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L’Ange infidèle

L’Ange infidèle



Avertissement:
Des passages de l’histoire peuvent être dur, ou bien le protagoniste peut avoir une attitude irresponsable, alors je previens les habitués de la critique, ceci reste une creation érotique, merci.

pouvez vous me dire l’émotion que vous éprouvez à la lecture de cette fiction?

22:00. : je rentre du travail deux heures plus tôt que d’habitude. J’envoie un message à ma femme pour lui annoncer la bonne nouvelle. Pas de réponse, elle doit sûrement dormir. Bizarrement les 30 km qui me séparent de mon domicile, me semblent interminable, la fatigue certainement, vu la semaine chargée que j’ai eu.
Arrivé chez moi 20 minutes plus tard, une voiture est garé à ma place, je peste !! Ces nouveaux voisins font chier à ne pas respecter le stationnement de la résidence. Je me gare donc plus loin. Il va falloir que j’aille demain leur rappeler que chaque place du parking est attribuée.
Je monte les escaliers et ouvre ma porte sans bruit. Il manquerai plus que je réveille nos gosses !! je n’allume pas la lumière et me dirige vers le salon et dépose mes affaires, et toujours à pas de loup me dirige vers notre chambre. Tiens, la lampe de chevet est allumé me dis-je, elle a oublié de l’éteindre . Je pousse la porte, suspends mon geste, ce que je vois me laisse sans voix, un étau comprime ma poitrine, je retire brusquement la porte. Je me passe les mains sur le visage. Ce n’est pas possible, j’ai dû rêver. J’entrouvre de nouveau légèrement la porte et…Non je ne suis pas en plein délire. Ma femme est là à genou devant notre lit, occupée à sucer un homme à demi allongé. Je scrute le visage de cet inconnu. À son visage, la caresse buccale de ma femme doit lui plaire, normale vu que c’est une experte. je devrais ouvrir grand la porte, gueuler, mettre dehors ce connard qui se tape ma femme dans mon dos. Mais je ne bouge pas. Je regarde. Ma femme mets beaucoup de rythme dans sa fellation. Mon regard suit son corps, qui même dans ce rapport adultère reste magnifique. Je suis partagé entre dégoût et admiration. Sous ses fesses je vois de l’agitation, elle se masturbe pendant qu’elle avale la bite de son amant. Je dis bien avaler, car si elle lui fait la même chose qu’à moi elle ne fait pas dans la dentelle.
Au bout de quelques minutes qui me semblent interminable, l’homme repousse ma femme la relève et la fait mettre à quatre pattes sur le lit, et sans douceur, lui pénètre le vagin. Ma femme pousse un grand cri, elle d’habitude , si silencieuse par peur de réveiller les enfants. L’homme commence à la besogner avec rudesse. Ma femme crie. Les cuisses de son amant cognent avec entrain sur les fesses de ma femme. Il ressort entièrement et retourne au combat, avec frénésie. Une main s’abat avec grand bruit sur le fessier de mon épouse. Après l’avoir besogner de la sorte , il se dégage d’elle et grimpe sur le lit. J’ai peur de comprendre la suite. À la manière d’un acteur porno afin que le branleur voient bien la scène, il pose son gland sur la petite porte de ma femme et pousse sans douceur. Ma femme étouffe son crie dans son oreillé. Son amant la sodomise violemment. Ça doit lui plaire à ma femme qui, toujours cachée dans son oreillé ne se retient plus de crier. Et comme chaque fois que nous faisons cela ma femme et moi, elle se masturbe le clito et se doigte son minou. Elle ne va pas tarder à jouir, que je pense. D’ailleurs voilà dans un long cri étouffé, je vois les spasmes sur les muscles de son fessiers, et .. non je ne rêve pas, une flaque se forme sous elle. Elle a éjaculée…. chose que je n’avais jamais réussi à lui faire faire.
