles, sa robe noire… elle leva sa robe, et je vis un petit slip en dentelle noire, d’où dépassait le gland de son sexe à demi-bandé…
– Viens le lécher !
Toujours sur mes genoux, je m’approchai d’elle, et allais le dégager avec mes mains, lorsqu’elle me dit impérativement :
– Mains derrière le dos !
Je gardais donc mes mains derrière le dos. Ma tête s’avançais seule vers son entrejambe, se posant doucement contre son ventre lisse, ma langue allant à la rencontre de ce gland dépassant du slip en dentelle noire… ma langue le rencontra, il était doux et chaud, j’en léchais le pourtour avant de le prendre en bouche. En le prenant, puis la hampe, mon visage s’abaissait, abaissant par la même occasion sa culotte, la faisant rouler au fur et à mesure, jusqu’à libérer complètement sa verge et ses jolies testicules… je commençais à la sucer, ma bouche allant et venant le long de sa hampe, mes mains toujours derrière le dos… Me tenant par les cheveux, elle m’aida, imprimant le rythme qu’elle voulait…
– Par Héra, je n’aurais jamais cru que tu y serais arrivée si vite !
Du coin de l’œil, je vis sa sœur, Kimberly qui nous regardait, les yeux pétillants. Elle marcha vers nous. Elle avait aussi des talons hauts, des bas couleurs beiges, une jupe couleur crème. Arrivée près de sa sœur, elle leva sa jupe… Les bas beiges étaient tenus par des jarretelles, elles aussi couleur crème, en dentelle, qui faisait le tour de sa taille, surmontent quatre petites lanières, en dentelles elles aussi, pour accrocher les bas… et comme elle ne portait pas de culotte, son sexe pointait vers moi. Il était aussi de belle dimension, un tout petit peu plus gros que celui de Nancy. Cette dernière sortit son sexe de ma bouche, et guida ma tête vers le sexe de sa sœur, que je commençais à lécher, puis à sucer, sans faire de manière…
– Ce n’était pas si difficile que ça… quelques vidéos d’hypnoses, nos puissants phéromones, nos corps de rêve, et le reste va tout seul !
– Pas comme le dernier, hein, tu n’as pas été très habile avec lui !
– Bon ça va, Kimberly, j’ai arrangé les affaires, l’enquête est close. Je n’aurais jamais cru qu’après être surpris en flagrant délit devant les vidéos, il se jette par la fenêtre ! Heureusement mon petit Pierre, a été plus intelligent, hein Pierre ?
Je hochais la tête, le sexe de Kimberly en bouche… je ne prêtais pas vraiment attention à la conversation, me concentrant pour bien la sucer. Nancy frotta son sexe sur ma joue, me signalant que c’était son tour. Je lâchais donc le sexe de Kimberly pour enfourner celui de Nancy.
– Noemy est contente que tu aies pu arranger cette affaire, surtout maintenant. Nous sommes à quelques semaines de la convention à New York, il faut être prudentes.
– Pfff, Noemy est jamais contente de toute façon… toujours à donner les ordres de son bureau… elle a tous les esclaves qu’elle veut, elle…
– Nancy ! Ne parle pas comme ça, n’oublie pas Noemy est notre sœur, mais aussi notre reine !
Sans ménagement, Kimberly tira ma tête, par les cheveux, et l’amena sur son sexe, que je suçais avidement.
– Regarde-toi Kimberly, malgré tes airs sérieux, tu as les mêmes besoins que moi… Noemy doit comprendre que nous avons aussi besoin de nos esclaves, pour tenir le coup !
Kimberly commençait à aller et venir plus rapidement dans ma bouche, jusqu’à ce qu’elle éjacule son jus, tiède et épais, dans le fonds de ma gorge… je bus le tout et léchais encore son sexe qui débandait dans ma bouche… Elle alla s’asseoir dans un des fauteuils, se servit un verre de vin et le bu.
