Mes exhibs 04 : Une après midi à la plage
Bonjour,
Juste un petit récit, qui retrace quelques anecdotes de nos vacances à Marbella, le premier été après l’intervention de chirurgie que j’avais eu sur ma poitrine.
Alors que les autres années, je bronzais déjà en bikini topless sans appréhension, là ma première journée de bronzage sur la plage, m’excitait à l’idée de sentir les gens regarder ma nouvelle poitrine.
J’avais gardé mon maillot de l’année passé, évidement impossible de mettre le soutien-gorge 105 D oblige.
Dès que je me déshabillais sur le sable chaud, les regards des hommes alentour se tournaient vers moi.
Mon mari Pierre en était ravi, il me soufflait à l’oreille:
— Tu fais tourner des têtes, ma chérie Et cela te plait, canaille ? Bien sûr, j’en suis très fier, c’est ton bas de maillot de bain qui ne va plus maintenant Pardon ?
— Regardes, la mode est aux strings ficelle minimalistes.
Il me faisait remarquer deux petites minettes, qui bronzaient la ficelle entre les fesses.
La station balnéaire étant assez branchée, je me dis que je ne ferai pas scandale en si j’allais m’acheter un string ficelle.
Pierre me signala avec un sourire coquin qu’il souhaitait me conseiller sur cet achat.
L’après midi même, nous voilà en train de faire les boutiques de bord de mer.
A chaque fois que je montre un string à Pierre, il me fait la moue en me disant :
— C’est un vrai string ficelle que j’aimerai que tu portes.
J’ai vraiment envie de lui faire plaisir, aussi je continue de chercher.
Nous trouvons enfin une petite boutique de style branchée.
Et là, quelques string et tenues d’été très sexy.
Je ne sais pas comment Pierre fait pour trouver ce string blanc ????
Il me dit sans hésitation:
— C’est celui la qu’il te faut.
Je vois ce minuscule bout de triangle blanc qui pend de sa main, avec trois cordons de la grosseur d’un lacet de chaussure.
— Tu n’as pas trouvé plus petit ?????
— Non en effet, si cela avait été le cas je l’aurai pris.
Je vois mon Pierre qui paie sans même me laisser le temps de l’essayer.
Arrivée à l’hôtel, je passe le futur objet du délit.
Ce triangle de 12 cm de haut, est très étroit sur la hauteur ( 7 cm de large en haut )
Le reste n’est que cordon.
Je le passe entre mes cuisses entre mes fesses, essaie d’ajuster au mieux ce simili cache sexe.
Le haut du triangle couvre juste le haut de mon sexe. Mes lèvres ont du mal à être voilées par le tissu qui n’est même pas doublé.
— Alors, comment te va ton maillot, chérie ?
— Heureusement que je suis entièrement épilée; regarde, il faut que je tire sur les cordons pour emprisonner mon minou.
Mes lèvres sont complètement moulées par le tissu.
Je passe un paréo, que je croise sur mes seins. Me voilà prête pour aller à la plage.
Je vois que Pierre sans me le dire, est déjà troublé, il bande dans son bermuda. Heureusement qu’il n’a pas un string lui aussi, sinon il ne contiendrait pas son érection.
La plage n’est qu’à 100 mètres de l’hôtel, nous nous y rendons à pied.
En marchant, je ne sens que le cordon de ce string qui frotte entre mes fesses et sur mon anus.
Arrivés sur le sable, j’hésite, je vois Pierre qui sourit. Il adore me voir dans cet état de stress avant de me laisser regarder.
Je le suis sur cette plage pour trouver un emplacement pour poser les serviettes.
Il s’arrête à un endroit où se trouve à la fois des familles, des couples, mais aussi et surtout un groupe de jeunes hommes qui jouent au volley-ball.
Je pose mon sac de plage.
Je défais mon paréo, et la je sens une bouffée de chaleur m’envahir.
Tous les regards se sont tournés vers moi. Mais là ce n’est plus uniquement sur ma poitrine que se portent les yeux, mais aussi sur mes fesses complètement exposées, et sur ce triangle blanc qui me sert de cache sexe.
Pierre, avec une lumière dans les yeux, me demande à l’oreille :
— Chérie, comme tu vas étaler ta serviette sur le sable, soit gentille, étale la mienne, j’ai envie de voir comment tu t’y prends. Surtout ne vas pas trop vite, j’ai envie de profiter de ton paysage. Tu ne plies pas les genoux pour te pencher.
— Arrête, je ne vais rien pouvoir cacher. Tu ne t’éloignes pas de moi, je n’ai pas envie de me faire violer par tous les hommes du coin.
— Regarde discrètement certains en ont déjà envie.
— Je sais, j’ai vu, tu es fou de me faire faire cela.
— Mais non, en plus tu aimes cela.
