Histoires de sexe travesti Histoires de sexe viol Histoires érotiques couples amateurs

Le loup-garou 9

Le loup-garou  9



20h 45- La pleine lune

Marie était coucher sur le dos jambes écartées, genoux relever et ne portait qu’un collier imitation 13e siècle, moi j’étais sur le ventre, langue sortit et j’agaçais son clitoris en l’écoutant gémir faiblement.
Tout autour de nous était éparpiller ce que j’avais acheter pour nous deux a la boutique médiévale. Deux armures, des vêtements d’époque, des armes, des chandeliers, des bijoux et plein d’autres choses.
J’étais bien décider à lui faire plaisir par touts les moyens possibles ce soir. En levant les yeux je vis par la fenêtre que la pleine lune était lever et elle était d’un jaune éclatant. Une pleine lune a loup-garou, pas de doute.
Marie avait allumer ses petits lampions d’halloween et une ombre de sorcière sur le mur semblait me fixer en ondulant.
-Chérie ?
-Hum… Fit-elle en se caressant les seins doucement. Continue.
-Oui mais c’est la pleine lune ce soir, on devrait, enfin, quand on aura terminer bien sur, chassé le loup-garou. On doit bien travailler un peut non ? Après tout on est payer pour ça.
-Ok, mais continue.
Je me remit a la tâche en enfonçant ma langue bien profond dans le vagin humide tout en agaçant son petit clito avec mes pouces. Tout son corps frémit, elle se tortilla et gémit plus fort. J’étais bander si dure contre le lit que cela me faisait mal, au bout d’un long moment comme je n’en pouvais plus je grimper sur elle. Ma bite s’enfonça dans le vagin aussi facilement qu’un couteau brûlant dans une motte de beurre elle m’enlaça si fort que ma colonne craqua.
-Marie ! Murmurai-je à son oreille en le besognant lentement tandis que ses pieds glissaient sur mes mollets.
-Hum !
-Si t’était pas ma soeur je t’aurais demander en mariage aujourd’hui après le combat. Un beau mariage médiéval.
La elle me regarda tendrement en me prenant le visage entre ses mains.
-Sérieux mon amour ?
-Absolument.
Ses yeux magnifiques en demi-lune me scrutaient avec autant d’intensité qu’un douanier soupçonneux.
-Pourquoi pas ? Frère et soeur on s’en fout. On a découvert à 50 ans qu’on l’était et on est que trois a le savoir, pis on s’aime c’est sa le plus important non ? Ah oui Paul, faisons-le.
Elle lâcha mon visage pour me caresser le dos et les fesses moi j’enfouis mon nez dans sa longue chevelure odorante avant de lui sucer un lobe d’oreille. Elle adorait ça.
-Mais… Marie, on va devoir se jurer fidélité.
-Oh ! Fit-elle.
-Hum !
-Eh… !
-Et, pendant que j’y pense, pourquoi t’était jalouse de la mairesse au juste ?
-Et toi du Maire ?
-Parce que c’est un idiot et pas ton genre, sa m’enrageait de penser que toi et lui…
-Tu devrais me connaître un peut mieux Paul, tu sais bien que cé pas facile de m’écarter les cuisses.
-Wais, désoler. Pis, sa femme ?
-Ben, la elle se pinça les lèvres et sourit drôlement. Je stopper intriguer, ma bite enfoncer profondément en elle.
-Quoi ? Fis-je intriguer.
-Ben… Elle est en plein mon genre la belle mairesse coté fille, pis, j’ai tenter de la séduire mais… Ça pas vraiment marcher ! J’étais jalouse que toi tu l’es eu ! Désoler.
J’avais tendance a oublier que ma blonde était bis. Ce que peut de gens savait.
-Oh !
-Hum !
-Et ben ! Pis ce matin quand j’ai regarder dans le décolleter de Sally. Tu sais que j’aime les grosses boules pourtant.
-Wais mais tu la fais exprès, je voulais faire la paix pis toi tu fixe ses seins…
-Eh… Ok ! Fait qu’on ment en se jurant fidélité ?
-Un pieu mensonge !
-Good ! Mais le prête est le loup-garou ! Murmurai-je à son oreille en me remettant à l’ouvrage. Pis présentement, y doit être tout nu dans le bois a courir le chevreuil.
