Alain revient du travail un bouquet de fleurs à la main. Il m’appelle et comme je suis nue dans la salle de bain entrain de me faire une beauté, je ne l’entend pas.
« Michèle ???? »
« J’suis dans la salle de bain chéri ! »
Alain entre dans la salle de bain et en m’offrant le bouquet, il se met à me caresser. Il s’attarde sur mes seins tout en fouillant ma chatte. Je me laisse faire à ces douces attentions. Il se met à genoux et commence à me brouter le minou. Je gémis de bonheur et écarte un peu plus mes cuisses. Il sait utiliser sa langue sur ma vulve offerte. Je rejette ma tête en arrière pour profiter au maximum de cette caresse buccale.
Il excite délicatement le clitoris, puis enfonce sa langue le plus profondément possible dans mon vagin. Je me tortille en gémissant. Puis je lui souffle :
« Prends moi sauvagement ici Mon chéri ! J’veux sentir ta queue me posséder comme un soudard ! »
Alain arrache plus qu’il ne retire ses vêtements et j’attends d’être empalée par ce rustre. Une fois à poil, il me plante vigoureusement son sexe dur comme du bois dans ma chatte brûlante. Il m’enfourne son truc jusqu’à la garde. Il me besogne durement comme je le voulais. A chacune de ses poussées, il m’arrache un cri de plaisir.
Il ressort brutalement et me retourne comme une poupée de chiffon en me disant :
« J’vais t’prendre comme une chienne en levrette ! »
Il replonge sa grosse queue aussitôt dans ma chatte baveuse. J’adore être prise comme ça. Je me sens plus femelle et une sorte de domination du mâle en rut me fait un effet incomparable.
Au moment d’éjaculer ; je le prend dans ma bouche et avale gourmande son sperme.
Nous prenons un instant de repos récupérateur et Alain me propose :
« Si nous allions faire un petit parcours santé ? Le soir, il y a moins de monde, on est plus tranquille. »
On enfile nos tenus de sport et nous voilà parti.
On coure pour s’échauffer. Puis, on commence quelques exercices. Voyant que nous somme seuls, je décide d’exciter Alain en relevant mon maillot et en me caressant la chatte.
J’allume bien Alain qui me laisse faire en souriant. Mais je n’ai pas vu un groupe d’une vingtaine d’homme qui arrive vers moi en footing. une vingtaine et Cathy est debout au milieu d’eux. Elle est toute petite entre ces géants. Alors que peu de chose cache mon intimité, ils arrivent non loin de moi.
Aussitôt, ils commencent à me brancher. Alain très amusé de me voir en difficulté, se retire de quelques pas pour observer la scène. L’atmosphère devient J’avance à pas de loup et je grimpe sur la branche d’un chêne qui surplombe la scène. Il y a des mains qui commencent à se poser sur moi. Un des sportifs derrière elle l’enlace de ses gros bras en lui caressant le ventre. Je tourne la tête pour le voir et il en profite pour me fourrer sa langue dans ma bouche. Je me laisse faire car je sais que mon mari mate et aime me voir au prise avec des inconnus. Un autre soulève mon tee-shirt pour exhiber mes seins à ses camarades. Un autre, se met à les soupeser et masse entre son pouce et son index mes tétons.puis pose ses index sur les tétons et les masse délicatement du bout des doigts. Même si j’angoisse, je me laisse faire et soupire en suçant la langue du mec. Puis une main s’insinue entre mes jambes et commence à fouiller ma chatte trempée. J’écarte instinctivement les jambes. Ils sont plusieurs à me fouiller le sexe. Je ferme les yeux et me laisse aller au plaisir d’être tripotée par toutes ses mains. Des bouches s’emparent de mes seins et sucent mes mamelons. Je gémis de plaisir. J’entends comme sur un nuage des mecs dire :
« Elle mouille la salope. Elle est bonne et bien roulée. Putain sa chatte est lisse ! »
Ils me soulèvent comme un fétu de paille et on m’allonge sur la table de pique-nique. Un des mecs commence à me brouter le minou pendant qu’on continue à me peloter. Je me tortille comme une anguille en poussant de petits cris de plaisir et des gémissement. Je sais que je vais passer à la casserole et je n’attends que ça. La langue qui s’occupe de ma chatte, descend et se met à me lécher l’anus. Je m’abandonne en gémissant. La langue appuie sur ma rondelle, puis remonte pour s’enfoncer dans mon vagin. Quant il se met à me lécher le clito, je deviens folle. Une douce chaleur m’envahit, partant de mes tétons que les deux mecs tètent, parcourant la moelle épinière. Je deviens une vrai fontaine.
