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Chapitre 4 : PAMELA et CINDY (3ème partie)

Chapitre 4 : PAMELA et CINDY (3ème partie)



La semaine suivante, j’ai été pas mal occupé par les préparatifs pour mes futures études nantaises. Pam et moi, nous nous telephonions tous les soirs. Sa mère lui interdisait de sortir le soir en semaine. J’ai aussi échangé quelques textos avec cindy, mais tout cela est resté amical. J’aimais bien discuté avec cette nana, de tout et de rien, ouverte d’esprit, ouverte sur le monde. Aucune allusion au sexe, aucune arrière pensée (du moins c’est ce que je pensais au départ).
Le mardi après-midi, je suis passé voir pam à la sortie du lycée. Cindy était là aussi.
Pam:- je n’ai pas cours demain après-midi, on peut se voir?
Moi:- oui si tu veux. Je serais seul chez moi, ça te dit de venir?
Pam:- ok pas de soucis. Puis en se tournant vers cindy, elle lui a dit:
– je dirais à ma mère que j’irais faire du shopping avec toi. Tu veux bien me couvrir?
Cindy a fait la moue, elle ne paraissait pas convaincue, mais elle a accepté.

Le lendemain, je me suis réveillé avec une pêche d’enfer. J’étais surexcité, je m’imaginais déjà la scène de l’après-midi. J’ai pris une douche et j’ai décidé de m’épilé le sexe entièrement pour la première fois. Je me suis regardé fièrement dans la glace de la salle de bain et c’est vrai que ma queue m’a paru plus grande…
Aux alentours de 14h, je suis allé chercher pam à l’arrêt de bus qui se trouvait à 200m de chez mes parents. Une fois de retour au domicile, nous sommes allés dans ma chambre. Après quelques câlins, les choses se sont précisées. Je l’ai déshabillé entièrement. La vision de son corps nu m’a fait bandé. Elle paraissait un peu stressée ( ce que je pouvais comprendre). J’ai plongé ma tête entre ses cuisses afin de la mettre en condition. Je lui est léché le minou jusqu’à ce qu’elle pousse des petits cris de plaisir. Puis, debout devant elle, j’ai retiré mon boxer, lui offrant pour la première fois la vue d’une bite bien tendue. Elle la fixa brièvement.
– ça ne te plait pas? Ça te fais peur?
– je t’avoue que je ne pensais pas que ça pouvais être si gros.
– pourtant je suis loin d’être Rocco (18cm)
Je me suis allongé près d’elle, j’ai pris sa main pour la déposer sur ma verge. Je la sentais troublée, la main tremblante. J’ai posé ma main sur la sienne pour la guider dans le mouvement de branlette. J’ai ensuite retiré ma main pour la glissé entre ses cuisses et la doigter. Nous avons apprécié cette masturbation mutuelle, mais j’en voulais plus.
– tu veux essayer de la mettre dans ta bouche?
– oh je suis pas sûre d’aimer ça…
– comment peux tu savoir si tu ne la jamais fais.
Je me suis mis alors debout au pied du lit et je l’ai fait s’assoir au bord du plumard. Lui tendant ma tige toute raide, d’une main elle l’a saisi, en enroulant ses petits doigts qui ne faisaient pas le tour de sa circonférence. Elle approcha et en fermant les yeux, elle a ouvert la bouche et elle a inséré doucement mon gland. Sa langue ne bougeait pas et je lui ai dit:
– tu peux aller plus loin tu sais…
Elle a alors avancé sa bouche un peu plus loin et ne la voyant pas faire de va-et-vient, j’ai alors commencé à remuer mon bassin.
Au bout d’une trentaine de seconde elle s’est dégagée me signifiant:
– je suis désolé mais je n’aime pas.
– ce n’est pas grave dis-je pour la rassurer, même si au fond de moi ça me faisait vraiment chier.
– Je sais que les mecs aiment ça, mais ce n’est pas mon truc.
– Tant pis pour toi, tu ne connaitras jamais le plaisir du 69.
Elle s’est sentie honteuse. Je me suis assis à côté d’elle pour la réconforter. J’ai glissé ma main droite derrière elle pour lui caresser le dos et j’ai déposé ma main gauche sur sa cuisse. Compatissant je lui ai dit:
– tu sais, ce n’est pas pour ça que je n’ai pas envie de toi. Elle a sourit et elle m’a embrassé. Nos langues se sont mises à valser à l’intérieur de nos bouches. Mon excitation reprenant le dessus, je l’ai attiré sur moi. Assise sur mes cuisse face à moi, jambes écartés, ses genoux sur le bord du lit, on s’est enlacé l’un contre l’autre. Mes mains sur ses fesses, j’appuyais fort vers moi pour sentir son sexe contre le mien. Ma queue coulissait entre ses lèvres humides et se frottait contre son clito. On a reculé sur le lit pour être plus à l’aise et pour chopper une capote dans mon porte-feuille. Je l’ai enfilé rapidement et en position de lotus, je l’ai pénétré jusqu’au gland et elle a fait une grimace de douleur. Je me suis enfoncé en elle doucement, à chaque centimètre que je gagnais, par de lents va-et-vients, ses bras autour de mon cou me serraient plus fort. Soudain ma queue n’a plus avancé. J’ai alors donné un petit coup sec du bassin, pam a crié en me plantant ses ongles dans le dos. Je venais de déchirer son hymen. Une fois ma queue engloutie jusqu’à la garde, je suis resté quelques instants immobile en elle.
– ça va ma belle?
Reprenant sa respiration elle m’a répondu:
– oui, oui, ca pique un peu, mais ça va allé.
J’ai pris sa tête entre mes mains, ses tempes en sueur tambourinaient. Je l’ai embrassé langoureusement.
J’ai repris mes mouvements de bassins doucement, jai accéléré le rythme. Elle s’est mise à gémir de plus en plus fort, elle était rouge comme une pivoine. J’ai fini par la martelé copieusement et poussant un cri de bouc en rut j’ai joui.
Un peu plus tard dans l’après-midi, encore nus tous les 2 sur le lit, elle était allongée sur le ventre. J’embrassais ses fesses sublimes en ne pensant qu’à une chose, la sodomie. N’ayant encore jamais pratiqué, je fantasmais tout le temps sur cet acte bestial, surtout lors de mes visionnages de films porno. Mais j’ai abandonné l’idée de lui poser la question. Premièrement parce que c’était trop tôt pour elle et aussi parce que je repensais à sa réaction sur la fellation.
Mais en caressant et en embrassant son magnifique cul, je me suis mis à bander sévèrement.
Nous avons refait l’amour, plus intensément cette fois-ci,dans un banal missionnaire. Elle a beaucoup jouit. Et moi, au moment où j’ai senti ma sève montée, je me suis retiré de son trou mouillé, j’ai viré la capote et je me suis terminé à la main au dessus d’elle. Mon premier jet à été long et puissant, l’atteignant sous le menton, le reste est allé s’étaler sur ses seins et son ventre.
En s’essuyant sous le menton du revers de sa main, j’ai vu sa tête pleine de dégoût lorsqu’elle m’a dit:
– ah putain, c’est vachement visqueux ton truc.
J’ai fini par comprendre qu’elle était assez coincée. Elle a pris une douche et vers 17h je l’ai raccompagné à l’arrêt de bus.
Le soir même, j’ai reçu un texto de cindy, sa façon de communiqué était inhabituelle, me demandant si c’était bien avec Pam. C’était la première fois qu’elle me posait des questions sur ma relation avec sa cousine.
Son comportement allait changer vis à vis de moi et j’allais rapidement découvrir pourquoi…

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