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Cousine-Cousine (1)

Cousine-Cousine (1)



J’étais contente d’avoir mon permis de conduire et quand mon père m’a proposé de me prêter sa voiture pour que j’aille rendre visite à des cousins, j’ai accepté tout de suite. C’est une grande confiance de sa part. Alors, où voulais-je aller ? Je ne sais pas trop parce que mes cousins et cousines habitent à moins de cent kilomètres de chez nous et je pense que ça ne me fera pas beaucoup de kilomètres à faire puis j’ai pensé à cette tante, la plus jeune sœur de ma mère que je ne connais que par la carte de vœux qu’elle nous envoit chaque Nouvel An et qui, en plus, a une fille de presque mon âge que je n’ai jamais vue qu’en photo et encore, ça doit bien dater de cinq ans.

– Ta tante, oui, a fait ma mère… Je ne sais pas…

Elle n’en a pas dit plus mais elle a ajouté que je ne devais pas en parler à mon père et c’était encore plus mystérieux et en fait, quand mon père m’a reposé la question de savoir où j’allais passer le week-end prolongé du 1er Mai, je lui ai menti en répondant que j’allais voir une copine.

– Et c’est où, m’a-t-il encore demandé ?

J’ai encore menti en donnant une direction complètement opposée à celle de ma tante et de ma cousine inconnue et plus tard, en me souhaitant bon voyage, ma mère m’a recommandé de faire beaucoup attention :

– Imagine, m’a-t-elle répété plusieurs fois, si tu avais un accident, ton père serait furieux après toi !

En fait, sur le coup, j’ai pensé que j’allais faire une bêtise mais une fois sur la route, j’ai complètement oublié les craintes de ma mère. Orléans, Tours, La Rochelle enfin. Ne me restait plus qu’à faire une surprise car je n’avais pas prévenu mais n’allais-je pas me casser le nez ?

L’adresse correspondait à une maison située en plein centre ville et j’ai sonné. J’ai sonné deux fois avant qu’on ne m’ouvre.

– Oui, m’a fait une jolie fille rousse d’à peu près mon âge ?

J’ai expliqué que j’étais sa cousine et à la réaction de la fille j’ai craint qu’elle ne veuille pas de moi.

– Sophie, a-t-elle balbutié ! Tu aurais pu nous prévenir, mais entre ! Entre ta voiture ! Je vais t’ouvrir le garage ! De toute façon nous n’en avons pas !

Ma cousine Dominique m’a fermé la porte au nez et je suis retournée à ma voiture et la double porte s’est ouverte et je suis entrée.

– Tu aurais pu nous prévenir, a répété ma cousine ! On se serait préparées, a-t-elle ajouté en prenant mon sac ! Parce que tu devras coucher dans ma chambre si tu veux rester plusieurs jours !

A peine étions-nous remontées dans le salon que la porte d’entrée s’est ouverte et deux femmes sont entrées :

– Maman, a fait ma cousine en se précipitant sur la femme rousse ! La cousine Sophie, a-t-elle ajouté en me désignant ! Son amie, a ajouté ma cousine en me poussant vers l’autre femme !

J’ai embrassé les deux femmes. Son amie, avait dit ma cousine et pourquoi pas une amie, mais ma tante m’a pris le bras :

– Tu dois le savoir, a-t-elle commencé, tout le monde le sait dans la famille mais personne ne veut se l’avouer, je suis lesbienne et je vis avec Sarah et Dominique !

Je ne sais pas comment j’ai fait pour ne pas montrer mon trouble. Pour moi, les lesbiennes c’étaient des salopes, des gouines, des vicieuses. Ma cousine a dit à sa mère que je pouvais rester quelques jours puis elle m’a prise à son tour par le bras et elle a ramassé mon sac et elle m’a emmenée dans le couloir jusqu’à sa chambre. C’était une belle chambre, avec une grande fenêtre qui donnait sur un petit jardin mais il n’y avait qu’un grand lit et j’ai dit à ma cousine que j’allais à l’hôtel mais elle ne l’entendait pas de cet air-là :

– Taratata, m’a-t-elle fait, tu ne vas pas gaspiller ton argent ! Tu partageras mon lit, à moins que tu n’aies peur que je ne sois une sale gouine moi aussi ?

J’ai eu beau nier avoir pensé ça, Dominique m’a répondu qu’il lui était arrivé de penser que sa mère et son amie étaient de sales vicieuses et j’ai cru me racheter en lui disant qu’elle est belle. C’est vrai qu’elle est belle et qu’elle a un beau visage, de beaux yeux, une jolie bouche et…

– C’est parce que j’ai des gros seins que tu me dis ça, m’a fait ma cousine ?

J’ai rougi et j’avais honte mais ma cousine a continué en disant qu’elle ne savait pas de qui elle tenait ça, peut-être d’une de nos grand-mères et elle a pris un cadre sur la cheminée et me l’a tendu sous les yeux. Une femme qui vivait sans doute vers 1920 posant dans une tenue noire et elle avait ses énormes seins qui lui tombaient à la hauteur du ventre.

– Elle ne portait sûrement pas de soutif, m’a fait ma cousine !

– Et toi, tu fais du combien ?

– Oh, moi, m’a répondu ma cousine en plaquant ses mains sur ses seins, je mets ce que je trouve !

– Sérieusement, tu fais du combien, ai-je insisté ?