La main de Nancy me prit par la nuque, et m’amena près de sa sœur, me posant à quatre pattes entre ses jambes… Son sexe suintant était visible, posé sur sa robe… elle caressa ma tête, comme on ferait pour un petit chien, et l’amena à nouveau vers son sexe… A quatre patte entre ses jambes je recommençais à le lécher. Derrière moi, je sentis Nancy s’approcher, me caressant les fesses, puis l’anus… soudain, je sentis son gland se frotter à mon anus, avant de pousser doucement contre lui, puis plus fortement…
– Non Kimberly, ne me regard pas comme ça, il est à moi, c’est à moi à le dépuceler !
Je voulus lever la tête, mais Kimberly me la plaqua contre son sexe, qui reprenait petit à petit vigueur… Je sursautais quand le gland de Nancy passa ma petite porte et entra doucement en moi…
– Mmmm l’étroitesse des puceaux, y’a que ça de vrai…
Dit-elle la voix vibrante de désir… puis elle commença à aller et venir en moi, doucement d’abord, puis au fur et à mesure que mon fourreau se faisait à elle, plus rapidement, plus profondément aussi… la sensation désagréable de brûlure disparut petit à petit, et une sensation nouvelle, très plaisante grandissait au creux de mes reins… ça devenait de plus en plus plaisant, beaucoup plus que le petit jouet vibrant de la tantôt !
– Continue Nancy, il commence à aimer ça, il me suce mieux, moins contracté !
Elle intensifia son rythme, avant que je sente son sexe battre en moi… frottant ma prostate…
– Le cochon, il vient d’éjaculer sur ton fauteuil !
Nancy éjacula tout son foutre en moi, j’eus cette sensation extraordinaire pour la première fois de ma vie… j’étais en extase, au comble du plaisir, n’ayant même pas fait attention où j’avais moi-même éjaculé !
– Mmmm que c’est bon Kimberly ! Oh, fait pas ta frustrée, je vais appeler les autres esclaves, tu pourras t’amuser aussi… Pendant
que je vais les appeler fait-le nettoyer mon fauteuil !
Avec un « plop » qui me parut très sonore, elle sortit son membre de moi, en un coup ! J’avais une sensation de vide comme jamais, après avoir été remplis par elle comme elle l’avait fait ! Du sperme s’écoula de mon anus, le long de mes testicules, quelle sensation agréable… Je passais un doigt le long de mes testicules, ramassant son sperme, et mis ensuite ce doigt en bouche… Kimberly me prit soudainement par la nuque, et mit mon visage dans le sperme qui maculait le fauteuil.
– Et alors ! C’est quoi ça ? Vilain esclave ! Pas propre ! Nettoie tout, avec ta langue !
Elle me fit lécher mon sperme, puis essuyer la tâche avec une lingette. Sur ces entrefaites, Nancy revint, suivie de Stéphanie et d’Andréa. Qu’est-ce que mes deux collègues faisaient ici ? Elles étaient toutes deux habillées identiquement : des escarpins blancs, avec des talons d’au moins 20 cm, la boucle fermée par un cadenas, de long bas résilles blancs, string blanc en dentelle, soutien blanc assorti, et une nuisette blanche transparente qui recouvrait le tout, faisant comme une jupette qui se terminait à mi-cuisse, et une sorte de collier en cuir rose autour du cou… mais le plus surprenant pour moi était de voir une jolie bosse dans chaque string, marquant l’emplacement de leurs… pénis !
Amusées Nancy et Kimberly me regardèrent…
– Avant d’être la jolie brunette Stéphanie et la pulpeuse blonde Andréa, Stéphane et André ont été nos assistants… comme toi… mais comme tu vois, elles ont eu… une promotion !