— Salaud ( en plus il a raison et il le sait, je dois être folle de l’écouter, mais j’aime cela avoir ma température qui augmente comme cela et mon sang qui bat dans mes tempes)
J’ai gardé mes lunettes de soleil, j’ai l’impression que cela me protège des gens qui sont autour de moi, mais surtout cela me permet de regarder leurs réactions sans qu’ils s’en rendent compte.
Je me penche pour sortir les serviettes du sac. Je suis les jambes un peu écartées, et je suis les instructions de Pierre. Haaa je sens le cordon de ce string qui frotte en passant sur mon anus.
— Tu es superbe chérie
Haaa je n’ose imaginer la vue qu’ont les gens derrière moi allongé sur la plage, dans l’axe de mes fesses.
Je me retourne, et m’assois comme si rien était.
Je me sens rouge, mais je vois que certains sont muets, ou que d’autres parlent en me regardant.
Je fais celle qui ne comprend pas l’Espagnol, mon mari de même.
Pierre, s’est allongé sur le ventre. Il bande comme un âne. J’aime le savoir dans cet état, mais je sens que cela me trouble. Ce string ne va pas rester sec bien longtemps.
Pierre se retourne vers moi et me demande :
— Tu n’as pas envie d’aller te baigner, il faut que je me rafraîchisse un peu, je suis un peu en surchauffe.
— Je n’osais pas te le proposer ( je lui fais un clin d’œil lui confirmant que j’ai bien compris son envie et que je suis comme lui aussi excitée.)
Nous nous levons et nous dirigeons vers la mer, en passant entre les gens allongés sur le sable. Une fois dans l’eau, nous nageons pour nous éloigner un peu du bord. Le fond descend à cet endroit en pente très douce. Pierre se rapproche de moi. Il me prend dans ces bras et m’embrasse comme s’il était un gamin avec son premier amour. Nous avons pied, j’ai de l’eau juste sous les seins.
— Tu sais que tu as bien fais de te faire refaire la poitrine comme cela, tu me fais bander tous les jours.
Je le regarde dans les yeux, il est là, à me caresser les seins, à me les soupeser.
— Et mon petit cul, ne te plait pas, pourtant j’ai faif ce qu’il faut aujourd’hui ?
J’aime l’asticoter un peu comme cela.
Je sens ses mains qui passent sur mes fesses. Ha que j’ai envie qu’il me prenne. Et lui bande aussi comme un fou. Je le sens sur mon ventre tendu.
Nous ne sommes qu’à 50 mètres de la plage et personne ne peut se douter si nous faisons l’amour.
Pierre, joue avec le nœud du cordon d e mon string. haaa il l’ôte. hummm ouiii . Mes mains sont sur sa taille. Je baisse son maillot. Mon visage est au raz de l’eau.
Je sens sa queue dans ma main je le branle doucement.
Je lève la tête vers lui et lui dis :
— Tu sais que je suis une bonne nageuse et que je peux rester en apnée un moment.
— Chiche !
Bien sûr, il ne faut pas me dire cela. Je plonge la tête et me tenant aux fesses de pierre, et à sa queue tendue, je lui administre une pipe à vitesse grand V.
Je n’arrive pas bien sûr à le faire jouir dans un temps si court, et remonte à la surface, avec le souffle cour, cherchant à reprendre mon souffle. Là, Pierre, dans un tel état me soulève à peine et me fais redescendre sur son sexe, haaaaa je ne sais pas si c’est l’eau, mais mon minou bien qu’excité est étroit; Je n’ai jamais senti le sexe de mon mari si gros.
Mais j’ai tellement envie, la légère douleur de l’introduction brutale devient très vite un plaisir.
Nous essayons d e ne pas trop bouger, pour que les gens qui nagent pas trop loin ne se doutent de rien.
Pierre est en feu, il monte et descend en moi. Il me murmure des paroles qui m’excitent encore plus.
— Tu sais qu’avec ton string de petite garce tu me fais bander depuis que nous sommes sortis de l’hôtel.
— C’est toi qui me l’as choisi, tu ne vas pas t’en plaindre ?
— Ho que non, tu sens comme je bande ?
A ce moment là il était au fond de moi.
— haaa oui je te promets que je le mettrai tous les jours pour venir à la plage.
— Hum que tu sais être salope quand tu veux.
— Haaaa ouiii
Je ne me contrôlais plus, et jouissais. Sa queue me remplissait. Quand son sperme est parti au fond de moi, avec les spasmes de son sexe qui me dilataient encore plus, je n’ai pas pu retenir un cri.
Nous sommes restés un instant serré dans les bras. Sa tige diminuait en moi, c’était doux.
Pierre me rend mon string. Il faut que je le replace dans l’eau comme il faut, ce qui n’est pas le plus simple.
Nous voilà ressortant de l’eau, et faisant le chemin inverse pour aller à nos serviettes.
Je sens les regards des gens sur moi, un peu plus intense encore que lorsque j’allais vers la mer.
