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LA VOISINE DU DESSUS

LA VOISINE DU DESSUS



La voisine de l’étage du dessus est une femme agréable. 45 ans, mince, voire maigre 1m69 pour 45kgs, brune, de petits seins. Elle est toujours souriante et discrète. Son mari est un collègue de travail. Bref c’est ma voisine et je ne l’ai jamais regardée autrement, car d’une part c’était la femme de mon collègue et que d’autre part son comportement ou ses tenues, bien que coquettes, ne m’ont incité à imaginer quoique ce soit.
Tous les étés ma femme partait en vacances avec les enfants, chez ses parents ou dans la famille, je la rejoignais pendant trois semaines.
Un été, alors que j’étais seul, ma voisine, que j’appellerai ici Anaïs, me propose de l’accompagner à un spectacle. Son mari ne veut pas y aller et elle n’a pas envie de s’y rendre seule. Ça m’intéresse et nous voilà partis. Je suis ravi, mais n’ai franchement aucune arrière-pensée.
Nous prenons un verre à l’entracte où nous parlons de tout et de rien, et à la fin du spectacle nous rentrons directement, car il faut travailler le lendemain.
Alors que je m’apprête à rentrer dans la résidence, Anaïs me dit :
-ne t’arrêtes pas, continues, il faut que je te dise quelque chose.
Je m’exécute et me gare sur un parking 3 kilomètres plus loin.
Le moteur coupé, je demande à Anaïs ce qu’elle a à me dire.
Elle hésite et finit par me dire : – rien, enfin, je ne peux pas te le dire. Je ne sais pas pourquoi je t’ai dit ça. Excuses moi.
Je lui demande si c’est quelque chose de grave et elle me dit que non.
Nous rentrons chez nous après une bonne soirée.
Je reste tout de même interrogatif sur ce qu’elle pouvait bien avoir à me dire. Si je devais décrire Anaïs en deux mots je dirai jolie sainte nitouche, donc je ne pensais à rien de sexuel.
Un mois environ s’est écoulé quand Anaïs me demande de la retrouver sur un parking, car elle veut me parler.
Me voilà donc au rendez-vous. Là je me dis qu’il y a du sexe peut être possible. Anaïs arrive, le parking est désert et il fait quasiment nuit. Elle me rejoint dans ma voiture et je constate qu’elle porte une jupe plutôt courte, mais cela lui arrive, donc…..
Nous nous embrassons sur la joue, mais le second baiser glisse en bordure des lèvres.
– Ce que je veux te dire est pas facile, me lance Anaïs. J’ai peur d’être ridicule.
– Vas y lâche toi, rien n’est ridicule. Et pour l’encourager, je pose ma main sur sa jambe, juste au-dessus du genou. Pas de mouvement de recul, c’est plutôt bon signe.
– Je sais pas me dit-elle avec son petit air de sainte nitouche.
– Mais vas y t’as peur de quoi ?
Dans le même temps ma main remonte vers le haut de la cuisse. Plus je monte, plus je vois ses cuisses s’ouvrir. Sa peu est douce, cette situation m’excite énormément. Je bande comme un fou. Ma main est remontée suffisamment haut pour ressentir la chaleur de sa vulve. Elle a fermé les yeux, ne dit rien et je la sens respirer de plus en plus vite. Mes doigts sont maintenant au contact de sa culotte et je constate qu’elle est bien trempée.
Maintenant j’en suis sûr, la douve et timide Anaïs n’a qu’une envie, c’est se faire baiser.
Ma main remonte pour passer sous la culotte (qui s’avèrera être un string) mes doigts découvrent une petite toison, mais épaisse. Dans le même temps Anaïs a glissé vers l’avant du siège et ouvre encore ses cuisses.
Mes doigts effleurent sa vulve que je sens gonflée de désir, elle est trempée. J’enfonce un puis deux doigt. Elle commence à gémir de plaisir.
– J’en avais envie, tu peux pas savoir, me murmure-t-elle.
Je continue à lui branler le clito et je sens sa main se poser sur ma queue qu’elle caresse à travers mon pantalon. Je délaisse sa chatte un moment pour baisser mon slip et mon pantalon, elle en profites pour faire glisse son string au fond de ses jambes. Elle prend aussitôt ma bite à pleine main et se met à me branler.
– Allons derrière on sera mieux me lance-t-elle.
Aussitôt dit, aussitôt fait, nous voilà sur la banquette arrière. Les sièges avant sont poussés au max, et à peine assis sur la banquette qu’elle att**** une capote dans son sac et vient s’asseoir sur moi. Elle prend ma queue en main, la dirige vers sa vulve et vient s’empaler d’un coup sec. Elle commence d’amples va et vient pendant que je pétris ces petits seins bien fermes. Elle mouille tellement que mes cuisses sont trempées. Nous baisons comme ça un bon quart d’heure quand elle accèlère le rythme, elle se défonce frénétiquement, alors que je lui ai glissé deux doigts dans le cul, je ne peux plus me maitriser. Je lui dit que je vais jouir.
-Moi aussi me répond-elle.
Et nous nous laissons aller à un orgasme commun.
Nous restons l’un dans l’autre un bon moment, en nage mais contents de ce qui va être le début d’une liaison torride…

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