Les jours qui suivirent furent un peu plus classiques, la vie se poursuivait et nous commencions à préparer les vacances de Février.
Historiquement nous partions tous les ans tous les trois avec des amis de ma mère, Béatrice, une copine d’enfance de ma mère qui était le symbole de la mère parfaite, blonde, les cheveux longs, toujours vêtue de manière très classique. Son mari Paul était prof de sciences à la fac. Leurs deux enfants, un garçon et une fille de 15 et 12 ans avec lesquels j’avais assez peu d’atomes crochus.
Cette année maman avait réservé dans un grand chalet avec une piscine et bain bouillonnant au rez-de-chaussée, au pire il y aura donc un truc sympa à faire.
Cette semaine de vacances ne semblait comme la meilleur possible mais bon, elle permettra toujours de pouvoir se reposer.
Les premiers jours passèrent gentiment, un peu de ski, de longues soirées partagées entre des jeux de société, des discussions sur le passé……..
Le mardi était pour moi un jour sympa car le lendemain je restais souvent cool à l’appart.
Le soir pendant le dîner ma mère lança alors une discussion.
-alors les skieurs, que diriez-vous demain de faire votre grande expédition.
-Pourquoi pas, relança Paul, mais qu’allez-vous faire demanda-t-il à sa femme.
-Et bien nous allons nous reposer et balader avec Yann. Nous verrons bien demain, il y a tellement de choses à faire.
Les choses se validèrent rapidement ainsi.
Le lendemain matin vers 8H les plus courageux commençaient à se lever, vers 9H, je me levais et les skieurs étaient bientôt prêts à partir. Maman et Béa finissaient de préparer leurs sacs pour la journée.
Mon père se rapprocha de moi et me dit:
-Et bien, nous te laissons entre de bonnes mains, prends soins d’elles, passez une bonne journée.
Il ne savait pas à quel point c’était vrai.
-A vous aussi, bon ski.
Je me mis à table alors que tout ce petit monde partait pour son expédition.
Au bout de quelques minutes les filles s’éclipsèrent dans la salle de bain de l’appartement.
Je prenais tranquillement mon petit déjeuner et entendais les filles glousser dans la salle de bain.
Un bon quart d’heure plus tard elles sortirent de la salle de bain et revinrent vers le salon comme si de rien n’était mais bon.
Béa avait attaché ses cheveux, elle portait les cuissardes noires, un mini short en skaï avec un top en lycra noir transparent sans soutien-gorge qui laissait apparaître sa petite poitrine en poire et elle s’était maquillée très classe.
De l’autre côté ma mère portait un tee-shirt blanc, lacéré, bien trop petit pour elle, qui moulait ses formes avantageuses, une micro jupette écossaise, des bas noirs eux aussi lacérés et des escarpins hauts talons rouges vif.
-Comment vas-tu mon cœur ?
-Ca va.
-Tu as prévu quelque chose pour la journée.
-Non mais il me semble que vous oui.
Ma mère s’est alors rapprochée de Béa et a commencé à lui caresser la poitrine.
-Comment trouves-tu ses petits seins.
-Superbes et désirables.
Ses caresses étaient de plus en plus insistantes, puis elles s’enlacèrent et s’embrassèrent langoureusement à pleine bouche. Leurs étreintes étaient au plus haut point excitantes. Ma mère s’agenouilla devant Béa et lui déposa le pied sur la chaise. Ses mains remontèrent le long des cuisses de Béa et arrivèrent sur son short. Elle ouvrit alors un scratch qui libéra la vulve de Béa. Ses doigts caressèrent sa vulve. Elle approcha sa bouche et passa sa langue entre les lèvres de Béa. D’une main cette dernière les écarta et la langue de ma mère s’y introduisit.
Béa plaqua la tète de ma mère sur sa vulve qui continuait à la lécher.
Elle paraissait fort troublée mais énormément excitée. Ses tétons étaient proéminents.
Les caresses buccales de ma mère commençaient à donner du plaisir à Béa qui s’abandonnait totalement.
Ma mère stoppa alors ses caresses. Elle se rapprocha de moi, posa une main sur mon ventre et commença à m’embrasser.
-Comment trouves-tu ma copine ? me dit-elle en regardant Béa.
-Pas mal du tout.
-C’est tout ?
-Non.
-Elle t’excite.
Elle passa alors la main sur mon caleçon et libéra ma bite déjà bien dure.
-Je pense que cela répond à ma question.
Elle prit alors ma bite en main et commença à la caresser.
-Et toi Béa, comment trouves-tu la queue bien dure de mon petit cœur.
-Tentante.
-Viens la goûter
Béa se rapprocha, s’agenouilla entre mes cuisses en fixant ma queue tendue de désir que ma mère tenait dans la main.
-Vas-y goûte là.
Elle baissa la tête, ouvrit la bouche et happa mon gland. Ma mère regardait sa copine me sucer.
-Ça reste bien dur, elle a l’air de bien sucer ma copine ? Vas-y Béa fais-toi plaisir pompe le bien.
