Enfin, cette expérience ratée ne découragea pas mon mari. Il avait compris que j’étais trop jalouse pour ce genre de relations alors il me proposa de m’offrir à des hommes seuls. Je tentai de faire diversion, d’être très caline voir salope avec lui, lui proposer de me sodomiser mais son désir de me voir sauter était trop fort. Cela l’obsédait littéralement. Il passait des annonces sur internet et me montrait les prétendants : il y avait de tout, des petits jeunes, des vieux, des mecs avec des queues gigantesques, des types avec des regards très vicieux… il me demandait de choisir. Je n’osais pas sauter le pas. Puis finalement, par amour, je lui demandais d’organiser une rencontre, de choisir l’homme lui-même, et que cela ne se passe pas chez nous. Mon mari était aux anges. Deux jours plus tard je me retrouvais dans la voiture habillée très court dans mes dessous transparents. Un immeuble de standing à Paris. On sonne. Un homme de la cinquantaine nous ouvre. Il porte un peignoir et je trouve cela vraiment glauque, il m’embrasse sur les joues, il sent bon. Il nous emmène dans le salon, nous propose à boire. j’accepte, je vais en avoir besoin. Il s’appelle Denis, il a un visage agréable, les cheveux courts gris, les yeux bleus. Il est assez grand et costaud, son peignoir presque entrouvert sur son ventre rebondi. J’ai du mal à soutenir son regard. Je piccole, un verre, deux verres. Denis met un porno, une fille seule, tripotée baisée par plusieurs hommes. La chaleur monte. « Tu veux pas te déshabiller » me demande mon mari. J’obéis, me lève et fait glisser ma jupe. Denis s’avance pour bien mater mes seins et ma chatte à travers mes sous-vêtements. « comme tu es belle ! Et quel cul mon Dieu ! ». Sa main sous son peignoir il doit se tripoter en m’inspectant. Il me ressert un verre se lève et me le tends. Je bois debout tandis qu’il passe derrière moi mater mon cul. Ses mains le caressent doucement puis remontent sur mon dos relevant mon haut et glissant sur mes seins. Il se colle à moi et je sens son désir dur entre mes cuisses. Je vide mon verre. Mon mari, toujours assis regarde Cet homme frotter sa bite contre le cul de sa femme. Il s’installe confortablement, se débraguette et commence à se masturber. Denis a retiré mon haut, m’a retournée face à lui et laisse tomber son peignoir, il est nu et son torse imberbe presse mes seins, son gros ventre contre le mien. Il cherche ma bouche et y enfonce sa langue en gémissant. Il malaxe mon cul ses mains glissées sous ma culotte. « On va dans la chambre ? » Je fais signe que oui, il m’emmène, mon mari nous suit toujours la bite à la main. Je me retrouve allongée, Denis fait glisser ma culotte, admire ma chatte. « tu aimes être léchée n’est-ce pas ». J’acquiesce silencieusement alors il s’installe à genoux entre mes cuisses, me renifle, frotte son visage puis me lèche consciencieusement. Je me laisse aller, l’alcool m’a détendue, je m’écarte plus, il se délecte de mon fruit défendu. Mon mari me tient la main, me caresse le visage. Lentement je sens la chaleur monter dans mon ventre, mes tétons se tendent, mon clitoris aussi. Il lèche très bien, patiemment et je finis par partir en me cambrant. Il grogne de plaisir. A peine ai-je repris mes esprits qu’il me demande de le sucer. Il a un long prépuce, il pénètre entre mes lèvres et se décalotte libérant l’odeur délicate de sa bite dans ma bouche. Je le suce du mieux que je peux, il a l’air satisfait. Il me fait mettre à quatre pattes sur le lit, se place derrière moi, compliment à nouveau mes fesses qu’il malaxe avec vigueur. Je regarde mon mari, il semble ailleurs, fasciné par la scène. Je sens le gros gland de Denis me pénétrer, il m’aggripe et s’enfonce entièrement. Il commence à me baiser lentement puis de plus en plus fort jusqu’à claquer mon cul avec ses cuisses. Il me retourne, me prend