Vendredi soir, rentrés tous les deux du boulot, nous sommes dans le canapé à écouter de la musique.
Elle me demande « tu veux un apéro ? »
– oui pourquoi pas, un whisky
Elle se lève pour me servir un verre et reviens contre moi sur le canapé. Elle ne s’est rien servie et je lui fais remarquer.
– ne t’inquiètes pas, je vais me servir.
Et elle pose sa tête sur mon ventre. Je bois doucement mon verre. Je sens ses mains glisser sur mes cuisses, effleurer mon sexe. Elle sort ma chemise de mon pantalon pour embrasser mon ventre. Je la laisse faire et je sirote.
Ses doigts déboutonnent mon pantalon et ses mains glissent à l’intérieur et caresse mon sexe qui se gonfle. Elle le sort avant que ce ne soit plus possible, coincé par sa raideur dans mon boxer. Elle ne veut pas bouger et moi non plus d’ailleurs.
Elle le caresse posé sur mon ventre, sa tête au dessus. Et je sens ses lèvres souffler dessus. L’effleurer. L’embrasser. Le glisser dans sa bouche au fur et à mesure. Sa langue s’entourer autour. Le téter.
Je me laisse faire. J’écoute la musique. Je bois mon sky. Je lui caresse les cheveux. Elle me suce.
Doucement, toujours au même rythme, sans accélérer, ses lèvres, sa langue, glissent sur mon sexe tout dur. Ses doigts caressent mes couilles. Les poussent pour en prendre plus dans sa bouche et les laisse aller pour ressortir.
C’est divin.
Je ne bouge pas pour faire durer ce moment le plus longtemps possible. Néanmoins, je serre mon verre. Je me crispe. Le plaisir monte. Elle le sent. Ses lèvres m’enserrent plus fort. Sa langue s’accélère dans sa bouche. Elle aspire sa salive. Je me contracte et lâche mon plaisir.
Mon jus gicle dans sa bouche. Elle ne desserre pas les lèvres et garde tout, avale tout. Je continue de sentir sa langue et son aspiration. Je me décontracte.
Elle se redresse. S’approche de moi. Elle m’embrasse. « Merci » me dit-elle.
Elle se lève et va vers la chambre en dé zippant sa robe. Elle là fait glisser à ses chevilles avant de sortir de la pièce. Elle est superbe en sous vêtements. J’admire sa jolie croupe dans son jolie string. Je me lève pour la rejoindre…
Elle est allongée sur le lit, un oreiller glissé sous son ventre, qui remonte ses fesses, les cuisses ouvertes. J »admire sa chatte en me caressant. Je m’approche. Près, tout près, mon visage remonte entre ses cuisses et vient embrasser son sexe. Elle gémit. Et je l’entends dire « encore ». Je recommence, appuyant plus fort sur ses lèvres humides. Je les lèche. J’enfonce ma langue en elle. Je la fouille. Mes deux mains posées sur ses fesses que j’écarte. Je continue de la caresser, de la pénétrer de ma langue que je passe de son sexe à l’œillet de son cul. Elle gémit plus fort. Elle ondule pour que j’aille plus loin… Je serre mon index et mon majeur et lui introduis dans sa chatte. Je la doigte de vas et viens, en continuant à fourrer ma langue dans son anus. Elle respire fort, gémit et ondule son bassin sur mes doigts et mon visage. De l’autre main je me masturbe. Je suis très excité et ma queue a repris sa vigueur.
Je me redresse et prends appui sur son dos. Je tiens ma bite à la mains. Je me glisse entre ses cuisses, les écartant plus. Et je m’introduis en elle. Dans son sexe, à la place de mes doigts. Je l’entends souffler un « ouiiiiiiii » de plaisir. Comme mes doigts, je vais et viens en elle doucement. Je me retire à la limite de sortir mon gland de son sexe et je reviens, tout entier en elle, coller à ses fesses. Et je recommence. A chaque coup de reins, plus vite et plus fort. Elle en redemande. Et je continue. Elle souffle, elle gémit. Elle en redemande. Elle se cambre, suis mes mouvements en ondulant ses hanches. Elle m’encourage à la prendre plus fort. J’agrippe ses hanches et et je la défonce. Elle crie de plaisir. Elle jouit et se retire en se recroquevillant en prenant ses seins dans ses mains. Je vois son cul et je me masturbe. Je jouis en lui envoyant de longs jets de sperme sur ses fesses et au creux de ses reins. Je m’écroule haletant sur elle. Et nous restons ainsi, l’un contre l’autre. Le week-end démarre très bien.
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