Quinze jours plus tard
(partie 2)
Comme promis, deux semaines plus tard, je revins le voir avec mon petit panier sous mon bras. J’étais quasiment habillée de la même manière que la fois précédente : j’avais enfilé une autre culotte noire quasiment identique à la précédente (que je lui avais offerte et que j’avais dû racheter pour ne pas éveiller les soupçons de mon mari… et d’ailleurs j’en avais acheté trois au cas où, de même que des soutiens-gorges en tulle noir aussi), évidemment j’avais remis des bas dim-up marrons clairs et rechaussé mes ballerines dorées (que j’avais elles aussi redoublées dans mes achats : tous ces achats préalables m’avaient d’ailleurs tenue en haleine en prévision de ce samedi après-midi avec mon vieux préféré).
Il m’attendait ! probablement qu’il devait faire les cent pas trépignant d’impatience car il m’accueillit avec un large sourire, tout heureux de me voir enfin (il faut dire que j’étais en retard car j’avais attendu un peu plus que mon mari entame sa sieste pour décamper aussitôt) car peut-être il craignait que je ne vienne pas. Cela ne risquait pas d’arriver car j’en avais envie de revenir vers lui.
Je compris aussitôt qu’il y avait une raison supplémentaire à son inquiétude d’un faux-bond éventuel : assis discrètement dans un recoin de la grange, son voisin (son copain comme il disait) m’attendait aussi avec un appareil photo bien en main.
Mon petit vieux fit les présentations sommairement, je souris au « copain » René, un petit gros bedonnant et souriant avec des yeux pétillants de malice et de vice, alors que sous ses yeux médusés mon petit vieux m’embrassa sur la bouche de manière appuyée en guise de bienvenue :
« elle est belle hein René ? je te l’avais bien dit »
« oui, oui, c’est une très belle femme ! elle est sexy » dit en salivant le gars René
« vas-y, fais 2 ou 3 photos déjà »
Je posais un peu en souriant alors qu’il me photographiait bien habillée.
« Attends, René, reprends-en quelques-unes quand je l’embrasse » et mon vieux m’enserra par la taille et mes seins qu’il palucha ostensiblement sous les yeux ébahis du gars René –qui clichetait en rafale- et me roula une galoche appuyée, à laquelle je répondis en me collant bien contre lui, ondulant de ma croupe sous ma jupette.
Le gars René il bavait comme un fou en me regardant malgré les photos qu’il devait faire… je vis qu’il triquait déjà… alors j’en rajoutais et il nous photographiait.
« On va aller au grand figuier au fond du jardin, l’autre il est fini … mais René, il m’a amené une échelle plus grande et avec son pote Marcel ils ont même déjà ramassé hier quelques kilos de figues, regardez ! »
Effectivement, deux paniers bien pleins m’attendaient.
« Ouh ! là ! mais il y en a déjà beaucoup… elles sont toutes pour moi ? »
« Oui, oui… nous on en a trop ! »
« Comme ça la cueillette d’aujourd’hui sera vite faite » dis-je avec un petit sourire couin, en pensant qu’on aurait du temps pour l’après !
Tous les trois, nous nous dirigeâmes vers le grand figuier, au pied duquel une effectivement grande échelle m’attendait. Je commençais donc à grimper aux barreaux faisant doublement onduler ma jupette asymétrique (doublement car ils étaient deux) et j’entendis les premiers déclenchements de l’appareil, qui s’intensifièrent quand j’arrivais presque en haut : là c’était sous ma jupe que j’étais flashée et je jouais le jeu.
Comme l’autre fois mon vieux me saisit par les chevilles tout en caressant un peu mes ballerines et le nylon de mes bas. Je voulus me retourner pour lui adresser un sourire complice et je vis René plongé à la verticale sous ma jupe entrain de photographier ma culotte et mes cuisses. Je ne m’offusquais pas (comment aurais-je pu ?) et même je pris un malin plaisir à lui offrir quelques angles de vue.
Je me remis à la cueillette mais là encore l’échelle vacilla et je poussais un cri. René s’empressa de venir au secours de mon vieux et à son tour maintient l’échelle et m’attrapa par l’autre cheville.
« C’est bon, on vous tient bien à deux » dit mon vieux.
Rassurée, je repartis de plus belle à l’assaut de quelques figues (mais il y en avait déjà largement assez !). René lui s’enhardissait et caressait bien mon bas d’une main et j’entendais encore l’appareil… Là-haut, sur mon perchoir, j’ondulais encore dévoilant ma culotte et ma chatte par l’entrebâillure du nylon noir. René et mon vieux plongeaient sous ma jupe et il me photographiait en rafale. Du coup l’échelle, qu’il avait dû relâcher un instant, vacilla à nouveau et là je manquais de tomber. J’entrepris de descendre –un peu précipitamment comme la dernière fois- et je me retrouvais au bas de l’échelle avec une main de mon vieux et une main de René sous ma jupe, directement au contact de ma culotte. Leurs autres mains m’empoignèrent par les seins et ils se collèrent à moi, comme pour me soutenir. Pendant quelques secondes, j’avais une main –bien présente- de chacun sous ou sur une de mes miches et l’autre sous ma jupe au contact de ma culotte, bien visitée et explorée par leurs doigts inquisiteurs. Je riais pour me donner une contenance mais je commençais à être sérieusement excitée par les pognes de ces deux vieux sur moi.
« De toute façon, j’en ai assez de figues avec ce que vous avez ramassé ! » dis-je pour enchaîner. Leur « stratagème » (éventé bien sûr !) avait bien fonctionné et nous voilà tous trois repartis vers la maison, sous le regard surpris du voisin Marcel qui avait été alerté par mes cris :
« on va aller boire un coup » dit mon vieux… suffisamment fort pour que le gars Marcel l’entende aussi.
