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Au bout du monde – 3

Au bout du monde – 3



Le paradis

J’ouvris les yeux sans y croire, je m’étais de nouveau endormi la tête contre ma fenêtre. Le camion était arrêté sous un grand sapin mais cette fois je compris vite qu’on était arrivé à destination. Juste a côté il y avait une grande maison mobile plus très jeune, verte et blanche adosser au sous-bois, surmonter de panneau solaire et d’une éolienne qui tournait lentement. Je regretter aussitôt mon séchoir. Sous un auvent, devant la roulotte il y avait une grande table de jardin verte, un peu plus loin un foyer. Des lumières colorer partaient du toit de la roulotte jusqu’aux arbres, le soir cela devait être plutôt mignon. Le terrain n’était pas aménagé, c’était un mélange de terre battue et de sable qui s’étendait jusqu’à la petite rivière ou il y avait une plage, pas très grande mais une plage. Luce était là, assise sur une chaise de camping et prenait une bière. Elle s’était changée; short en jean effilocher ultra sexy et haut de bikini noir. Je n’arrivais toujours pas à croire que cette fille était le même gars que j’avais rencontré hier. J’admirai ses longues jambes croiser en lui enviant. Je remis a salivé, mais de soif cette fois. Mais soudain, je rougit me rappelant la pipe que je lui avais fait tandis quelle conduisait, mais je n’avais aucun goût saler dans la bouche. Je ne savais plus si je l’avais rêvé ou si je l’avais vraiment fait. Je soupirer longuement car c’était plutôt embarrassant et je me sentais toujours épuiser et vaseuse tandis que le feu me montait aux joues. Je l’avais fait ou pas ? Je décider de ne rien dire et d’attendre quelle m’en parle si ce n’était pas un rêve.

Je me regarder dans le miroir du pare-soleil en clignant des yeux, me rajuster un peut puis étirer ma camisole pour regarder mes seins ruisselants de sueur. Je retirer les napperons de papier en grimaçant car ils étaient coller au sang coaguler, je les jeter derrière et ouvrit la portière en me frottant la poitrine, les griffures me piquaient. Mais en descendant je me rendis compte, paniquer, que ma jambe gauche était encore engourdie, même carrément morte. Je sautiller sur la droite les yeux ronds en perdant l’équilibre pour tomber en hurlant sur les mains, restant plier en deux, pour finalement rire comme une folle. Et je l’entendis crier :

— Encore un écureuil Julie ?

Je ris encore plus en me relevant pour me masser vigoureusement la cuisse en équilibre sur un pied en ayant l’impression que des milliers de petites aiguilles se baladaient dans mon réseau sanguin jusqu’au bout de mes orteils.

— Très drôle Luce. Lui criai-je. T’aurais du faire humoriste, tu sais, ceux qui travaillent juste dans les foyers pour personne âgée et qu’on applaudit par compassion.

Je l’entendis rire, toujours en massant ma maudite jambe qui revenait a la vie peut a peut.

— OK ! Belle mais cruel. Une bière froide la bombe qui va bientôt m’applaudir par compassion avec ses amis grisonnants.

Je souris en plissant les yeux tout en me disant que décidément j’aimais bien ce gars. Car avant tout c’en était un. Je l’aimais bien tout simplement parce qu’il ne faisait pas le lèche-cul pour me baiser. Ce n’était pas encore fait mais… après tout c’était pour ça qu’il m’avait invité et pour ça que j’avais accepté. Je n’allais quand même pas le sucer sans arrêt. Je n’étais pas sotte au point d’imaginer qu’on allait juste se faire bronzer le temps que je serais là et parler du beau temps. Mais il restait naturel même transformer en jolie femme. La plupart des hommes qui me tournaient autour même quand j’étais marié ou après mon divorce essayaient toujours de se montrer sous leur meilleur jour en me disant a quel point je semblais rester jeune et belle et la plupart semblaient en admiration devant moi et je détestais ça. Pas lui et ça me remettait les deux pieds sur terre.

