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Camille dans la salle de bain

Camille dans la salle de bain



J’avais cet ami d’enfance que je voyais toujours. Il avait déménagé sur Paris et revenait le temps d’un weekend. Comme au bon vieux temps il m’avait appelé :

 » Vas-y passe cet après midi. J’ai la piscine et ma mère est au travail. Il n’y a que moi et ma sœur. « 

Aussi je me présentais chez lui sur les coup de 14h. On se rappelait à nos souvenir autour d’un verre en allant se rafraichir de temps en temps dans sa piscine. C’est là que Camille arriva.

Elle revenait de chez une copine à elle et me dit qu’elle était ravie de me revoir. Aussitôt elle s’engueula avec son frère , c’était une de leurs habitudes depuis que nous étions petits.
Bien sur il l’envoya chier en un temps record et retourna faire trempette. Cela me fit sourire tant je connaissais le tempérament sulfureux de Camille. Sourire qu’elle me retourna avant de monter les escalier lentement… les fesses rebondies, moulées au possible dans un jean fin.

Je retournais dehors rejoindre mon ami.

Plus tard dans la journée il avait reçu un texto d’un autre ami a nous qu’il convia de nous joindre. On avait convenu que j’attendais ici le temps qu’il prenne la voiture pour aller chercher Julien à la gare.
Ayant bien profiter de la piscine je décidais de rentrer me sécher dans la salle de bain.
Mon short de bain était trempé et je cherchais une serviette quand la porte s’ouvrit.
C’était Camille. Elle était en maillot de bain. Elle cherchait également une serviette et m’en donna une.Elle allait nager.je restais la m imaginant la rejoindre ne serait-ce que pour revoir ce petit cul humide et sa cambrure de rêve. A cette pensée mon corps se mit à réagir.mon short trempé moulait mon sexe qui continuait de grossir. La porte s ouvrit à nouveau. Camille trempée jusqu’aux cheveux le mascara coulant…

« Tu peux me passer le coton s’il te plait j’ai pas pensé à me démaquiller. »

Je pris donc le coton pendant qu’elle restait a la porte. En m avançant vers elle,Camille se figea une seconde puis me regarda en souriant . Un bref silence et elle me lança….

« elle est grosse quand même »

Gêné je mis ma main pour cacher en vain cette énorme queue dure comme de la pierre que je tenais maintenant le long de ma jambe. Elle fixait mon entre jambe.
je tentais de décomplexé la situation en rigolant :
 » -C’est vrai j’ai quelques atout… »
Voyant qu’elle avançait la tête pour mieux voir, j’eus ce réflexe de descendre ma main le long de ma bite faisant apparaitre a travers mon maillot la forme entière de mon sexe gonflé.
Elle se mit a coté de moi en s appuyant sur le lavabo.
Comme je ne disais rien en la matant elle me dit
« et je suis censée le prendre comment ? »
« disons que Jaime beaucoup ton maillot de bain »
Elle se tourna vers le miroir en se recoiffant et se regardant,
 » t aime bien ? » qu’elle me dit en tirant délicatement sur l’élastique de ses fesses.
Sans même que je m’en aperçoive ma main s’était mise à me caresser.
Camille fixait mon reflet.Elle m’avoua qu’elle aimait bien la matière en tirant sur l élastique à mon intention.
je me tournait à mon tour et en pinçant le tissu de sa culotte ma bite vint frotter ses fesses.Elle ouvra grand la bouche sans rien dire en appuyant de plus en plus fort son cul contre mon bas ventre.
Elle se cambra en me tendant sa croupe alors je sortit ma queue. Je maintenait mon sexe fermement pendant qu’elle frottait avec insistance mon gland contre son anus comme signe d offrande
 » oh oui vas-y ah! ah! j’la sens bien là »
elle tira l’arrière de son maillot sur le coté.Je pris aussitôt le relais en attrapant sa fesse et en lui écartant le cul au maximum. elle passa sa main droite dans son dos,m’attrapa la bite et commença à me branler en haletant. ah! ah oui! ah!
Je lui plaquait les fesses contre le lavabo en les maintenant écartées avec mes deux mains. Elle se tortillait essayant de se recoller a mon sexe mais je la maintenais toujours.
elle mit alors une main sur le miroir, passa sa jambe droite sur le lavabo et tourna la tête vers moi. La bouche ouverte, les sourcils plissés , elle se mis elle même à tirer sur sa fesse jusqu’à m’ouvrir complètement son cul.Je commençais a la pénétrer. Trempée comme elle était cela glissait tout seul.
A mesure que je rentrais je l’entendais gémir. J’en profitais pour lui caresser le clito en continuant de la sodomiser lentement.
« Continu! t arrête pas oui!
J’avais rentré la moitié de mon sexe quand elle prit les choses en mains.D’un mouvement rapide mais contrôlé elle s’enfonça elle même l’objet de son plaisir marquant un temps une fois au bout.
« aaahhh! Continu avec tes doigts! »
son corps en feu frémissait et a chaque coup de bassin de la sodomie qu’elle gérait entièrement je lui enfonçait deux doigts dans sa chatte humide…De plus en plus profond…

« ah oui enfonce moi oh je vais déjà jouir oh! je vais jouir du cul ! »

ces mots m excitèrent tellement qu’après quatre coups de queues a peine elle cria mon nom pendant que nous jouissions à l’unisson
alors à bout de souffle je me retirais quand je la senti continuer.Cela me refis bander aussitôt. Je l’attrapais par la taille en multipliant les coups de reins.
ah! c’est bon…! »
Le bruit d’une voiture qui se garait me rappela immédiatement que j’étais chez mon ami en train de me taper sa gourmande de sœur dans sa propre salle de bain. Paniqués, nous nous étions rhabillés dans la hâte la tache inachevée, nous séparant – elle restant dans la salle de bain moi courant a la piscine – ,sans même avoir échangé le moindre baiser.

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