Un fruit défendu
Le téléphone a sonné. C’était ma belle-sœur. Que voulait-elle. Je ne l’avais jamais beaucoup aimée. Une femme rigide, obtuse, comme si elle avait un manche à balais dans le cul.
– Est-ce que tu pourrais héberger ta nièce pour deux jours, m’a-t-elle demandé ? Elle vient passer un concours dans ta ville !
Je n’en revenais pas que ma belle-sœur m’ait demandé ça. J’ai demandé quand ça serait et elle m’a répondu que c’est le jeudi et le vendredi soir dans deux semaines.
J’avais bien quelque chose à faire ces soirs-là et j’ai répondu que je ne pouvais pas accueillir ma nièce.
– Je ne vais tout de même pas la mettre dans une chambre d’hôtel, a insisté ma belle-sœur ! Tu sais bien qu’elle est très timide et j’ai confiance en toi !
J’ai fini par accepter et le jeudi soir, j’ai vu arriver ma nièce. Je ne l’avais pas vue depuis sa communion solennelle et ce n’était plus une petite fille mais une jeune femme de dix-neuf ans. Elle m’a sauté au cou et elle m’a embrassée sur les joues puis elle m’a demandé où elle va dormir. J’avais débarrasser la seconde chambre qui me servait de débarras et c’était plus habitable.
Anna a jeté son sac sur la commode près de la porte et elle s’est jetée sur le lit comme elle se serait jetée sur un trampoline puis elle s’est assise.
– Qu’est-ce qu’on mange, m’a-t-elle demandé ?
Pendant le dîner, je lui ai demandé des nouvelles et aussi sur les études qu’elle faisait. Elle m’a répondu qu’elle veut faire esthéticienne.
– Tu veux dire massages, soins du visage et tout ça, lui ai-je demandé ?
Elle m’a répondu que c’est ça. J’allais de temps en temps me faire soigner et j’avais pu apprendre que certaines employées faisaient des heures supplémentaires avec les clientes et je me suis retenue de dire à ma nièce que je connais ça.
Elle m’a aidée à faire la vaisselle puis elle est allée se coucher. En allant dans ma chambre, j’ai entrouvert la porte de la chambre où dormait ma nièce. Son sac à main était resté sur la commode et comme elle dormait, j’ai pris son sac et j’ai fouillé dedans. Son smartphone était sur son chevet et puis je n’avais pas le code pour fouiller dedans.
Dans le sac, il y avait une lettre que j’ai lue. C’était un test pour rechercher les MST mais ma nièce n’avait rien. Il y avait aussi un petit carnet bourré de numéros de téléphones et d’adresses puis j’ai trouvé des photos dans une enveloppe. Sur la première, ma nièce était toute nue, à quatre pattes sur un lit et les fesses en l’air et un homme derrière elle et qui lui enfonçait le pénis dans l’anus. Au dos était sans doute son prénom : Boris.
Sur une autre photo, c’était une fille qui lui léchait la chatte, sur une autre, une fille qui tétait un mamelons de ma nièce. Mais sur la dernière photo, toujours dans la même position, il était écrit P U T E sur ses fesses et il y avait aussi deux flèches, l’une montrant son anus et l’autre sa chatte et son anus était bouché par un plug.
J’avais la sueur au front et je me suis surprise en train de me toucher. Il y avait aussi une carte de visite d’une certaine Natacha dans cette enveloppe et dessus était écrit que ma nièce devrait se faire payer.
J’ai remis la lettre dans le sac à main et j’ai touché autre chose que j’ai sortie du sac, un vibromasseur minuscule qui s’est mis à vibrer quand je l’ai allumé et que j’ai posé sur mon clitoris pour avoir un orgasme.
C’était vraiment efficace. J’ai tout remis dans le sac à main de ma nièce et j’ai remis le sac dans sa chambre dans la commode.
Le lendemain matin, au petit-déjeuner, j’ai demandé à ma nièce si elle a un petit copain. Elle a baissé les yeux et j’ai insisté en lui disant qu’il n’y a pas de honte à en avoir un et elle m’a répondu qu’elle en a eu un mais qu’ils ont rompu et je lui ai avoué qu’il m’est arrivé de tromper son oncle – j’ai attendu un instant avant de finir ma phrase – avec des femmes, ai-je ajouté et ma nièce a rougi.