— WAIS ! La sans-coeur, merci de me rappeler mon âge. Mais un vrai gars serait venu sauver la belle fille au casse-croûte. Même si le vrai gars a l’air d’une femme plutôt bien conserver pour une personne plus âgée que moi.
— Je tiens trop à mes beaux grands yeux noirs. C’est dangereux un écureuil, pire qu’un dragon tu sais et merci aussi de me rappeler mon âge. Ce n’est pas très délicat ça.
— Ben oui. Regarde qui parle ! Criai-je en pliant et dépliant ma maudite jambe qui revenait enfin à la vie.

Je boiter jusqu’a sa chaise avec un sourire gêner a cause son regard moqueur sur ma jambe encore raide et de son sourire en coin tandis qu’elle se levait pour aller a sa roulotte. J’en profitai pour me laisser tomber lourdement dans sa chaise de camping. J’enlevai mes sandales pour enfouir mes pieds dans le sable brûlant, un pur bonheur. Je regarder avec envie le petit bassin naturel que formait la rivière en me massant encore la cuisse. L’eau était limpide et si invitante que je ne pensais plus qu’à aller enfiler mon bikini moi aussi pour y plonger. Mais la bière avant.

Elle revint avec une autre chaise et une bière tiède que je caler de moitié d’une seule gorgée en regardant sa poitrine qui débordait de son haut de bikini ainsi que sa gorge en sueur et ses longues jambes blanches croiser et son rouge sur ses orteils. Plus fille que ça tu meurs, pas une once de gras en plus. La peau lisse de ses longues jambes luisait au soleil, je ne pouvais pas m’empêcher de les admirer.

— Ça va prendre un moment avant que le frigo ne refroidisse. Tu les aimes mes longues jambes galber et sensuelles ? Dit-elle en n’en pointant une pour m’agacer.
— Bof, ces des jambes, mais les miennes ses quelques choses. Fi-je tout sourire en n’en pointant une moi aussi tout en amenant le goulot de la bière a ma bouche. J’avalai le liquide pétillant mais un peut amère en grimaçant. Je n’avais pas pris de bière depuis des années. Malheureusement j’avais le dessous des cuisses un peut mou, mais pas elle.

— Ces belles jambes la, dit-elle, m’on fait gagner un concours de beauté : Miss St-David de Falardo 1976.

Je rit et dit :

— Miss St-David de Falardo, c’est ou ça ?
— Pas loin de Chicoutimi.
— Ben oui ! Fi-je septique en retenant encore un fou rire, tandis qu’on reposait nos pieds dans le sable.
— Je te jure.
— Hum hum ! Avec le petit bikini, la banderole et les talons hauts, les sourires forcer et les déhanchements exagérer.
— Absolument.
— Et tu veux me faire croire qu’en bikini personne n’as remarquer t’on petit paquet.
— Ma mère m’avait cousu un rembourrage spécial. Je te monterai la photo avec ma médaille, j’étais drôlement mignonne à l’époque. Je le suis encore d’ailleurs.

Et c’était reparti pour le fou rire, j’en pleurais cette fois.

— Seigneur, fis-je en m’essuyant les yeux. On s’ennuie pas avec toi. Non, je n’y crois pas a t’ont histoire.
— Et toi, l’ex-mannequin. T’as sûrement gagné des concours de beauté toi aussi ?
— Non, je trouvais ça niaiseux ces concours-là. Il y a longtemps qu’on est arrivé ?
— Une heure environ, j’ai préféré te laisser dormir. Les seins ça va ?

Ses beaux yeux noirs luisaient à demi-fermer. Seigneur je lui enviais même ces cils encore une fois. Je lui fis une grimace.

— J’ai un baume qui guérit tout dans la sale de bain, le petit pot bleu.
— Et t’aimerais m’en appliquer évidemment.
— Pas du tout, t’es assez grande pour le faire toit même.
— Ben oui ! Je suis certaine que t’en meurs d’envie.
— C’est une zone atteignable avec tes grandes mains, t’as pas besoin de moi.

La je la regarder vraiment intriguer en rajoutant :

— T’es un drôle de moineau toi. Tous les gars de la province se battraient pour me toucher les seins et pas toi ? Mon oeil !
— Oh, prétentieuse un peut la dame.
— Pas du tout, j’ai encore une belle poitrine.
— Ça c’est certain. Mais moi aussi, si je veux jouer avec des seins, je te rappelle que j’en aie et aussi beau que les tient et…
— Et ?
— Rien.
— T’allait dire plus haut, ou moins tombant. Baveuse avec ça. C’est mal partit ton affaire.

