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Je n’avais pas prévu de voir ça

Je n’avais pas prévu de voir ça



Encore une journée de merde ! Ma prof de français m’a piqué ma tablette alors que j’étais en pleine partie et que j’étais en train de gagner… Même à la fin de l’heure de cours, elle n’a pas voulu me la rendre, ma tablette, cette salope… convoquant par contre mes parents et me mettant une « colle » pour mercredi prochain.
L’heure suivante, je me suis choppé un « 2,5 » en math, avec là encore un mot sur le carnet de liaison à faire signer aux parents !

Quelle journée de merde !

Je n’aimais pas l’école… et elle non plus, ne m’aimait pas. Heureusement, le prof de techno était absent cet après-midi. Je pouvais rentrer plus tôt à la maison et sauter sur l’ordinateur faire une partie de Warcarft, surtout qu’à cette heure, personne ne m’emmerderait.
Seulement, avant, depuis que mes vieux m’avaient changé de lycée pour me foutre en première technologique à l’autre bout de la ville, j’avais au minimum 45 minutes de trajet en tram pour rentrer. A cette heure, heureusement, il n’y avait pas trop de monde et j’avais une place assise, tranquille dans un coin du compartiment. Je pouvais jouer sur mon IPhone sans être constamment bousculer…

Je n’ai donc pas fait attention aux personnes qui rentraient ou sortaient du tram aux arrêts suivants… C’est seulement quand je vis sa main remonter entre les cuisses de la jeune femme debout devant lui, que mon regard fut attiré par cet homme assis à quelques mètres de moi. C’était un vieux, les cheveux grisonnants, qui semblait plutôt bien habillé, genre homme d’affaire.
Sa main était maintenant clairement sous la jupe de la jeune femme et faisait des va-et-vient de plus en plus appuyés. Elle semblait apprécier les caresses, se cambrait le cul vers l’arrière et écartait les cuisses comme pour l’inciter à continuer.

Je n’en croyais pas mes yeux ! Un autre homme un peu plus jeune mais petit et bedonnant, était de l’autre côté de la jeune femme, debout à ses côtés, et sa main avait dégrafé le haut du corsage, laissant échapper un sein à la vue de tous… Comment pouvaient-ils faire ça comme ça, en public devant des inconnus ?!

Le vieux, toujours assis derrière la jeune femme, venait de relever la jupe, laissant apparaitre le bas des fesses et la petite culotte de celle-ci. D’où j’étais, je pouvais voir les doigts s’insinuer sous le morceau d’étoffe et le tirer progressivement vers le bas, découvrant un très joli petit cul comme je n’en avais pour l’instant vu que sur les sites pornos, sur Internet. C’était la première fois que j’en voyais un en vrai, avec maintenant la culotte descendue à mi-cuisses.

Je senti mon sexe se tendre et devenir tout dur dans mon caleçon, laissant apparaitre une bosse au niveau de mon entrecuisses. Je me sentais gêné et regardais autour de moi si quelqu’un me voyait… mais les regards des autres passagers étaient soit tournés vers la scène de sexe, soit vers l’extérieur du tram ou leurs pieds, avec un sentiment de malaise visible chez beaucoup.

Il faut dire que le vieux avait maintenant glissé un doigt, le majeur, dans le cul de la jeune femme, l’enfonçant complètement dans le conduit anal et le tournant dans tous les sens. La fille avait quant à elle sorti la bite du petit gros et elle le branlait frénétiquement, sa tête posée sur l’épaule de sa copine blonde, debout en face d’elle. La copine !?! Mais, je la connaissais ! C’était Lætitia, la meilleure amie de ma sœur !
Un sentiment d’effroi me parcouru tout le corps… La jeune femme en train de se faire doigter le cul par un vieux et de branler un autre mec, avec les seins à l’air… je reconnaissais d’un seul coup ses cheveux légèrement ondulés et roux ! Je reconnaissais son sac d’école, posé à ses pieds ! C’était ma grande sœur, Julie…

Julie ?! Elle se faisait baiser par deux vieux cochons dans un tram, au milieu des gens ! Elle avait 19 ans… et elle se faisait sauter là, devant moi ! Devant tout ce monde !

Le vieux grisonnant s’était levé de son siège, avait déboutonné la fermeture de son pantalon et sorti son sexe qu’il branlait maintenant doucement. Il avait une queue d’une belle taille, plus grosse que la mienne en tout cas… Elle devait approcher les vingt centimètres et était bien large, avec un gland tout gonflé. Il cracha dans sa main droite et la porta sur la chatte de ma grande sœur, étalant la bave sur les lèvres déjà luisantes de sueur et de mouille… Il la tira légèrement en arrière pour l’inciter à se cambrer encore un peu plus.

Sans m’en apercevoir, j’avais sorti ma bite de mon pantalon et je me branlais maintenant vigoureusement tout en regardant toujours la scène qui se déroulait à quelques mètres de moi.

Le vieil homme avait maintenant sa grosse queue complètement introduite dans le vagin de Julie et il donnait de grands coups de reins tout en la maintenant fermement par les hanches. Il donnait en même temps de petites claques sur les fesses de ma sœur, lui tirant à chaque coup de petits cris de jouissance.
Elle s’était d’ailleurs penchée en avant et sa bouche était presque à hauteur du sexe du petit gros. Ce dernier lui saisit la tête et s’avança pour obliger ma sœur à prendre la queue en bouche, ce qu’elle fit sans trop se faire prier. Elle suça goulûment l’inconnu en face d’elle, au rythme que Lætitia imposait. Cette dernière lui faisait avaler le morceau de chair jusqu’au fond de la gorge, relâchant l’étreinte juste avant l’étouffement.

Je n’en pouvais plus de voir ma sœur se faire baiser en public comme une chienne et j’allais jouir… Je pris rapidement un cahier dans mon sac posé à côté de moi, l’ouvrit et me mis à lâcher de longues giclées de spermes à l’intérieur, entre deux pages. Je finissais de nettoyer le bout de mon sexe avec un des bords de ma chemise quand je vis Lætitia jeter un regard dans ma direction et me faire un clin d’œil. Je refermais fébrilement le cahier que j’avais pris au hasard et m’aperçus que c’était mon carnet de liaison ! Merde ! Comment vais-je expliquer cela à mes profs ?!

Au même moment, le grognement du petit gros me ramena à la réalité… Il venait d’éjaculer dans la bouche de Julie, la maintenant toujours contre lui avec son sexe en bouche. Elle était elle aussi en train de jouir, du sperme s’écoulant à la commissure des lèvres à chacun de ses cris de jouissance.

C’est alors que le vieux se retira de la chatte de Julie et se mis à se branler rapidement… puis, se raidissant de toute sa hauteur, il envoya de puissants jets de sperme sur les fesses de ma grande sœur. Avant même qu’elle ait eu le temps de se redresser, il avait remonté la petite culotte et remis la jupe en place… reboutonné son pantalon et réajusté sa veste en tweed. Il retourna Julie vers lui et l’embrassa fougueusement sur la bouche, nettoyant avec sa langue les éclaboussures de sperme qu’elle avait sur le visage.

A l’arrêt suivant, le petit gros descendit du tram… le vieux s’étant rassis à sa place comme si rien ne s’était passé. Quant aux deux filles, elles regardaient maintenant vers l’extérieur et je ne pouvais deviner ce qu’elles se disaient… Julie avait-elle réalisé ma présence dans le tram ? J’étais de toute façon abasourdi !

Je réalisais à l’arrêt suivant que nous étions arrivés dans notre quartier seulement quand je vis ma sœur traverser la rue devant le tram. J’eus à peine le temps de sauter du véhicule avant que les portes ne se referment… Lætitia et le vieux monsieur étaient toujours à l’intérieur du tram et Julie s’éloignait en direction de la maison… J’étais quant à moi immobile sur le quai, à me demander ce que je devais faire maintenant ?!

