Arrivé en ville, Madame s’est garée et m’a fait placer l’écouteur de mon téléphone dans mon oreille et a amorcé une autre conversation Face Time. Et sur ses instructions, je suis sortie de sa voiture pour entrer seule dans une boutique spécialisée. L’intérieur de la boutique était plutôt glauque, les murs tapissés d’objets bdsm plus hétéroclites les uns que les autres.
-Fait tourner ton téléphone pour que je voie tout autour… Va voir la vendeuse au comptoir et répète lui exactement ce que je vais te dire salope.
-Oui Madame.
-Ne parle plus, plus un mot tu entends… Contente-toi de répéter exactement ce que je te dis.
Va voir la vendeuse au comptoir
Je me suis donc approchée nerveusement du comptoir. La vendeuse m’a fait un sourire.
-Est-ce que je peux vous aider mademoiselle?
-Je suis une salope qui voudrait un plug anal… Allez dit lui ça…
-Euh jeee suis uneeee salopee qui voudrait un plug anal
-… quel genre désirez-vous?
-Pouvez-vous me montrer vos modèles, et vous pouvez me traiter de salope Madame… Allez dit lui…
-Est-ce que vous pouvez me montrer vos modèles Madame… Et vous pouvez me traiter de saaaalooope si vous le désirez.
J’avais tellement honte et je ne savais pas comment la vendeuse était pour réagir avec moi. Elle s’est mise à me regarder d’une drôle de manière. Elle m’a dévisagé et a commencé à avoir une attitude différente avec moi. Elle a aussi remarqué ma liaison téléphonique.
-Alors mademoiselle est une salope… Elle vient magasiner un plug pour faire plaisir à son Maître.
-Dit lui que c’est pour faire plaisir à ta Maîtresse.
-C’est pour faire plaisir à ma Maîtresse.
-Humm suis moi salope, je vais te montrer mes plugs.
Dit lui je vous obéis Madame.
-Je vous obéis Madame.
Nous avons traversé une partie de la boutique pour se retrouver devant un mur de plug anal et de dildo de toute sorte. Mes jambes tremblaient et je commençais à grelotter. Cela semblait amuser la vendeuse. Madame c’était aussi aperçus de ma gêne et de mon inconfort car la vidéo devenait instable. J’ai continué de discuter avec la vendeuse en répétant tout ce que me dictait Madame.
-Alors, qu’est ce qui ferait plaisir à ta Maîtresse salope?
-Ma Maîtresse voudrait que j’en possède de plusieurs tailles.
Et bien voila, j’ai ici un ensemble de quatre plugs de différentes grosseurs.
-Vous avez du lubrifiant pour aider les plugs à entrer dans monnn culll.
-Bien sûr, juste ici… Autre chose avec ça?
-Heuuu…
-Autre chose?
-Heeeuuuu. Maîtresse voudrait que je sorte d’ici avec… le plus petit des plug… dans mon cul.
-Bien sûr, t’es une vraie salope toi… On passe à la caisse et ensuite tu pourras ouvrir l’emballage.
Je me sentais presque souffrante tellement les émotions qui m’envahissaient étaient intenses. Nous nous sommes dirigées vers la caisse et j’ai réglé mon achat. Avec un très large sourire la vendeuse a utilisé une paire de ciseau pour ouvrir l’emballage des plugs.
-Tien salope, v’la tes plugs.
-Madame voudrait que vous m’insériez le plus petit dans mon cul.
-Vient ici derrière le comptoir.
Mais Madame m’a ordonné de relever ma jupe et de me pencher vers l’avant immédiatement. J’étais là, devant le comptoir caisse, penché en avant, la jupe relevé sur le dos, le cul à la vue de n’importe quel client susceptible d’entrer dans la boutique. Je voyais seulement mes pieds et je n’avais aucun idée de ce que la vendeuse pouvait bien faire à cet instant. Après quelques secondes d’attente, j’ai vu les pieds de la vendeuse près de moi. Elle a caressé mes fesses, je tremblais toujours. puis tout à coup, j’ai senti un objet étranger envahir mon corps pour s’introduire dans ma partie la plus intime. Ensuite j’ai senti que l’on m’installait une sorte de corde de cuir qui me passait entre les jambes pour maintenir le plug en place. Je n’avais pas remarqué, mais la conversation Face Time était coupée.
-Relève toi salope.
Je me suis relevé et j’ai immédiatement vu la silhouette de Madame derrière moi. C’est elle-même qui m’avait installé le plug. Dans ma grande détresse émotive, je ne m’étais pas aperçus qu’elle était entrée dans la boutique.
-Vous avez une bien belle salope Madame.
-Oui… Je dois dire que c’est mon objet le plus précieux.
Sur ce, Madame a salué la vendeuse et nous sommes sortie pour revenir chez Madame. La grille du domaine s’est ouverte, puis refermé derrière nous. Le véhicule de Madame s’est arrêté.
-Fou-toi à poil, garde seulement tes talons haut et va marcher devant la voiture jusqu’à la maison.
Je me suis déshabillé et je suis sortie nue comme un verre. J’ai commencé à marcher devant le véhicule de Madame. Celle-ci m’a demandé de mettre les mains sur la tête. J’ai obtempéré immédiatement. Je me rappelle aussi qu’elle m’avait ordonné de placer mes mains sur la tête car de cette façon, mes seins étaient pointé vers l’avant, mes fesses tant qu’à elles faisaient un mouvement indécent à cause des talons haut et de ce corps étranger qui oscillait à l’intérieur de moi. Chaque pas me rappelait ma condition de soumise, et Madame qui roulait dans sa voiture juste derrière moi.
Soudain, stupéfaction, en passant près des garages sur ma droite, j’ai constaté que les voitures des domestiques étaient toujours là. Celles-ci pouvait m’apercevoir à tous moment. Et cette fois-ci, j’étais à visage découvert tout en ayant une démarche vraiment humiliante.
Oui, je me souviens très bien que cette journée-là, Stéphanie et Nathalie travaillaient sur le terrain de Madame et elles m’ont vu traverser l’allée dans cette condition. J’étais terrifié de savoir que trois des domestiques de Madame avait vu mon visage jusqu’à présent. Oui, je devenais une chose qu’on utilise ou avec laquelle on s’amuse. Je perdais petit à petit mon autonomie et ma personnalité. Je devenais de jour en jour le bien de Madame qui pouvait faire tout ce que bon lui semblait avec moi. J’étais à un point de non-retour.
Il y a eu plusieurs journées du genre où Madame s’amusait avec moi, ou j’étais humilié et poussé dans mes derniers retranchements. Il y a eu aussi des fins de semaines où j’ai vécu le yin et le yang. En juin, l’an dernier cela a été ma première expérience du genre…
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