Les verres étaient prêts et furent rapidement avalés quand mon petit vieux se jeta à mes pieds, caressa et embrassa mes ballerines, accompagné des premiers clichés intérieurs de René. Ma jupe fut rapidement remontée, j’exhibais même ma culotte entière à l’objectif de l’appareil, avant que mon vieux s’empare de ma chatte et commence à me lécher par-dessus le nylon de la culotte, non sans s’être tourné vers René en lui ordonnant :
« prends-moi bien en photos entrain de lui bouffer la moule… fais aussi des gros plans… tiens, prends sa culotte d’abord »
René obéit mais y alla de son « grain de sel » :
« enlevez votre tee-shirt, que je vous prenne aussi en sous-tif »
Jupette remontée à la taille, j’enlevais mon tee-shirt, je bombais le torse et tendit mes miches avec les tétons affleurant au ras du balconnet et l’appareil photo crépita encore, alors que mon vieux s’attaquait maintenant à ma chatte en l’écartant pour darder sa langue sur mon clito et dans mes lèvres. Sa caresse me fit me pâmer un peu tête renversée en arrière, ce que René immortalisa avec son appareil.
Je commençais à gémir et à dodeliner de la tête, signe avant coureur de ma jouissance. René le comprit et s’approcha, mitraillant en gros plans… tout en caressant mes seins, agaçant les tétons dégagés au ras du balconnet. Je gémissais de plus en plus fort et plus je gémissais, plus mon vieux accélérait ses caresses avec sa langue, plus je jouissais. Du coup, René surexcité se pencha sur moi et m’attirant par un sein dont il triturait le téton durci se mit à me rouler une galoche farouche, langue dardée au fond de ma bouche.
Cette multi-activité jouissive ne nous permit à aucun de nous trois de nous rendre compte immédiatement de la présence du voisin Marcel dans la pièce. Probablement intrigué par cette séance peu commune (je veux dire la présence d’une femelle sexy dans la cuisine de mon petit vieux) et surtout par mes gémissements perceptibles par la porte de la grange restée ouverte, Marcel était entré sans bruit et contemplait la scène scabreuse.
Nous nous aperçûmes de sa présence quand mon vieux, un peu essoufflé par sa longue caresse buccale qui me procurait tant de plaisir, se releva et que René voulut se mettre de la partie :
« Donnes moi un peu sa chatte à bouffer, elle a l’air bonne »
« Elle est délicieuse tu veux dire » lui répondit mon vieux… « vas-y tiens, régale-toi, je te l’offre » rajouta-t-il en me souriant « vous voulez bien qu’il vous lèche aussi ? » en m’adossant encore plus à la table de la cuisine puis en m’y allongeant carrément.
Je m’offrais, totalement consentante et je n’eus rien besoin de répondre.
A son tour, il se pencha sur moi et me roula une galoche effrénée… alors que Marcel, qui avait emprunté l’appareil photo délaissé, s’était rapproché et immortalisait cette scène d’un nouveau genre. René avait généreusement écarté mes cuisses gainées par mes bas, il m’avait saisie par mes ballerines, qu’il remonta jusqu’à les poser sur la table tout près de ses joues, et se mit à laper ma toison, mes lèvres et mon clitoris. J’étais aux anges… c’est-à-dire au septième ciel et demi. Ma première jouissance n’était pas tout à fait redescendue et je m’agitais un peu tout en galochant mon vieux.
Alors, je sentis qu’on s’emparait de ma main ballante sur un côté de la table et qu’on y glissait une queue bandée. C’était le gars Marcel qui s’était invité à la partie, sans que mon vieux n’intervienne (il devait avoir une autorisation tacite !). Heureuse de sentir une bite entre mes doigts de fée, je caressais ce sexe que je ne voyais pas, toujours à demi étouffée par les caresses à mes seins et les galoches de mon vieux. Comme, je pouvais aisément compter les deux précédents vieux qui se régalaient de moi, l’un sur ma chatte, l’autre à mes seins et à ma bouche, je déduisis facilement que le gars Marcel était entré en action ! Et quelle action ! En effet, le dard que j’avais commencé à caresser prenait des proportions assez dantesques : mes doigts ne suffisaient plus pour le caresser sur toute la longueur, la tige de chair m’emplissait bien plus que le creux de la paume de ma main et quand j’enserrai la queue en gouttière, j’arrivais à peine à en faire le tour. Je voulus la voir !
Je me dégageais un instant de mon vieux, qui en profita d’ailleurs pour se débraguetter et fit mine de venir présenter sa plus petite bite de l’autre côté. Je me tournais vers le gars Marcel et j’eus un choc : dieu, qu’il était gros et laid ! De grosses lèvres charnues et un pif énorme avec des yeux plissés tous ridés, un ventre velu et imposant à demi-nu sur une chemise grossièrement entrouverte et, en plus, il continuait à photographier la scène. Mais le vrai choc ce fut sa bite ! (on dit souvent que les hommes qui ont un gros nez ont une grosse bite, mais là, c’est sûr c’était vrai) quel engin ! une vraie canette de bière, que dis-je, un boudin ! une queue de la taille d’un gros saucisson ! Alors, subjuguée, je me mis à flatter, caresser cet engin démentiel, le gland rosé gros comme un œuf était luisant : quel plaisir de branler en douceur cette énorme queue sous tous les angles, de la sentir me remplir autant la main. Je ne la lâchais plus ! Le gars Marcel, probablement fier de son effet, me contemplait en souriant et se laissait branler avec délice :
« Ouah ! elle a des doigts de fée cette femme ! que c’est bon, qu’elle branle bien !».