en missionnaire en me roulant une grosse pelle humide. Il se fait du bien dans ma chatte. Il n’a pas mis de capote mais je n’ose rien dire. Il veut maintenant que je le chevauche, je ne le fais pas souvent avec mon mari et j’avoue que j’aime beaucoup ça, j’ondule mon bassin sur sa queue qui me remplit. Lui me pelote les seins, le regard rempli d’excitation. Il est très endurant, il me reprend en levrette me demande si je veux qu’il me sodomise. Je refuse mais il suffirai qu’il insiste un peu pour que je lui offre mon anus. Il le doigte en me baisant en levrette. J’adore ça. Je trémousse mon cul qu’il claque maintenant avec sa main. Je me laisse fesser, j’aime ça même. Il s’arrête. Il veut ma bouche. Il la prend, la pénètre presque brutalement. Me demande de lécher ses couilles. Mon mari continue de se branler à côté. Denis va jouir, « je vais t’asperger, t’as envie hein ? » grogne-t-il en se branlant frénétiquement son gland dans ma bouche. Il sort et jouit bruyamment en râlant en me tenant la nuque. Il me souille copieusement le visage, son sperme dégouline sur mes seins. Il replonge son gland dans ma bouche pour que je le nettoie. Je lèche consciencieusement son gland, aspirant ses dernières gouttes de semence. Enfin, je retombe en arrière sur le lit dans l’odeur suave du sperme épais. Quand j’émerge, Denis a remis son peignoir, il sirote un verre. J’essuie mon visage avec un kleenex. Je ramasse ma culotte et retourne au salon mettre ma jupe . Je suis nue dessous. Denis en profite pour me toucher la chatte une dernière fois. Il nous dit qu’on revient quand on veut, il nous raccompagne et arrive à glisser un doigt dans mon anus devant la porte d’entrée. Je comprends qu’il aurait adoré m’enculer. Je me laisse doigter tandis qu’il dit au revoir à mon mari. Il me lache finalement et nous partons. Dans la voiture j’embrasse tendrement mon mari en silence. On rentre et je suis finalement assez satisfaite de moi. Mon mari a l’air de se sentir bien. Il n’a pas joui et j’ai envie de lui. Arrivés chez nous, je le déshabille. Il bande encore à moitié. Je lui demande si il a aimé. Il répond avec un oui enthousiaste. Je retire ma robe, ma chatte est encore trempée de la salive de Denis et de ma mouille. Mon mari veut me lécher mais je le repousse. A genoux, je le prends dans ma bouche et le suce amoureusement. Il gémit. Je le provoque : « elle suce bien ta salope de petite femme ? ». Il râle d’excitation. Il bande bien maintenant, je vais sur le lit me mets à quatre pattes. « encule moi mon chéri. Encule ta salope, viens ». Il est surpris mais j’insiste, il est derrière moi je guide sa bite contre mon petit trou. Il s’enfonce délicatement mais je pousse mes fesses en arrière pour qu’il s’enfonce. Je l’encourage « baise mon cul chéri, fais toi du bien, claque moi les fesses » il s’éxécute, sa queue me chauffe en dedans mais je m’astique le clitoris et mon anus s’ouvre. Il me tient aux hanches et va et vient en moi. Je me rends compte que j’adore ça. Je caresse mon clitoris pour jouir. Le plaisir monte et mon ventre se secoue de partout, je gémis fort et très vite mon mari explose dans mon cul, c’est bon de sentir nos spasmes s’emmêler. Il se retire avec un bruit horrible, je sens son sperme glisser le long de mes cuisses. Je retombe épuisée et m’endors le sexe et l’anus gluants dans l’odeur du sperme de Denis sur ma poitrine.
De nouveau, je me sens honteuse le lendemain. J’ai honte et peur surtout d’être aussi vicieuse parce que je me rends bien compte que j’aime ça, et aussi, j’ai honte vis-à-vis de mes enfants. Le soir nous ne faisons rien au lit. Je dors mal, me réveille dans la nuit et trouve mon mari nu, en érection, en train de chatter avec des hommes, il prépare déjà le week-end prochain… Je me demande jusqu’où cela peut aller…
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