Après ce que j’avais vu, je pouvais peut-être moi aussi profiter de ma grande sœur pour qu’elle me dépucèle ! A maintenant dix-huit ans, il était temps !
Retrouvant peu à peu mes esprits, je réalisai que si je voulais moi-aussi profiter sexuellement de ma grande sœur, il fallait que je « batte le fer pendant qu’il était chaud » ! Je décidai donc de remonter rapidement jusqu’à la maison… plus vite que si j’avais eu une partie de jeu d’arcades en cours !

Arrivant devant la porte d’entrée qu’elle avait sans doute refermée à clé derrière elle, je me mis à chercher mon trousseau de clés avec une fébrilité et une excitation que je n’avais jamais ressenties auparavant… même devant un ordinateur et une partie de Warcraft !
J’avais l’impression de jouer ma vie d’homme sur cet après-midi, comme si un ratage là avec Julie me laisserait niais et puceau tout le reste de mon existence. Les sites de « cul » sur Internet, les longues séances de branlettes en fantasmant sur les actrices pornos et en m’imaginant acteur de ces scènes orgiaques… c’était sympa, certes ! Mais il fallait que je passe à l’étape suivante, celle qui fait que l’on devient un homme… un vrai ! Et aujourd’hui était le jour !

Après avoir réussi à entrer, puis balancé mon sac d’école dans le couloir d’entrée, je montai quatre à quatre les marches de l’escalier et, une fois à l’étage, me mis à ouvrir à la volée toutes les portes, le cœur battant la chamade et le souffle court…

« Julie… Julie !

Je devais agir vite, pour ne pas lui laisser le temps de se changer et de cacher ses habits souillés.

– Julie, tu es où ? Je veux que tu me suces moi-aussi ! Julie… Tu me suces… ou, sinon, je raconte tout aux parents ! Tu m’entends, Julie ?!

Je continuais en même temps à regarder dans les différentes pièces… quand elle déboula de la salle de bain en petite culotte et soutien-gorge pour passer dans la chambre des parents, sans oublier de me lancer avec un regard noir, une réplique cinglante…

– Tu peux te branler ! Si tu veux, je te laisserais une de mes culottes sales à renifler, petite bite ?!

« Petite bite » !? Et puis, comment savait-elle, pour ses petites culottes que j’allais parfois récupérer dans la corbeille de linge sale… et dans lesquelles je me masturbais ?! J’avais toujours été discret !

« Petite bite » ! Comment elle m’avait appelé, la salope ?! Même si c’était ma sœur, je ne pouvais pas laisser cet affront impuni ! Je la suivis donc dans la chambre de nos vieux, avec la ferme intention de lui montrer qui j’étais… mais aussi que mon sexe n’était pas si petit que ça, surtout quand elle l’aurait dans la bouche ou dans le cul ! D’ailleurs, qu’allait-elle faire dans la piaule des parents ?!

– Ju… tu ne me parles pas comme ça !… lui lançai-je avec un ton limite plaintif, en m’approchant d’elle et en tentant de lui caresser les fesses.
– Touche à ton cul ! Ça, c’est terrain privé…
– Arrête, Ju ! Les deux vieux, dans le tram, ils ont eu le droit de le caresser, ton cul, et ils ont même pu te sauter… Moi, je suis quand même ton frère ! On se connait depuis dix-sept ans ! Suce-moi, s’il te plait !?

Dans le même temps, j’essayais de lui toucher un sein… avec délicatesse, comme pour lui montrer que je n’avais pas de mauvaises intentions… mais elle recula d’un bon mètre et, avançant vers elle une main tendue en quête du Graal, je me pris un pied dans le tapis.
Un moment de suspension en l’air, mes bras faisant de grands moulinets comme pour empêcher l’inexorable… puis je m’affalais de tout mon long, la tête venant choir au niveau des pieds de ma sœur… qui riait tout ce qu’elle pouvait ! La honte ! J’avais la honte !
Une vive douleur me fit réaliser que je devais bander comme un taureau devant Julie et que j’étais tombé droit sur la béquille !

Putain… Ahhhhh !!! Jamais je n’avais eu une telle douleur de toute ma vie ! Je devais sûrement m’être fracturé la queue… pour avoir mal comme ça !? Et cette dinde qui continuait à rire, pliée en deux sur le lit des parents ! Je la haïssais… tout d’un coup, là, à l’instant !

Je la haïssais… Je haïssais aussi cette journée de merde… où je m’étais fait tirer ma tablette et coller par la prof de français… où j’avais peut-être définitivement perdu ma virilité avant même d’avoir pu l’utiliser ne serait-ce qu’une fois, avant même d’avoir pu baiser une seule fille ! Peut-être n’allais-je plus jamais pouvoir bander ?! Toutes ces pensées s’entrechoquaient dans mon esprit… des larmes coulaient sur mes joues.
La douleur était lancinante… c’était sûr, je devais avoir la bite fracturée !

– Allez, p’tit frère… Baisse ton froc et montre-moi ton pauvre petit asticot pour que je m’occupe de lui !… me dit-elle en riant encore et toujours.
– Hein ! Fous-toi de ma gueule ! J’ai mal…
– Allez, relève-toi et montre-moi ton p’tit kiki pour que je lui redonne un peu de vigueur…

Julie m’aida à me relever et, avant même que je puisse faire le moindre geste, elle avait posé une main sur la braguette de mon pantalon et s’attelait à défaire la ceinture.
Je n’en croyais pas mes yeux… j’étais d’un seul coup dans un rêve ! Depuis ce matin, je passais du rêve au cauchemar et du cauchemar au rêve… en quelques minutes d’intervalle. Mais là, c’était bien une phase de rêve !
Ma grande sœur venait de sortir mon sexe de mon caleçon et le caressait délicatement, agenouillée qu’elle était devant moi… Elle s’apprêtait à le prendre en bouche quand nous entendîmes les deux une porte, sans doute celle de l’entrée, claquer… puis notre père m’appeler à plusieurs reprises ! Sans doute avait-il vu mon sac d’école en bas…

Merde ! Tout s’effondrait de nouveau autour de moi ! Que foutait-il si tôt à la maison, le vieux ?! Je n’eus pas le temps de réfléchir que Julie me tira dans la penderie des parents et ferma les portes devant nous ! Toujours dans le « gaz », j’entendis mon père continuer à m’appeler et monter l’escalier… puis, après avoir fait sans doute le tour des chambres, dire à une autre personne :

– Tu peux monter… il n’y a personne ! C’est sans doute mon abruti de fils qui est parti ce matin sans refermer la porte à clé… Nous allons être tranquilles les deux jusqu’à 18 heures !

« Abruti » ?! Julie me retint alors que je m’apprêtais à sortir m’expliquer avec ce vieux con…
Des pas plus légers résonnèrent dans l’escalier… ceux d’une femme ?! Nous étions cachés mais aussi et surtout bloqués dans la penderie de la chambre de mes parents, ma grande sœur à moitié à poil et moi avec la queue à l’air… quand notre paternel rentra dans la pièce avec une femme qui n’était de toute façon pas ma mère ! Quel fumier… il trompait ma mère !

Ils n’allaient sûrement pas jouer aux billes en plein milieu d’après-midi et j’étais une fois de plus spectateur bien malgré moi !

La journée de « merde » continuait de plus belle…
– Putain de bombasse !
– Chut !… Tais-toi… ils vont nous repérer sinon !
– Eurk….