Et il continuait à prendre à la volée des photos du trio sur moi sous tous les angles.
Mon vieux lui, de l’autre côté, sachant bien que sa petite queue –bien que bien dure pour son âge- ne pouvait soutenir la comparaison, était venu la promener dans mes cheveux (il aimait caresser mes cheveux… et moi j’aimais bien aussi), tout en caressant et suçant mes tétons qui durcissaient, entièrement sortis du balconnet devenu symbolique.
Alors, sans évidemment lâcher la bite d’enfer de Marcel, je me tournais vers lui et je me mis à gober son gland, délicatement, tout en y déposant de petits baisers et en flattant ses boules que je sentais un peu plus gonflées que la fois précédente par les réserves de foutre qu’il m’avait promis de faire.
« Et en plus, elle suce comme une reine » ajouta mon petit vieux à l’intention des deux autres, fier que ce soit sa queue que je suce en premier.
Du coup, le gars René, probablement affolé et surexcité par ces commentaires, s’empressa de m’enfiler prestement et brutalement d’un coup à même la table. Il faut dire que ma position s’y prêtait bien avec mes cuisses complètement écartelées, mes ballerines posées sur le rebord de la table de part et d’autre de ma chatte trempée, léchée, sucée de toutes parts, bien offerte au ras du bois.
« Putain que c’est bon, je l’enfile ! ouais les gars, je la baise ! Putain qu’elle est bonne sa chatte !… qu’elle est douce ! du velours ! vas-y prends-moi en photo Marcel ! prends ma bite dans sa chatte !»
Et là, m’ayant empoignée par le haut de mes cuisses au-dessus de mes bas, il se mit à me pilonner en règle, sous les yeux un peu jaloux de mon vieux qui n’avait pas été le premier à me prendre et surtout ne l’avait pas encore vraiment « autorisé ».
« Vas-y ouais, je l’ai bien ta queue dans sa chatte… sors et re-rentre à fond » dit Marcel en le prenant en photo alors que je continuais à triturer son énorme engin à l’aveugle tout en suçant mon vieux avec application… qui reprit ses esprits :
« prends la aussi entrain de me sucer ! »
Evidemment, le gars Marcel s’empressa de zoomer sur ma bouche arrondie sur le gland de mon vieux et fit crépiter l’appareil. Probablement aussi qu’il clicheta sur sa grosse bite dans ma main et fit des plans larges du trio sur moi.
En tout cas, René me secouait fort et me ramonait puissamment en grognant son plaisir… cela devait l’exciter trop car il se retira et apostropha mon vieux :
« Tiens, Alphonse, vient la prendre, c’est bon comme ça… tiens Marcel ! viens, prends en photo sa chatte ouverte et sa culotte avant… puis prends-le aussi »
Du coup, à mon grand regret l’engin de Marcel quitta ma main, la bite de mon vieux quitta ma bouche… mais un autre ordonnancement s’imposa à moi, écartée au rebord de la table. Je sentis ma chatte caressée et dégagée pour l’objectif de l’appareil photo, que René –expert en prises de vue semblait-il- avait repris en main. Marcel –qui n’avait pas encore goûté mon minou- puis mon vieux y allèrent de quelques coups de langue supplémentaires.
Et là, un des moments que j’attendais se produisit enfin: le gars Marcel vint me présenter son énorme engin à sucer. La taille de cette queue que j’avais longuement manipulée me laissa remplie de surprise, d’extase et de stupeur. Je la contemplais cette grosse queue de très près : elle était monumentale ! Je la saisis par en dessous avec ma menotte qui, mise en gouttière, sentait vibrer cette puissante colonne de chair et se faisait douce, comme si j’avais peur de déclencher la colère d’un monstre. Cette douceur faisait de l’effet sur le gars Marcel qui ponctuait ces avancées sur sa bite de petits « hmmm ! » … « oh ! oui ». Mes yeux écarquillés contemplaient ce gros gland bien luisant, alors que, employant mon autre main (deux mains étaient nécessaires pour s’occuper d’un tel engin), je m’aventurais à aller flatter ses couilles velues, d’une taille tout aussi imposante que la bite… que j’apprenais à aimer. J’ouvris grand la bouche et je commençais à lécher le gland avec ma langue puis à tenter de le gober. Lentement la colonne de chair, flattée par ma main et guidée par la sienne, se frayait un passage m’obligeant à arrondir au maximum mes lèvres. J’avais du mal à respirer mais j’avais une envie folle de sucer cette grosse queue… qui sentait assez fort d’ailleurs et s’imposait à moi : je devais la sucer.
« Allez, oui, suce moi, prends la dans ta bouche ma grosse queue !»
Et je ne me fis pas prier… même si je n’arrivais pas à la pomper en totalité. Je m’appliquais au maximum et les joues et ma bouche déformées, je me mis à sucer cet énorme engin, pour le plus grand plaisir de René qui prenait des photos hors normes, tout en faisant des commentaires de plus en plus salaces :
« Putain, elle la prend ta grosse queue dans la bouche, elle aime sucer ! »
« Arch ! c’est bon oui, elle suce comme une reine, suce-moi oui »
« Je te l’avais dit qu’elle suçait bien ! c’est la reine des bites ! » rajouta mon vieux.
Encouragée et fière de moi, heureuse de mon exploit, je continuais à pomper ce gros dard du mieux possible sous le regard extasié de mon vieux et sous les feux de l’objectif de l’appareil photos de René : ils en auraient à raconter !