Elle rit un moment avant de dire.
-Idiot. Mai je t’aime comme ça. Continue cé bon…
-Tu y croîs pas ?
-Non, tout est trop bizarre ici tu trouve pas ? Ouf… Ta vu un enfant toi ?
-Non, mé ben des petits vieux ! Tu vas inviter ta famille au mariage ?
-Non, on leur fera la surprise. Oui… Cé bon… Oh Paul… Tu baise bien !
-Je sais minou. Un mariage intime ok, et pas de foule qui pense juste a se faire prendre en photo avec toi. J’en parlerai a la mairesse, pis si tu veux j’essaierai de nous arranger un petit trip a trois.
-Ok ! Oh oui… Plus fort Paul !
Je mit plus d’ardeur a fourrer ma belle tout en prenant mon temps.
-J’ai une idée. Fit-elle quinze minutes plus tard toute pâmer rouge jusqu’au épaule en levant ses longues jambes vers le plafond.
Je me redresser sur les mains pour la tamponner avec plus de forces, elle se reprit les seins qui sursautaient puis amena une main a son pubis, ferma les yeux et inspira très fort.
-Quoi ?
-On filme le mariage, oh… Oui… Et on le, ouf… Passe à l’émission. Oui… Oui… OUI ! ! ! Je viens…
Elle jouit en courbant les reins, dents serrer se mordillant les lèvres, j’adore voir jouir ma blonde. Je stopper, essouffler, la laissant prendre son plaisir, sentant son vagin se contracter, sa me donna juste le goût de venir moi aussi. Je sortis ma bite du sexe détremper, m’agenouiller pour me masturber tout comme elle et…
Au moment ou j’allais éjaculer fesses serrer on entendit un long hurlement de loup…
Puis des cris…
Marie cligna des yeux, son orgasme diminuait et le mien arrivait.
Des bruits de pas dans l’auberge.
Mon premier jet de sperme, le plus puissant, jaillit jusque sur son visage en s’étirant sur ses seins qui avait pas mal grossit depuis quelques mois.
Le téléphone de la chambre sonna au même moment. Marie étira le bras et décrocha en s’essuyant les lèvres recouvertes de sperme tout comme son oeil droit quelle garda fermer.
-Oui !
Un autre jet sur sa gorge et encore les seins et le ventre et un autre.
-Dans la rue principale… Hum…
Ça cogne furieusement a la porte et elle s’ouvre. Marie se cache les seins avec son bras droit les yeux ronds en recevant encore du sperme en plein visage. J’arrive put à viser tellement l’orgasme est puissant.
-Monsieur Paul le garou, il court dans rue et… Oh désoler !
C’est Sally qui referme la porte en faisant une drôle de mimique…
Marie s’essuie encore les lèvres.
-Oui, on arrive… Ok ! Elle raccroche pendant que je fini de décharger sur son ventre et dans sa belle toison noire. J’en tremble de plaisir pendant que Marie s’essuie le visage avec le drap.
-C’est le maire, dit-elle essoufflée, le monstre court en ville.
Je secoue ma bite le coeur battant à toute allure.
Ça cris toujours dehors et bang. Le bruit d’une collision entre deux voitures.
-Seigneur, fait-elle, ta ben choisit ton moment pour me venir dessus Paul. Pis la Sally qui ma vue me faire décharger en pleine face, seigneur, cé pas gênant pantoûte.
-Cé plutôt le maudit Loup-garou qui a mal choisit son moment. Répondis-je le cour battant.
Je me la presse en grimaçant tandis quelle se lève pour aller jeter un coup d’oeil par la fenêtre.
-Pis ?
-Je vois rien, je me lave rapidement et on va voir.
Le téléphone sonne encore, je laisse sonner.
Encore des cris.

9h15 – Ma belle Marie a disparu.

Marie à battu un record de vitesses, en moins de 15 minutes on est dehors et on jurerait quelle sort d’une séance de photo pour le magazine Clin-d’oeil. Caméra a l’épaule je la filme entrain de courir vers un attroupement autours de deux véhicules arrêter au milieu de la rue.
Pas de bobo pas de blessé, le garou a surgit d’un petit parc juste devant le premier véhicule, raconte une femme, il a freiner et l’autre lui est rentré dans le cul.
Un classique, même pas de taule froissée.
