Une fois l’école terminée, chacun de notre coté, avons trouvé travail. On se voyait moins souvent, Marlene y compris. Un jour j’apprends que mon chum se tue dans un accident d’auto, exposition, église, funérailles, je regarde Marlene pleuré, je la prends dans mes bars, la serre, je l’embrasse dans le cou. Tout le monde part chacun de leur coté, je donne mon numéro de téléphone a Marlene. Plusieurs mois plus tard, par un beau soir d’été, le téléphone sonne,
– allo
– allo, c’est Marlene
– hey, comment ca va ?
– pas pire, je pense souvent a Alain
– moi aussi, je m’ennuie de lui
– est-ce que je pourrais passer te voir ?
– ben oui arrive, nous prendrons une biere a sa mémoire
Je lui donne mon adresse. Au bout de vingt minutes, sa sonne, j’ouvre et quelle est belle, la Marlene, on se fait la bise, ma queue leve doucement. Je l’invite a rentrer, lui offre une biere et a la prendre sur le balcon. On s’installe, j’ai une toile qui fait le tour du balcon et un gros arbre devant mon appartement, la nuit tombe. On parle de notre jeunesse, les fois ou l’ on baisait tous les trois. Marlene porte une jolie robe d’été, bretelle, beau décolleté. Ma bite leve. Elle dépose sa main sur ma jambe, je fais pareil. On se regarde, pas un mot, pas besoin. Je releve doucement le bas de sa robe dévoilant ses jolies cuisses, elle les écarte, dans la pénombre, je vois qu’elle ne porte pas de culotte. Ma queue est au garde-a-vous, elle pose sa main dessus. Elle se penche lentement et de ses deux mains défait les boutons de mon pantalon, je me leve un peu et elle fait glisser le pantalon aux genoux, je ne porte pas de sous-vetements, elle vient me prendre la queue en bouche. Je lui caresse les cheveux, elle commence a me faire une fellation de premiere. Elle, pencher, je releve sa robe, découvrant son petit cul, je le caresse, passe mes doigts entre ses fesses jouant avec sa rondelle et un peu plus loin, avec sa chatte.
Elle mouille beaucoup, une vraie chatte en chaleur. Elle me laisse la queue, se met a genoux s’accote a sa chaise m’offrant son cul, je m’installe comme elle, colle mon gland a l’entrée de sa pastille. Doucement, ma queue rentre si facilement, elle se glisse entierement. Je sens sa main jouer avec son bourgeon. Je me penche sur elle pour lui masser les seins. Je commence mes va-et-vient, elle gémit, je la connais, elle aimerait crier de plaisir et cela m’excite au plus haut point, mais pas sure que les voisins apprécieraient. Tellement exciter que j’explose, je l’inonde de mon yaourt, ma creme, ma semence, mon jus, ma liqueur, mon foutre. Je ne débande pas, elle se libere et viens me sucer a nouveau, avec force, elle serre ma bite dans sa main, elle me masse les couilles, me les serre aussi, oh la salope, une nouvelle coulée de sauce, qu’elle avale avec plaisir, pas besoin de lui demander. on se rassied sur nos chaises pour reprendre notre souffle,
– chérie, tu restes coucher ?
Comme seule réponse elle me sourit et me demande si elle peut aller prendre une douche. Elle resort de la salle de bain, dans son plus simple appareil, qu’elle est belle la Marlene,
– a mon tour de prendre ma douche, ce ne sera pas long, installes-toi chérie
Je termine la douche, va a la chambre, elle dort, nue, sur les draps, sur le ventre. Je m’assieds sur le lit et lui caresse le popotin, de petites fesses bombées, bien rond, je bande. Doucement je lui leche la croupe un moment, je me crosse et éjacule sur son posterieur. Mon sperme coule entres ses rondeurs jumelles. Je viens lecher ma sauce, de mes mains écartées et nettoie sa rondelle. Je me couche pres d’elle et m’endors aussi , j’ai hate a demain
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