Le regard de ces sportifs court sur mon corps nu, torturé par le plaisir. Je suis excitée comme une chienne en chaleur. Je n’attends que ça. Je suis haletante, nue sur cette table, les cuisses écartées, et je n’attends que le moment où je vais enfin me faire pénétrer par ces bites vigoureuses. Le premier s’avance enfin. Il m’att**** les jambes et me tire à lui pour m’empaler sur le bord de la table. Je lui lance :
« Oui viens ! Défonce moi bien ! »
Je pousse un long feulement de femelle quand son engin fait son chemin dans mon con brûlant de désir. Le type commence son ramonage. Les autres se sont rapprochés attendant leurs tour. Une bite caresse mes lèvres et je la happe avec gourmandise. Celui qui me ramone la chatte laisse la place à son pote et l’autre se trompe de chemin et m’embroche par le cul. Je pousse un cri de douleur et de surprise étouffé par les bites qui s’occupent de ma bouche.
Puis, les types semblent vouloir s’amuser avec moi. Deux des plus costauds m’att****nt, me soulèvent et les cuisses grandes ouvertes la minette offerte, ils m’empalent la chatte sur le pieu d’un des plus balèzes. Surprise je lance un :
« Ho mon dieu… Haaaaaa ! »
Ils recommencent le petit jeu avec d’autres et à chaque pénétration brutale, je pousse de des cris de chatte écorchée. Les mecs me trimbalent comme ça de bite en bite. Ils semblent bien s’amuser de moi. Mais rapidement, il utilisent mes deux orifices bien ouvert et offert. Je suis remplis et défoncée totalement.
Je suis trop occupée, c’est le cas de le dire, pour m’apercevoir qu’un jeune couple de joggers c’est arrêté pour mater le spectacle. La nana, dans un premier temps tire sur le tee-shirt de son copain en lui disant :
« Viens on s’en va ! »
Mais le jeune mec est trop obnubilée par ce qui ce déroule sous ses yeux. Il n’a même pas fait attention qu’Alain matait la scène et filmait tout avec son portable. Il dit un peu agacé à sa nana :
« Non, fais pas chier ! Regarde ce qu’ils lui mettent ! Viens, on va s’amuser avec eux ! »
La fille le regarde exaspérée et furieuse en lui lançant :
« T’es pas bien non ? J’vais certainement pas me faire mettre par ces mecs ! »
« T’es conne ! Tu n’auras peut-être pas d’autre opportunité ! C’est une expérience à ne pas manquer ! Fais ce que tu veux mais moi j’y vais ! »
Avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir, le jeune homme s’avance vers le groupe. Il sort sa queue et se prépare à participer à la curée. Il dit aux sportifs qui me sautent :
« Elle a l’air bonne ? J’peux participer ? » !
« Bien sûr ! C’est ça les sports co ! C’est un collectif ! »
Sur ces paroles on m’amène au nouveau venu pour se faire embrocher de la même manière.
La copine du jogger le regarde me baiser. Elle est furieuse . Mais c’est un mélange de jalousie, d’envie, de frustration et d’excitation. Alain l’observe et la filme à son insu. La petite nana a passé la main dans sa culotte et se donne du plaisir en observant son copain la tromper. Alain ne peut pas passer à côté d’une telle opportunité et s’approche derrière elle. En s’apercevant de la présence de mon mari qui la prend en flagrant délit de masturbation et de voyeurisme, elle sursaute en retirant la main de sa culotte.
Alain n’attend pas qu’elle réagisse et se colle à elle en l’enserrant fermement. Il lui dit :
« N’ai pas peur ! C’est ma femme qu’ils sont en train de baiser ! Ca t’excite salope de voir ton mec sauter ma meuf ? »
Puis, voyant que la fille n’est pas récalcitrante, il lui prend les seins à pleine mains et commence à les pétrir. La fille se laisse faire, trop excitée par le spectacle que je lui offre.
Elle râle doucement, les yeux fermés, tout à son plaisir. Elle son cambre comme pour s’offrir à mon mari. Pour Alain, il n’en faut pas plus pour sortir sa bite et lui fendre l’abricot. La fille glousse de bonheur et s’active sur la queue qui la pénètre. Devant eux, le spectacle que j’offre est dantesque. Les types commence à lui gicler dessus. Les bites entre et sorte de mon cul, de ma chatte et de ma bouche. Certain éjaculent et d’autre, plus endurant continuent de me saillir.