Là, elle secoua les épaules comme une danseuse de baladi. Ses seins lourds jaillirent quasiment du maillot.

— Pitié, dis-je en riant.
— Jalouse ?
— Bof ! Fi-je en faisant remuer les miens un peut gêner. Pas le moins du monde ma belle. Mais hier, ils t’ont drôlement excité mes seins. Tu voulais plus me les lâcher.
— Comme toi cette nuit avec les miens, tu m’as même bavé dessus je te rappelle.
— Ronfler dessus tu veut dire.
— OK, on est cute, on est des bombes, point barre.
— Oui madame.

Ses mamelons commençaient a pointé, les miens aussi d’ailleurs et je rougissais en me demandant toujours si je lui avais fait une pipe au volant. Tout ça était si étrange, mais je m’amusais et d’être en pleine nature comme ça, ça me plaisait vraiment.

— Bon. Fis-je en rabaissant mes lunettes et claquant ma bouteille de bière contre la sienne, aux vacances ma belle.
— Aux vacances ma belle.

On but et on se jeta un coup d’oeil narquois avait d’éclater de rire.

— Seigneur, fis-je en soufflant, je suis vraiment fatigué et tu me donnes de sueur.
— Pas trop décourager par… moi.
— Non, pas du tout ! Enfin, ces déroutants mais… Je m’habitue.
— Y as longtemps que ta contracter la maladie du sommeil ?

La je le regarder les yeux petits en disant :

— Mais t’es ben tannante toi ? T’es toujours comme ça ? Je vais trouver le temps long, même que j’ai déjà le goût de m’en retourner en Montréal.
— C’est dangereux de conduire en dormant.
— Va donc taquiner un ours ! Fi-je en riant comme une folle avec elle. Je suis ici pour me reposer en principe.
— Tu fais que ça depuis qu’on est partie de Montréal. Si tu as une petite envie la pelle est là-bas, pour le tapis rouge la vedette… on verra.

Je secouer la tête en riant tout en regardant la forêt et les montagnes au loin en reprenant mon souffle. Apparemment je venais de trouver mon maître pour ce qui est des répliques rapide et ces petites joutes verbales me plaisaient. J’aurais quand même bien aimé qu’elle soigne mes petites blessures histoire de l’exciter. Un gars ordinaire l’aurait déjà fait. Je pourrais l’inciter a le faire mais d’un autre coté je me sentais si bien la, assise au soleil a ne rien faire avec elle. C’était tellement calme et paisible, on entendait que des oiseaux cacher sous les branches, des grillons et la rivière. Il devait y avoir de petit rapide plus loin en amont cacher par les broussailles et les grands arbres qui ceinturait tout le terrain. Surtout des sapins et des épinettes noires mais aussi des trembles, des bouleaux et même un cerisier. Et étrangement, je me sentais tellement bien que je lui pris la main timidement en disant.

— C’est magnifique ici, si tranquille. Merci de m’avoir invité.
— Hm ! C’est mon petit coin de paradis et je suis heureuse que tu sois là. Tu t’habitues à m’appeler Luce on dirait.

Ces doigts fins jouaient avec les miens et j’adorais sa.

— WAIS, tranquillement et…

La, elle approcha sa bouche de la mienne en penchant la tête, ce que je fis aussi naturellement sans y penser les yeux déjà mis-clos mais le coeur battant a la vue de son rouge et elle me donna un baiser. Quand sa langue se faufila dans ma bouche pour jouer avec la mienne, la pointe de mes seins durcit et mon bas ventre me chatouilla. C’était si différent d’hier mais encore plus troublant à cause du goût de ses lèvres. J’avais vraiment l’impression de frencher une fille et… j’aimais ça. Quand nos bouches se séparèrent elle me regarda les yeux brumeux. Moi j’en étais étourdi en ravalant ma salive.