Alors que, totalement absorbée par cette pipe impossible, j’étais restée dans cette position écartelée impudique –ma culotte écartée dévoilant ma chatte offerte avec mes lèvres dilatées par les ramonées de la bite de René-, mon petit vieux adoré me pénétra caressant ma culotte qu’il maintint écartée sur mon pubis pour faciliter son passage. Sa bite, moins grosse que celle de René, s’enfila sans problème, glissa même avec facilité, le rendant fou de joie et il s’efforça aussitôt de taper le plus fort possible, m’ayant saisie aux hanches sous ma jupette troussée : « oh ! que c’est bon, chérie je t’aime, je suis en toi mon amour ! » et il se coucha sur moi, alors que je nouais amoureusement mes ballerines autour de ses reins et je l’empoignais par les flancs pour mieux l’accompagner en moi. Il me roula une galoche effrénée et fit aller et venir sa petite queue drue dans ma chatte. Je serrais mes cuisses très fort, tant pour l’exciter que pour mieux sentir sa bite s’activer, je caressais ses fesses pour accompagner ses petits coups de treuil mais que c’était bon de sentir qu’il me baisait avec un plaisir incommensurable. Il me murmurait des mots doux à l’oreille tout en me baisant : « je t’aime, tu es belle,… que c’est bon d’être en toi, je n’ai jamais baisé une chatte aussi douce… je t’aime…ma chérie… ah ! ».
Je me prêtais volontiers à ce jeu amoureux d’un genre nouveau pour moi –encore que cela me rappelait un peu la nature de mes relations avec Momo de l’Algéco- et je répondais à son oreille en lui susurrant des encouragements :
« ouiiiiiiiii, j’aime te sentir, vas-y prends-moi, elle est bonne ta queue en moi » et il s’affolait tout en me limant avec toute la frénésie que lui permettait son âge ; je continuais à caresser ses flancs, ses fesses, sa nuque, je répondais à ses baisers et ses coups de langue, il me contemplait le visage épanoui de me faire prendre, tout heureux de se retrouver dans cette situation.
Ce moment privilégié pour mon vieux fut respecté par les deux autres gars qui prenaient des photos, tout en continuant d’astiquer leurs engins un peu à distance pour les maintenir « en forme », laissant visiblement mon vieux profiter pleinement de moi en premier. Ils savaient eux qu’ils pouvaient attendre un peu (Marcel avait retiré sa queue de ma bouche pour me laisser entièrement disponible pour mon « petit vieux ») et que mon vieux était entrain de prendre un pied fabuleux en me baisant devant ses deux « potes », vu son âge. Ils ne gâchèrent donc pas son plaisir ; au contraire ils l’encourageaient dans son délire amoureux :
« vas-y oui, baise la, elle aime, elle est belle ta femme Alphonse, régale toi »
« oui, elle t’aime c’est sûr, elle adore… on vous prend en photo »
Cela m’avait bien plu que le gars Marcel au gros engin m’appelle sa « femme » et cela avait exacerbé les sens et la fierté de mon petit vieux qui s’agitait de plus en plus frénétiquement dans mon vagin accueillant.
« Oui, oui, prends-moi, j’aime, je te sens, vas-y » murmurai-je encore en lui léchant l’oreille et caressant un de ses flancs et une de ses fesses, serrant très fort mes cuisses et mes ballerines.
« ah ! ah ! oui ! c’est bon ! je, je, je… je vais jouir… tu vas me faire jouir avec ta chatte ! oh ! chérie ! …c’est booon ! je jouiiiiiiiiiis ! j’aime, je t’aime »
Et je sentis alors mon petit vieux s’arc-bouter sur moi, ses doigts se crisper sur mes hanches, sa bouche gobant presque brutalement un de mes seins et se planter d’un seul coup bien au fond, sa bite durcit encore un peu plus un dernier coup et je sentis des saccades de foutre me remplir. Et là, cela dura bien plus longtemps que je ne l’aurais imaginé –en tout cas bien plus que la fois précédente-: il avait effectivement dû faire de sacrées réserves ! Je sentais bien son gland devenu plus gros se déverser en moi, il était cloué sur moi animé par de multiples tremblements, nous étions noués. René l’avait bien compris car il nous prit en photos sous tous les angles.
« Je t’aime chérie, je jouis en toi, tu es belle, c’est bon ! » et il débitait des phrases-clés qui là prenaient un tout autre sens pendant qu’il me déversait tout son foutre accumulé, j’étais bien inondée.
Alors que sa queue commençait à ramollir et qu’il avait du mal à reprendre son souffle, il se dégagea me laissant écartelée. René sauta sur l’occasion et, après avoir bien saisi mon visage épanoui de jouissance, vint prendre en photo ma chatte débordant du foutre de mon vieux :
« Putain que c’est beau cette chatte avec ton foutre qui dégouline… putain les belles photos ! ça va bien glisser maintenant ! allez elle est à toi Marcel maintenant ! »
Mon vieux en jouissant en moi avait créé les conditions pour que Marcel essaye de me fourrer son saucisson. Evidemment qu’il avait tout pigé et, à peine René eut-il fini ses photos et sa phrase, que je sentis le gros gland venir tutoyer l’entrée de ma chatte : une certaine angoisse me saisit mais vite surmontée par la curiosité et l’envie de sentir en moi ce sexe fabuleux. Habilement, Marcel fit aller et venir la queue le long de ma fente humectée, appuyant légèrement son gros gland il fit s’écarter encore plus mes lèvres et il commença à pousser lentement.
« ahhhhhhhhh ! »
Un cri m’échappa, elle était vraiment très grosse sa bite et avait du mal à rentrer malgré la lubrification dont ma chatte avait fait l’objet. Bien aidé par le foutre de mon vieux, l’engin de Marcel progressait et m’emplissait de plus en plus. Je levais bien haut mes ballerines pour élargir le passage (mon vieux –je crois- avait d’ailleurs saisi mes ballerines et levais mes jambes pour que je sois encore plus ouverte) et je finis le « travail » en agrippant le gros ventre par les flancs et l’attirant tout au fond de moi en murmurant :
« doucement, ahhh ! oui, là, doucement, viens ».
