J’avais rencontré Joanna lors de l’anniversaire de ma sœur. C’était une amie d’une amie de ma sœur et j’avais compris qu’elle était là pour faire nombre. Il y avait de quoi désaltérer tout un régiment et j’avais bu. Peut-être qu’elle avait bu elle aussi ? Je me souviens encore qu’à un moment j’avais mis la main sur sa poitrine. Elle avait ri tout en me demandant si je cherche mon trousseau de clé et j’avais déboutonné son corsage. Elle n’avait pas de soutien-gorge et j’avais découvert un superbe nichon bien rond au bout pointu. Joanna m’avait demandé s’il me plait. Je lui avais répondu que j’aime bien les jumeaux et elle m’avait laissé les maltraiter. Il n’y avait personne dans notre coin. J’avais fini par descendre une main entre ses cuisses et elle m’avait demandé si je veux baiser. Je n’avais pas vu qu’elle avait descendu elle aussi sa main sur ma bite.
– Tu bandes, m’avait lancé Joanna ! Tu veux baiser ? Tu vas me la mettre bien au fond ! J’en ai envie et il y a longtemps que je n’ai pas fait ça, avait-elle ajouté !
Elle m’avait sorti la bite et elle avait commencé à l’astiquer. Au bout de quelques minutes, elle m’avait dit que je n’allais quand même pas jouir maintenant et elle m’avait abandonné une minute. Je m’étais demandé où elle était partie mais elle était revenue avec une capote et elle me l’avait enfilé. Je lui avais dit que je n’ai pas l’habitude de mettre ma bite n’importe où et elle avait ri en me répondant qu’on ne sait jamais puis elle s’était hissée sur un petit meuble et elle avait ouvert les cuisses.
– Allez ! Fais-moi plaisir et mets-là moi bien profond, avait elle ajouté en m’attrapant par les hanches !
Je m’étais enfoncé. Cela faisait bien trois ans que je n’avais pas trempé ma bite dans un vagin et que je me contentais de me branler en regardant du porno. Je baisais Joanna et elle me disait que la prochaine fois on fera mieux puis j’avais joui. Elle ne bougeait pas.
– Ah, c’est bon, avait-elle fini par me dire ! Tu n’aurais pas envie de mon petit cul ?
Je savais très bien ce qu’elle voulait dire mais je n’avais jamais fait ça. Elle s’est laissée glissée vers moi.
– Mets-la moi, avait-elle ajouté en saisissant ma bite puis elle l’avait guidé dans son anus. Je lui avais demandé si elle aime ça et elle m’avait recommandé de m’occuper de sa poitrine. J’avais fini par lui murmurer que je l’encule et elle m’avait répondu que je vais m’y faire. J’avais la bite un peu flasque et je savais bien que ça n’allait pas durer longtemps.
C’est à ce moment que ma sœur a fait son apparition au bout du couloir. Je l’ai bien vu et j’ai même croisé son regard. Elle n’a rien dit et elle nous a laissés.
Un peu plus tard, ma sœur m’a dit que je n’ai pas perdu mon temps et on en est restés là.
J’ai continué à voir Joanna. Elle n’avait pas menti et comme elle avait beaucoup d’imagination, nous soirées devenaient de plus en plus chaudes. Je dînais avec elle dans un restaurant quand j’ai rencontré Cathie. Elle était assise seule à une table à côté de la nôtre. Elle nous a demandé de lui passer le sel. Joanna s’est exécutée. Pour m’amuser, j’ai demandé à mon amie si elle aime aussi les femmes. Elle a rougi puis elle m’a avoué que ça lui était arrivé dans le temps.
– Et pourquoi tu as arrêté, lui ai-je encore demandé ?
Elle ne m’a pas vraiment fourni d’explication. Quelques jours plus tard, alors que je lui proposais de partir quelques jours en week-end, elle m’a demandé si on ne pourrait pas emmener Cathie.
Je ne sais pas pourquoi, j’étais heureux de sa proposition. J’ai répondu qu’elle pourra baiser avec elle.