La pleine lune brille au-dessus du pont et la rue se remplient de monde.
Ils sont tous surexciter et parle tous en même temps…
Heureusement Marie à pensé à apporter son petit enregistreur portatif parce que je ne peut m’approcher d’elle.
-Il a surgit de la…
-Oui, je l’ai bien vue Mme Lemieux… Ya as passer sur ma galerie.
-Comme au cinéma pas croyable…
-Il a essayer de me mordre… Juste la, en dessous du coude…
-Il est partit vers le pont… Faut le trouver et s’en débarrasser.
-C’est une créature du diable…
Des gens en colère qui crie poing lever.
Je filme en me disant qui manque juste les torches, les fourches et Mell Brooks.
-Mon chat, quelqu’un a vu mon chat Grimouille ? Oh seigneur le garou la manger cé sur !
-Moi c’est ma petite Popette qui a disparue. C’est une chienne de race vous savez sa vaut…
Pendant que je filme Marie entourer de toute part, je me rends conte que se sont tous des adultes ou des vieux. Pourquoi y as pas d’enfant dans ce village ? Les cannes sont la, même la marchette qui se plante devant moi en disant.
-Je vous l’avais bien dit que les Russes mangeaient du mammouth M’sieux.
-Hein !
-Un Yack mon cul petit con ! Dit un des vieux.
-Pardon !
-Son comme ça en ville. Dit encore un autre en me pointant avec sa canne. Ça pense…
-La sur le pont ! Cris soudainement quelqu’un et je vois Marie au milieu de l’attroupement qui me fait signe de filmer dans cette direction.
A travers l’oeil de la caméra je ne vois qu’une vague silhouette sombre au centre du vieux pont et qui regarde vers la pleine lune et hurle. Je zoome mais ce n’est guerre mieux, il n’y a pas assez d’éclairage.
-On y va Paul ! Cris ma belle mais je ne la vois plus, il y a bien cinquante personne dans la rue voir plus. Et soudain je vois sa tignasse rousse au milieu d’un groupe qui l’entraîne et qui son déjà presque a la seule intersection du village, celle qui même au pont.
Je veux la suivre mais la marchette et les autres petits vieux m’entoure et d’autre qui me parle mais j’écoute rien. Je n’ai qu’une idée en tête ratt****r ma belle et filmer le prêtre tout nu, les yeux fous et recouvert de sang de gribouille ou de chevreuil, ou même des deux.
Excusez, excusez, fis-je en me faufilant mais ils semblent tous s’être passé le mot pour me retenir ou plutôt pour se faire filmer.
Soudain tandis que je contourne les véhicules, l’aubergiste me barre le chemin avec une hache dans les mains et me regarde méchamment.
-Vous avez vu ma femme ?
-Eh, non !
-Si il a toucher à ma Sally, je le découpe en petits morceaux moi le garou. Faut pas toucher à ma femme !
-Eh, a doit pas être loin, excusez-moi.
Hiii… !
Je repars à courir avec d’autres qui me suivent cette fois, l’aubergiste me talonne, on approche du croisement et il y a toujours un attroupement la bas et sa crie mais je ne vois plus Marie.
-Il revient ! Hurle une femme qui s’enfuie suivit par d’autres prit de panique.
-Non ! Ya as sauter du pont, cris un autre, y a traverser la rue pis y est rentrer dans le petit bois.
-Oui pis y a enlever Madame Lemieux !
-Shit ! Je m’arrête au croisement sous une lumière orange qui clignote et la je vois George qui s’approche au travers de la foule et me regarde drôlement.
-Il a enlever Mme Lemieux, le loup-garou !
-Pardon ?
-Il a surgit devant nous, la agripper et emmener avec lui on a rien put faire. Y sont entré dans le petit bois par le sentier qui mène vers le vieux cimetière, juste la, de l’autre coté de la rue.
Tien, tien, vers l’église. Me dis-je.
En parlant George arrête pas de se pointer devant la caméra que je garde lever par réflexe.
-C’est vrai ! Fait un autre.
Le pont est désert, la rue qui monte vers l’église aussi. Mon coeur palpite tandis que tout le monde se rassemble derrière moi.
-Vous êtes sur ? Demandai-je.
-Wais ! Sûre M. Lemieux. Fait George.