Marcel n’était pas un monstre –sa bite oui ! elle était monstrueuse- et je fus surprise par la douceur qui accompagnait la progression de sa grosse bite dans ma petite chatte offerte. En fait, c’est moi qui amenais pas à pas sa queue au plus profond de ma chatte copieusement remplie. Je crus défaillir mais que c’était bon de me sentir ainsi comblée : quelle queue !
René et mon vieux étaient « à mon chevet » de chaque côté et contemplaient la bite d’enfer de leur pote Marcel me pénétrer. René y allait de clichés probablement fabuleux ; mon vieux lui m’embrassait, caressait une de mes fesses sur le côté en me tenant la jambe très haut par une ballerine, et me parlait à l’oreille :
« elle est grosse hein ? tu la sens cette queue ? » me murmurait-il.
René faisait moins dans la dentelle et vociférait un peu plus :
« Ouais ! putain elle la prend dans sa chatte ta grosse queue Marcel ! elle a l’air d’aimer ça cette salope… se faire mettre par un gros engin… vas-y enfiles lui ton gros boudin ! fais-la gueuler cette salope »
C’était la première fois qu’ils me traitaient de salope ici… mais je ne rouspétais pas et j’acceptais cette injure… devenue un compliment même dans certaines circonstances de baise extrême… j’aimais bien être traitée ainsi.
Alors Marcel m’envahit totalement. Il pesa de tout son corps sur moi, m’imposant bien sûr sa queue énorme qui m’emplissait le vagin mais aussi son gros ventre qui dégageait une forte chaleur sur le mien, presque à m’étouffer. Tout en lâchant des gémissements de plus en plus prononcés, pour le plus grand plaisir de René, j’enserrais ses gros flancs, essayant de remonter mes mains dans son dos et je le laissais me rouler une galoche appuyée. Ce gros velu se régalait manifestement d’avoir réussi à m’enfiler la totalité de son mandrin dans la chatte, fier de son effet. Il ne me limait pas mais appuyait simplement un peu plus fort de temps en temps son ventre contre mon pubis et là je sentais la pine encore plus profond :
« ahhh ! oh ! ouiii, elle est grosse » et je sentais la jouissance monter inexorablement.
Prenant appui sur ses avant-bras, suspendant sa galoche, il me fixa de son visage hideux et me contemplait les yeux mi-clos entrain de jouir, il s’activa un peu plus avec ses reins et commença un léger va-et-vient de sa grosse pine dans ma chatte par de petits mouvements avec ses reins. Ce fut l’extase pour moi et je criais :
« oh ! là ! houla ! ouiiiiiii ! viens ! oui ! ahhhhhh ! oh ! »
René en rajoutait, tout en continuant de photographier la scène :
« Ouais, fabuleux, vas-y sors ta queue et re-rentre la dans sa chatte ! putain que c’est beau ! ta gosse queue dans sa chatte ! vas-y baise la bien oui, elle aime, elle aime ça, fais-la gueuler oui ! elle aime la sentir ta grosse queue la salope !».
Alors, qu’il me limait avec une certaine douceur mélangée à la force de la seule présence de sa queue qui maintenant entrait et ressortait de ma chatte avec volupté, je me lâchais totalement, les bras crispés sur ses flancs et dans son dos, mes ballerines tapant le derrière de ses cuisses, mes bas au contact des siennes :
« ahhh ! tu me… tu me fais jouir ! oui ! je la sens ouiiiiiiii ! …ah ! qu’elle est grossse ! ouiii ! c’est bon ! ah ! tu me fais jouir ! je jouiiiiiiiis ! ah ! ah ! » …
et je jouis comme une fofolle, ne retenant plus mes cris, tellement cette énorme pine me faisait du bien.
Un peu affolé par tous mes cris et les invectives salaces de René, probablement aussi un peu jaloux de l’effet que me produisait la grosse queue de Marcel, mon petit vieux penché sur moi m’accompagnait dans ma jouissance en m’embrassant le plus près possible de ma bouche et toujours en me caressant sur le rebord d’un sein tout juste accessible –tellement j’étais « couverte » par le corps volumineux, et sur le côté d’une fesse secouée par les secousses de la bourrée de l’engin.
Les yeux mi-clos chavirés de plaisir, je le regardais hébétée et je le laissais me darder amoureusement sa langue dans ma bouche entrouverte.
J’étais épuisée et le gars Marcel le sentit… alors qu’il n’avait pas encore joui, il se retira dans un grand et impudique « floutch » qui en disait long sur l’état de ma chatte ravagée par son mandrin. René y alla de quelques clichés et commentaires
« qu’elle est belle sa chatte bien ramonée ! putain quelles photos ! »
et mon vieux me glissa à l’oreille : « repose-toi ma chérie, c’était bon hein ? ».
Je lui répondit un « oh ! oui ! … j’en peux plus ».
Après reprenant un peu mes esprits, je restais allongée un petit moment sur la table, jambes et bas écartées que Marcel caressait du replat de ses pognes, mes ballerines pendantes dans le vide que mon petit vieux accroupi était venu embrasser en les prenant dans le creux de ses mains.
René me laissa souffler et en « maître de cérémonie » me tendit un verre de menthe, que je bus d’une traite en m’asseyant maintenant. Après m’avoir pris le verre des mains, il me pelota un peu les seins et vint même y faire tapoter sa queue toujours pas mal bandée… comme pour me signifier que ce n’était pas fini car lui non plus il n’avait pas joui.