Elle claqua des doigts, et Stéphanie et Andréa se retournèrent, et s’arque boutèrent au bureau de Nancy… Elle s’approcha de Stéphanie, lui caressa les fesses offertes… puis elle plaça son membre à demi bandé entre ses fesses, et s’avançant, se reculant, caressa son sexe le long du sillon de Stéphanie, jusqu’à ce qu’il reprit vigueur… Kimberly, elle, s’approcha d’Andréa, et déplaçant la petite bande de tissu du string sur sa fesses, lui doigta l’anus, avant d’y introduire son membre bandé… Elle commence ses vas-et vient en elle, tandis que Nancy de son côté fait de même, écartant la bande du string pour laisser le passage à son membre, qui s’introduit dans l’anus de Stéphanie. Elle me fait signe d’approcher… toujours sur mes genoux je m’approche, me mettant entre elles… à ma gauches, je vois Nancy qui va et vient dans l’anus de Stéphanie, à ma droite, Kimberly qui fait la même chose à Andrea… J’entends les murmures de plaisir, les sons humide des verges qui vont et viennent, le petit claquement des testicules contre les fesses à chaque coup de boutoir… Soudain, Nancy sort son sexe du cul de Stéphanie et me le présente… je l’engloutis dans ma bouche directement, le suce avidement, puis il redisparait et replonge dans l’anus de Stéphanie… elle fait cela plusieurs fois de suite, Kimberly aussi…
Ensuite, je vois Andrea se cabrer, laissant passer un souffle de plaisir… l’avant de son string se tache… elle jouit ! Je ne peux m’empêcher de penser au sperme… à son goût, sa tiédeur, sa consistance, la façon dont il coule lentement dans la gorge… bon sang, j’en deviens complètement addict ! Je lève un peu ma tête, et lèche l’avant du string d’Andréa, suçant le tissu pour aspirer un peu de sperme… Kimberly le remarque et un sourire narquois aux lèvres, baisse le string, découvrant le petit sexe humide, et blanc de sperme, qui coule encore, d’Andréa… je me jette dessus, le lèche…
– Tu as raison, quel affamé celui-là !
– Il devait avoir ça en lui !
Elles pouffaient de rire, tandis qu’Andrea était aux anges de se faire sodomiser et sucer en même temps… Lorsqu’elle n’avait plus rien à donner, je la délaissais, et attendis près de Stéphanie. Nancy abaissa son string, me faisant signe de prendre les devants… je mis donc le sexe bandé de Stéphanie en bouche, tandis que Nancy accéléra ses mouvements… ses coups de boutoirs devinrent plus fort, plus profond… Stéphanie ne tint plus longtemps, et se vida dans ma bouche… je bu tout son jus avec délectation… Puis Kimberly d’abord, suivie juste après par Nancy, je les vis éjaculer leurs liqueurs dans le cul de Stéphanie et Andréa, dans un râle de jouissance quasi commun… Elles me présentèrent ensuite leurs verges, que je nettoyais avec contentement…
– Maintenant, va les nettoyer elles !
Les anus de Stéphanie et d’Andréa palpitaient encore, légèrement béant, du sperme s’en échappant… je commençai par lécher leur testicule, l’une puis l’autre, puis ma langue tournoya autour de l’anus de l’une puis de l’autre, avant de s’introduire dans l’anus d’Andréa, de laper tout ce que je pouvais laper, puis fis de même avec Stéphanie… ma bouche, mon menton et mon nez étaient humide, collant de sperme… la pièce sentait tout entière le sperme et la luxure…
Epuisé, je m’écroulai sur le sol. Quelque chose en moi était complètement cassé. Je n’avais plus envie de réfléchir, de prendre des décisions. Je voulais juste obéir et connaître le plaisir. Je ferais tout ce que Nancy me demandait. Elle me passa un collier rose autour du cou, je me laissais faire.
Puis Stéphanie et Andréa m’aidèrent à me relever, et nous suivîmes Nancy. Nous prîmes l’ascenseur, vers le premier des trois étages « interdits ». Nous débouchâmes dans un hall très chic, un appartement ultra-moderne, et ultra-luxueux. Je partageais la chambre avec Stéphanie et Andréa. Avant de nous laisser, Nancy me mit une sorte de petite cage autour du sexe. « Pour vous empêcher de jouer entre vous », me susurra-t-elle, un sourire coquin aux lèvres. Mais j’étais trop épuisé que pour encore penser à quoi que ce soit de sexuel !