— Ouf, fi-je la bière coincer entre mes cuisses en pinçant ma camisole entre mes seins et la secouant, fait chaud
— Hum, très chaud. Dit-elle.
— Pas de voisins ?
— Non, personne, c’est pour ça que je me suis installé ici. Autrefois il y avait un moulin a scie 100 miles plus hauts dans les montagnes au bord d’un petit lac, mais c’est abandonner depuis 30 ans, depuis qu’il y a eu un incendie. Il y a seulement des pêcheurs qui vont par le a présent. Ils ne s’arrêtent jamais par ici, la truite est trop petite dans cette rivière. Il n’y a pas d’autre chalet non plus, il y a trop de lac et de grands espaces ici pour que les gens s’agglutinent les uns sur les autres.

Je bailler et m’excuser décourager de moi en buvant une autre gorgée avant de caler encore la bière entre mes cuisses qu’elle ne put s’empêcher de regarder rapidement. Et ça ne me dérangeait pas du tout, au contraire. Ce gars-là me plaisait vraiment, même en fille. Je soulever mes cheveux et me fit un gros noeud sur la tête pour dégager ma nuque en sueur et les garder relever. Là, ses ma poitrine qui se balançait qu’elle regarda les yeux petits comme tout à l’heure dans le camion pendant quelle se branlait, a moins que ce ne n’était qu’un rêve. Mais un homme reste un homme malgré tout. Je me demandais s’il bandait sur moi quand il devait me voir parfois à la télé, probablement. Qui n’écoute pas le petit écran ?

— Je n’ai jamais autant dormi le jour qu’aujourd’hui. Désoler de ne pas avoir conduit.
— Pas de problème, repose toi, t’es la pour ça.
— Ça ne me gêne pas tu sais.

Elle me regarda intriguer.

— Quoi ? De dormir tout le temps !
— Mais non, que tu me regardes. Tu ne le fais pas la langue a terre comme la plupart des hommes et t’as tout vue ce qu’il y avait a voir cette nuit de toute façon.
— Hum ! Et c’était magnifique.
— Ça l’est encore, sauf pour mes seins couverts d’égratignures. J’ai hâte de me baigner, je vais aller enfiler mon bikini.
— Moi, je vais aller au village chercher de la bouffe, c’est presque l’heure du souper. J’ai un vieux 4×4 cacher derrière la roulotte.

Surprise je regarder ma petite montre tout en plastique verte fluo. 4 h, déjà. Je n’avais pas vu passer cette journée.

— Je vais te donner de l’argent.
— Tu paieras la prochaine commande. Dit-elle en partant. Si tu restes, miss j’ai la langue bien pendue. Besoins de quelque chose ?
— Du vin la polissonne ! Tu veux que je vienne avec toi ?
— Non, je t’ai assez vue dormir pour aujourd’hui, même si c’était un beau spectacle. J’aurais du filmer ça; la bouche ouverte, la bave au menton, les mamelons qui pointaient, qui se cachaient et qui resurgissaient. T’as fait un rêve cochon ?

Je rester bouche ouverte tandis quelle riait.

— J’en ai pour une heure environ. Rouge ou blanc miss télé ?
— Pas d’importance. Si jamais tu m’as pris en photo ou filmé, je t’assomme avec la vieille pelle qui traîne là-bas.
— Végétarienne la psychopathe ?
— Non ? Dis-je avant d’éclater de rire en admirant son joli petit cul qui se balançait avant qu’elle ne disparaisse dans la roulotte en réalisant que si elle n’avait pas eu une bite, jamais je n’aurais fait ça. Ouf, t’es pas devenue lesbienne ma vielle mais peut-être un peut bi et t’as rêvé cette pipe. J’étais vraiment dû pour me faire baiser, Marie avait raison. Et je l’ai peut-être toujours été finalement, bi. Je soupirer longuement un peut mélanger. À part ma meilleure amie, Marie, personne ne me répliquait comme ça et aussi rapidement.