Par la porte de la penderie à peine entrouverte, nous pouvions voir la chambre et notamment le lit de nos vieux. Même si je l’avais chuchoté, je n’avais pu retenir mon exclamation en voyant le putain de petit cul qui était entré dans la piaule derrière mon père ! Une métisse… que même dans l’élection de Miss France avec « la FONTENAY », je n’en avais jamais vues d’aussi belles et d’aussi bandantes ! Et encore, elle était habillée, là…
Je n’osais imaginer le bonheur et la gaule que j’allais me chopper si elle décidait de retirer son petit short qui lui moulait les fesses à la perfection… Quant au haut, un petit bustier jaune qui laissait entrevoir une petite paires de nichons… que même Sophie MARCEAU n’en avait pas d’aussi jolis… j’aurais donné tout ce que j’avais, même mes jeux vidéo, même la dernière version collector de Warcraft… pour pouvoir le lui dégrafer et les peloter, ses miches !
Bien sûr, Julie n’avait rien trouvé de mieux à faire que de me foutre un coup de coude dans le bide en me disant de me taire… Que pouvait-elle comprendre, elle, une gonzesse, à ce que représentait pour moi ce sublime petit cul ?! Rien, évidemment !

Mon paternel s’arrêta au niveau du lit et se retourna vers la jeune femme qui ne devait pas être beaucoup plus âgée que nous, ma sœur et moi… Comment avait-il fait, le vieux, pour séduire une bombe atomique comme ça ?! Il avait sans doute craché au bassinet ou offert je ne sais trop quel caillou précieux pour qu’elle s’intéresse à lui… c’était évident !
Pour autant et c’était clair pour moi… il n’y avait vraiment aucune justice dans ce bas monde… pour qu’un vieux « con » se choppe une telle bombasse alors que des jeunes tel que moi attendaient vainement de pouvoir baiser une première fois. Non… vraiment pas de justice !

– Vous m’avez apporté votre synopsis, Léa ?
– Oui, Monsieur… et même le scénario tout entier, si vous voulez le lire ?!

Elle lui tendit un document relativement épais, relié et avec une belle couverture carminée… Je ne pus réussir à lire le titre, d’où j’étais. De toute façon, ce n’était pas ça qui m’intéressait… avec un tel petit cul à portée de regard.

– Merci ! Je prendrai le temps de lire et étudier tout ça à tête reposée, pour m’en imprégner complètement. Mais dites-moi vite fait la trame de l’histoire, s’il vous plait, Léa…
– Merci Monsieur !… L’histoire commence avec une représentation d’Othello, dans un théâtre fermé ou en plein air, comme vous voulez ! Cela n’a pas forcément d’importance… Nous sommes à la fin de l’acte III, quand Othello lui-même demande à Desdémone le mouchoir dont il lui a fait cadeau auparavant. C’est à ce moment-là que…

Mais qu’est-ce que c’était, cette connerie ?! Je voulais bien rester bloqué dans ce réduit, avec des cintres qui me rentrent dans le dos, une odeur de « Soupline » et ma grande frangine qui m’empêche de vivre pleinement mes émotions… à la seule et unique condition de voir du cul, du sexe ! Bloqué pour bloqué dans cette putain de penderie, il devenait urgent que le père et sa Léa se décident de passer aux choses sérieuses… qu’il lui att**** le bras, l’attire vers lui et lui arrache d’un coup sec short, culotte et bustier ! Qu’une fois à poil, il la fasse se mettre à genoux et qu’il lui fourre sa queue dans la bouche… à cette petite salope !
C’est vrai, quoi ! Il n’avait quand même pas amené ce putain de petit lot dans sa chambre à coucher pour qu’elle lui déclame ses rédactions d’écolière en se prenant pour SHAKESPEARE !?
C’était en fin de compte pas moins que la réputation des hommes de notre famille qui était en jeu… et j’espérais bien que mon paternel allait se reprendre et montrer à « miss monde » que les mecs PIOSSENGER étaient bien burnés et qu’ils savaient s’en servir surtout !

Je n’osais d’ailleurs imaginer l’horreur, la honte… si mes potes de lycée apprenaient un jour que mon vieux faisaient venir des bombasses telle que Léa à la maison… pour faire de la poésie ou de la littérature. Sûr que derrière, je change de nom et de famille immédiatement ; que je renie mon père !

Léa continuait de raconter à mon paternel ses histoires d’Othello, de Desdémone, de tire-jus… et autres conneries du genre dont je ne voyais pas le moindre intérêt.
Julie, quant à elle, s’était accroupie dans la penderie… Était-elle énervée que j’essaye depuis tout-à-l’heure de glisser ma main dans sa petite culotte et un doigt encore un peu plus profondément ? Sans aucun doute, vu le regard noir qu’elle m’avait envoyé… Et pourtant, cela partait d’un bon sentiment de ma part, puisque je voulais lui donner du plaisir, à ma grande sœur !

Toujours est-il que je commençais à sérieusement désespérer de la situation et que je me résignais donc à me taper une petite pignole, plus par dépit qu’autre chose. Néanmoins, le frôlement des cheveux de Julie avec mon gland, particulièrement agréable et électrique, me provoqua rapidement une belle érection… ce qui me rassura en premier lieu sur la fracture de ma bite moins grave que prévue et ma virilité retrouvée.
Et puis, suite logique des choses, j’eus mon plaisir, sentis mon corps se tendre de tout son long… et de puissants jets de sperme partirent maculer la belle tignasse rousse de Julie… qui ne sembla pas particulièrement apprécier le cadeau, à en juger son regard de tueuse ! La situation était d’ailleurs en train de dégénérer puisqu’elle venait de me chopper violemment les couilles… quand la belle Léa me sauva la mise en ayant instantanément cessé de raconter son histoire.

Nous avait-elle entendus ou même vus dans notre placard… impossible de le dire avec certitude ?! Nous étions l’un et l’autre, Julie comme moi, paniqués à l’idée que notre paternel nous trouve dans cette situation fort gênante… aussi nous tenions-nous complètement immobiles et presque à ne plus respirer. Je réfléchissais également quelle explication foireuse je pourrais bien apporter dans le cas où nous serions découverts…

Mais non ! Ça ne se passa pas comme ça !

La jeune métisse s’était penchée vers mon père et lui avait chuchoté quelque-chose à l’oreille… Quoi ? Incapable de le dire… mais la réaction du vieux ne fut vraiment pas celle que nous attendions, que nous appréhendions aussi, la frangine et moi !

– Comment ça ?! Léa… Vous êtes une méchante petite fille !
– Monsieur PIOSSENGER ?!?…
– Si, si… une très méchante petite fille qui mérite une punition ! Approchez vite !
– Mais… Monsieur ! J’ai vraiment envie de…
– Pas question, Léa ! Approchez !!!

Elle semblait perdue, désemparée… et nous ne l’étions pas moins face à cet échange incompréhensible !? Cette fille qui semblait vraiment sûre d’elle quelques minutes auparavant dans son récital, avançait maintenant à tous petits pas vers mon père… qui s’était assis au coin du lit conjugal. Son regard, au vieux, était devenu sévère…
Il prit la main de la jeune femme et la tira jusqu’à lui… puis, par un subtil mouvement de bras et de jambes, la fit basculer en avant sur ses propres cuisses.

– Monsieur !?…
– N’insistez-pas, Léa ! Vous méritez une bonne correction… et je vais m’en charger tout de suite !
– Monsieur… je vais faire dans ma culotte !

Rien ne semblait perturber le paternel, qui commença à donner de petite claques sur les fesses de Léa…

– Monsieur… ahhh… non ! Ahhh…

Je n’en croyais pas mes yeux ! Il continuait à fesser ce sublime petit cul tout en faisant délicatement glisser le short vers le bas, découvrant progressivement l’intimité de la jeune femme ! De son autre bras, il la maintenait à plat ventre sur ses cuisses… mais, de toute façon, elle ne se débattait pas plus que ça, poussant juste de petits cris à chaque claque !
Jamais de tout ma vie, je n’avais vu, ni même imaginé dans mes fantasmes les plus fous, une scène aussi excitante… et pourtant j’avais déjà dix-huit ans et regardé un bon nombre de vidéos de cul en tous genres !