Je voulus me lever mais mes jambes vacillèrent un peu et je dus m’appuyer les fesses contre le rebord de la table, la bouche ouverte, reprenant enfin mon souffle. Marcel me faisait face avec son gros engin luisant très légèrement débandé mais encore impressionnant et me regardait avec un petite sourire satisfait.
« Tourne-toi, montre nous un peu tes fesses que je te prenne en photo » dit René en m’invitant à m’appuyer des deux mains sur la table. J’obéis sans sourciller et je tendis mes fesses vers son objectif qui crépita.
« Hummm ! que c’est joli ! quel beau cul tu as ! »
« Ah ! oui et avec ces bas c’est encore plus beau » ajouta mon vieux.
« On voit sa chatte, là, elle a une jolie figue ! »
« Ouais, elle était venue pour les figues la bourgeoise mais la sienne est plus belle ! »
Ils me firent bien me cambrer, paluchant mes fesses et mes bas puis me mettre à genoux sur la table, tout en flattant ma chatte ravagée de légères pressions du bout de leurs doigts ; René m’introduisis même deux doigts comme pour me maintenir en état d’humidification puis me lécha consciencieusement. Je sentis que les trois types se succédèrent pour me lécher la chatte et la raie culière, certains même dardant leur langue dans mon petit œillet bien ouvert dans cette position. Je me trémoussais mais je me laissais volontiers bouffer le cul à tour de rôle par les trois vieux, qui manifestement se régalaient car je sentais les bites venir tapoter mes mollets et mes ballerines ou se balader pour les faire caresser mes bas avec leurs glands.
« Ouaouh ! le beau cul… ah ! quel beau cul ! j’ai envie de te prendre en levrette… » dit soudain René d’un ton salace en tendant l’appareil photo à Marcel et en grimpant sur la table derrière moi. Je n’eus pas le temps d’esquisser le moindre geste ni de proférer le moindre mot que sa bite redevenue très dure me pénétra d’un coup à l’horizontale. Il m’avait saisie aux hanches et il me vissa sur sa queue, ses couilles venant taper mes fesses ! Il entreprit alors une bourrée frénétique en me secouant d’avant en arrière, dans un clapotis indécent, ses couilles garnies tapant fort contre le haut de mes cuisses et mes fesses.
« Ouaouh quel cul ! qu’elle est bonne en levrette ! elle aime ça, il répond bien son cul ! putain qu’est-ce qu’il répond bien son cul ! »
Du coup, Marcel oubliant un peu l’appareil photo vint me présenter sa grosse queue à sucer à l’autre bout de la table, alors que mon petit vieux accompagnait les coups de treuil de René avec ses deux mains plaquées sur mes fesses, me doigtant même l’œillet en même temps.
« Ah ! putain quel cul de reine ! qu’elle est bonne sa chatte en levrette ! ah ! je m’éclate ! quelle salope ! putain qu’est-ce qu’il répond bien son cul ! »
En effet, ma chatte dilatée accueillait sans problème la bite vigoureuse de René et je tendais bien mes fesses en arrière car j’avais quand même envie qu’il aille vite.
« Putain Marcel qu’est-ce que tu fais ? arrête de te faire sucer et prends moi en photos, c’est les photos du siècle ! on n’a jamais vu ça ici ! allez laisse la sucer un peu Alphonse, regarde il rebande un peu »
Marcel obéit… d’ailleurs je n’arrivais plus à pomper son gros dard qui m’étouffait, d’autant plus que secouée par la levrette de René je devais le laisser m’échapper de temps en temps car j’étais obligée de m’agripper à la table de mes deux mains. Mon petit vieux vint alors à son tour me présenter sa plus petite queue à sucer : il rebandait un peu mais je pus la gober sans trop de difficulté, lui redonnant du coup un peu plus de vigueur car je la sentais grossir et redevenir un peu plus dure dans ma bouche. René tapait un peu moins fort et me laissa le loisir de gober la bite de mon petit vieux qui tendait son ventre vers moi, alors je me mis doucement à le sucer consciencieusement, je l’entendais gémir… il rebandait oui.
René, peut-être un peu fatigué de cette position « sportive » se retira en laissant ma chatte et mon cul offerts : j’entendis à nouveau crépiter l’appareil photo :
« il est magnifique ce cul ! ouaouh ! qu’elle est bonne ! quel cul ! quelle chatte ! »
Je pus redescendre un peu de la table en reprenant appui de mes deux pieds sur le sol mais ils me firent garder cette position de cul tendu vers l’arrière en caressant mes fesses, mes cuisses, ma raie –toujours doigtée de temps en temps- de leur quatre mains tout en prenant des photos.
C’est alors que je sentis approcher le gros dard de Marcel qui louvoyait le long de ma fente en y frottant le gland : mes lèvres humides semblaient prêtes à l’accueillir. J’étais appuyée contre la table, jambes tendues et écartées, le buste affalé car je continuais à prodiguer les bienfaits de ma bouche à mon petit vieux qui se régalait.
Les deux pognes de Marcel me saisirent par la taille et son gland se fraya un passage pour me pénétrer en douceur mais aussi en largeur ! Là je le sentais passer ! quel engin ! et je poussais un autre cri, d’un genre nouveau : « arrrgggggg…ccchhh » car j’en avais envie en fait et à son tour il me chopa par derrière. Quelle présence ! ah oui c’était bon et pour lui aussi.
« Ouaouh ! elle est fabuleuse cette chatte comme ça ! que c’est bon de la prendre là en levrette! Quel beau cul ! Je la lui mets oui ! regarde !»
Effectivement René devait contempler et prendre des photos. J’avais fermé les yeux et je recevais au plus profond cet énorme engin ! Il allait me faire jouir encore !