L’homme apparemment très excité par l’orgasme de ma femme, sort brutalement de son cul, et j’entrevoie un court instant, le petit trou béant laissé par le vit de ce connard, la ramène à genou devant lui et lui mets sa pine dans la bouche bien au fond et la maintiens de ses mains derrière sa tête et lui éjacule dans la bouche. Ma femme n’a d’autre choix que d’avaler. Je le vois au mouvement de sa gorge. L’homme se retire satisfait. Ma femme dit avec un petit rire qui me fait mal : beurk c’est degeu après une sodo, t’es trop con, en plus je l’ai jamais fait à mon mari, alors qu’il en rêve. Alors tant mieux de te l’avoir fait le premier, répond t il ce connard !!
je referme la porte doucement , et saisi mon portable d’une main tremblante et textotte rapidement un sms : « désolé du retard , ya eu un soucis sur la route, je viens d’arriver, y’a encore un con qui s’est garer à ma place. » deux sec après c’est l’agitation dans la chambre le gars sort précipitamment en rigolant « et dire qu’on a failli se faire prendre. » je le maudi intérieurement et reste caché dans le salon. Le voilà parti. Quelques minutes plus tard je rentre dans la chambre. Elle empeste l’odeur de cul. La lampe est eteinte. Je me glisse sous les draps et embrasse ma femme comme si de rien était. Je lui murmure inoscent : »tu dors ? » et me réponds presque. Je lui retourne : tu a du te coucher de bonne heure vu que tu n’a pas répondu à mon sms » sa réponse : « oui car je m’ennuyai et je me suis dis que je ferai mieux de me reposer en t’attendant. Sur ce elle viens me déposer un baisé sur la bouche. J’en eu un haut le cœur, vu que c’est là que mon rival s’est vidé. Je la repousse , et lui dit » allez bonne nuit car tu dois être vraiment fatigué » et là dessus je lui tourne le dos et fais semblant de m’endormir. Je sens la caresse de sa main sur mon dos. Apparemment son amant ne lui a pas suffit. Mais je l’ignore. Finalement , elle me laisse tranquille et semble s’endormir. Moi dans ma t^te le bruit des cuisses sur les fesses de ma femme , la vision de son petit trou bien ouvert, l’image du sperme se répandant au fond de sa gorge, le tout résonne dans ma tête. Qu’ai-je fait( ou plutôt qu’ai-je pas fait pour être cocu?)Cela fait déjà une semaine que j’ai découvert l’adultère de ma femme. J’essaie de faire comme si de rien était, mais ce n’est pas facile. moi qui aime tant le contact des lèvres de ma femme, je ne supporte plus ses baisés, les moindre gestes de tendresse de sa part me sont insupportable. Hier soir, remarquant mon angoisse, elle m’interroge :
-quelque chose te tracasse mon chéri?je vois bien que tu es préoccupé !! si tu veux parler je suis là !!
-c’est à cause du travail, le patron est sur notre dos en ce moment, ça devient pesant
je suis honteux de ce mensonge. Mais c’est tout ce que j’ai trouvé.
-il faudrait que tu lèves un peu le pied, pourquoi tu ne prendrai pas des vacances ? Ça te ferai du bien !!.. et à moi aussi… je m’ennuie le soir en t’attendant….
Sa voix s’est fait tendre, sa main me caresse le torse…je la laisse faire, dégouté par son mensonge.