– Alors, la méchante petite garce… elle aime se faire fesser son petit cul !? Hein… petite chienne ?!
– Ahhh… Je vais… ahhh… je… dans ma culotte… ahhh !

Son superbe cul s’ouvrait un peu plus à chaque tape, comme une invitation à poursuivre les sévices sur cette belle peau mate que les coups ne semblaient pas marquer plus que ça… Sa jolie petite chatte palpitait et s’humidifiait d’excitation ; ses cris devenaient petit à petit des cris de jouissance…
Moi… j’avais repris ma masturbation, m’astiquant frénétiquement le poireau. Julie semblait elle-aussi apprécier la scène et se caressait a priori le minou avec ferveur, sa respiration s’étant accélérée au rythme de ses mouvements de bras !

– Ohhh… ouiii… encore… Monsieur… ahhh !!!

Mon père venait d’enfiler sans sommation son majeur dans le cul de la jeune Léa… jusqu’à la garde ! Il le retira de suite, cracha sur le haut des magnifiques fesses de sa jeune proie, prit la bave avec ses doigts puis en enfonça cette fois-ci deux dans le conduit rectal ! Tout le corps de Léa fut pris instantanément de soubresauts… elle jouissait de tout son être et de toute sa voix !

Quant à moi, quelle ne fut pas ma surprise de sentir la main de Julie prendre ma queue tendue comme une arbalète… et la porter jusqu’à sa bouche. Tout de suite, sa langue se mit en action et la sensation fut au-delà de tout ce que je pouvais imaginer… un bonheur incommensurable ! Je n’étais pas loin de tout lâcher… il fallait que je fasse durer un peu le plaisir !

C’est quand je vis ce filet jaillir d’entre les cuisses de Léa et inonder ses jambes, celles de mon vieux et le sol autour… que je ne pus retenir ma jouissance. Toujours avec deux doigts et même un troisième dans le cul, la belle métisse pissait d’un jet saccadé en même temps qu’elle continuait à jouir ! La scène était fantastique, extraordinaire… et je fus submergé par l’excitation, par la force de mon plaisir ! Je sentis les saccades de spermes que je lâchais et qui remplissaient la bouche de ma grande sœur ! Toutes mes forces semblaient me quitter en même temps que ma semence… et, fébrile, je voulu me tenir à la porte de la penderie… qui se déroba !!!

Putain ! Non, pas encore !!!

Même moment de suspension… puis je me sentis partir en avant, entrainant cette fois-ci ma frangine qui avait toujours ma bite en bouche, dans ma chute… J’allais l’empaler avec ma queue !!!

Il y a des moments de la vie comme ça, hors du temps… comme si tout se déroule au ralenti, peut-être pour mieux profiter de l’instant ?! Ma queue qui s’échappe de la bouche de ma sœur, des gouttes de sperme qui montent en l’air… puis retombent et explosent sur le sol, ma hanche qui s’écrase lourdement sur le plancher, les fesses de Julie qui atterrissent avec un bruit mate… elle qui recrache une partie de ce que je viens de lui mettre en bouche !

Grand moment de solitude pour nous deux… devant les regards ébahis du père et de sa poule !!!

Il y a vraiment des jours où il vaut mieux rester couché… ou devant l’ordinateur !
« C’est toujours à la fin de la bataille que l’on compte les morts et les blessés… »

Et là, il fallait le dire, c’était un véritable carnage, un massacre !

Le père, toujours assis sur son lit, semblait avoir ramassé « grave ». Il était, comme Georges Walter Bush venant d’apprendre l’attentat contre le World Trade Center, dans un état de sidération avancée… les synapses ayant a priori lâché avec le choc émotionnel. Quelque-part, Julie et moi, nous avions été son « 11 septembre », au paternel…

Julie, elle… telle la Garde napoléonienne face aux troupes de Wellington, amorçait un subtil mouvement de replis du genre « sauve-qui-peut », espérant encore réchapper de ce Waterloo familiale. Je fus d’ailleurs particulièrement excité quand elle passa à quatre-pattes au-dessus de ma tête, les fesses et son joli petit minou toujours à l’air… et qu’elle s’échappa par le couloir en direction de sa chambre.

Quant à moi, tel un grand guerrier qui vient de terrasser des dizaines d’orques des cavernes et de zombies, mais qui sait qu’il va probablement succomber à ses blessures… je voulais rester digne dans l’adversité, ce jusqu’au bout. Et puis surtout, il convenait d’analyser en détail la situation et de jauger les forces en présence… car tout n’était pas forcément perdu, après ce qu’il s’était passé cet après-midi. Il y avait même eu du « très bon », avec des perspectives enthousiasmantes !

Certes, cela risquait d’être particulièrement délicat quand il faudrait expliquer à la « kommandantur » le pourquoi du comment de notre présence, à Julie et moi, à moitié à poils dans leur penderie, elle en train de me faire une fellation.
Il y aurait forcément un sérieux blocage car l’éducation judéo-chrétienne tendance « fraternité Saint-Pie-X » de notre génitrice ne devait a priori pas du tout concevoir ce genre de relations i****tueuses entre un frère et une sœur… Je n’étais même pas sûr que le mot existe dans son vocabulaire, à part peut-être en latin… tout ça étant rangé dans la catégorie des ignominies sataniques, au même titre que l’homosexualité et l’avortement… Je n’ose même pas parler de partouzes ou de zoophilie !

Mais bon ! Nous avions, avec Julie, une carte maitresse dans notre jeu, en la personne de notre père… car, de toute évidence, déshabiller et fesser une jeune femme qui n’est pas la sienne mais qui a par contre l’âge d’être sa fille, dans sa propre chambre, ne devait a priori pas faire bon ménage avec les principes moraux et philosophiques des catholiques intégristes. Nous pouvions donc légitimement espérer que notre géniteur ne se venterait point de cet après-midi et que nos exploits tout comme les siens n’arriveraient jamais aux oreilles prudes de notre mère « supérieure »…
Et puis, en fin de compte, peut-être ne retrouvera-t-il jamais la parole, pour finir sa vie à l’état de légumineux… puisqu’il semblait vraiment s’être fait lobotomiser, un peu comme Jack NICHOLSON à la fin de « Vol au-dessus d’un nid de coucou ».

De toute façon, tout ça n’était vraiment pas le plus important pour moi. Non, vraiment pas !
Car, qu’on le veuille ou non… et même si je n’avais toujours pas, à proprement parlé, sauté de gonzesse… je venais de franchir un « level » monstre dur et toute ma vie d’homme en devenait changée. Et quel « level » !!! Je m’étais fait sucer par la frangine et je lui avais rempli la bouche… que je me disais que même Rocco n’aurait pas fait mieux. Ouais, ouais… j’en étais fier d’avoir rempli la bouche de Julie aussi bien qu’un véritable acteur porno !
Je pouvais clairement m’en enorgueillir, surtout devant mes potes de lycée, à peu près sûr qu’aucun d’entre eux n’avaient réussi une telle prouesse avec une gonzesse… même si certains se vantaient d’avoir déjà tout vécu sexuellement. Ben oui, à mater des films de « boules », ça développe l’imaginaire !