Et je me fis prendre ainsi quelques instants. René devait avoir d’autres idées en tête car je sentis que des doigts s’insinuaient dans mon petit trou et, vu que Marcel me tenait fermement par les hanches et la taille, ce ne pouvaient être que ceux de René.
« Elle l’aime ta bite dans sa chatte par derrière ! elle la prend bien ! putain qu’est-ce que tu lui mets ! ouaouh ! elle la prend bien ta grosse bite »
J’avais lâché la bite de mon vieux, j’étais cramponnée à la table et je subissais les assauts du mandrin de Marcel qui me pourfendait sous les encouragements de René en me clouant littéralement à la table ! Je prenais mon pied en silence en dodelinant de la tête.
« Tu la fais jouir encore cette salope » rajouta René… « regarde comme elle bouge »
« Tu jouis hein ? » me murmura à l’oreille mon petit vieux en caressant un de mes seins aplati sur la table… « elle te fait du bien sa grosse queue ? »
Pour toute réponse, je me mis à gémir encore plus fort et je partis une fois de plus, dodelinant de la tête, agitant mes cheveux de chienne en tous sens.
« vas-y, vas-y, pine la oui, elle jouit de ta queue … allez ! »
« Ouais, elle est bonne les gars, qu’est-ce que je lui mets ! elle la prend oui ! t’aimes hein petite salope ? t’aimes ça ? tu la sens ? » et il me baisa et rebaisa… fort !
Marcel, après m’avoir arraché mes derniers cris de jouissance, alors se retira dans un « floutch » phénoménal ; mon petit vieux contourna rapidement la table et je sentis sa langue qui me léchait le sillon sur la totalité, alors que accroupi il caressait mes cuisses et mes bas. Il finissait le travail en prolongeant ma jouissance.
Ils me saisirent avec leurs mains et me redressèrent en m’embrassant de partout.
Marcel, dont le gros engin était toujours bien bandé, s’allongea de dos sur la table et on me fit lui faire face : je contemplais cette énorme queue qui venait de me ramoner en levrette et qui attendait manifestement que je vienne m’empaler dessus.
Afin de reposer un peu ma chatte ravagée, je me penchais sur son gros corps allongé, je caressais l’intérieur de ses cuisses puis je me mis à flatter et soupeser ses couilles velues ; aussitôt son engin se redressa un peu plus et me fit face. Je n’hésitais plus une seconde, je me penchais sur lui, j’embrassais goulûment le gros gland humide et je me mis encore à le sucer un peu. René nous photographiait, mon vieux caressait ma chevelure ondoyante comme pour m’encourager à gober le gros dard.
J’étais prête à tout et je grimpais sur la table, mes bas et mes ballerines accolées sur les côtés à ses jambes, aidée par mon vieux qui m’avait délicatement saisie aux hanches, je hissais mon bas-ventre à la verticale de la grosse pine puis, ayant bien pointé le dard entre mes lèvres, je me laissais descendre lentement sur cette longue et épaisse tige. Comme une écuyère en rut, je renversais ma tête en arrière en gémissant d’aise et je m’enfilais moi-même sur cet énorme engin, bien écartelée et « secourue » par mon petit vieux qui m’accompagnait. Je le chevauchais alors comme une chienne et criant un peu, René, tout en astiquant sa queue autour de nous, photographiait. Mon petit vieux avait l’air tout heureux de me voir chevaucher le gros engin de son voisin et ami et embrassait mes seins.
Alors, Marcel commença à bouger en moi, cela m’affola encore plus. Il m’attira vers lui et je me collais contre son bide ; il me regardait fixement… sa jouissance devait commencer à monter. Il m’agrippa par les épaules et me fit venir pour que je lui roule une bonne galoche tandis qu’il me malaxait les fesses –maintenues complètement écartées- pour que sa bite puisse faire des allées et venues dans ma chatte et offrir à René des angles de vues imprenables. Que c’était bon !
Mes genoux enserrant les flancs de Marcel, mon cul divinement et totalement écartelé et ma chatte pénétrée par le gros dard, mes ballerines talonnant –sans éperon- les cuisses puissantes, je savais que j’offrais un spectacle fabuleux à l’appareil photo de René et aux yeux hagards de mon petit vieux, qui voyait sa chérie transpercée par les pines de ses copains et là le gros engin de Marcel aller au plus profond entre mes lèvres ouvertes, accueillantes et humides.
Je sentis qu’il caressait mes fesses, qu’il appuyait sur mes reins pour accompagner ma chevauchée. Je sentis aussi un doigt –puis rapidement deux- qui s’immisçaient à l’orée de mon œillet, agaçant l’entrée et l’humidifiant un peu. René me doigtait le trou du cul, s’enfonçant plus profond à chaque fois. Je me cambrais, tout en continuant à aller et venir sur la grosse tige de Marcel en ondulant de la croupe sous les caresses répétées et de plus en plus appuyées.
Et puis là, l’objectif de René se concrétisa :
« allez ! viens ! grimpe sur la table ! tu vas l’enculer ta chérie, pendant qu’elle prend bien la queue de Marcel dans sa chatte » dit-il à l’adresse de mon petit vieux.
Je perçus comme un remue-ménage dans mon dos et bientôt je sentis le gland de mon vieux venir se présenter à l’entrée de mon trou du cul dilaté. Vu que sa tige n’était pas tellement grosse et que j’étais tellement offerte, c’est sans problème qu’il m’enfila dans le cul :
« Putain ! ça y est tu l’encules » beugla René en se remettant à prendre des photos. Effectivement, je sentis le petit dard s’enfoncer dans mon cul et mon vieux s’installer sur moi dans mon dos, me tenant par la taille en frissonnant d’aise, jusqu’à venir soupirer en haletant à mon oreille :
« arrrhhhhhhh ! oui ! là, je suis là aussi… »
Il s’active alors dans mon cul, Marcel lui ne bouge plus trop et le laisse faire. Il s’affole un peu car sa bite bande moyen et il a du mal à entrer et sortir, il tremble comme une feuille car il ne doit pas vouloir rater cette occase en or.
Alors je l’aide en lui susurrant à l’oreille : « oui, vas-y, prends-moi, oui, je te sens » et il s’enflamma comme un jeune chiot, fier de m’enculer et d’être immortalisé par l’appareil photo de René. Je le sentis redoubler d’efforts pour me prendre, il tressaillait comme un prunier et il se mit alors à crier lui aussi :
« ahhhhh ! ouuuuuuuuuh ! ouais ! je, je, je… ça y est, je l’encule… oh que c’est bon, je t’encule ma chérie !… je vais, je vais partir encore, je, je, je lui décharge encore dans le cul » et il se cambra, planté entre mes fesses et je sentis quelques saccades de foutre qu’il m’envoyait du fond de ses réserves.
Epuisé, il s’affala sur moi ; je me tournais et répondis à sa sollicitation de galoche ; il aurait pu y rester mais quel plaisir je lui avais donné ! Pour seule réponse, j’eus droit à un « ohhhhhh ! je t’aime, tu es fabuleuse, je t’aime ».
Il se retira de mon cul, complètement épuisé, embrassa et caressa mes fesses ; probablement aussi qu’il contempla aussi mon cul qui devait dégorger ses derniers jets de foutre, que René prenait en photo.
Ne me laissant que peu de répit, Marcel reprit alors ses va-et-vient. Sa grosse queue, restée –à peine- inactive pendant que mon petit vieux s’activait dans mon cul, manifesta sa présence grâce à ses mouvements de bassin vers le haut qui me faisaient avoir des soubresauts, tellement elle redevenait dure et présente dans ma chatte.
Alors René se représenta derrière moi, tapotant mes fesses avec sa queue, mais là son gland vint directement chatouiller mon œillet. J’avais compris qu’il voulait aussi me prendre en sandwich mais je ne pouvais rien faire car les pognes des deux autres me maintenaient : il me prit par les fesses, qu’il écartela au maximum, et enfonça son gland dans mon cul ; il poussa, sa queue suivit peu à peu lentement ; cela me faisait un peu mal mais je la reçus aussi :
« Putain, ça y est ! je l’encule ! les mecs, je l’encule moi aussi ! »
S’accordant sur une alternance avec Marcel, René se mit à me ramoner le cul en cadence, avec beaucoup moins de ménagements que mon vieux. Là ce fut la frénésie car ces deux queues, a priori trop grosses pour moi et mes deux trous, étaient bien en moi et ils m’arrachèrent des hurlements de plaisir et de douleur mêlés. Loin de les freiner dans leur ardeur, mes cris semblaient les galvaniser au contraire : plus je criais, plus ils me pilonnaient fort… et peu à peu je m’envolais encore une fois pour un septième ciel.
Marcel se soulevait de temps en temps, son gros chibre ravageait ma chatte, puis il se reposait, René prenant alors le relais, ses pognes agrippées à ma taille, en cognant comme un soudard au fond de mon cul. Je crus que ces deux queues allaient me transpercer, me déchirer et j’avais l’impression qu’elles se rejoignaient au fond de moi. Je crus devenir folle, j’avais mal mais que c’était bon ! ils me faisaient jouir tout en me défonçant et je mis à jouir, à jouir, à jouir, à jouir… je n’en finissais pas.
Peut-être que mon vieux prenait des photos à son tour !
Quand j’eus mes derniers spasmes, ils se retirèrent ensemble comme un seul homme. En un tournemains je me retrouvais allongée sur la table et ils vinrent se branler au-dessus de moi (c’est là que je vis que mon vieux prenait quelques photos !) ; ils agitèrent trois secondes leurs boudins (j’eus à peine le temps de choper leurs couilles et de flatter leurs tiges de mes deux mains) et m’aspergèrent copieusement les seins, la figure, les cheveux… j’en avais partout, les grosses couilles de Marcel devaient avoir un sacré réservoir car il y alla de plusieurs rasades appuyées, René n’était pas mal non plus : j’étais couverte de foutre !
Peu à peu je repris mes esprits ; les trois vieux rassasiés et épuisés s’étaient assis et me contemplaient. Je me réajustais tant bien que mal.
« Ah ! c’était fabuleux » dit René
« oui, oui, oui, » rajouta mon vieux
« Hmmm ! oui » dit Marcel
« Tu reviendras ma chérie ? » dit mon petit vieux
« Oui, … si vous voulez » crus-je bon de répondre
« Bien sûr qu’on veut ! »
« Ouais et on peut même dire à des amis de venir »
Je ne répondis rien et je me rhabillais puis :
« Tiens, j’ai ton cadeau » dis-je à mon petit vieux en lui tendant une paire de ballerines un peu usagées.
« Oh ! merci, merci, t’as pas oublié » dit-il surexcité en les prenant vite « j’avais déjà ta culotte de l’autre fois… je vais dormir avec ! »
« Ouais et tu vas te branler un peu non ? » rajouta René
« oui, oui » répondit-il timidement et gêné…
« je vais te faire des beaux tirages des photos, tu pourras te branler »
« oui, oui, fais-moi des grandes photos… » reprit mon petit vieux « je veux me branler en pensant à elle, elle est trop belle, je les afficherai dans ma chambre »
et rajouta à mon intention :
« tu reviendras ma chérie hein ? »
« oui, je reviendrai… promis ! »
« on invitera des potes du village » rajouta René
« une fois, j’amènerai mon mari… vous verrez, il va aimer » rajoutai-je
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