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Julie et Katia ( chapitre 3 )

Julie et Katia ( chapitre 3 )



Julie et Katia ( chapitre 3 )

Mi août . Hôtel Bellevue . Petit salon rouge . Une femme . Un Martini .

Julie était arrivée avec un bon quart d’heure d’avance , histoire de se rassurer un peu . Elle avait promis à Katia d’être la plus prudente possible et de ne pas s’éloigner à plus d’un mètre de son portable .
Quand elle s’était présentée à la réception de l’hôtel , elle avait senti les regards sur elle de tous les hommes ,et de certaines femmes . Il est vrai que son petit tailleur jupe lui allait à ravir , son reflet dans le miroir de l’appartement une fois qu’elle fût prête ne l’avait pas laissée indifférente . Elle se plaisait , elle était diaboliquement sexy et envoûtante dans cette tenue .

On l’avait conduite dans le fameux petit salon rouge . C’était une pièce privée d’une trentaine de mètres carré , meublée avec goût . En son milieu siégeait une loveuse rouge avec des coussins très souples matelassés . Une table basse sur un épais tapis . Et une table ronde art-déco et ses deux fauteuils tout aussi vieillots . Un grand lustre pendait du plafond et renvoyait une lumière tamisée . La petite lampe posée sur la table renforçait encore plus l’ambiance érotico-chic du salon .

Elle avait pris place dans un fauteuil . Elle avait commandé un Martini , histoire de se donner du courage . Quand elle s’était assise , au moment de croiser les jambes , elle fut surprise de se sentir excitée quand le nylon des bas crissa . C’était une sensation qu’elle n’avait encore jamais vécue et elle en prit un plaisir non dissimulé . Elle avait opté pour des bas couture de couleur chair , et pensé à en prendre une paire de rechange , noirs pour ceux-ci .

A 20h pétantes , la porte s’ouvrit . Son cœur se mit à battre la chamade . Son heure était arrivée , il fallait qu’elle soit forte , même si au fond de son âme , elle était un peu pressée de jouer la pute . Aussi bizarre que cela pouvait lui paraître .
Un homme d’une trentaine d’année entra et referma la porte derrière lui . Il s’avança vers elle , elle se leva de son fauteuil . Elle remarqua de suite qu’il était encore plus charmant que sur les photos qu’elle avait vues de lui quelques heures avant . Dans son costume cintré , peut-être même du sur-mesure, il en imposait . Ses cheveux châtains coupés courts lui donnaient un air de trader sorti tout droit de la Bourse . Elle engloutit ses yeux dans les siens , marrons clairs . Elle était sous le charme . Arrivé à sa hauteur , il lui tendit la main :

A – Bonsoir , enchanté de faire votre rencontre , je suis Antoine .
J – Bonsoir Antoine , enchantée aussi , je suis Betty …

Katia lui avait conseillé de mentir au sujet de son prénom vu qu’elle devait avoir une conversation avec lui , c ‘était différent des rencontres qu’elles avaient eues dans leur chambre où peu de mots avaient été échangés . Tout comme sur leur profil où elles avaient choisi un pseudo bidon pour ne pas être reconnues et aussi pour ne pas attirer les foules avec un pseudo évocateurs .

A – Je vous en prie , asseyez-vous Betty . Vous êtes charmante , encore plus que sur les photos .
J – Vous n’êtes pas mal non plus , j’ai même du mal à penser que vous soyez obligé de payer pour coucher !
A – Je vois que vous êtes directe , ça me plaît beaucoup . En parlant de payer , tenez ..

Il sortit une enveloppe de sa veste qui lui tendit . Julie l’ouvrit et vérifia le contenu . 5 billets de 100 . Elle glissa l’enveloppe dans son sac à main . Le compte y est , elle passe la nuit avec lui .

J- Oui je suis directe , je dis toujours ce que je pense , que ça plaise ou non !
A – Parfait . On peut se tutoyer ?
J- Bien sûr oui , je n’y vois aucun inconvénient .
A – Tu reprends un verre avec moi ?
J – Avec plaisir oui .

Antoine se leva , se dirigea vers la porte d’entrée , décrocha le téléphone mural qu’elle n’avait même pas remarqué et commanda les boissons ; puis vint se rassoir sans jamais la quitter des yeux .

A – Si je paye pour pouvoir coucher comme tu dis , c’est que j’aime cela . Il est vrai que j’ai un peu de succès auprès des femmes mais elles ne m’apportent pas ce petit moment d’excitation . Et de nos jours il est très difficile de trouver ce genre de service , je suis ravi d’avoir croisé ta fiche sur ce site . Et toi , pourquoi en arriver là ? Que c’est il passé ?
J – Je ne préfère pas en parler si tu veux bien . Cela fait partie de ma vie privée et je ne suis pas ici pour l’étaler . Et si on trinquait à cette soirée .