-Faite vous en pas Monsieur Lemieux, me dit l’aubergiste avec sa hache, on va la retrouver et ma Sally aussi, pas vrai vous autres ?
Pas un mot, George regarde ses running.
Shit.
-C’est le prêtre. Dis-je à l’aubergiste juste a mes côté. On va à l’église.
-Lui ! Fit-il en se retournant. Je me retourne aussi et vois le curé Cochon avec ces béquilles et sa jambe dans le plâtre qui me sourit, non, il sourit à la caméra l’idiot.
-Vous êtes pas tout nu vous ? Lâchai-je essouffler.
-Hein ? Fait trop fret pour ça monsieur !
Shit cé pas lui, alors qui ?
-Suivez-moi. Fait l’aubergiste en entrant dans le bois. Je le suis en enclenchent la visions de nuit et on est seul a y entré. J’aurais bien aimer que Thor soit la avec sa hache, en fait j’aurais dut prendre la mienne ou mon épée. Avoir su ! Une tête de loup-garou empailler au-dessus de notre cheminer dans notre maison de Sacré-Coeur ça aurait ben impressionner la visite.

9h40 – Infobub.

On suit un sentier qui grimpe vers l’église, la pleine lune nous éclaire pas mal même si le sous-bois est plutôt dense. Je marche derrière l’aubergiste qui avance d’un pas décider et soudain il dit quelque chose d’étrange tandis que je scrute les environs avec la vision de nuit.
-Vous savez, vous auriez fait un bon comédien M. Lemieux, Mme Lemieux aussi.
-Pardon !
-Wais, je vous jure, pis votre combat a matin ouf ! On aurait juré que votre dame voulait vous tueur pour de vrai. On a tout filmer si vous en avez besoin pour l’émissions.
-Eh, ok ! Mais a matin on se battait pour le plaisir ses tout, enfin… Presque. Mais je vous suis pas mon brave, pourquoi dite vous qu’on feraient de bons comédiens ?
-Ben je veux dire que vous jouer bien depuis votre arrivée. Je vous jure… La, vous avez l’air vraiment inquiet, un vrai pro. Vous avez suivit des cours d’acting ?
-J’ai pas l’air inquiet, je le suis inquiet, on vient d’enlever ma blonde, pis homme ou bête, y vas y goûter, surtout s’y il lui fait du mal. J’étais certain que c’était le prêtre le loup-garou même si je croîs pas trop a tout ça, mais la…
Il s’arrête si brusquement que je lui rentre dans le dos. Je me recule un peut ébranler.
-Cé pas vrai, fait-il, ils vous on pas avertit, ils vous l’on pas dit ! La, il se retourne et me regarde décourager. Avec la vision de nuit ses lunettes épaisses lui font de gros yeux globuleux qui brille d’un vert éclatant et ça me donne la chaire de poule. On dirait un extraterrestre sortit tout droit d’un de ses bons vieux films américains de science-fiction des années cinquante.
-Dit quoi ? Demandai-je en baissant ma caméra.
-Pour la pub.
-Quel pub ?
-Merde…
La il soupire ben fort.
-Merde quoi ?
-Ben toute cette histoire de loup-garou, c’est une pub pour la grande chasse au loup-garou que le village prépare pour l’halloween. Votre émission va être une grosse infopub d’une heure juste avant le 31 octobre m’as dit le maire. Ils veulent attirer pleins de touristes. Une première en Amérique du nord. Un genre de jeux de rôle. Avec ça pis le village médiéval ils veulent renflouer les coffres de la ville pour cet hiver.
-Hein ! Première nouvelle.
-Je pensais que vous étiez dans le coup, ces pour sa que je vous trouvais tous les deux bons comédiens.
-Shit. Pas de loup-garou ?
-Pas de Garou, c’est un comédien aussi qui le fait, mon meilleur ami, Jérémie. Inquiétez-vous pas pour elle. Ces lui qui a fait le monstre dans le film avec eh… Chose la… Ben voyons…
La je le regarde ahurit.
-Comédien aussi ? Qui d’autre est comédiens ?
-Ben y as moi et…
-T’est comédien ?
-Wais, on est une dizaine a avoir été engager par la ville, en plus des gens du village qui participe bénévolement. Ça les amuse et pis y son content de passer à votre émission. Normalement l’auberge est fermer y paraît à ce temps si de l’année.