Elle ressortit portant un t-shirt gris orné du visage du “Ché” en monochrome et des lunettes de soleil rondes sur le nez et disparue derrière la roulotte. Je me surpris encore à admirer son déhanchement nullement exagérer et le balancement de son derrière bien moulés dans les shorts bleu pâle en y cherchant une faille qui indiquerait qu’elle était un gars. Mais rien à faire, surtout de dos et même par devant avec ses vrais seins. Et là, j’entendis le ronflement d’un moteur puissant. Je m’attendais à voir surgir une vieille camionnette toute rouiller mais, surprise, je vis apparaître un Hummer, un vrai, pas la version civile. Il était d’un joli orange brûlé avec une cabine a l’arrière et un support sur le toi pour les bagages. Elle prit le chemin de terre en m’envoyant la main comme une vraie fille et disparue rapidement derrière les arbres. Wow ! Moi qui avais toujours rêvé de conduire un engin comme ça. « Et bien, me dis-je, mon artiste mystérieuse doit avoir pas mal de sous dans son compte en banque pour se payer un 4×4 à 100,000. » Plus que moi en tout cas depuis mon divorce qui m’avait coûté la peau des fesses.

Je soupirer longuement éberluer d’être la. Tout s’était passé si vite depuis hier et tout était si étrange mais en même temps si agréable.

Les fesses à l’air, quel bonheur

Quelques minutes plus tard le son de son moteur se perdit au loin pour finir par disparaître complètement. Un silence reposant s’installa, le genre de silence impossible à connaître dans une grande ville et même en banlieue où j’habitais. Je n’avais pas ressenti un tel apaisement depuis si longtemps. En faite je n’avais jamais été seul quelque part en pleine nature depuis ma jeunesse et ce n’est que maintenant que je le réalisais. Je remplie mes poumons d’air pur et soupirer longuement, heureuse, profitant pleinement de cette solitude inespérée et j’éclatai de rire en repensant a ce maudit écureuil.

Au bout de dix minutes la chaleur devint trop écrasante et je clignais des yeux, encore. Merde ! Je me lever en m’étirant bras en l’air, arquant mon dos douloureux offrant mon visage au soleil brûlant ainsi que mon nombril et me mit a l’affut du moindre bruit qui soulignerait une présence humaine; autre véhicule, scie a chaîne, bateau a moteur, tout terrain, mais rien. Juste les oiseaux et le murmure de la rivière d’on l’eau paraissait très sombre à cause de la terre noire qui formait une bonne partie du sol de la région. J’étais en sueur et la chaleur m’écrasait. Je fis un pas vers mon 4×4 pour aller chercher mon maillot mais je stopper net en me mordillant une lèvre songeuse. Être une vedette a ses bons et ces mauvais côtés et l’un de ceux-là c’est que jamais je n’ai pu me baigner nue au Québec par peur d’être filmé ou prise en photo ce qui aurais fait la une des journaux, sans parler d’internet. Mais, ici, présentement, je me sentais vraiment seul, en sécurité et si loin de tout que je me mis a détaché mes shorts pour les baisser en même temps que mes slips qui collèrent un peut a ma fourche humide et m’en débarrasser les laissant par terre.

Déjà heureuse d’avoir les fesses a l’air j’enlevai ma camisole pour découvrir mon beau vieux soutien-gorge blanc si confortable tacher de sang. Des que je le dégrafer mes seins tombèrent près de mon nombril. Décourager par les égratignures rouges sur ma peau si blanche, j’entrai à l’eau jusqu’aux genoux, la trouvant un peu froide pour rincer ma brassière plier en deux, seins ballottant et se frappant mollement. Mon corps fut parcouru de doux frissons à sentir mes fesses et mon anus à l’air. Les taches rouges se transformèrent en tache brune, tant pis. Je la tordis et l’accrocher a une branche de sapin pour la laisser sécher au soleil et m’avancer tranquillement jusqu’au centre du bassin ou l’eau, qui me paraissait déjà plus chaude, m’arrivait seulement a mis cuisse. Ma toison noire en ovale luisait au soleil tandis que je m’aspergeais le visage, les épaules et la poitrine en me sentant si libre nue comme ça en plein air. Mes petites égratignures me brûlèrent un peu tandis que l’eau s’écoulait sur mes seins. Mes mamelons se tendirent et se couvrir de grosse chair de poule tout comme mes fesses et c’était vraiment agréable, rafraîchissant, j’en frissonner de plaisir. Il faisait chaud mais l’air ici était sec contrairement à Montréal ou le taux d’humidité était épouvantable. J’avais déjà fait du nudisme, mais sur des plages désertes au Mexique avec mon ex et j’avais adoré cette sensation de liberté totale; de sentir la moindre brise vous caresser la peau ou l’eau de mer et le sable chaud. Je retrouvais se plaisir présentement et ne regrettait vraiment pas d’être venu. Non, vraiment pas.