– Toi aussi, m’a répondu mon amie et nous sommes partis à trois. J’ai tout de suite compris qu’elles allaient super bien s’entendre. J’étais en train de la baiser quand je lui ai dit que Cathie doit s’ennuyer toute seule dans sa chambre. Joanna m’a proposé d’aller la chercher mais je me suis dégonflé. Elle était assise sur moi et elle s’empalait sur ma bite. Je jouais avec ses seins. Je n’avais jamais vu de nichons aussi excitants. J’ai déchargé. Mon amie m’a traité de cochon et je me suis endormi et pendant les deux jours qui ont suivi, elle m’a juré que Cathie a envie de moi mais je n’ai pas cédé.
Pour Séverine, ça a été plus difficile. Je l’ai draguée et elle ne semblait pas vouloir me céder et j’ai mis du temps à gagner sa confiance mais dorénavant, je pouvais sortir avec trois filles. Un soir qu’on rentrait d’avoir fait la fête, je leur ai proposé d’aller finir la soirée chez moi. Joanna se doutait bien de ce que je voulais faire mais elle n’a rien dit et une fois chez moi, je les ai emmenées dans ma chambre et je leur ai dit de se déshabiller et de se mettre en place. Ça a jeté un froid. Les filles se sont regardées sans dire un mot et la soirée a été terminée.
J’ai recommencé quelques semaines plus tard. J’avais pu les faire sortir à nouveau avec moi. Quand on paie tout, forcément, ça aide. Je les ai invitées chez moi et une fois dans la chambre, je leur ai fait la même proposition. Cette fois-là, elles se sont regardées puis elles ont ri mais elles se sont quand même déshabillées. C’est comme ça que j’ai découvert que Séverine avait tout le bras doit tatoué. Elle avait aussi un tatouage sur le mollet et une inscription sous le sein gauche. Je lui ai demandé à quoi correspondait cette date et elle m’a répondu que c’est ce jour-là qu’elle avait perdu son pucelage.
Mais ce qui intéressait les deux autres filles, c’était son bras tatoué. Elle voulaient tout savoir, si ça lui avait fait mal, si ça lui avait coûté cher, pourquoi elle avait fait ça. Sévenine leur a répondu qu’elle aime avoir des dessins sur son corps. Du coup, je lui ai demandé pourquoi elle n’en a pas sur sa poitrine. Elle m’a demandé si ça me plairait puis elle m’a dit qu’elle n’en veut pas à cet endroit. Je lui ai demandé pourquoi.
– Encore que, si j’étais la seule, m’a-t-elle répondu…
– En place, a demandé Joanna ? Tu nous baises ?
Elle s’est penchée sur le lit et elle y a appuyé ses mains et Cathie a fait de même et Séverine s’est sentie obligée et elle a fait comme les deux autres. Maintenant j’avais trois jument à saillir. Ce n’était que la seconde fois que je baisais Séverine. J’ai saisi ses hanches et je me suis enfoncé dans son vagin.
– Oh, mon dieu, a-t-elle gémi !
Les deux autres filles frémissaient à côté d’elle. Les seins pendaient. J’ai caressé ceux de Séverine et je lui ai dit qu’elle est belle.
– Cochon !
J’ai demandé aux deux autres ce qu’elles attendaient. Joanna s’est mise de l’autre côté pour l’encadrer. Je n’en revenais pas qu’elle soit si souple. Elle a glissé sa tête sous le torse de Séverine et elle a embouché un téton qu’elle s’est mise à téter. Cathie a fait de même.
– Oh, mon dieu, a gémi Séverine !
Je l’ai laissée pour m’enfoncer dans Joanna.
– Salaud ! Au moment où j’allais jouir, m’a lancé Sévernine !
Joanna lui a répondu qu’elle jouira plus tard.
– Tu m’encules, m’a réclamé Joanna ?
Je me suis enfoncé dans son anus mais Cathie a voulu que je lui en fasse autant. Je leur ai dit que je suis content. Elles frémissaient de la croupe toutes les trois Je suis retourné à Séverine et j’ai fini dans son vagin. Après elles se sont efforcées de me faire bander et j’ai pu les satisfaire encore un peu mais je me suis effondré sur le lit, les couilles complètement vides.
J’ai pu tenir ce régime jusqu’aux vacances et je me suis juré de faire abstinence mais ça a été difficile parce que ma voisine à l’hôtel était canon, mais c’est une autre histire
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