Les jours suivants, je compris assez rapidement les règles de ma nouvelle vie. J’appartenais entièrement aux sœurs Posséis… J’étais habillé normalement lorsque je travaillais au bureau pour Nancy, et devais revêtir les escarpins blancs, avec des talons d’au moins 20 cm, la boucle fermée par un cadenas, les longs bas résilles blancs, le string blanc en dentelle et le soutien blanc assorti, et la nuisette blanche transparente qui recouvrait le tout, qui semblaient former « l’uniforme » des esclaves de Nancy et Kimberly dès que je remontais à l’appartement. Nous nous occupions de l’appartement, faisions le service lors de soirée très sélect, qui finissaient toujours en orgie, et étions les sextoys vivants des sœurs Posséis. Et elles avaient un de ces tempéraments ! Elles nous faisaient les sucer à tour de rôle, se vidaient dans nos bouches, dans nos rectums, plusieurs fois par jour !
Je ne me souciais plus de ce qui se passait à l’extérieur, j’appris incidemment que la société Posséis avait mis fin au bail de mon appartement, avait payé mon propriétaire. Je devais éviter le syndicaliste, Gérard, et toutes les personnes qui me connaissaient.
Un soir, alors que je faisais le service de table, je vis la sœur aînée des Posséis, Noemy. De ma vie, jamais je n’avais vu de femme si belle. Le même visage que ces sœurs, avec des yeux d’un bleu envoûtant, des cheveux d’un noir de geais, un port altier, une assurance royale, et un corps parfait… elle s’entretint quelques instants avec ces sœurs avant de repartir vers son étage, sans même un regard pour nous. J’entendis Kimberly et Nancy discuter entre elles, de cette fameuse convention à New York, et des derniers préparatifs à faire. Cela devait être un événement important, je sentais la tension que cela provoquait chez elles. Leurs pulsions sexuelles augmentaient en conséquence, et nous pouvions le sucer le double de fois par rapport à d’habitude…
J’eus même l’occasion de la faire à l’aéroport ! J’étais en costume-cravate, assistant de direction parfait. J’avais fait enregistrer les bagages (étonnements volumineuses, par rapport au peu de vêtement avec lesquels étaient habillées les deux sœurs !), valider les cartes d’embarquements, fait passer les douanes… nous attendions pour embarquer lorsque Nancy me prit par le bras et m’emmena vers les toilettes. Elle entra dans les toilettes homme, moi sur ses talons, et dans une des cabines WC me fit agenouiller devant elle…
– Les voyages en avion m’ont toujours rendue si nerveuse… faut que je refasse descendre la tension !
Elle souleva la jupe de son tailleur et pu constater qu’elle bandait ! Je fis passer son membre dur par-dessus le slip et commença à la sucer avec gourmandise… A chaque c’est à ce moment que je remarquais à quel point j’étais accro ! Quand son gland se posait sur ma langue, que sa verge me remplissait la bouche, que son goût m’emplissait le palais… à chaque fois j’en avais un hoquet de plaisir, me disant « qu’est-ce que ça me manquait ! » Tandis que je m’appliquais à la sucer, je ne fis qu’à demi attention à la porte d’entrée des WC qui avait claquée… le va et vient de sa verge dans ma bouche retenait toute mon attention… mais je me sentis soudain observé… J’arrêtais ma fellation, la masturbant d’une main, et vit qu’elle avait laissé la porte de la cabine entr’ouverte, et qu’un black nous mâtait, sans trop croire à ce qu’il voyait : une superbe femme qui se faisait sucer le chibre par un petit blanc en costume cravate ! Mais je n’eus pas le temps de penser, elle me fourra son membre dans la bouche, avec un « Continue ! » Je sentis sa jambe bouger, du bout de son escarpin elle ouvrit la porte plus grande… je continuais à la sucer alors qu’elle fit signe au black de s’approcher et lui dit
– Il adore se faire prendre par des inconnus dans des lieux publics… vas-y, te gêne pas, son cul est divin, j’en sais quelque chose !
Elle me prit par les cheveux, et commença à furieusement me baiser la bouche… le type, voyant comment je me laissais faire s’enhardit… je sentis une main nerveuse défaire l’attache de mon pantalon, ouvrir ma braguette, descendre en un coups le pantalon et le slip… puis un doigt me caresser l’anus, avant de le pénétrer et de fouiller mon rectum… puis un gland assez gros, mais pas aussi gros que celui de Nancy, presser ma rondelle, avant que le gars s’enfonce en moi… un parfait inconnu me limait la rondelle dans les toilettes de l’aéroport ! Elle ne perdait pas une miette du spectacle, et je sentis sa bite grossir dans ma bouche, comme si ça l’excitait de voir cette grosse queue me prendre tandis qu’elle me baisait la bouche… Là aussi, je me rendis compte à quel point j’aimais avoir mes orifices remplis par ses queues chaudes et palpitantes !
Je ne pus m’empêcher de jouir lorsqu’elle jouit en moi, remplissant ma bouche et ma gorge de son sperme épais… le gars se déversa furieusement en moi peu après, son jus chaud me remplissant le cul… Tous ce temps elle laissa son sexe dans ma bouche, où il débanda lentement, déversant tous son jus sur ma langue gourmande… puis lorsque le gars fut parti, elle se rhabilla et m’ordonna de faire de même. Nous retournâmes vite et juste à temps pour l’embarquement.
Noemy était partie la veille, avec le jet privé de la compagnie. Nous, nous embarquâmes dans un gros airbus, transcontinental, où elles avaient un petit salon privé au second étage de l’appareil, dans la partie réservée aux très riches passagers. Le vol se fit sans histoire, agrémenté de champagne… Après l’atterrissage à New-York, je m’occupais de toutes les formalités, puis rejoins la limousine de location qui nous emmena à l’hôtel, un des palaces les plus prestigieux de la Big Apple…
Alors que je pensais avoir droit à une nouvelle nuit de sexe et de plaisir, car sitôt arrivé à l’hôtel je dus troquer mon costume-cravate pour le costume de ma condition, le costume d’esclave, les escarpins blancs à talons, la boucle fermée par un cadenas, les longs bas résilles blancs, le string blanc en dentelle, et le soutien blanc assorti, et la nuisette blanche transparente faisant comme une jupette et finalement le collier en cuir rose autour du cou. Mais au lieu de s’amuser avec moi, elles m’emmenèrent dans une chambre où se trouvaient déjà Stéphanie et Andréa, mirent les petites cages à nos sexes, ainsi qu’un gag dans la bouche, nous empêchant de proférer le moindre son… et elles nous firent entrer… dans des grandes cages cubiques, où un homme pouvait tenir assis, guère plus. Elles refermèrent à clef les portes des cages après que nous y soyons entrés…
Soudain Noemy entra dans la pièce. Elle était splendide. Rayonnante. Elle nous regarda tous les trois.
– Demain est un jour important ! Vous devez rester dans ces cages, pour réfléchir à votre condition, l’accepter, l’intégrer. Par
Héra, de mâle que vous étiez, vous êtes maintenant esclave, esclave de nos corps, de nos désirs. C’est l’avenir des hommes ! Mes sœurs et moi devons rester pure jusque demain, au moment où la lune sera complètement pleine, à son apogée, pour que Sélénée et Artémis puissent bénir le rituel. Ensuite vous pourrez jouir à votre tour de ce que nous vous donnerons…
Sur ces paroles énigmatiques, elle s’en alla. Nancy et Kimberly jetèrent de grandes couvertures sur les cages, les recouvrant complètement. J’entendis des pas puis la porter claquer, puis plus rien… Depuis des jours j’étais habitué, tous les soirs, à avoir un sexe en bouche ou dans le cul… et là ça me manquait ! Je sentais mon petit anus palpiter, mon ventre se nouer… jamais je n’avais ressenti une telle envie de sexe ! Je ne sus dire combien de temps s’écoula… des heures certainement… mais cela me sembla une éternité… Soudain, j’entendis le bruit de la porte s’ouvrir. Je ne pouvais proférer le moindre son, mais mes sens étaient aux aguets, j’avais tellement envie de voir la couverture se retirer, et le gros sexe de Nancy pointé vers moi… Mais au lieu de cela, je sentis la cage comme soulevée, puis je fus bousculé de gauche à droite… bon sang, on transportait les cages ! Puis ce fut plus stable, et j’entendis le bruit de roues sur le tapis, puis sur le linoleum. Les cages avaient été mises sur un chariot. J’entends le bruit distinctif de portes d’ascenseur s’ouvrir et se refermer, le bruit des roues du ou des chariots sur le béton, le bruit de la porte coulissante d’une camionnette qui s‘ouvre… puis la cage est de nouveau transbahutée, puis poussée. J’entends le tintement d’une autre cage qui cogne la mienne. Un dernier bruit, puis la porte de la camionnette qui recoulisse pour se refermer…
Tandis que le moteur s’enclenche et que le véhicule commence à rouler, je suis dans un tel état de manque que je ne me demande pas « où m’emmène-t-on ? » mais plutôt « y aura-t-il du sexe là où on m’emmène ? » La camionnette ne roule pas si longtemps que ça, avant de s’arrêter. Le manège reprend : porte coulissante qui s’ouvre, cages transbahuté, puis il me semble qu’on nous fait descendre (sur un monte-charge ? le bruit est assez difficile à discerner), on nous transbahute encore avant de nous poser. J’entends des voix étouffées, puis plus rien. De nouveau l’attente dans le noir total.