Alors qu’Alain coulisse gentiment dans le vagin de la copine du jogger, elle lui demande entre deux couinement :
« Elle a l’habitude de se faire enculer et de se faire prendre en sandwich votre copine ? »
« Oh, oui ! ça, elle a l’habitude. Et toi, tu l’as déjà fait ? »
« Non, jamais. »
« He bien j’vai t’faire découvrir ça ma petite salope ! »
« Ah, non ! pas question ! »
Alain qui continue à la limer doucement lui dit :
« Regarde ton mec comme il sodomise bien ma femme : Je suis certain que tu aimerais aussi ! »
Alors que son mec s’active dans mon cul de plus en plus vite, le type explose et lâche sa purée dans mes intestins et se retire. Mon trou du cul n’a pas le temps de se refermer qu’un autre a pris la place. Il enfourne sa bite et recommence à me fouiller le rectum.
La nana dit alors à mon mari :
« Aiiiie, C’a doit faire mal ! »
Mais sans prévenir, la queue bien graissé par son con, Alain change de trou et pousse sur la rosette de la fille pour faire le passage. Elle veut le repousser et lui intime d’arrêter. Mais Alain est persévérant et la tient fermement en lui disant :
« Tu va voir c’est une expérience inoubliable. Au début, je vais y aller lentement ! »
La fille grimace mais ne veut pas passer pour une conne, pendant que de mon côté, je me fais casser le cul par un nouveau bastard. Elle frissonne et lui demande :
« Je vous en prie ! Allez-y doucement ! »
« T’inquiète pas, j’ai l’habitude des oies blanche comme toi ! »
Quand le passage commence à ce faire, la nana pousse un cri aiguë qui attire l’attention de ceux qui on joui de moi. Alain s’enfonce en elle jusqu’à la garde. Elle serre les dents sous la douleur. Il reste un moment immobile puis je commence à bouger très doucement en attendant qu’elle se détende. Puis, il se met à la sodomiser pour de bon.
« T’aime ça putain ? Ton mec va pouvoir de bourrer le cul maintenant ! » »Haaaaaa ! Non !!! J’sais pas!!!Haaaaaa ! »
« Dis-moi que tu veux te faire défoncer le cul ! »
« Non, non !!! »
« Aller salope !!! dis-le ! »
« Ouiiii !! continuez ! Défoncez-moi le cul ! »
Alain ne se fait pas prier et l’emmanche de plus bel, alors que la moitié des mecs me sont passés dessus. Je suis anéantie pendant que les dernier se vide sur moi. Alain prend son pied dans le petit trou serré de la belle inconnue. Il sait y faire et s’amuse à sortir de son cul pour mieux y replonger ensuite à fond. Elle pousse à chaque fois comme des glapissements. J’ai le trop plein de foutre qui me dégouline le long des cuisses. Chaque fois que quelqu’un me pénètre ça fait des bruit de clapotis bizarres.
Alain se met à l’enculer de plus en plus fort, puis n’y tenant plus, il sort une dernière fois de son cul et lui envoie de longues giclées sur son magnifique cul. Elle reste un moment haletante, le cul en l’air. Tout à coup, elle s’affole. Les sportifs ont terminé de jouir de moi et reprennent leur footing me laissant inerte de plaisir et d’orgasme sur la table. Son mec, rassasié lui aussi, rejoint sa copine qui n’a pas le temps d’essuyer le sperme que mon mari lui a laissé sur le dos. Elle tente de remonter son cuissard et je devine Alain qui souris à l’idée qu’elle va se balader un moment avec les fesses trempées de son sperme. Alain s’éclipse discrètement et vient me rejoindre pour m’aider à me remettre sur mes jambes. J’ai la tête qui tourne et mes jambes ont du mal à me tenir.On se regarde amoureusement et on part dans un fou rire hystérique quand ma chatte et mon cul font un bruit particulier en faisant échapper du sperme.
« Ils t’ont mis une sacré pété ces sportifs ma chérie ! »
« Oui mais la joggeuse aussi je crois ? »
« Oui son mec ne va pas en revenir. Elle va se faire enculer maintenant ! Allons ! Rentrons à la maison. Tu as besoin d’une bonne douche. »
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