Le bassin était entièrement sablonneux avec juste un soupçon de courant et pas la moindre brise de vent. Je me retourner pour regarder son petit coin de paradis tandis que mes seins me piquaient en me disant que j’aimerais bien avoir un coin comme ça, a moi. Loin des regards omniprésents des autres.

— Pourquoi tu n’as jamais eu de chalet idiote ? Me dis-je tout haut, main sur les hanches. Parce que tu travaillais tout le temps et t’ont ex également et qu’il détestait le plein air, la vie en forêt. Tu t’achètes un chalet ma vielle, c’est décider.

Le sourire aux lèvres je me pincer le nez en pliant les genoux et me laisser couler sous l’eau fraîche avec un sourire de gamine en écarquillant soudainement les yeux à cause d’une petite truite qui me fila sous le nez. Je me relever d’un bond en me passant les mains dans le visage tout en crachant de l’eau et clignant des yeux en regardant aux alentours. Personne pour se foutre de ma gueule, WAIS, ça c’est le paradis. L’eau m’avait bien rafraîchi et débarrasser de la couche de sueur qui adhérait a ma peau et curieuse de nature et ne tenant jamais en place je décider d’aller voir les rapides qui me semblait tout proches mais aussi pour le simple plaisir de marcher nue les pieds dans l’eau fraîche. Une fois sortit du bassin je franchis un étroit banc de sable pour remonter la petite rivière qui était en fait juste un gros ruisseau. C’était du sable doux partout et le courant, un peu plus fort, me chatouillait les chevilles. Je me sentais libre et légère comme un oiseau à me balader nue entre les arbres dont les branches me chatouillaient parfois les cuisses ou les fesses. Et pas de moustiques, ou presque. Vingt pas plus loin je vit un autre bassin visiblement plus profond et y entrer d’un bon pas. Mon tibia droit heurta un tronc émerger me faisant perdre l’équilibre et je m’affaler à plat ventre dans le trou d’eau en criant comme une imbécile.. M’aidant de mes mains dans le fond, je me tirer jusque de l’autre coté du basin entre deux eaux pour en sortir comme un commando en me traînant sur un autre banc de sable chaud qui me chatouilla les seins agréablement tout en crachant de l’eau et riant comme une idiote. Je me retourner sur le dos pour apercevoir une autre blessure sur mon tibia écorcher en me le prenant.

— Outch ! Merde ! C’est pas ta journée ma vielle.

La blessure m’élançait mais pas trop, ça chauffait surtout. Et là, je vis un spectacle magnifique. Un aigle ou une buse qui passa tout doucement en planant au-dessus de moi pour disparaître derrière les arbres. Wow ! Je n’aurais jamais cru que c’était si gros ces oiseaux-là. Je me remis sur le ventre les pieds dans l’eau, le sable me chatouillant toujours les seins et réaliser que, malgré mes petites pertes de conscience de la journée, j’étais toujours aussi épuiser. La rivière faisait une courbe et un arbre s’était abattu par-dessus et depuis longtemps à le voir. Il n’avait plus d’écorce, pratiquement plus de branche et son tronc était devenu parfaitement lisse et gris.

Je m’en approcher avec de l’eau au mollet et comme je ne pouvais passer en dessous je lever une de mes longues jambes pour l’enjamber a me tenant a un bout de branche cassée. Je me donner un élan pour me retrouver assise à cheval dessus ressentant aussitôt une agréable sensation dans le bas ventre des que mon sexe s’y écrasa. La même agréable sensation que j’avais ressentie la première fois que j’avais eu un orgasme sans savoir ce qui m’arrivait. Un après midi coucher sur le ventre sur mon lit a lire une bd avec une jambe pendante, mon sexe écraser sur le rebord de mon matelas c’était mis, pour la première fois a me procurer d’étrange sensation. C’était si agréable que je m’étais mise à faire des pressions avec ma jambe en la raidissant. Plus j’appuyais plus c’était agréable et même la pointe de mes petits seins était devenu plus sensible. Le front sur ma bd, bouche entrouverte j’avais eu très vite un orgasme. J’en tremblais le rouge aux joues sans comprendre ce qui m’arrivait en sentant mes petites culottes collantes. J’avais recommencé ça presque chaque jour jusqu’à ce que Marie m’apprenne la bonne manière de se masturber.