Contrairement à ce qu’elle pensait d’elle-même , Julie se surprenait . Elle prenait de l’assurance , elle se sentait bien et il lui tardait le moment où ils quitteraient ce petit salon rouge pour une chambre .

Mi-août . Un appart . Une femme . Un homme . 5 billets de 50 .

C’est une deuxième fois que Katia avait retrouvé son client de la soirée au bar tout l’autre bout de la ville ; toujours histoire de ne pas être reconnue . Ils avaient fait le trajet en voiture , durant lequel ils avaient brièvement parlé , de tout , de rien . Elle ne voulait pas non plus s’étaler sur sa vie privée et cela ne regardait personne . Elle avait enfilé une robe classique , attaché ses longs cheveux bruns et chaussé une paire de lunettes de soleil qu’elle avait quittées en rentrant à l’appart . Il s’appelait Brice et le prénom ne collait pas vraiment avec le look grunge du personnage , avec ses jeans troués, son débardeur , sa casquette et ses Nike montantes . Mais il était bel homme . C’était le plus important .

Elle lui avait indiqué la salle de bains dès qu’ils avaient passé la porte , lui avait dit de l’attendre au salon et de se servir un verre . Elle avait rejoint la chambre pour se changer , sans pour autant lui dire comment elle comptait l’entreprendre .
En premier lieu , elle mit à sa taille un porte-jarretelles rétro à six branches auquel elle accrocha les bas nylons noirs , puis enfila un string . Ensuite une jupe en skaï fendue et un chemisier blanc sans soutien-gorge . Enfin , des hauts-talons noirs . Devant le miroir de l’armoire , elle se remaquilla en prenant soin d’être la plus provocante possible , et s’ébouriffa les cheveux afin de ressembler à une sauvageonne . Elle avait envie de se faire aussi plaisir . Au fur à mesure que les heures passaient , elle sentait grandir son envie de baiser . C’était indéniable ,elle devenait une véritable salope . A elle d’assurer maintenant que tout était réuni . Devant le miroir , elle jeta un dernier coup d’œil dans le grand miroir , elle se trouvait parfaite . En se regardant dans les yeux , elle prit une grande inspiration , ouvrit la porte et se dirigea vers le salon . Ce qu’elle découvrit la laissa pantois …

Brice était déjà à poil , ses frusques en boule à côté du canapé . Il avait son verre dans la main gauche et de la main droite , il se masturbait . Le ton était donné .

B – Approche ma belle , tu t’es déguisée en putain , j’adore ça les putes ! Regarde comme tu me fais de l’effet . Approche , n’aie pas peur , elle n’a jamais fait de mal à personne .

Surprise par ce comportement de mufle , elle s’approcha donc de lui et vit qu’il avait pris la peine de poser 5 billets de 50€ sur la table basse . Le principal était fait , elle avait plus qu’à honorer ce type pour empocher la somme . Pour détendre un peu cette atmosphère pesante , elle lui dit :

K – Je vois que tu es très en forme et aussi très pressé , non ?
B – Tu crois que j’ai payé pour jouer au Scrabble avec toi , non mais je rêve . Allez viens me tailler une pipe , y a longtemps que je ne me suis pas fait pomper le dard .

Elle dut se faire une raison , il était pressé et très envieux de faire affaire . Ma fois , le client est roi , allons-y gaiment . Elle s’approcha du canapé et tenta de s’asseoir à côté de lui . Il ne vit pas les choses de la même manière :

B- Qu’est-ce que tu fais ? Une pute ça pompe à genoux entre les jambes du client . Allez , exécution , petite salope , viens turlutter …

Soudain elle le trouva super lourd , mais ne dis rien de peur de le rendre encore plus con . Il avait été malin dans son approche sur le site avec de belles paroles et tout le train-train . La prochaine fois , elle devrait prendre encore plus de précautions avant de donner rendez-vous à un autre client . Si prochaine fois il y aurait . Oui , il y aurait une prochaine fois , elle se sentait malgré tout excitée par cette situation incongrue .
Donc elle fit ce qu’il lui demandait . Elle se positionna à genoux entre ses cuisses , prit son sexe durci dans une main et vint poser ses lèvres sur le gland gonflé . Elle entama sa pipe et elle le sentit se détendre , il prit ses aises sur le canapé en renversant sa tête en arrière . Sa bite gonfla encore entre ses lèvres et elle l’enfourna entière dans sa bouche , tournant sa langue autour du gland . Soudain il gémit déjà de plaisir , elle le tenait au garde-à-vous . Lentement elle continuait de le sucer , lui prodiguant un sensuel massage des couilles qui pendaient dans le vide , bien remplies apparemment . Bien burnée le mec . Puis dans un geste , il releva le buste et lui ordonna :

B – Relève ta croupe que je puisse admirer ton cul dans ta jupe de salope là . Fais-moi bander encore plus fort , excite-moi , c’est bon ce que tu me fais . Tu es une experte toi , tu me plais …. Allez pompe-moi , pompe encore mon sucre d’orge .