Ma mère approcha son visage du mien et commença à m’embrasser.
Au bout de quelques minutes ma mère posa sa main sur la tête de Béa qui libéra ma verge et m’entraîna vers le divan où nous nous sommes assis l’un à côté de l’autre.
Ça te dit de venir t’empaler sur la bite de mon cœur.
Béa eut un petit sourire, elle s’approcha, passa ses cuisses de part et d’autre des miennes et s’agenouilla. Ma mère présenta ma queue à sa copine, elle descendit alors lentement sur la queue jusqu’à être totalement empalée dessus.
Me mains ont commençaient à caresser ses seins alors qu’elle commençait à monter et descendre sur la queue. L’intimité de Bea était très étroite et chaque mouvement semblait la transpercer.
Ma mère se mit un petit peu à l’écart et commença à se caresser.
Béa ferma rapidement les yeux et commença et émettre de petits cris de plaisirs.
Béa avait de plus en plus de mal à soulever son corps, je la repoussais alors lentement vers l’arrière pour me libérer du mouvement et pistonner Béa. Rapidement ses cris se transformèrent en orgasmes et elle finit par m’arrêter pour reprendre un peu de souffle. Elle se libéra de ma verge et s’assit sur le divan.
-Comment vas-tu ?
-Ouf quelle chevauchée, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas autant eu de plaisir.
-Et toi mon cœur ?
-Bonne mise en bouche….
-Alors tu vas pouvoir t’occuper de moi maintenant parce que me branler c’est agréable mais me faire baiser c’est beaucoup mieux.
Elle se retourna, coudes posés sur le dos du divan, me tendant sa croupe. Je la prenais alors en levrette. Petit à petit les coups de boutoir lui faisaient monter le plaisir. Ni l’un ni l’autre ne voulait lever le pied et j’éjaculais alors grassement dans son intimité, ce qui lui entraîna une énorme contraction vaginale qui me comprima littéralement la bite.
Un peu repus, nous nous sommes assis sur le divan et mes deux femmes virent poser leurs têtes sur mes épaules.
Nous sommes restés ainsi quelques minutes à savourer le moment qui avait de nouveau quelque chose de surréaliste. Je venais de baiser ma mère et sa meilleure copine et elles étaient maintenant contre moi, comme deux chattes en chaleur, prêtent à de nouveaux assauts………
Au bout d’un petit quart d’heure Béa commença à me caresser le ventre.
-Ma pupuce, je pense que Béa aurait bien encore besoin que tu t’occupes d’elle.
Béa se plaça entre mes cuisses et commença à me sucer pendant que ma mère me titillait les tétons. Ce traitement remit en état d’érection ma verge en un temps record.
Béa partit s’asseoir sur la table et écarta largement les cuisses. Je m’y plaçais, saisis ma bite et la lui enfonçais dans la chatte. Elle déposait ses coudes sur la table et posait ses mollets sur mes épaules. Je l’attrapais par les cuisses et commençais à la pistonner vigoureusement. Je lui serrai les cuisses pour rendre son intimité encore plus étroite. Chaque coup de boutoir lui sortait des râles de plus en plus intenses.
-Vas-y baise-moi a fond.
Ces mots multipliaient encore l’excitation et mes coup de pistons lui explosaient la vulve.
Je ne tenais plus et éjaculais dans son intimité.
Après cette cavalcade, nous sommes tous les trois ensemble allés prendre une petite douche crapuleuse mais bien agréable………
Nous avons partagé un petit repas le midi et soudain ma mère dit:
-Et si nous allions profiter de la piscine ?
Nous validions tous les deux cette idée et quelques minutes après nous étions en tenue prêts à profiter de l’endroit.
Le cadre était pas trop top mais bon, une petite piscine d’une dizaine de mètres sur quatre avec un bain bouillonnant dans un coin.
Il y avait déjà un couple la trentaine avec un enfant et un autre couple plus âgé qui semblait être les grands parents.
Béa et ma mère avaient un petit maillot deux pièces, bien sympa. Nous avons profité tranquillement de cet espace et au bout d’environ une demie heure le couple avec l’enfant partit.
Béa aussi en avait assez et préféra rentrer à l’appartement
Maman est alors partie s’installer dans la zone de bains bouillonnants et moi je me mis sur un bord et commençais à regarder l’autre couple.
Ils avaient la cinquantaine, tous les deux assez fins et sportifs, lui bien bâti et elle fine et bien conservée avec un petit cul qui semblait bien ferme comme ses cuisses bien musclées.
Au bout de quelques minutes je rejoignais maman dans les bouillonnements.
Le moment était fort agréable et extrêmement relaxant.
Maman se rapprocha alors de moi et vint me rouler une bonne et langoureuse pelle, j’étais un peu étonné mais lui rendais la caresse. Notre jeu fut rapidement vu par l’autre couple et ma mère se remit en face de moi.
Une petite dizaine de minutes après l’autre couple se rapprocha de nous.
-Excusez-nous, cela vous dérange si l’on vient avec vous.