Et la, je faisais la même chose sans y penser, de légères pressions avec mon basin écrasant mon sexe en serrant les fesses, dos courber, une main sur la branche l’autre sur mes seins me pinçant les mamelons délicatement avec le pouce et l’index. Je gémissais déjà, tellement c’était excitant de le faire la, nue en plein air, sur un tronc lisse et chauffer par le soleil avec les pieds qui traînait dans l’eau. Je me balançais légèrement d’avant en arrière en repensant à mon rêve de toute à l’heure en me mordillant les lèvres ressentant déjà un intense plaisir qui me faisait haleter. Mon clitoris durcit et à chaque fois que je me penchais vers l’avant, l’écrasant, je gémissais faiblement tellement c’était bon. Comme autrefois je jouis sans avoir à me toucher juste par pression, je ne l’avais pas fait depuis quelques années. L’orgasme me fit gémir, grimacer, dents serrées et raidir les jambes, les orteils replier sous l’eau. Mon corps était parcouru de spasmes délicieux. Je me mis à gémir plus fort le corps parcouru de tremblement… L’orgasme qui me traversa le bas ventre fut court mais très intense.

Je repris mon souffle doucement en voyant que mon sexe avait laissé une trace humide sur le tronc. Je ne me sentais soulager, alangui, heureuse mais je n’avais plus la force de continuer, comme si cet orgasme m’avait vidé de toute énergie. Je remis mon exploration à plus tard en retournant sagement et prudemment cette fois au basin.

J’y barboter un bon quart d’heure avant d’aller me rasseoir dans la chaise en défaisant le noeud dans mes cheveux pour les laisser sécher. Je me sentais vraiment bien, rafraîchi par ma baignade et soulager par cet orgasme fantastique en plein air en sentant le sable doux sous mes pieds et le soleil sur ma peau encore mouiller. Être la, cuisses écarter, offrant mon sexe au soleil me procurait un bien-être incroyable. J’aurais dû m’enduire de lotion mais je ne voulais pas rester la longtemps. Ma peau blanche bronzait à peine l’été. En fermant les yeux je me remis à planer, à repenser à Luce et son corps de fille et encore a cette nuit; son pénis, mon orgasme et son doigt entre mes fesses et ma main droite glissa tout seuls sur mon pubis tandis que je mouillais. Une vraie obsédée.

Les longs doigts de ma main droite, chatouiller par mes poils pubiens se mirent a faire des cercles près de mon clitoris tandis que ceux de la gauche glissaient sur mon sexe gonfler aux grandes lèvres brunes et ouvertes jusqu’a dévoiler les petites lèvres rose bonbon luisante d’humidité. Tandis que mes cuisses s’ouvraient beaucoup plus et tout naturellement tout comme mes lèvres vaginales, je glisser un doigt dans mon sexe et le fit aller et venir doucement en réalisant que je ne m‘étais pas masturbé en plein air depuis mon adolescence avec Marie. Elle et moi avions partagé des tas de choses avant de nous marier. Elle était drôlement plus délurée que moi à l’époque, même encore aujourd’hui.

Je me mis rapidement à soupirer en me mordillant les lèvres en sentant le plaisir m’envahir à nouveau. Le faire, comme ça, nue assise sur une chaise cuisses grandes ouvertes m’excitait tout autant que tout à l’heure, même plus. Effleurer mon clito bander ou le toucher tout doucement en me pénétrant avec un doigt me faisait serrer les fesses et grimacer de bonheur. Je sentais même ma cyprine s’écouler de mon vagin sur mon anus poisseux qui pulsait. Je me surpris à imaginer deux pêcheurs en train de m’observer cacher dans les buissons de l’autre côté de la rivière et se masturbant violemment trop exciter par le spectacle que j’offrais si gratuitement. Moi, Julie Demers. Je voyais parfaitement leurs yeux cochons fixant mes cuisses ouvertes, mon sexe mouiller, mes seins, leur membre gonfler et palpitant et leurs mains qui s’y agitaient furieusement.

