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la maison des Causses ! la photographe 1

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Le spectacle est grandiose, la voie lactée se dessine devant nos yeux, nous sommes dans le noir complet, silencieuses et admiratives. Quand soudain une petite lumière se promène puis s’arrête.
« C’est quoi »
« J’imagine que c’est un photographe «
« On ne peut pas être tranquille, même ici ! «
« T’inquiète, il ne peut pas nous voir, tout est éteint ».
Durant une bonne demi-heure la petite lumière s’allumera, s’éteindra puis reprendra le même chemin dans l’autre sens »
« Voilà il est partit «
Alors que nous nous embrassons assises sur les rondins transformés en tabouret, juste revêtues de longs teeshirts, on frappe à la porte.
« Qui ça peut être à cette heure-ci ».
« Ça ne peut être que Sandrine »
« Ben, non ! Elle m’a dit ce matin qu’ils n’étaient pas là cette nuit, qu’ils ne rentreraient que vers 6 heures pour la traite ».
Ca frappe de nouveau. Je passe un peignoir alors que Rosy va dans la salle de bain, laissant la porte juste entrouverte.
Je fini par ouvrir, que moyennement rassurée. Une jeune femme un bonnet enfoncé presque jusqu’ aux yeux emmitouflée dans un gros blouson se tient en face de moi.
« Excusez-moi ! Je suis en panne de voiture, elle ne veut pas démarrer «
« Vous êtes seule ? Que faites-vous ici ? ».
Oui, je suis seule, je suis photographe, de passage dans le coin, je me suis arrêtée faire quelques photos «
« Bon entrez »
« Merci, je suis vraiment désolée de vous déranger, mais je n’avais pas vraiment d’autres solutions «
Rosy sort de la salle de bain, elle a passée elle aussi un peignoir.
« Bonsoir «
« Bonsoir »
« Je ne suis pas de la région ! J’ai pris une chambre d’hôtel au village pour la nuit. Si j’avais pensé que je pouvais tomber en panne avec cette foutue voiture, je ne me serais pas aventurée seule jusqu’ ici ! J’ai essayé de joindre l’assistance de l’assurance mais ça ne répond pas ! »
« Désolée mais je ne vois pas comment vous aider ! A part les voisins qui ne sont pas là ce soir, nous ne connaissons personne dans le coin «.
« Bon ! Je vais retourner à la voiture, réessayer de la démarrer, mais je ne me fais pas beaucoup d’illusion, merci tout de même, bonne soirée ! »
Et elle s’éloigne.
Rosy « Si elle n’arrive pas à démarrer sa voiture, on ne va tout de même pas la laisser comme cela ! »
« A part lui proposer de dormir ici cette nuit, je ne vois pas ce que l’on peut faire, je n’ai vraiment pas le courage de faire 60 km sur la neige et de nuit ….. »
« Bon, je me rhabille, je vais voir ou elle en est ! «
Un quart d’heure plus tard, Rosy revient avec elle !
« Merci de bien vouloir m’héberger pour la nuit ! Je me voyais mal dormir dans la voiture surtout que je n’ai aucun équipement, même pas une couverture »
Nous voilà toutes les trois devant la cheminée à siroter un café.
Elle est très jolie, la trentaine, brune, les cheveux longs, les yeux marrons, une bouche parfaitement dessinée extrêmement sensuelle. Elle nous parle d’elle de sa passion pour la photo dont elle a fait son métier. Elle nous montrera d’ailleurs les clichés qu’elle a pris ce soir, c’est féerique.
Elle est vraiment charmante et je vois bien qu’elle ne laisse pas Rosy indifférente. Je dirais même qu’elle la dévore des yeux. Il faut dire qu’elle est vraiment très belle et son sourire est radieux.