Et moi, l’air admiratif, je lui ai demandé si elle a fait ça avant d’ajouter qu’il n’y a pas de raison et j’ai insisté en ajoutant quelque chose que je venais d’inventer en disant à ma nièce que mon mari m’a trouvée sur un trottoir alors que je faisais la putain.
– Qu’est-ce que tu faisais avec ton ami, ai-je ajouté pour profiter de la situation ? J’espère que c’était pas des cochonneries ? C’était des cochonneries ? J’espère que tu ne te laissais pas enculer ?
– Si, m’a tout de suite avoué ma nièce ! J’étais amoureuse et je n’avais pas de raison de lui refuser !
– Alors, tu faisais tout ?
– Si tu savais, m’a répondu ma nièce… Il faut que j’y aille si je ne veux pas être en retard !
Je l’ai laissée partir et toute la journée, j’ai attendu que ma nièce revienne. Elle est arrivée à six heures du soir. On s’est fait la bise et pendant qu’elle buvait un verre d’eau, je lui ai dit que si je n’ai jamais fait ça, je ne peux pas lui en vouloir d’avoir fait ça.
– Tu sais, ce n’est pas que j’aimais vraiment ça, mais ça semblait tellement lui plaire !
– Et qu’est-ce que tu as fait d’autre pour ce garçon, ai-je encore demandé ?
– Il aimait que je sois toute nue sous la robe, a ajouté ma nièce, que j’écarte les cuisses pour montrer ma chatte !
– Je suis sûre que s’il t’avait demandé de coucher contre de l’argent, tu aurais accepté !
Elle m’a avoué que c’était la vérité même si elle ne l’avait jamais fait.
– Ma pauvre chérie, lui ai-je alors dit en posant la main sur son épaule !
Ma nièce a relevé la tête vers moi et j’en ai profité pour l’embrasser sur les lèvres et quand je me suis relevée, elle n’a pas bougé et j’ai recommencé à l’embrasser.
– Tu sais que tu me plais beaucoup, ai-je ajouté ! Je voudrais faire l’amour avec toi !
– C’est vrai, m’a demandé ma nièce en bégayant, tu as vraiment envie de moi ?
– Et toi, lui ai-je demandé ?
Elle s’est levée de sa chaise.
– Je ne suis pas rasée, m’a-t-elle avoué !
Je lui ai répondu que ça n’a pas d’importance et j’ai ajouté que je la raserai et je l’ai suivie dans sa chambre et j’ai rasée entièrement sa toison puis je lui ai fait un cuninlingus avant de m’allonger à côté d’elle.
– Sais-tu que dans les salons de beauté, certaines filles font des massages un peu spéciaux, lui ai-je encore demandé ?
– Oui, je sais, m’a répondu ma nièce !
– Tu vas faire ça ?
– Pourquoi pas, m’a-t-elle répondu ! Ce n’est pas un salaire de masseuse qui va me faire vivre et il faudra bien que je fasse des extras ! J’en suis bien consciente et ça ne me dérange pas. Autant se faire payer que de faire ça gratuitement ! Est-ce que je peux te faire ce que tu viens de me faire, a-t-elle ajouté ?
– Bien sûr !
– Je voudrais te faire un cadeau !
Je ne lui ai pas laissé le temps de répondre et je suis allé chercher un plug anal dans ma chambre et j’ai demandé à ma nièce de me laisser faire et je le lui ai enfoncé dans l’anus avant qu’elle ne commence à me lécher puis elle m’a fait avoir un orgasme et j’ai fini la nuit dans son lit. Le lendemain matin, elle est retournée chez sa mère puis le téléphone a sonné. C’était ma nièce. Elle m’a demandé si on peut se parler avec Skype. Je n’avais pas ce programme là et elle m’a expliqué comment l’installer.
– C’était bien l’autre nuit, m’a-t-elle ensuite demandé ! Tu ne voudrais pas qu’on recommence ?
On s’est appelées avec Skype et je me suis déshabillée moi aussi. J’ai eu l’impression de rajeunir. Elle m’a demandé de faire des choses et je les ai faites devant elle puis elle m’a obéi. C’était vraiment excitant. Malheureusement, quand elle m’a demandé si on peut faire ça à quatre, comme je n’avais personne, j’ai refusé et ma nièce s’est fâchée et elle m’a traité de lâcheuse et ça a été terminé.
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