Je gémis de plus belle en me tortillant dans la chaise de camping qui grinçait. Un orgasme puissant, je le sentais bien, passait tout près d’exploser mais il m’échappait. Je replonger dans mon fantasme les yeux ouverts en imaginant cette fois les hommes traverser la rivière bite en main pour venir me prendre. L’un deux, fous de désir me soulevait facilement pour me serrer contre lui comme si j’étais une petite fille et restant debout, fourrer ça bite en moi jusqu’aux couilles m’arrachant des cris de plaisir. Je me voyais accrocher a son cou de taureau, ma joue contre la sienne piquante d’une barbe de quelques jours, sentant ses mains puissantes enfoncer dans mes fesses pour me faire m’empaler sur sa grosse verge tandis que l’autre passait derrière moi pour m’agacer l’anus du bout de la langue avant d’y enfiler sa queue…

Je crier de plaisir en réalisant que je venais de me fourrer un doigt dans l’anus, en plus de l’autre toujours dans mon vagin détremper et les deux s’agitait, se touchait en moi par la mince paroi anale. Je ressentais le même plaisir qu’hier quand Luce m’avait fourré un doigt entre les fesses. Je soulever ma jambe gauche pour poser le pied sur le rebord de la chaise, comme ça j’avais un meilleur accès a mon anus. Je pouvais me pénétrer beaucoup plus facilement, j’en avais presque le souffle couper. En même temps je me masturbais comme une folle avec la droite et mon clitoris avait regagné sa cachette signe que j’allais jouir. J’accentuai encore plus mes pressions sur mon pubis en geignant de plus en plus, comme si on me torturait et cette fois, l’orgasme qui m’échappait éclata comme une bombe dans mon bas ventre jusqu’a mes seins et me fit cambré le dos. Tout mon corps fut secoué, mes muscles se tendirent, mes orteils se redressèrent.

Il était si puissant qu’il me fit serrer les cuisses et me mordiller les lèvres en gémissant très fort pencher par en avant. Mes yeux se remplirent d’eau tandis que mon vagin avait des spasmes tout comme mon anus contre mon doigt. Ce nouvel orgasme qui me coupait le souffle me rappelait à quel point je manquais cruellement de sexe. Quand le plaisir s’estompa me laissant pantoise et étourdie, même a bout de force et en sueur, je rester longtemps immobile a profiter du moment me sentant en paix avec moi-même pour la première fois depuis des mois. Je finis par desserrer les cuisses sentant mon coeur cogner, mon doigt fut expulsé tout naturellement de mon anus et je sortis l’autre de mon vagin débordant de liquide vaginal. J’avais mouillé la chaise, j’en avais même sous les fesses. Je me lever, pantelante, les genoux mous comme de la guenille et je tremblais tandis que mon coeur se calmait peut a peut. Je rester un moment plier en deux, seins étirer, les mains au dessus des genoux a voir des points noirs, la tête me tournait et soudain sans que je puisse y faire quoi que se soit je me mis a uriner fortement sur le sable. Comme je venais de jouir cela me procura de nouvelles sensations et me fit trembler en écartant plus les pieds car je m’éclaboussais les chevilles. J’en pleurais en me vidant la vessie réalisant à quel point j’étais à cran. Ma petite envie terminer, décourager et a bout de force j’amenai la chaise dans le bassin pour la nettoyer et me laver par la même occasion, puis la ramener sur la plage pour la laisser sécher. Comme je ne voulais pas att****r de coups de soleil où me faire surprendre comme ça. Je ne me sentais pas encore prêt à me balader nue devant lui malgré la nuit passée. J’ai toujours eu des problèmes à me montrer nue aux autres, même avec Marie quand nous allions en couple avec nos maris à la plage dans le sud.
Même si c’était très tentant de rester nue pour m’étendre sur le sable fesses a l’air m’a timidité l’emportait et il fallait que je m’enduise de lotion si je ne voulais pas brûler.

Me sentant soulager de mes pulsions, pour le moment, et un peut honteuse, je me rendit a mon camion pour enfiler mon maillot mais un mauvaise surprise m’y attendais.

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