Bon, ben… ce n’était pas tout ça ! Comme je me disais tout à l’heure, autant battre le fer pendant qu’il est chaud… Je me relevai donc, remontai mon falzar et m’apprêtais à rejoindre Julie dans sa chambre pour finir la besogne avant que Bernadette SOUBIROUS rentre de la catéchèse quand… je vis Léa prostrée et immobile dans un coin de la chambre. Putain ! Je l’avais complètement oubliée, « miss monde »… la chatte toujours à l’air, son short détrempé au niveau des genoux, ses putains de petits nichons à faire bander un eunuque… et son regard apeuré comme si elle ne savait pas où elle était !?

Je me surpris moi-même par ma réactivité et mon esprit alerte… par mon idée de génie aussi, toute modestie gardée ! Puisqu’elle était là, ma belle métisse, autant en profiter et qu’elle ait le privilège de me dépuceler ! Ben ouais, comme ça, il n’y aurait plus de problème d’i****te…

« Bonjour Léa… moi, c’est Florent ! Viens avec moi… n’aie pas peur !… lui dis-je en tendant une main pour l’aider à se relever.
– …

Elle regarda en direction du paternel, qui n’avait quant à lui pas bougé d’un iota, toujours le regard vide… fixant les motifs du papier peint.

– Ne t’inquiète pas… ça lui a débranché l’électricité dans toute la partie haute ; il ne verra même pas que tu es partie ! Ou sinon, c’est qu’il repense à la scène d’Othello avec le tire-jus.

J’étais content de mon trait d’humour et eus même un sourire satisfait. Léa était maintenant debout, elle remonta son short… elle était vraiment trop bonne. Ma bite devait penser la même chose et elle me le fit sentir immédiatement en cherchant sa place dans mon caleçon.

– Vous auriez des habits et une salle de bain, pour que je puisse me changer, s’il vous plait ?
– Hein… euh…
– Oui… je me suis urinée dessus et je n’ai aucun change pour retourner chez moi en bus. Je vous ramènerai les habits.
– Euh… ouais… Venez avec moi à la salle de bain. Et puis on piquera deux trois fringues à Julie !

J’encapai direction la salle d’eau, tenant toujours Léa par une main. Seulement, en arrivant devant la porte, celle-ci était fermée à clé depuis l’intérieur et j’entendais l’eau coulé. Putain… Julie !

– Julie, ouvre… c’est moi !
– Casse-toi !
– Allez, putain ! Julie, ouvre… y’a Léa avec moi. Déconne pas !

Il y eut un moment de silence, l’eau s’était arrêtée de couler… puis la porte s’ouvrit. Julie était à poil… bien baisable aussi, ma foi ! Elle fit rentrer la jeune métisse et s’apprêtait à refermer la porte de suite derrière… mais j’eus le réflexe de mettre un pied dans l’encoignure.

– Tu rigoles ou quoi, frangine ?! Je participe aussi, moi !
– Tu ne crois pas qu’on en a assez fait pour aujourd’hui, des conneries… Florent ?
– Et ben… au point où nous en sommes, autant continuer ! J’ai envie de baiser… et c’est aujourd’hui ou jamais !
– On a qu’à prendre une douche à trois… lança Léa avec une petite voix fluette.

Avec Julie, nous tombâmes sur le cul, façon de parler ! Voilà que « miss monde » nous proposait un plan à trois… Quel bonheur ! Jamais mes potes ne me croiront quand je leur raconterai tout ça…
Sans attendre, je déboutonnai mon pantalon et le fit glisser au sol, caleçon compris. Je refermai prestement la porte derrière nous trois, au cas où l’une d’elles veuille s’enfuir. Julie semblait plus indécise mais la belle brune s’approcha d’elle et commença à lui caresser les seins, dont les tétons se tendirent comme par magie.

– J’ai envie que vous me fassiez l’amour, les deux ensemble… et puis nous ne pouvons pas laisser ton frère comme ça, dans une telle souffrance.

Elle venait de me chopper la queue avec une main, l’autre étant toujours occupée à peloter les nichons de Julie. Je me mis à hocher la tête tel un gamin à qui on propose une barre de chocolat, avec un sourire niais, que même sans me voir, je le savais. Mais bon… ce n’était de toute façon pas ça qui intéressait Léa !
Passé ce moment d’éternité… je me mis à cogiter sur ce qu’avait dit Léa juste avant. Ça m’inquiétait…

Et si c’était une féministe ?! Non, pas une Femen… une vraie, qui veut l’émancipation des femmes, accaparer nos métiers d’homme, capable de vous refoutre les mecs au ménage ou à la vaisselle… et qui vous envoie sans aucun scrupule faire les courses ou vider les poubelles à sa place ! De celles qui osent vous demander de vous occuper des mioches quand vous rentrez éreinté d’une rude journée de boulot, parce que « madame » a décidé de reprendre un travail pour soi-disant être indépendante !? Gna-gna… gna-gna…
Non mais, c’est vrai… quoi ?! C’est quand même elles qui les pondent, les chiards… alors il faut qu’ensuite elles assument un peu ! Nous, les hommes, nous ne pouvions pas toujours être là pour réparer leurs conneries, pour pallier aux conséquences parce qu’elles ont envie d’être mamans… Nous avions aussi des impératifs sociaux, comme aller boire un verre au troquet avec les potes ou regarder le championnat sur Canal Sport…

Au moins, les Femens, elles, passaient relativement souvent à la télévision à moitié nues et on pouvait toujours se rincer l’œil, à défaut de comprendre ce qu’elles défendaient réellement. Des féministes comme celles-là, moi, ça m’allait parfaitement pour stimuler ma queue et faciliter une petite branlette… même si j’avais maintes fois entendu notamment ma mère crier au diable en parlant de ces filles.

Mais, en l’occurrence, pour la sublime Léa, je craignais le pire, du genre de celles qui veulent tout maitriser de leur corps, même leurs orgasmes… sans plus se préoccuper de savoir si leur homme est sur le point ou non d’avoir son plaisir ! Leur homme… que dis-je !? J’avais tellement entendu, aux « Manifs Pour Tous » auxquelles nos parents nous avaient poussés à aller, que ce genre de filles changeaient d’hommes comme de chemises, au gré de leurs pulsions… quand ce n’était pas parfois pour aller avec d’autres femmes… et qu’il fallait les fuir comme la peste ! Certains parlaient même de les enfermer pour les empêcher de nuire… Vade retro satana !!!

« Oh mais, quel con… il ne bande plus !
– Hein !… Quoi ?!…
– Ah oui… effectivement ! Y’a Popol qu’a un gros coup de mou ! Tu lui as fait quoi, à ton frère, pour que son asticot se mette en mode camouflage ?
– Je ne sais pas… j’étais en train de le sucer et, d’un seul coup, il s’est mis à débander !

J’essayais d’émerger ou d’atterrir, au choix… Je n’avais même pas fait attention mais ma sœur s’était mise à genoux dans la douche et tenait mon sexe dans une de ses mains. Effectivement, celui-ci n’était pas vaillant du tout, comme quand on sort d’une baignade en mer de Bretagne, un jour d’octobre… expérience vécue ! Toute ma virilité s’était mise en mode « off » juste parce que j’avais laissé divaguer mes pensées… mais c’était sans aucun doute le plus mauvais moment de toute ma vie pour cela ! La situation était grave, pour ne pas dire désespérée… et les filles semblaient désemparées, un peu comme un chien à qui on ne relance pas le bâton.
Léa passa dans mon dos et vint se coller contre moi, me susurrant à l’oreille quelques mots, en même temps qu’elle se mit à me caresser le torse…

– Alors, c’est tout l’effet qu’on te fait, Julie et moi ?!
– Il est peut-être pédé, le frangin, et préfère sentir une bonne queue bien dure lui refaire le fondement !?
– Hein ?! Non !!!
– Bah oui, c’est peut-être ça… hein, Florent ?! Il te faut de la bestialité, de la virilité… pour te faire bander ?! Nous aussi, nous avons besoin de quelque-chose de bien dur pour notre plaisir… alors fais un petit effort.