Au début je me demandais pourquoi, mais après quelques mètres en écoutant les paroles des espagnoles, je compris. Le tissu de ce string blanc devenait translucide en étant mouillé. Inutile de dire que je continuais à faire celle qui ne se rendait compte de rien et qui ne comprenait rien à ce qui se racontait autour de moi.
Nous nous asseyons sur nos serviettes.
Je demande Pierre discrètement :
— Tu as vu ? Mon string on voit tout au travers maintenant qu’il est mouillé ?
— Je sais, j’ai vu, tu es plus excitante que jamais.
— Il n’est pas doublé.
— Je sais c’est pour cela que je te l’ai choisi. Comme cela dès que tu le mouilles, on voit tes lèvres. En plus là elles me semblent bien gonflées.
La canaille, il avait raison, j’avais encore envie, avec tous ces types qui me mataient autour de moi.
Pierre me propose de me passer de la crème solaire.
— Non chéri, après tu ne te tiendras plus, tu vas bander encore comme c’est pas permis.
— Alors tu te mets la crème solaire suivant mes instructions.
— Que veux-tu dire par-là ?
— Commences par tes jambes.
— Comme ça ? Oui, mais reste avec les genoux relevés, écartés.
Je compris vite ce qui se passait, la pointe de mon string venait de glisser entre mes lèvres.
— Allonges toi sur le dos mais reste avec tes jambes comme cela pliées, les genoux vers le ciel.
Position tout à fait normale quand on a un maillot de bain classique, mais la je faisais une véritable atteinte à la pudeur en pleine foule.
Je continuais à m’enduire, en remontant sur mon torse, le plus naturellement du monde, malaxant un peu mes seins.
Visiblement la population masculine semblait apprécier. Certain allongés sur le ventre ne risquaient pas de changer de position, leurs femmes déjà suffisamment jalouses et outrées.
Je restais quelques minutes dans cette position, le soleil me chauffait, hummm que c’était bon. Je continuais à jouer l’innocente au milieu de ces hommes en rut.
Je me retournais sur le ventre. Ne voulant pas cuire de trop.
— Pierre tu m’en passe sur le dos ?
— Enfin, je ne pensais pas y avoir droit.
Me dit-il en riant.
Délicatement il commença par mes épaules et descendit.
Arrivant sur mes reins je me doutais que ses mains allaient s’attarder un peu plus sur mes fesses; il déplaça un peu le cordon du string
— Comme cela tu n’auras pas de marques !
Il tendit un peu le cordon qui descendait entre mes fesses ; haa cela fit pénétrer un peu plus la pointe du string entre mes lèvres.
— Tu peux écarter un peu tes jambes pour que je te mette de la crème sur tes cuisses et tes mollets ?
— Tu exagères chéri, que vont penser les types derrière
— Que tu as un cul d’enfer !
Je reposais ma tête sur la serviette, et le laissait faire, fermant les yeux. Je suis folle.
Je sentais ses mains qui m’enduisaient délicatement. Mais je sentais aussi ce string qui ne devait rien cacher de mon anus et de mon minou.
Je restais un bon moment encore à me faire dorer par les rayons du soleil.
Allongé à côté de moi, mon complice de mari, me tenait au courant de l’évolution des mateurs autour de moi.
Aucun ne pouvant s’approcher trop prêt. Ils en étaient réduits à toucher avec les yeux. Et leurs yeux me brûlaient autant que le soleil.
D’après Pierre, à force de me regarder sous toutes les coutures, certains avaient éjaculé dans leurs bermudas.
Pierre me demanda à un moment avec son petit sourire malin.
— Ajuste ta serviette, mais pour cela reste à genoux jambes écartées, et penches toi en avant.
— Tu veux faire mourir le père de famille qui me matte déjà depuis une heure ?
— C’est vrai qu’il est déjà bien rouge.
Je m’exécutais comme il m’avait demandé. Je me suis même un peu cambrée à un moment.
A ce moment la Pierre éclata de rire. Le pauvre type venait de prendre une claque magistrale par sa bonne femme qui le voyait me mater comme un fou.
Je suis allée me rafraîchir plusieurs fois dans l’après midi, prenant les poses comme si rien était. Je replaçais malgré tout discrètement les lèvres de mon sexe qui dépassaient à tout moment.
De retour à la chambre d’hôtel, Pierre surexcité par cette séance de bronzage érotique, me sauta dessus comme un a****l en rut.
Inutile de dire que j’étais ouverte à toutes ses envies.
Le reste de la semaine fut évidemment des plus agréables, et les séances de plage du même genre.
J’avais promis que je garderais ce string !!!!!Je ne pouvais pas faire autrement !!!!!!!
Les soirées de cette semaine de vacance feront l’objet d’une prochaine histoire, si les lecteurs qui aiment me lire et qui ne courent pas après le hard, en expriment le désir.
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