Elle n’a pas voulu me répondre mais elle m’a promis que ce soir quand on ferait notre toilette, je pourrais juger sur pièces et elle a ouvert une double porte sur un joli cabinet de toilette avec lavabo et douche. Nous sommes retournées dans le salon et j’ai pu un instant apercevoir ma tante et son amie qui s’embrassaient à pleine bouche.

– Maman, a fait ma cousine !

– Qu’est-ce qu’il y a, lui a répondu sa mère, un peu gênée tout de même, nous n’avons pas le droit de nous aimer ?

– Ecoute, lui a répondu Dominique, Sophie n’est pas habituée…

Ma tante m’a expliqué qu’après la mort de son mari, le père de ma cousine, Sonia avait seule su lui remonter le moral et elles étaient devenues amoureuses l’une de l’autre.

– Amoureuses, ai-je hésité…

– Oui, m’a fait ma tante, rassure-toi, nous faisons tout ce que fait un couple amoureux ! Et toi, tu as un petit ami ?

J’étais rouge cramoisie. Ma cousine semblait s’amuser de mon embarras et l’amie de ma tante ne disait rien et ma cousine en a profité pour me prendre par le bras et m’emmener visiter la ville. Je n’ai rien dit pendant un long moment pendant qu’on déambulait par les rues et ce n’est qu’en arrivant au port que j’ai eu le courage de demander à ma cousine ce qu’elle pensait de la situation et aussi si l’amie de sa mère n’avait pas essayé d’abuser de la situation pour s’intéresser à elle.

– T’es folle, m’a répondu ma cousine ! Elle a toujours été gentille avec moi mais c’est vrai que parfois quand je les vois s’embrasser sur la bouche, ça me fait tout drôle mais pour être honnête avec toi, ça m’excite de les voir faire l’amour toutes les deux !

J’étais incapable de réagir car j’imaginais ma tante et son amie en train de faire l’amour. D’ailleurs, j’ignore comment les lesbiennes font l’amour.

– T’as un copain, m’a demandé ma cousine ?

– Non, pas en ce moment…

– Mais tu en as eu un, a-t-elle continué ? Tu es encore vierge ?

J’étais vraiment gênée. On marchait le long des quais et j’avais comme une envie de me jeter à l’eau.

– Tu te masturbes, a insisté ma cousine ?

– Oui, j’aime bien ça, lui ai-je répondu !

– Moi aussi, m’a fait ma cousine ! J’ai peur des mecs…

– Moi aussi j’ai peur des mecs. En fait si tu parles des garçons, je suis vierge, mais je ne suis plus vraiment vierge, lui ai-je avoué !

– Et tu le fais avec quoi, a insisté ma cousine ?

Crayons, stylos, bougies, tout ce qui me passe par la main. Dominique m’a dit que sa mère et sa copine avaient des tas de godemichés et qu’elle se masturbait avec puis nous sommes allées nous asseoir à la terrasse d’un café. J’avais chaud. Le bord de la table ronde s’incrustait dans les seins de ma cousine quand le barman est venu prendre notre commande. Ils semblaient se connaître tous les deux et ils ont échangé quelques mots mais ma cousine n’a pas parlé de moi.

– Tu le connais, lui ai-je demandé une fois que nos verres ont été servis ?

– Oui, m’a répondu ma cousine, nous étions dans la même classe au lycée…

– Et tu baise avec lui ?

J’ai dit ça pour la provoquer.

– Oh, lui, m’a répondu ma cousine, c’est un chien fou et il serait capable de me faire un gosse !

– Prends la pilule !

– Ce que je voudrais, a continué ma cousine, c’est juste être enceinte, avoir le gros ventre et pas l’enfant !

– Comme moi, lui ai-je répondu !

Je pensais souvent à la grossesse, comme ma cousine, avoir le gros ventre, mais pas avoir d’enfants, pas pour l’instant du moins et quand je voyais des femmes enceintes, ça me faisait envie d’être comme elles.

– Oh, oui, a ajouté Dominique, j’aimerais bien avoir le gros bide, me promener avec le gros bide, dormir avec le gros bide, me regarder dans le miroir avec le gros bide…

Au moins, on avait quelque chose de commun toutes les deux mais Dominique n’avait pas terminé les confidences :

– Maman et son amie voulaient un enfant et il y a deux ans, son amie était enceinte mais elle a fait un prématuré qui n’a pas survécu ! Elle était belle et je lui faisais des bisous sur le ventre !

Je me suis aperçue que j’avais mouillé ma robe à parler de tout ça. Ma cousine à payé la note et nous sommes rentrées. Il était près de huit heures et nous avons dîné avec ma tante et son amie puis nous sommes allées dans la chambre de ma cousine.

– T’as pas peur de moi, m’a-t-elle encore une fois demandé ?

Je n’avais pas peur et pour le lui prouver, je me suis déshabillée devant elle et j’ai sorti mes affaires de mon sac pour faire ma toilette. Il serait toujours temps que ma cousine s’aperçoive que ma chemise de nuit ne fait que quelques centimètres carrés et qu’elle est complètement transparente. Je suis entrée dans la salle de bains et je me suis brossée les dents puis je les ai rincées et quand je me suis redressée j’ai vu ma cousine derrière moi dans le miroir et elle était nue elle aussi et ses seins plats lui descendant jusqu’au nombril.

– Maintenant, tu peux juger, m’a-t-elle dit !

(à suivre)

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