Je sentais son souffle chaud, ses lèvres sensuelles parcourir mon cou, mes épaules… ses mains sur mon ventre, frôlant parfois ma verge mais ne s’y attardant jamais… son sexe avec une douce chaleur, se coller contre mes fesses, comme si elle se mettait sur la pointe des pieds pour être à hauteur…
Julie était en face de nous et nous regardait avec un air beaucoup plus circonspect. C’était le genre d’attitude qui ne me rassurait pas du tout chez ma sœur, car cela débouchait presque toujours sur une idée qui lui paraissait lumineuse… mais qui était souvent complètement loufoque et terrible de conséquences pour les personnes autour ! Cette fois-ci ne dérogea malheureusement pas à la règle…

– J’ai bien des godes cachés dans ma chambre… mais on peut prendre aussi le manche de ma brosse Babyliss pour lui mettre dans le cul ! Je m’en suis déjà servi, à défaut d’autre chose… C’est long, c’est dur, c’est lisse et elle a juste la bonne forme pour bien rentrer ! Je vais la chercher ; elle est juste là, dans ma trousse de toilette…
– …

Je faillis m’étrangler et aucun mot ne voulut sortir de ma gorge… Elle était devenue complètement folle ! Comme un flash, je m’imaginai déjà avec une brosse à cheveux dépassant de mon trou du cul et mes potes de lycée en train de se foutre de ma gueule, tous tordus de rire autour de moi.
D’un autre côté, l’idée d’être l’homme-objet de leurs fantasmes sexuels les plus fous, aux deux gonzesses, provoqua en moi une forte excitation que je ne pus réfréner !

– Et bien, dis-donc, Julie… tu avais raison ! Ton idée, ça l’a tout de suite mis au garde-à-vous, le colonel ! Amène-moi vite ton machin qu’on s’amuse un peu…

Enfer et damnation… j’allais me faire farcir le fion… mais aucune réaction de ma part, comme si j’étais paralysé et que mon cerveau ne réagissait plus ! Ce genre de situation où notre conscience sait qu’on est en train de faire une connerie grosse comme le monde… mais où elle bloque tout le reste du corps et attend pour voir, pour être bien sûr que c’en soit vraiment une !
Mais je n’eus pas longtemps à attendre, à vrai dire… Julie arrivant dans la douche en tenant fièrement une grosse brosse à cheveux avec un manche rose « Barbie » !

Le pire dans tout ça, c’est que je bandais comme jamais auparavant et que mon excitation était à son comble, en voyant maintenant les deux chiennes lubriques danser juste devant moi à poils, mimant l’une et l’autre une fellation sur le fameux objet.

C’est Léa qui prit l’initiative, me reprenant le sexe dans une main et, avec l’autre, me saisissant par le cou. Elle me fit légèrement avancer dans la douche, mais surtout m’incita à me cambrer vers l’avant et à écarter les jambes… Je n’opposai aucune résistance à la sublime métisse, étant devenu aussi docile qu’un agneau et, je devais le reconnaitre, très excité… puisque sur le point de vivre un de mes fantasmes inavouable et jusqu’ici refoulé.
Je sentis alors la langue et le souffle chaud de Julie venir se poser entre mes fesses, me provoquant instantanément des frissons dans toute la colonne vertébrale. Avec beaucoup de douceur, elle titilla les bords de mon anus tout en promenant le manche de la brosse entre mes cuisses, jouant au passage avec mes couilles.
La belle brune me branlait lentement, avec un ample va-et-vient de sa main ; elle m’embrassait de nouveau goulument, nos deux langues s’enroulant l’une autour de l’autre. Tous mes capteurs sensoriels étaient en alerte maximale, essayant de m’enivrer des parfums, de sentir chaque caresse sur chaque partie de mon corps et… de savoir où était exactement l’objet phallique qui allait bientôt me sodomiser !?!
Je me surpris même à ressentir une certaine forme d’impatience, comme si mon orgueil masculin avait abdiqué face à cette envie furieuse de découvrir d’autres sensations, d’autres plaisirs, d’autres émotions…

Mais les deux garces jouaient encore et toujours des réactions instinctives de mon corps, des frissons de jouissance qui le parcouraient de part en part… de cette impatience qu’elles devaient percevoir, comme si cette forme de torture aillait décupler la force de l’orgasme qui s’en suivrait !
Combien d’hommes et de femmes s’étaient-ils déjà retrouvés avec le manche de cette fameuse brosse Babyliss enfoncé dans le rectum, à travers le monde ? C’est la première question qui me traversa l’esprit à ce moment-là… quand je sentis l’objet dur et lisse s’enfoncer et écarter mes chairs au fur et à mesure de sa progression dans mon conduit anal.

J’avais la respiration haletante et tous mes muscles fessiers se contractaient, mon sphincter serrant de toutes ses forces l’intrus, comme pour bloquer sa marche en avant… à moins que ce fusse au contraire pour l’empêcher de ressortir ! Car, même si le début de la sodomie fut violent, je m’étais très étonnamment assez vite habitué à ce corps étranger, étant même dans un état de plénitude et de bonheur peu commun.
Les designers de chez Babyliss avaient-ils longuement étudié l’ergonomie de leur brosse pour qu’elle s’adapte aussi bien à mon fondement et qu’elle soit une telle source de plaisirs ?! Il faudrait que je pose la question via Internet ?!

Et pourtant, Julie n’y était pas allée de main morte pour me la mettre profond, sa brosse… car, après m’avoir léché à pleine langue mon œillet, elle posa contre le bout rond du manche et l’enfonça de façon linéaire jusqu’à ce que ce dernier soit complètement avalé… Je reconnaissais bien là toute la finesse de ma grande sœur !

Le reste de mon corps ne s’y trompait pas d’ailleurs, parcouru de part en part par des frissons spasmodiques… alors que ma bite avait atteint une taille que je ne lui avais encore jamais connue auparavant, dans aucune de mes longues séances de branlette. Elle devait facilement dépasser les quinze centimètres et sa largeur m’impressionnait presque !

J’étais donc en train de réaliser que j’étais pédé ! Il me faudrait certes sûrement beaucoup de temps pour l’assumer complètement, surtout vis-à-vis de mes potes de lycée, mais les faits étaient là… j’aimais me faire défoncer le cul !

« Bon, Florent… nous passons aux choses sérieuses ?!
– Hein !… Quoi ?…

Elle voulait rire, miss monde ?! Ce n’était pas sérieux, jusqu’à là ?!? Sans doute n’avait-elle jamais eu un manche Babyliss carré dans l’anus avec ma frangine à la manœuvre, la cocotte… pour oser me dire ça !?
Et ben non ! Manifestement, pour la belle métisse, ce n’était que le début des festivités… Elle me tourna le dos et me présenta son superbe cul au niveau de mon gland violacé et gonflé comme jamais.

Mon premier réflexe fut de donner un grand coup de reins en visant son petit trou… mais, étant donné l’échec lamentable du tir, je me ravisai rapidement et décidai de laisser faire l’expérience… surtout que la frangine, derrière, commençait à s’exciter sérieusement avec son machin et à l’activer farouchement dans mon trou du cul. Un accident est si vite arrivé !!!

– Vas-y, Florent ! Prends-moi !

Elle était amusante, elle ! Comme si c’était si simple… ce d’autant plus, qu’en même temps, je me faisais tarauder le fion par l’autre folle perverse qui me servait de sœur !
Elle dut sentir mon désarroi car elle passa sa main entre ses cuisses et vint me chopper le braquemart pour l’amener jusqu’à l’entrée de son vagin. Et là…

– …

Non, ce n’est pas possible… vous n’avez jamais dû connaitre ça !?! Ce n’est pas possible ?!… Oh putain !…
Mon sexe comme avalé, comme aspiré par ce puits de chaleur, de douceur… qui semblait épouser ses formes, à croire que l’un était fait pour l’autre. La quintessence du bonheur ! Enfin, quoi… trop trop bon !