-Et eh… Sally, comédienne aussi ?
-Gislaine, wais, mais ses vraiment ma femme par exemple. Me dit-il fièrement avec ses yeux bulbeux qui brille sous la lune.
-Ok ! Eh… ! Est-ce quelle est vraiment somnambule ?
La il rit. Ouf, y as mis ses dents.
-Non, est bonne actrice hein !
Je déglutis si bruyamment que ça doit s’entendre de la rue.
-Crist oui ! Dis-je avec conviction et il en est visiblement très heureux.
La je regarde la hache.
Shit.
-Mais l’enlèvement de Mme Lemieux ça ses improviser par exemple. Rajoute t-il.
-Pardon ?
-Wais, George, le chum du maire, nous as avertit à dernière minute, juste après le souper. Comme on a tous fait de l’impro on a embarquer, les gens du village avec, je pensais que vous aussi.
-Donc, Marie pis Sally on pas été enlever ?
-Gislaine est rester à l’auberge pour être sûr de pas être filmer, mais Jérémie a vraiment enlever Mme Lemieux sur le pont, enfin, pour la frime, c’était prévu. D’après ce que le maire a dit à George ça va être le moment fort de l’émissions. Vous l’avez filmer ?
-Non ! On m’a ralentis. Le vieux avec la marchette pis ses amis.
-Le vieux avec la marchette c’est le père du maire. Tant pis, mais a doit être revenu à l’auberge a présent. On y va ou on continue jusqu’a l’église en faisant semblant de chercher ? Y aurais des bons plans a faire dans le cimetière surtout avec la pleine lune et…
Je pointe un doigt devant son visage pour lui faire comprendre d’attendre une minute et je réfléchis. Le maire, le maudit toupet. Son plan au village médiéval a pas marcher alors…
-George hein, pis la marchette ? Dis-je songeur.
Le faux aubergiste me regarde drôlement.
-Et sa devait se terminer comment cette histoire d’enlèvement ?
-Eh… Bonne question M Lemieux.
-Tremblay.
-Oh, désoler.
-Donne moué dont ta hache.
La il me regarde intriguer.
Je lui arrache des mains et lui donne la caméra puis on retourne à la rue. George était toujours la, les autres aussi et sa discutaient calmement, sûrement de leur performance.
-George mon amie, dis-je hache a l’épaule, ta dix secondes pour me dire ou le maire a son petit baisodrome avant que je te coupe la tête joyeusement en criant… Yes, sa pisse le sang, sa vas être bon pour nos cotes d’écoute !
-Pardon. Fait-il les yeux ronds en déglutissant.
Je l’agrippe par le collet et approche mon nez a un centimètre du siens et lui fait mes yeux mauvais. Pour une fois sa marche.
-Tu parle ou tu meurs, ça tu le comprend tu ?
Un silence de mort règne autour de nous.
-Tient t’est la Jérémie, fait l’aubergiste a quelqu’un, ta déjà enlever ton costume. Mme Lemieux est ou, avec ma femme ?
Je tourne la tête et voix un gars solide dans la trentaine qui a l’air nerveux.
-Moi eh… J’écoutais la télé pourquoi, qu’est-ce qui se passe ? Y avait pas de représentation de prévue à soir pourtant, pas avant minuit !
Y a l’allure du gars qui se tape la femme de son meilleur ami. Tien ! Tien !
-On nous a demander d’improviser. Lui annonce l’aubergiste. Pas toi ?
-Pas au courant.
-Qui a mit ton costume a soir d’abord ?
-Ah ! Fit-il. Le maire sans doute, y me la emprunter après-midi, y est supposer me le ramener vers 11h pour le spécial de minuit.
Je me retourne vers George qui sue à grosses goûte dans l’air froid de la nuit.
-Et pis mon petit George, ou est-ce que le méchant garou a emmener ma blonde ?
-Ben, a la nouvelle brasserie médiévale qu’on construit probablement.
-Good ! Fis-je les yeux fous. C’est loin ?
-De l’autre côté du pont, en haut de la côte.
-Bon, toi et moi on va aller faire un tour en Hummer ok ?
-Ok !
Je le lâche et aussitôt, vif comme un petit lapin, il se retourne et s’enfuie dans le bois. Tout le monde rit jusqu’a ce que l’on entende hurler le maudit loup-garou. Un sacré cris en plus, comme si il c’était prit une patte dans un piège a ours. Good !