t’en fait pas, ça va aller…

Voilà où j’en suis. Ce soir, j’ai encore fini tôt. Il est 21:00. mon regard se perd dans mon verre. La couleur ambré de mon whisky me rappelle les yeux de ma femme. Je lève les yeux et croise mon regard dans le miroir derrière le comptoir du bar. Mon dieu.. j’ai le visage fatigué, marqué par l’ivresse qui me monte au cerveau, mes yeux sont rouge, injecté de whisky. Ce soir j’ai trop bu. Je n’ai pas le courage de rentrer. J’ai peur de tomber encore sur lui. D’une traite j’avale le contenu de mon verre. L’eau de feu me brûle la gorge et l’œsophage, je me lève et me dirige vers les toilettes.
Je me passe de l’eau sur le visage, le contact froid me sort de ma torpeur de nouvel alcoolique et me fait du bien. Je regarde ma montre : 22:00, il est temps de rentrer. Je repasse devant le comptoir et balance un billet sur le comptoir et gromèlle un bonsoir à la serveuse et sort. J’entends la voix de la miss m’appeller :
-Monsieur votre monnaie !!
je ne prends pas la peine de me retourner, je lui fait juste un petit signe de la main, et pars.
Je m’installe au volant de ma voiture, et demarre. Je ne suis pas en état de conduire, je devrais appeler un taxi, mais ce soir je m’en fiche.
40 minutes plus tard je me gare sur ma place. Je remonte chez moi le pas traînant, dans l’escalier je percute un homme avec un chapeau sur la tête. Croyant reconnaître un habitant de l’immeuble je m’excuse et m’écarte pour le laisser passer. Toujours en silence je rentre chez moi. Je me dirige vers la chambre. Ma femme paraît dormir. Je le sens. Il est venu ce soir. Dans l’air de la chambre flotte un mélange d’odeur de fluide féminin et masculin….je sens que je vais vomir. Je descelle une odeur de parfum, où ai-je déjà senti ce parfum ? Putain !!! le mec dans l’escalier !!! le bâtard il a dû bien rigoler!!!ils ont dû me voir arriver par la fenêtre de notre chambre . Je me laisse tombé sur mon lit, me déshabille et me couche tournant le dos à ma femme. Comme d’habitude elle me carresse le dos et se blotti contre moi et m’embrasse dans le cou. Je ne peux m’empêcher de frissonnner.
Sentant mon halèene chargé elle me susurre : « tu a bu ? »

oui on a fêté le départ à la retraite d’un collègue, mentis-je

elle me retourne et me dépose un baisé sur ma bouche. Sa main descend et cherche ma verge. J’ai envi de la repousser mais je me laisse faire. Elle a tôt fait de me faire bander. Elle m’embrasse le torse, sa bouche cherche mes tétons, sa langue tourne autours, ses lèvres les sucent, je frissonne. Puis elle continue sa descente, prenant soin de m’embrasser le ventre, je sens son souffle sur ma verge, qu’elle tiens toujours dans sa main imprimant toujours un doux va et viens. Elle embrasse le bout de mon gland. je frémis. Je sens sa bouche s’entrouvrir. Ses lèvres englobent le bout de mon sexe. Sa bouche est chaude. Je sens sa langue sur mon frein, c’est trop bon !! les mouvements de sa main ralentissent . Elle entame de petit va et viens avec sa bouche, accentuant à chaque fois la profondeur, faisant pénétrer à chaque allée mon sexe plus profondément dans sa gorge. Me voilà au fond. Je sens sa langue tendu vers la base de mon pénis. L’alcool aidant je sens que je ne vais pas tarder à jouir, alors même qu’elle vient de commencer sa fellation. Mon dieu que j’adore cet bouche qui emprisonne mon sexe !! une fellation toute en douceur et malgrès tout tres profonde. Je sens la jouissance monter. Dans ma tête , me reviens l’image de son amant se répandant dans sa gorge. Profitant d’etre au fond de sa gorge je me saisi de sa nuque et l’empeche de se retirer. Et dans cette image honteuse de ma femme se rassasiant du jus de mon rival, je me répand bien au fond de sa bouche. Ma femme manque de s’etouffer, se retire violement et crache ma semance au sol. Elle m’engeule comme on engeule un gosse qui viens de faire une connerie. Elle ne l’a pas engeuler lui quand il a remplis sa bouche !! je m’excuse, pretextant l’alcool et l’excitation de sa carreses. Je me retourne et me laisse aller dans les bras de morphé, où m’attendent un cauchemar de ma femme avec son amant….

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