C’était clair… je pouvais mourir maintenant ! Pas plus grand bonheur n’était possible dans ce bas monde, en tant que simple mortel… Je pouvais mourir, paix à mon âme…

– Oh putain !…
– Oh oui… prends-moi encore plus profond, Florent ! Ahhh !…

C’était donc possible !!!
Léa venait de commencer à onduler du bassin, ses deux globes à la peau mate venant taper sur mon bas-ventre à chacun de ses mouvements. Julie, quant à elle, continuait à faire coulisser le manche de sa brosse dans mon rectum, alternant les rythmes lents et rapides… tout en me triturant les couilles avec son autre main.
Je ne savais plus où donner de la tête, tous mes capteurs sensoriels étant en alerte maximum ! Tout mon corps se désagrégeait au fur et à mesure que je sentais venir l’orgasme.
J’allais lui remplir la chatte, à ma sublime brune… J’allais devenir un homme, un vrai… un mâle puissant et dominant ! Il fallait que j’éructe de toute ma virilité…

– Arrrh !… Je jouis ! Oh ouiii !…
– Les enfants… vous êtes où ?
– Ahhh ! Non… putain !…
– Ohhh… Ouiii !… Encore !… Ahhh !…
– Les enfants ? Florent ?! Julie ?!
– Ohhh… merde !… La mère supérieure !…
– Arrrh !…
– Ahhh !…
– Ouiii… maman… je suis dans la salle de bain… je prends ma douche… j’ai bientôt fini !…

Elle était en train de monter les escaliers pour venir à l’étage…

– Et ton frère, Julie, tu sais où il est ?

Elle devait être juste derrière la porte de la salle de bain. Je fis de grands gestes à ma sœurette pour qu’elle réponde « non », en même temps que je sentais les derniers puissants jets de sperme s’expurger de mon corps.

– Non, je ne l’ai pas vu, maman…

Qu’est-ce qu’elle venait nous faire chier, celle-là ?! La poisse ! A croire que les parents n’existaient sur terre qu’avec l’unique mission de nous pourrir la vie, que ce soit pour les devoirs d’école, pour réglementer l’utilisation de l’ordinateur… et, là en l’occurrence, pour m’empêcher de grandir, de devenir un homme !

Bon, malgré tout, c’était un moindre mal ; j’avais tout lâché dans Léa et je me sentais réellement vidé, exsangue… comme si toutes mes forces étaient parties avec mon sperme. J’étais affalé sur le dos de ma belle, le regard hagard et de la bave à la commissure des lèvres. Léa, quant à elle, continuait à avoir des spasmes de jouissance, se mordant les lèvres pour ne pas crier son plaisir plus fort…
En toute modestie, j’étais assez satisfait de ma performance, pour une première. Néanmoins, une évidence s’imposa ; il fallait que je m’entraine encore, admiratif que j’étais d’un seul coup pour les acteurs pornos qui remettaient le couvert cinq à six fois d’affilé avec toujours la même vigueur !

– Mais, Jean-Édouard, que vous arrive-t-il, mon cher ?!… Julie ?!… Il s’est passé quoi pour qu’il soit dans cet état, votre père ?… Mais, ça sent l’urine… il s’est pissé dessus, le malheureux !!!

C’était sans conteste le plus beau jour de ma vie… mais nous n’étions pas qu’un peu dans la merde !!!
J’étais vraiment gêné, dans tous les sens du terme… Je ne savais pas comment aborder le problème avec ma sœur qui semblait plus préoccupée de savoir où était exactement la mère « supérieure » et comment nous allions sortir de la salle de bain… que de mon cas personnel. Elle collait son oreille contre la porte et tentait de deviner si la route de repli jusqu’à nos chambres respectives était libre. Enfin… jusqu’à la sienne tout du moins, car je n’existais manifestement plus pour elle !
Elle était gentille et je l’aimais bien, Julie… seulement, il fallait quand même qu’elle se soucie de sa brosse Babyliss qu’elle m’avait laissée enchâsisée dans l’anus !

« Julie… C’est important… tu…
– Chut ! Ta gueule… maman va nous entendre !
– Mais j’ai… tu…
– Tu vas la fermer, bordel… Florent !
– Qu’est-ce qu’il y a, Florent… ce n’était pas bon ?! Tu n’as pas pris ton plaisir ?!

Léa, qui finissait de se laver et de se rincer, s’était tournée vers moi et me caressa la joue de façon très sensuelle. Au moins, la belle métisse avait un cœur, contrairement à l’autre dragon qui me servait de sœur… mais je n’osai lui parler de la brosse car j’avais peur que cela brise la magie du fabuleux moment que nous venions de vivre.

– Euh !… Et ben… euh… non… ce n’est…
– Tu n’as pas aimé me faire l’amour ?
– Euh… non… en… enfin, si !…
– Tu en veux encore… c’est ça, mon petit cochon, hein ?!… C’est vrai que tu as été particulièrement rapide tout à l’heure pour tout lâcher !
– Hein ?… Quoi ?…
– Ben oui, moi aussi, j’aurais aimé que ça dure plus longtemps, de sentir ta grosse queue bien dure s’activer pendant de longues minutes dans mon petit sexe tout serré et offert à ta virilité… avant que tu n’éjacules et qu’elle reprenne la consistance d’une nouille trop cuite.
– Hein ! D’une nouille trop cuite ?!…

Ma grande sœur, qui avait manifestement écouté notre échange, se retourna et m’acheva littéralement d’une réplique cinglante dont elle-seule avait le secret…

– Ben oui, ce qu’essaye de te dire Léa, c’est que tu nous l’as joué éjaculateur précoce !

Éjaculateur précoce !?! L’insulte suprême, la « number one », celle qui te détruit complètement une réputation de séducteur sans rédemption possible et ne te laisse plus que le choix de faire profès perpétuel en religion… d’autant plus si c’est une gonzesse qui t’envoie ça à la gueule ! Devant les copains de lycée… et là, il ne te reste plus qu’à déménager, changer de ville pour aller à l’autre bout de la France et changer de nom…

Et pourtant, pour toutes les autres insultes, j’avais des parades, des réponses mûrement réfléchies par d’autres et ayant traversé des générations d’hommes et d’adolescents… testées maintes et maintes fois dans des cours de lycée, devant des entrées d’immeubles ou dans des boites de nuit… et qui revenaient tel un boomerang à la figure de l’insulteur.
A « fils de pute », il suffisait de répondre « qu’au moins, ma mère m’avait appris à me servir de ma bite, à moi », puis de renvoyer à la face de son interlocuteur un « pauvre puceau » ou encore un « toi, tu n’es qu’un résidu de fond de capote ».
A « puceau », le très classique « c’est justement ce que me disait ta copine en parlant de toi quand je l’ai baisée l’autre jour »… avec bien sûr la possibilité de remplacer « copine » par « mère » ou « sœur » suivant la personne en face et les circonstances !
A « pédé » ou « enculé », un « c’était donc toi le trou du cul que j’ai enfilé l’autre soir dans le noir » ou un « je me demandais justement qui était la face de pets qui me chatouillait l’anus », sans parler de l’indémodable « petite bite », en rajoutant un « ce n’est sûrement pas toi qui risque de me procurer du plaisir avec l’asticot que tu as entre les jambes ».
Quant au fameux « petite bite », notre bon vieux système métrique me permettait de me targuer d’avoir été correctement pourvu par la génétique et, surtout, d’éviter d’être catalogué dans cette humiliante catégorie ! Ben oui, comme tout mâle qui se respecte, j’avais déjà pris le mètre à couture de la mère pour mesurer l’objet dans tous les sens, après m’être branlé devant une vidéo de cul… et pouvais donc m’enorgueillir d’un flatteur « 15 centimètres » bien large, que je rallongeai de deux trois petits centimètres pour passer dans la catégorie « très bien membré »… A priori, le risque était faible que la tromperie soit mise à jour, car une femme se promenait rarement avec un mètre ruban dans la poche quand il s’agissait de baiser et qu’à l’œil, il était facile d’abuser son monde !