Alors , elle recula un peu ses genoux et releva sa croupe , elle sentit le skaï se tendre sur ses fesses .

B – Voilà comme ça oui , comme tu es excitante ma belle . T’es au courant qu’une fois que j’aurais été bien pipé , je vais te prendre comme tu mérites . Je veux en avoir pour mon fric . Je veux te baiser comme une salope , tu vas voir , tu vas la sentir passer .

Dans un premier temps , les paroles de Brice lui firent peur . Cependant , le fait d’avoir sa queue tendue dans la bouche fit tourner cette peur en belle excitation . Elle attendait qu’il en ai marre de se faire sucer pour pouvoir se faire prendre , tant qu’à faire de la même manière décrite oralement .
Elle lui léchait la tige , finissant par lui lécher le gland . Elle devinait qu’il était tendu au maximum , sa queue était belle et bonne à sucer . Afin de reposer un peu sa langue et sa bouche , elle prit sa bite dans une main et le branla énergétiquement , comme pour le faire cracher . Ce qui le déplut fortement :

B – Hou là , doucement chérie , tu crois que je vais lâcher la purée comme ça , tu te trompes là . Je pense qu’il est grand temps que je vienne visiter ta belle petite grotte . Passe-moi une capote , dans la poche arrière de mon fute et enfile la moi avec la bouche , tu en es capable hein …..

Une fois l’étui de la capote ouvert , elle l’a coinça délicatement entre ses lèvres , en un geste doux et précis , elle déroula le latex sur sa bite hyper tendue . Elle savait qu’elle allait prendre cher .

Mi-août . Hôtel Bellevue . Un petit salon rouge . Une pute . Un client . Deux verres .

Antoine s’était dirigé vers la porte et avait tourné la clé , fermant l’unique porte du salon particulier . Julie compris alors que la nuit d’amour promise se passerait dans cette pièce , elle en fut déçue .
Doucement et sans encore la quitter des yeux , il revint vers elle , s’agenouilla devant ses jambes , les ouvrit , remonta ses mains sur ses cuisses , saisit la petite culotte et la fit rouler aux chevilles de la jeune fille , tout ceci sans mot dire .
Puis il lui écarta les cuisses et glissa sa tête vers son intimité . Julie sentit une vague de frissons s’emparer de son corps quand la langue d’Antoine toucha sa vulve avec une infime délicatesse . Il la fouillait doucement , promenant sa langue et sa bouche sur ses lèvres encore sèches . Il savait y faire , il avait de l’expérience . D’envie qu’il ne s’arrête point , elle lui posa les mains dans ses cheveux qu’elle caressa d’excitation . Ses jambes s’ouvrirent encore plus pour lui faciliter la tâche . Son clito durcit le temps qu’il faut pour le dire et elle sentit monter son plaisir .
Antoine , tout en continuant sa besogne , écarta un peu les jambes , ouvrit sa braguette et en sortit son sexe dur qu’il caressait doucement . Julie le vit faire et put constater qu’il avait été gâté par la nature , il avait une superbe bite , bien proportionné , ni trop longue , ni trop large avec un gland en forme de cœur . Elle eut subitement envie de le sucer . Dans un râle de plaisir , elle demanda :

J – Moi aussi , je peux jouer ?
A – Non , pas pour le moment , je paie , je décide . On a toute la nuit …

Et il retourna la lécher . Frustrée , elle se laissa donc abandonner par le plaisir qu’il lui procurait . Sa chatte devenait très humide , excitée par les allers et venues de la langue d’Antoine en elle . Tout en gémissant , elle pensa que jamais un homme ne l’avait entrepris de la sorte . Quel plaisir , que c’était bon . Elle aurait aimé se voir dans une glace tant l’image de cette position devait être excitante . Lui à genoux devant elle , les jambes ouvertes , les bas tendus par les jarretelles , la jupe relevée sur son ventre , elle se trouvait assez séduisante .
Sous les assauts de la bouche de son amant de la nuit , de son client , elle sentit que la jouissance était proche et elle ne voulait pas jouir de suite . Elle serra les cuisses pour lui signifier que si il continuait , il se pourrait qu’elle n’ait plus envie de lui par la suite .
Docilement il cessa et se releva , la queue en main . Il plongea ses yeux dans les siens :

A – Tu en as assez ? Tu n’aimes pas ?
J – Bien au contraire , j’ai cru que j’allais jouir , c’est pour cette raison que j’ai serré les cuisses .
A – Tu veux un autre verre ?
J – Pourquoi pas !

C’est la bite à l’air et en pleine forme qu’il se dirigea une nouvelle fois pour passer commande . Il tourna la clé dans l’autre sens , et sur le chemin du retour , il remit son sexe en place et referma la braguette .

( à suivre )

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