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Brinit

Brinit



En ces temps troublés, les Danois cherchaient des noises
à ce brave Harald aux cheveux longs.
Il se disait successeur du bon roi qu’il venait d’occire
Dans une bataille dure et épuisante, il les repoussa à la mer.
Mal lui en pris, car Le Guillaume que l’on va conquérant nommer.
Près de Hasting débarqua.
– Hoho ! mon cousin cher, je viens chercher l’héritage mien.
– Que néni, cet héritage mien est
– Quoi ! Promesses à un Normand doit être tenue.
– Nous en découdrons.
– Mes bons barons, allons donc ce barbon au silence réduire.

Après un violent affrontement, Harald la vie perdit.
– Que voila mon cousin cher de l’entêtement vous fîtes
– Maintenant, les vers de terre galamment vous sodomiserez !

Allons mes braves, la nuit va tomber et les délices nous attendent
– A Nottingam ! aurait chanté un chevalier Jaque LeBrel
Devant le dit château, se présentant avec Armes et bagages,
Guillaume :
– Oh du château, ouvrez les portes à votre suzerain.
Les lourdes portes, grincèrent tant et plus, mais en vain,
mais elles finirent par s’ouvrir.
– Que l’on prépare un banquet, cette course folle
mon appétit ouvrit, mes braves barons l’ont molle.
– Annoncez moi à la mienne tante
– Mais sire elle déjà au lit être
– Que cela me va comme entente
Dites- lui donc d’être prête.
Mon sang est chaud et a besoin d’être refroidi
– Mais Sir comme je vous l’ai dit
elle est déjà dans son lit.
– Tant mieux la petite poulette
dans son fort est déjà prête.
Grimpant à 4 pattes les escaliers
montant la tour par palier,
Guillaume aux appartements arrive
– Ma douce tante, votre époux vient
de prendre de mauvaises habitudes.
Il est en train de faire
au fin fond des enfers
la cour au vers de terre,
Je viens de l’occire
de ma dague en fer
et vient ici requérir
votre conin à moi chérir.
– Oh ! Mon Dieu, fait la belle émue
Mon bon cousin
que m’en voilà chagrinée mais trop point
quand votre glaive de sang je vois
ma grotte tremblotte je crois.
– Écartez bien vos cuisses
belle tante que j’y glisse
en 2 temps ma saucisse.
– Mon neveu, il faut d’abord que je pisse.
– Faites ma belle mais
ne me faites attendre
ma trique à trop tendre.
– J’arrive rendre hommage
et ce n’est pas un fromage.
À ce pieux peu pieu
que ma grotte en feu
attends pour baiser à qui mieux mieux.
Après quelques Han ! délectables
il est temps de se mettre à table.
– Ma douce tante, goûtez moi
donc cette sausage de roi.
Vous m’en direz des nouvelles
car vos donzelles
aussi goûteront
de moi gai paturon.
– Sa majesté, dit-elle
Ne touchez pas mes donzelles
Avant qu’un bain vous prendre
Car du bouc ou du sanglier
vos odeurs se répandre
– Votre tube mignonne,
pour ma crasse sera bonne.
Guerroyer transpirer fait
comme un grand portefaix.
Se dirigeant, comme un dirigeant
vers de Hildegarde la chambre
à grand pas la bite en avant
Guillaume, de la Somme à la Sambre.
D’un pat de conquérant
vers ces jolis petit cons quérants.
Aussi leur pitance
dans les reins en errance
leur dû réclame
sans peur ni larme.
– Messire que votre flamberge
se loge dans mon auberge
Mes gros jambons
réclame votre saucisson.
– que voilà de belles paroles
qui ma bite affole.
Ouvrez bien votre corolle
que je puisse y glisser mon obole.
– Faites, prenez-moi Sire
de votre bâton
je ne puis maudire.
Mon dieu que c’est bon
Sans médire, il faut dire
que ta saucisse de Morteau
quel beau morceau
C’est autre que la chipolata
que m’enfile mon papa.

Va, vole et me nique
Dominique nique nique.

– C’est ta sœur Dominique
– C’est de célébrité publique.

– Ah bon il faudra que je me la fasse
C’est une bonne chaudasse ?

Quand je déguste son bouton,
c’est mieux que Don Pérignon

– Mais a-t-elle encore
son label de garantie Ikea
parce que je vais le lui mettre dans le baba
paroles d’or

– A ma connaissance et au toucher
oui, elle l’a encore, je peux le jurer

Alors mon droit de cuissage
Je vais en faire usage.

Mène moi par la traine
que de son pucelage
je m’étrenne
C’est bon pour le plumage
disait un certain corbeau
de Rome volage
à un renard encore beau.
Avant qu’il le la lui mise en corp beau.

Ma mie, prenez donc
de moi le jonc
ces campagnes de baise
en ont un peu réduit la braise
Il faut que de mes batteries
ma libido ait quérir.

Oui mon doux seigneur,
ce queue qui fit mon bonheur
je ne saurai d’aisance
que lui rendre sa puissance.

Bien, flamberge est prête
pour moi satisfaite
de jeunes conins
jouer au coquin.

Frime
et pine
la routine
de la langue latine.
Comme
amour
et toujours
la frime riche
de la langue française
qui devrait être
baise et rebaise
et non pas Théodore de Bèze

Voila, j’espère que mon petit poème, fait à la place du petit déjeuner, vous a plu, en tout cas moi, il m’a diverti d’ajouter conneries sur bêtises quelques fois en vers
peu de fois en verre. (trop tôt le matin)

PS les notions de cousinage, tante n’avaient pas le même définition qu’à notre époque.
à l’époque, entre nobles, tout le monde était soit cousin, oncle, tante, même sans lien de sang rapproché.

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