Mais là, éjaculateur précoce… l’imparable insulte pour un homme, celle qui vous claque la gueule telle une sentence de tribunal venant de vous condamner à la perpétuité. J’étais d’un seul coup complètement anéanti, effondré… avec une furieuse envie de chialer, puis de mourir ! Comment pouvaient-elles me cataloguer de la sorte alors que j’étais plutôt satisfait de moi pour une première ?

Je ressentis un besoin impérieux de me retrouver seul et fonçai donc vers la porte pour fuir dans ma chambre…

– Attends, Florent ! Ta sœur ne voulait pas te blesser en disant ça ! Ne pars pas comme ça !
– Non ! Flo !…

J’ouvris la porte et… en face de moi, droite comme un « i » comme si elle avait un manche de balai dans le cul, le regard inquisiteur et glacial, ma mère. Enfin… notre mère… puisque Julie intervint de suite pour essayer de sauver ce qui pouvait encore l’être…

– Maman, je vais tout t’expliquer !
– Non, ne dis rien, ma chérie… ça ne sert à rien d’essayer de protéger ton pervers de frère. J’ai bien tout compris ! Il a encore réussi à rentrer dans la salle de bain pendant que tu prenais ta douche pour te voir toute nue et se masturber dans tes sous-vêtements ! Je ne sais vraiment pas ce que nous allons faire de toi, Florent !? Tu es irrécupérable !
– …
– Mais, maman… ce n’est pas ce que tu crois !…
– Julie, c’est inutile de vouloir une fois de plus… mais c’est qui cette noire dans ma salle de bain ?! Doux Jésus Marie… qu’a-t-il encore fait comme ignominie ?!
– Maman… écoute-moi, s’il te plait !
– Et en plus ils sont nus !… Mais… Florent !?… Qu’est-ce que tu caches derrière toi ? Retourne-toi, s’il te plait ! Dépêche-toi !

Je ne savais plus quoi faire, pris d’un seul coup d’un sentiment de panique incontrôlable, ce d’autant plus que je sentis ma queue reprendre de la vigueur et se redresser fièrement… au moment où je réalisai que c’était la brosse à cheveux de ma sœur que ma mère avait sans doute aperçue dépasser de mes fesses. Je tentai de cacher mon intimité avec mes mains et reculai devant l’insistance de ma génitrice…

– Oh… mon dieu ! Florent… vous êtes devenu complètement fou ! Ma brosse Babyliss… Vous perdez la raison !
– De toute façon, ce n’est pas la tienne… c’est celle de Julie !

Elle me colla une grande gifle sur la joue…

– Et en plus, il me répond, l’odieux personnage !

Puis se tournant vers le couloir…

– Jean-Édouard, arrêtez de jouer votre comédie grotesque et venez tout de suite ! Il y a votre fils qui est complètement dérangé et qui se balade tout nu avec une brosse à cheveux enfilée entre ses fesses. Et puis il y a une négresse pas tout à fait noire, elle aussi toute nue, dans notre maison !?
– Madame…
– Vous, je ne vous ai pas adressé la parole ! Jean-Édouard… venez vite !

Je me retournai pour regarder la pauvre Léa qui ne savais plus où se mettre, encore toute mouillée et debout sur le pas de la douche. Elle était vraiment trop belle, trop bandante… comme ça, semblant de nouveau un peu perdue face à la situation. Je me fis la réflexion que si je lui portais secours, peut-être arriverai-je à la sauter encore une fois d’ici ce soir, pour lui prouver que je n’étais pas un éjaculateur précoce. Je pris donc mon courage à deux mains et…

– Tu n’as pas le droit de… aie !!!

Ma mère me gifla de nouveau violemment la joue, me coupant net dans mon élan de justicier. Je me recalai donc tout penaud dans un coin de la salle de bain, ma brosse toujours enchâsisée dans le fion et n’osant plus rien rajouter. Manifestement, il était écrit que je ne profiterais pas sereinement de mon tout nouveau statut d’homme, tout semblant se dérouler pour que je sois humilié !
Cette journée, que je pensais comme étant la plus belle de ma vie il y a encore quelques minutes en arrière… redevenait une journée de merde. Et puis surtout, la mère « supérieure » n’allait pas lâcher si facilement le morceau, tel un pit-bull sur un mollet de facteur, avec manifestement ma pauvre personne comme principale victime de son acharnement.
Mais bon, j’allais comme à chaque fois faire le dos rond et laisser passer l’orage. De toute façon et c’était sans doute ma chance… avec ses convictions religieuses intégristes, elle n’oserait jamais me foutre à la porte de la maison car cela devait forcément être un péché capital, avec un aller simple pour l’enfer.
Je m’apprêtais donc à m’esquiver quand…

– Florent, tu prends tes clics et tes clacs, ainsi que ta nouvelle copine… et tu quittes la maison ! Tu ne fais plus partie de notre famille !
– …

La salope… la salope !… Comment pouvait-elle me faire ça, à moi, son propre fils ?! La putain de salope… ce n’était pas possible, pas légal !?! Moi, Florent PIOSSENGER… elle n’avait pas le droit de me foutre dehors !
Pour autant, je ne mouftai pas un mot, comme déjà résigné à accepter mon triste sort, des larmes noyant mes yeux…

– Non, maman ! Flo reste ici… Ce n’est pas lui mais moi qui suis responsable de tout ça et qui dois partir de la maison… Tu vois, cet après-midi, je me suis faite sauter comme une petite pute par deux vieux vicelards dans le tram, devant tout le monde… puis, ensuite, j’ai sucé mon frère et tout avalé son foutre ! Et là, c’est encore moi qui voulais me faire baiser par tous les trous par Florent et Léa !…
– Mais… ma petite chérie ! Oh mon dieu ! Ce n’est pas possible… vous délirez… Florent et la négresse vous ont ensorcelée !… Jean-Édouard !?!
– Maman ! Tu m’écoutes… j’aime me faire baiser, sentir de grosses queues bien dures me défoncer par tous les trous en même temps, puis me faire asperger de sperme chaud et tout lécher ensuite… tu entends !?… Non, je ne crois pas que tu sois capable de nous entendre, avec ta vision totalement rigoriste et intransigeante de la société, dans laquelle même le pape FRANÇOIS est un dépravé… Il faut que tu atterrisses, que tu réalises que nous sommes en 2015 et non pas au moyen-âge, à l’époque de l’inquisition… Tu sais quoi, maman, même le père SVERPRE est plus évolué que toi !? D’ailleurs l’autre jour, après l’avoir chauffé grave en confesse, il m’a enculée sur sa chaire, puis je lui ai offert une putain de fellation… qu’il a dû se croire au paradis avant l’heure !
– …

Je n’avais jamais vu ma mère comme ça, blanche tel un cadavre plusieurs jours après le décès. Elle ne disait plus rien et restait immobile, débout à l’entrée de la salle de bain.
Quant à moi, toujours avec ma brosse dans le fion, je ne savais pas si tout ce que disait la frangine était vrai… mais peu importe ! J’étais content qu’elle vienne à mon secours et dise tout ça à notre génitrice… et puis surtout, j’étais complètement excité par ses propos, bandant de nouveau comme un taureau en rut…

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