« Bon moi je tombe de sommeil « leur dis-je. Un brin de toilette et je vais me coucher. Tu, c’est quoi ton prénom d’ailleurs «
« Luce »
« Luce, tu voudras peut être prendre une douche ? Ne te gêne pas ! »
« Oui volontiers ! Mais je n’ai rien pour me changer ! »
« On va te trouver quelques chose pour la nuit, si tu veux ? »
Je passe à la salle de bain faire une toilette rapide et je donne à Luce un caleçon, certainement un peu trop grand pour elle, et un teeshirt.
Je m’allonge au milieu du lit et remonte la couette. Je m’assoupis. Dans un demi-sommeil, j’entends des rires provenant de la salle de bain, je m’endors.
Lorsque je me réveille, il fait encore nuit, je me lève sans faire de bruit. Elles dorment toutes les deux. Je n’aurais pas dû boire de café aussi tard, il est cinq heures et je ne réussirais pas à me rendormir. J’en profite pour me mettre à l’écriture.
Le soleil pointe le bout de son nez. Le ciel prend des teintes roses et jaunes. Je m’habille et sors en prenant soin de faire le minimum de bruit. La température a nettement remonté, la neige fond et les grands sapins au bord du chemin gouttent du bout de leurs branches. Le son de l’eau qui transperce la neige molle, et celui des oiseaux qui chantent l’arrivée d’une nouvelle journée, amplifient la sensation de plénitude qui m’envahis à la vue de ce paysage pastel.
Lorsque je rentre, elles dorment encore. Luce est couchée sur le côté les jambes pliées. Le caleçon, lâche à l’entre jambe, laisse à ma vue, une délicate fente toute resserrée, parfaitement lisse. Rosy collée au dos de Luce la tient par la taille.
Lorsque Rosy se réveille elle gémit doucement et se colle encore plus contre Luce. Mais rapidement elle doit se rendre compte que ce n’est pas moi qu’elle enlace, elle se recule tout en ouvrant les yeux, se tourne vers moi, l’air gênée. En apposant sur mes lèvres mon index, je lui fais signe de ne pas faire de bruit. Rosy se lève aussi discrète qu’une chatte.
Elle vient vers moi sur la pointe des pieds me prend par la main et m’entraine dans la salle de bain. Elle referme la porte derrière moi.
« J’ai envie de toi »
Avant que je puisse dire quoique ce soit elle m’embrasse à pleine langue tout en déboutonnant mon pantalon. J’essaie de la repousser gentiment, mais sa langue tourne dans ma bouche avec une telle fougue que je ne peux lui résister. Elle baisse mon pantalon et ma culotte, ensemble, tout en s’agenouillant, me fait lever un pied pour le dégager de mes vêtements encombrants et déjà sa langue, son nez s’insinuent entre mes lèvres. Je lui demande d’arrêter tout en prenant sa tête entre mes mains pour l’appuyer fortement contre mon sexe. Je lève plus haut ma jambe pour m’ouvrir plus largement, elle en profite immédiatement pour passer une main sous mes fesses et glisser son pouce dans mon minou déjà trempé. De toute évidence, elle souhaite me faire jouir rapidement et sais très bien comment si prendre. Je me laisse aller, la tête posée contre le mur, les yeux fermés. Je sens son pouce me fouiller, son index glisse le long de la raie de mes fesses qu’elle écarte de son autre main. Je sens une douce chaleur envahir mon bas ventre. Je perds la notion du temps, du lieu. Je m’abandonne au plaisir que Rosy me procure. Je jouis.
Je reprends tout doucement conscience, les jambes flageolantes, le corps encore parcouru de spasmes.
Lorsque j’ouvre les yeux, Rosy est en face de moi, debout elle regarde en direction de la porte ou se trouve Luce.
« Désolée, je ne pensais pas que vous étiez là ! Et j’avais une envie pressante »
« Vas-y « dit Rosy en lui tournant le dos !
Luce baisse son caleçon, me laissant à peine le temps de voir une petite toison brune orner son pubis. Elle s’assoit sur les toilettes et se soulage avec un petit sourire qui en dit long sur l’urgence de son besoin.
A SUIVRE

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