-Non répondit alors ma mère avec un large sourire et en se rapprochant de moi pour laisser de la place….
Nous avons alors échangé quelques banalités. Puis au bout de quelques minutes maman est venue se coller à moi
-Vous êtes ensemble ?
-Non, nous sommes mère et fils.
-Ah bon, je croyais que…..
-Nous avons notre vie ensemble……
Elle commença alors à caresser mon torse en fixant nos amis du moment et posant sa tête sur mon épaule. Au bout de quelques minutes Karine fit de même avec son homme.
Ma mère se trémoussa un peu, puis, son bas de maillot fit surface. Karine fit de même.
Maman se positionna alors le bord de la piscine et écarta largement les cuisses.
-Donnerais-tu du plaisir à ta maman mon petit cœur.
Je passais sous sa cuisse et approchais ma bouche de sa vulve déjà bien ouverte. Ma langue commença à titiller son intimité.
J’entendis derrière moi du mouvement, je pense que la même chose était en cours dans mon dos.
Les petits coups de langue étaient un péché mignon de maman. Ses petits gémissements de plaisir faisaient échos à ceux de Karine. Ses seins pointaient à l’extrême pendant qu’elle matait avec excitation le spectacle en face d’elle.
Ce spectacle que je ne voyais pas en plus de l’excitation de ma mère m’avaient entraîné une bonne gaule.
Au bout de quelques minutes ma mère attrapa sa serviette et en sortit des préservatifs.
Elle repoussa ma tête et me sourit
-Tu vas devoir donner du plaisir à une autre…..
Elle arriva au milieu de l’eau et caressa le dos de Karine. Je m’assis sur le bord pour les regarder.
Elles s’embrassèrent à pleine bouche puis ma mère lui donna des préservatifs.
Karine lui sourit et se rapprocha de moi.
J’avais toujours une jolie gaule mais elle prit ma verge en main, puis en bouche et commença lentement à me sucer. Sa bouche allait et venait sur ma queue. Pendant ce temps ma mère avait pris en bouche la queue du mari de Karine, il semblait lui aussi adorer la caresse qu’elle lui prodiguait.
Maman lui caressait le torse, la fellation et la voir ainsi prendre du plaisir me donnaient une érection du tonnerre.
Karine sentait bien ce détail qu’elle sortit un préservatif et l’enfila sur ma queue.
Elle me repoussa vers l’arrière et vint se placer sur moi. Je repris ma verge en main et la plaçais vers sa vulve, elle recula un peu et descendit sur la queue jusqu’à s’empaler entièrement. Elle commença alors lentement à monter et descendre sur ma queue tout en me fixant droit dans les yeux. Rapidement nous devenions très complices et joueurs. En plus de ce jeu j’entendais les petits cris de maman qui devait être prise par un autre homme….
Karine se coucha sur moi et nous échangeâmes de longs baisers passionnés. Je la poussais sur le dos et me retrouvais alors sur elle. Elle enserra mon basin avec ses cuisses.
-Fais-moi jouir maintenant….
Je recommençais à la pistonner…… pendant que maman poussait de plus en plus de cris.
– Vas-y à fond défonce moi….
Mes mouvement étaient de plus en plus forts et commençaient à lui tirer de petits cris de plaisirs.
Nos respirations étaient de plus en plus courtes et nos contractions de plus en plus proches. Une grosse contraction de son vagin provoqua mon éjaculation et nos orgasmes.
Nos regards se croisèrent et un large sourire de sa part.
-Merci pour ce moment, cela a été fort agréable pour moi et toi ?
-Je crois qu’il est difficile de dire le contraire.
Nous avons échangé un petit bisou amical et sortais alors de son intimité.
Je retirais mon préservatif et vis maman venir me faire un petit bisou.
-comment vas-tu mon amour ?
-bien et toi ?
-bien aussi ?
-Viens mon amour.
Nous nous sommes remis dans le jacuzzi alors que nos deux partenaires se sont habillés et sont repartis.
Maman avait posé sa tête sur mon épaule en passant son bras autour de mon cou.
Nous sommes restés ainsi quelques minutes à profiter du calme et de moment câlin. Sa main est alors descendue lentement le long de mon torse et, lorsqu’elle arriva sur mon sexe il avait repris un peu vigueur.
-Et bien mon cœur je crois que tu vas pouvoir encore me rendre heureuse.
Elle se posa alors sur mes cuisses et s’empala sur ma verge. Nous avons alors tendrement fait l’amour jusqu’à ce que de nouveau j’éjacule dans son intimité.
Nous nous sommes alors longuement et tendrement embrassés puis avons regagné l’appartement pour attendre le retour des autres.
La soirée fut un long moment d’échange sur nos journées. Bien que nos inventions soient un peu juste dans la crédibilité tout se passa correctement et ce jusqu’à la fin des vacances.
Au retour des vacances nous avons pu reprendre nos aventures. Notre complicité était de plus en plus grande et devenait fusionnelle, nos relations étaient quasiment journalières. Lorsque nous ne pouvions pas faire l’amour il nous manquait quelque chose.
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