Puis des bruits de pas, des bruits de conversations, des bruits de chaises tirées. Une salle assez grande, et du monde qui arrive. Pas mal de monde. Après un brouhaha certain des « shhhhht » reconnaissant qu’on demande le silence. Puis une voix qui s’élève, haute et claire. Les mots sont parfaitement audibles, la voix assurée, celle de Noemy.
« Mes sœurs, je suis heureuse de vous voir si nombreuses en ce grand jour. Cette convention cache notre première assemblée depuis presque un siècle. Un siècle que nous n’avons pu nous réunir. Mes sœurs charnelles, Nancy et Kimberly, m’ont aidé à vous retrouver. A nous rassembler. Pour enfin accomplir le destin qui est le nôtre. Certaines de notre peuple sont encore disséminées çà et là dans le monde, mais nous terminerons le rassemblement, tout en passant à l’action.
Car de l’action, il va y en avoir ! Nous allons rétablir les choses comme elles doivent l’être. Il y a des millénaires, les premières sociétés étaient matriarcales. La femme, donneuse de vie, régulait le monde. Puis vint le temps de l’homme chasseur. Et il supplanta la femme, la transformant en poule pondeuse, la tenant dans la soumission, lui volant tous les pouvoirs… Les gardiennes des sociétés matriarcale furent pourchassées et massacrées. Celles qui restaient se rassemblèrent en un peuple. Les amazones. Nous sommes leur descendante. Nous avons la beauté et le charme féminin, exprimés par nos seins généreux et nos formes avenantes, mais aussi la force et la détermination virile, exprimés par nos pénis puissants.
Pendant l’antiquité, cachées, nous avons pu rassembler un trésor, rassemblé grâce au pillage et aux mines de diamant. Puis de nouveau les grecs et les romains nous ont pourchassées. Plutôt que de tout recommencer à nouveau ailleurs, notre reine, Hestia, dont je descends, décida de cacher le trésor, et de nous mêler au monde, de nous cacher, pour pouvoir refaire surface quand le moment serait bon. Certaines ont essayé durant le moyen-âge, mais l’inquisition les fit brûler vive. Leur pénis étant la marque du démon selon eux, ils ont pris nos sœurs pour de vrais succubes.
Après les deux guerres mondiales, certaines de nos sœurs via les mouvements de suffragette ont essayé de rétablir l’égalité, mais si elles connurent quelques avancées, le moment n’était pas encore là.
Maintenant, c’est le moment ! Pourquoi ? Ma famille descendant de la famille royale a toujours été gardienne du trésor des amazones. Ma grand-mère, installée aux Etats-Unis, eut la brillante idée de déterrer le trésor, et de le faire fructifier, au lieu de laisser sous terre. Nous possédons maintenant des billiards de dollar, en cash et en or, mais aussi en sociétés, en matières premières, en matières transformées. Nous pesons sur l’économie mondiale. De plus, les avancées scientifiques modernes nous ont fait prendre conscience d’une arme contre laquelle les hommes ne peuvent rien… Nos ancêtres étaient connues pour leur habileté à l’arc ou à la lance… mais ce n’est pas nos meilleures armes… non… nous avons bien mieux… »
Soudain, le drap fut soulevé. Je clignais des yeux, avant de m’habituer à la luminosité – heureusement faible – de la pièce. Nous étions dans une sorte de crypte. Des flambeaux accrochés aux murs donnaient une lueur irréelle à la scène, tandis que des spots idéalement camouflés donnaient l’éclairage juste-comme-il-fallait. Sur une petite scène, il y avait un trône en pierre qui semblait assez ancien. Un manteau royal était posé sur le siège, où Noemy était assise. Face à elle, dans la salle, des tables rondes entourées de chaises, chaises sur lesquelles étaient assises des femmes. Rien que des femmes. Toutes en tenue de soirée. Du champagne et des mignardises étaient aussi sur les tables. Et toutes regardaient vers nous. Nancy et Kimberly apparurent dans mon champ de vision. Elles ouvrirent les portes des cages et nous firent sortir. La voix profonde de Noemy repartit.
« Ces trois-là sont des hommes. Tous avaient des positions respectables, et assez hauts placés. Des responsabilités. De belles voitures. Un très beau salaire. Bref tout ce qui fait la réussite d’un homme ! »
Elle avait appuyé sur le mot homme avec une pointe de dégoût condescendant.
« Et regardez-les, pitoyables, en sous-vêtements féminins ! Vous trois ! Vous voulez regagner votre liberté, redevenir de vrais hommes, et même prévenir le monde que nous voulons le dominer ? Allez-y, je vous libère ! Je n’essayerai pas de vous empêcher de partir ! Mais si vous restez, ce sera l’esclavage, pour toujours ! »
Les femmes présentent retinrent leur souffle, une tension se fit sentir. Un spot éclaira une porte, sur notre gauche. Un coin de mon cerveau me souffla qu’il fallait déguerpir. Prévenir tout le monde de ce qui se tramait ici… Mais au même moment, Nancy et Kimberly ouvrirent leurs robes, qui tombèrent au sol. Elles ne portaient si soutien, ni slip. Elles étaient nues, leur sexe pointant fièrement vers nous. Il fallait se sauver, tout mon être savait qu’il n’y aurait pas d’autres chance, si je ne m’enfuyais pas maintenant, ce serait l’esclavage pour toujours ! Mais mon œil ne pouvait voir autre chose que la hampe, le gland, qui tressautait doucement, entre les jambes de Nancy… C’est presqu’en trance que je me ruais et me jetais à ses pieds, que je commençais à lécher sa hampe, son gland, avant de commencer à le sucer avec avidité. Du coin de l’œil, je vis que Stéphanie et Andréa léchaient de la même manière le sexe de Kimberly
La tension dans la pièce changea, elle devint sexuelle.
« Avez-vous remarqué mes sœurs, comme nous sommes vite excitées ? Comme nous avons besoin de faire souvent l’amour ? Et comme nous sommes dominante dans le sexe ? J’ai fait étudier la chose, et nous nous sommes rendu compte que nos phéromones, à nous les amazones, sont quatre fois plus puissants que ceux des humains « normaux ». Nos pulsions sont plus fortes aussi, ainsi que nous hormones. Notre sperme est plus fertile, mais aussi plus érotisant, plus addictif que celui des hommes. C’est grâce à cela que nous avons transformé ces trois hommes en esclaves : les charmer d’abord, ce qui ne pose pas de problèmes grâce à nos phéromones et nos corps parfaits. Puis quelques vidéos d’hypnose pour les rendre dominés, soumis et ayant envie de pénis. Et puis il suffit de les nourrir de notre sperme, et ils ne savent plus s’en passer… regarder les comme ils sucent avidement mes sœurs !