Le prêtre se signe, pour vrai ou pas ? Comédien ou pas ?
-Y hurle ben celui la, je risque de perde mon job. Dit le Jérémie stresser.
Et ben !
Je rends la hache a l’autre et repart avec ma caméra les yeux fous, bien décider à défricher du toupet. Tandis que je remonte la côte vers l’auberge les gens se dispersent, les décorations d’halloween s’allument. Je me fourre un cigare entre les dents et soudain on me cris après…

9h 55 – Soirée magique sous les étoiles.

-Paul !
La voix de Marie, mon coeur bondit. Je me retourne et la vois sortir du petit bois par le sentier qu’on avait prit. Elle s’approche tout sourire en repoussant ses cheveux derrière ses oreilles sans ce soucier des gens qui la regarde.
-Ta pas été enlever par une vilaine grosse bê-bête toi ma belle bombe rousse. Lui dis-je quant elle stoppe devant moi.
-Wais, tu parle, par le maire déguiser en loup-garou. Je me suis retrouver toute seul sur le pont dans le noir face à face avec la bête qui ma sauter dessus. J’ai eu une petite frousse j’avoue. Mais aussitôt qui ma mise de force sur ses épaules j’ai ben vu que c’était de la peluche. Je me suis mise à sacrer après pour qu’il me lâche sans savoir qui c’était. Je me sentais idiote de me faire traîner comme jusque dans le bois.
Finalement le faut loup-garou m’a lâcher dans le cimetière derrière l’église et a enlever sa tête. Quand j’ai vu que c’était le maire, Jésus-Christ j’ai faillit le décapiter et la, avant que je puisse placer un mot y ma déclarer son amour, pauvre gars y me faisait pitiés jusqu’a ce qui essaye de m’embrasser une main sur un seins.
-Oh ! Pauvre lui, et ?
-Coup de genoux dans les…
-Hi !
-Wais, y as hurler le monsieur !
-Jérémie peut être tranquille pour son job.
-Hein ! Fit Marie.
-Non rien. Té au courant qu’on filme une grosse infopub.
-De quoi tu parle ?
-Ton amoureux t’a pas mis au courant ?
-Commence pas, on va dormir dans une chambre remplie d’arme ce soir mon beau.
-He… ! Dormir en armure se serait pas bon pour mon dos. Ok ! Viens on va aller prendre un bon verre de vin et jaser en se réchauffant. Ta comprise qui y a pas vraiment de loup-garou.
-Sa c’est sûr, c’est le maire a manigancer tout sa j’imagine ?
-Wais et…
-Attendez ! Nous cris quelqu’un.
On se retourne et Thor arrive sans le costume cette fois. Botte de travail, jeans délaver et chaud manteau d’automne.
J’aime pas le sourire qu’affiche Marie aussitôt quelle le voit mais ça peut se comprendre.
-Belle soirée hein ! Quelqu’un d’autre derrière nous. La mairesse. La c’est moi qui ai un beau sourire.
-Ben oui ! Fis-je. Une belle pleine lune, un faut loup-garou, le maire en faite qui enlève ma blonde en plus pour lui déclarer son amour et…
La mairesse rit.
-Ça, sa ne m’étonne pas de lui. Y est obséder par vous Mme Lemieux.
-Y en as quelque uns comme lui, ses pas grave. Fait Marie. Vous nous devez des explications non ?
-Wais, l’aubergiste viens de me parler. Moi et Karl on vous invite, vous voyez la petite lumière la bas, en haut sur la montagne. Elle montre du doigt de l’autre coté de la rivière. C’est le domaine de mon chum. Foyer, hydromel, bière maison, Spa sous les sapins, flambeaux… Juste nous quatre. Ça vous tente ? On parlera de tout ça devant un bon feux de foyer.
-Moi oui ! Fait Marie en me regardant les yeux rieurs.
-Ok ! Répondis-je.
-Parfait. Dit Karl, prenez votre camion, on vous attend au pont.
-J’ai pas de maillot. Fait Marie tout sourire en me prenant par le bras.
-Pas besoins. Répond la mairesse avec le même sourire.
Oh, Popa a retrouver sa bonne humeur.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire