Les faits se déroulent 18 mois après la nuit de Lyon, j’ai pris un virage radical dans ma vie, j’ai lâché mon boulot et ouvert ma broîte, une broîte d’espionnage, alors ne rêvons pas l’espionnage ce n’est pas des mecs qui se retrouvent en trench-coat avec un chapeau sombre et qui se donnent rdv dans les ports.
L’espionnage moderne consiste principalement à débusqué les maris ou les femmes infidèle et même si les filatures existent, l’avancée d’Internet fait que 80% de notre business se fait derrière un ordi.
Ma vie a pas mal changé depuis cette nuit avec Véronique, j’ai changé de travail, le nouveau c’est avéré très lucratif, j’ai déménagé pour un appart plus grand au style très moderne, grands espaces, grand lit, et une sensation agréable me réveille actuellement.
Chaleur, moiteur et douceur, une caresse, une langue qui se balade sur mon sexe.
– Huuuum chérie, tu devrais me réveiller plus souvent comme ça c’est très très agréable, à moitié endormie, je constate le sourire d’Anais
Cette fille est entrée dans ma vie il y a peu mais des que je poses les yeux sur elle je me demande comment j’ai pu séduire une si belle créature.
Il y a 4 mois, devant l’importance de la charge de travail qui était la notre, mon associe et moi avons décidé d’engager une troisième personne. On a effectué des entretiens plus foireux les uns que les autres, entre étudiant à la recherche de sensation forte et semblant de voyous, nous étions parfaitement désespéré.
Puis dans le méandre des entretiens dont j’étais le seul à persévérer, mon associé ayant jeter l’éponge, je vis arrivée Anaïs …
Une grande Brune, aux yeux marrons, sportive, ce fut la première chose que je devina sur elle, son visage aux lignes parfaite et ses yeux de biches, une silhouette fine et des seins devant avoisiner le 90C, elle se retourna le temps de refermer la porte, pas assez rapide pour que je ne remarque pas une petite paire de fesses bien ferme.
C’est simple cette fille avait absolument tout pour elle, et elle présentait bien, pantalon de costume noir, chemisier blanc et gilet noir qui donnait un côté sérieux et dominant. Je la regardais, je la contemplais, j’étais éperdument sous son charme.
– Monsieur ?
Je me demandais pourquoi une créature comme cela se trouvait face à moi.
– Monsieur ? Puis je m’assoir ?
Je revint à mes esprits et constatait la torpeur dans laquelle je me trouvait, je l’a fit s’asseoir et je lui posa les questions d’usage pour le poste à pourvoir, et le résultat était qu’elle correspondait … Pas du tout ! Cependant je ne pouvais pas la fiche dehors comme cela, je voulais profiter un maximum de ce moment je ne la reverrais sans doute jamais plus, je fis durer le plaisir aussi longtemps que j’ai pu.
Mais je ne désirais pas lui mentir ni lui dire que je lui donnerais une réponse plus tard, elle ne correspondait pas et je reste quelqu’un de droit, je réfléchis à la meilleur manière de dire les choses.
– Mademoiselle, je vous remercie pour l’intérêt que vous portez à mon entreprise, cependant je ne vais pas y aller par quatre chemins, vos compétences en informatique ne sont pas suffisantes pour ce poste, et sous la charge de notre travail nous ne pouvons nous permettre de perdre du temps à vous former vous m’envoyer désolé.
Je remarquais qu’elle était très déçu, je tenta de la réconforter.
– De plus, une partie de notre travail consiste également à effectuer des filatures, et pour le coup mademoiselle, il est juste impossible pour un homme et même pour une femme de ne pas vous remarquer, comme vous devez vous en douter vous ne passer absolument pas inaperçu, bien au contraire.
Cette dernière phrase sembla la réconforter.
– Je ne compte pas vous faire perdre plus de temps. Je vous remercie et si un jour vous avez besoin de nos services, je vous laisses ma carte, ce serait un plaisir de vous rendre service, et ne vous inquiéter pas, la prestation vous est offerte.
Elle me toisa de son regard impérial et me dit :
– Je vous en remercie, mais pour avoir besoin de vos services, il me faudrait déjà un petit ami, en tout cas j’aurais bien aimé perdre un peu plus de mon temps avec vous.
Elle me sourit et sortit de mon bureau tandis que je restait perplexe. Puis j’osais la rappelé et une chose en entraînant une autre la voici sous mes draps à me prodiguer une fellation dont elle en a le secret.
Puis sa bouche remonta le long de mon ventre, se posa sur mes pectoraux puis au moment d’arriver sur mes lèvres, une petite prise de judo et me voilà derrière elle. Mes mains saisissent hanches et la pénètre de toute mes forces, son corps se courbe sous mes coups de butoir, je la travaille littéralement au corps.
Je la regarde, son tatouage sur les côtés, sa peau fine et parfaite. Elle gémit de plus en plus, elle m’excite de plus en plus. Puis elle tourne la tête et capte mon regard, ses yeux lubriques m’achevent. Elle me regarde elle me au défi. Et elle me dit :
– Plus fort allez, je veux que tu me défonce littéralement ….
J’en peux plus j’accélère encore et encore puis alors que l’extase est sur le point d’arriver elle se retire, me laisse sur ma fin, me pousse et m’allonge sur le lit, elle me chevauche.
Je la regarde, ses seins me fixent, je les touches, je les malaxent. Elle jette sa tête en arrière, j’entreprends de l’achevée, ma main carresse son visage, elle comprends mes intentions et se met à sucer mon pouce, que je descends sur son clitoris.
Je lui masse tendrement tandis que je la pistonne, cette fois ci c’est elle qui hurle, nos corps se déchaînent et nous atteignons l’orgasme en même temps, elle s’écroule sur moi, m’embrasse à pleine bouche, nos langues se mêlent et se caresse. Elle me regarde et me dit :
– Rien de mieux pour bien commencer une journée mon cœur.
Je ne pourrais être plus en accord avec elle, elle se lève et part prendre sa douche. J’entame de mon côté mon rituel du matin, un peu de sport même si j’ai déjà effectuer une première séance, puis je consulte mes emails, des demandes de toute sorte pour le travail, puis les textos de la nuit, la majorité de mon associé, beaucoup de conneries et peu de travail, je ne le changerais jamais décidément.
Puis un message de Tristan, cela fait des mois que je n’avait pas eu de nouvelles :
» Salut ! J’espère que je ne te dérange pas, désolé de t’avoir envoyé un message si tard, mais j’ai un service à te demander, depuis quelque temps notre broîte est en restructuration, et malheureusement des coupes sont prévues, à première vu je devrait en échapper mais pas Cécile, la broîte l’envoi en séminaire sur Paris afin de préparer une reconversion, mais je te le dis tout net j’ai pas confiance en ce qu’il peut se passer dans les hôtels lors de ces séminaires, j’aimerais savoir si il serait possible que tu héberge Cécile lors de son séminaire. Elle n’est pas contre l’idée et tu me soulagerais d’un poids énorme ! »
J’étais surpris par son message mais n’y voyant pas d’objection, je lui ai dit que j’avais assez de place pour l’accueillir.
J’allais ensuite prendre ma douche et rejoindre Anaïs qui avait déjà fini la sienne. Je lui expliqua le message de Tristan. Elle se dit ravi d’accueillir une amie même si je sentais une pointe de jalousie.
– Tu as intérêt à te tenir à carreaux hein ! Bon tu te prépare tu vas être en retard !
– Oui mademoiselle ne vous inquiéter pas, je serais prêt dans 10 minutes, je continuais a l’admirer, sa beauté, ses formes, tout ce qu’elle dégage est un vrai délice ….
– c’est pas en me reluquant que vous allez être à l’heure patron !
– Je t’ai déjà dit que je n’aimais pas que tu m’appelle patron ! Déjà que je n’aimes pas que tu le fasses au bureau !
– Il y a pourtant pas mal de trucs que tu aimes bien que je fasse au boulot !
Elle me fit un clin d’œil et finit de se préparer avant qu’on parte ensemble au travail, pour ce qui allait être une longue journée …
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