Oui nous allons dominer le monde. Nous allons en cette période ou la liberté sexuelle n’a jamais été aussi forte, nous allons réduire les hommes en esclavage, en faire des sextoys vivant, et éliminer ceux qui refusent ce destin. Les femmes deviendront nos reproductrices, enfantant une nouvelle génération d’amazones… oui demain, nous dominerons le monde ! Et pour commencer cette œuvre, ce soir je mettrai enceinte une vierge choisie par nos soins, selon l’ancienne coutume ! Ces hommes sont pour vous ce soir, amusez-vous avec eux ! Et en assouvissant vos désirs avec eux, sentez la puissance que nous avons sur leur pitoyable « virilité » !»
Nancy et Kimberly nous poussèrent en arrière, et des mains me prirent, m’attirèrent vers une table. Je sentis mon corps caressé, palpé, mon sexe dans sa petite cage moqué, mes fesses écartées. Un sexe jaillis devant moi, et sans poser de question, je commençais à le sucer… des doigts jouaient avec mon anus, puis il fut pénétré par un sexe puissant, et de fort jolie taille… Tandis qu’un premier sexe éjaculait dans ma bouche, et je reçu ce sperme avec un soupir d’aise, un autre le remplaça bien vite, tandis qu’on glissait ma main sur un autre. Toute cette chaire, tiède et dure, ce sperme chaud, ces seins, ces anus que je léchais, ces giclées de sperme qui m’arrivaient sur le corps, quel plaisir !
Je ne remarquais pas la jeune fille, blonde, aux hanches larges, nue, qui fut apportée devant Noemy. Elle fut gentille avec elle, la mis à l’aise, lui fit boire du champagne,… puis ses sœurs la couchèrent sur une sorte d’autel en pierre, et commencèrent à la caresser, les seins, les hanches, les tétons, puis Kimberly commença à lécher et suçoter le clitoris, tandis que Nancy s’occupait de ses seins et de ses tétons… puis, lorsqu’elle fut prête et que son sexe était suffisamment humidifié, Noemy s’approcha et caressa son vagin avec son gland. Elle avait un sexe aux belles dimensions… Elle se positionna, et pénétra doucement la fille… Dans la salle, c’était l’orgie, Stéphanie, Andréa et moi sucions des sexes palpitants, tandis que d’autres allaient et venaient dans nos culs, nos mains en branlaient d’autres, tandis que du sperme coulait déjà sur nos visages, nos épaules, nos ventres… malgré la cage qui m’empêchait de bander, du sperme s’écoulait de mon sexe, et de la-dite cage, tandis que je jouissais, des orgasmes anals comme je n’en avais jamais connus ! Les bruits de plaisirs, de succions, d’orgasmes, remplissaient la pièce, tellement que quand Noemy déchira l’hymen de la fille, le cri de douleur de cette dernière ne s’entendit pas… et bien vite, elle haleta de plaisir, Nancy s’occupant bien d’elle, tandis que Noemy semblait une amante hors pair… Kimberly, avec un calice ancien, récupéra un mélange de sang et de mictions de la jeune ex-vierge, et lorsque dans un cri rauque Noemy éjacula en elle, Kimberly vida le contenu de la coupe sur le ventre, qui porterait bientôt l’enfant de la reine des Amazones…
Je ne me rappelle plus bien le reste de cette soirée. Je bus des litres de sperme, j’en suis sûr, et lorsque les dernières amazones furent parties, mon corps était entièrement maculé de sperme, et lorsqu’on m’aida à me relever, du sperme coula de mon anus béant… J’étais dans un état second, un état orgasmique permanent… jamais de ma vie je n’avais connu un tel plaisir !
Et cela termina ma conversion… je ne pouvais plus vivre sans sperme. Il m’en fallait, deux à trois fois par jour. Comme un sexe bandé dans ma bouche, ou dans mon cul. Ma prostate en redemandait, encore et encore… Le jour, je servais les sœurs Poseis comme assistant de direction, homme à tout faire, et sextoys quand le besoin s’en faisait sentir, tandis qu’elles plaçaient leurs pions pour prendre le pouvoir, et transformaient d’autres hommes en esclave, dont des gens très très haut placé. Le soir nous participions à des orgies sans fin… et vraiment, je ne voudrais plus d’une autre vie !
— THE END —
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