Vendue aux enchères, mon acquéreur me ramène chez lui dans son coffre de voiture.Sur le retour, comme il est impatient d’utiliser sa nouvelle acquisition, il s’arrête dans un endroit isolé de la foret et me fait sortir du coffre. en me disant:
« Va te dégourdir les jambes que je profite de tes charmes! »
Il est vraiment content en me voyant évoluer devant lui et me complimente:
« Tu m’as coûté un bras, mais j’en ai pour mon argent. T’es vraiment bien roulée. Qu’elle belle salope tu fais! »
Entendant des voix qui se rapprochent, je prends peur et revient vers la voiture en tentant maladroitement de cacher mes charmes avec une main devant mon intimité et l’autre devant mes seins. Agacé par mon comportement, il me lance:
« Tu n’est qu’une femelle débile! Repars et attends que je te siffle pour revenir! »
Les voix se rapprochant, je tarde à obéir. Il me donne alors un bon coup de laisse qui claque sur mes fesses. Je pousse un petit cri et je m’éloigne d’une dizaine de mètres. D’un coup de sifflet bref, je me retourne et reviens vers mon Maître. A ce moment, deux hommes apparaissent dans la clairière qui me voient nue marchant à quatre pattes. Ils s’arrêtent stupéfaits.
Christian les rassure:
» Je la dresse. Mais n’ayez pas peur, elle ne mord pas. Elle n’est pas farouche ! Allez Michèle aux pieds … plus vite ! »
En trottinant vers lui, mes seins ballottent. Prés de mon Maître, je m’agenouille à ses pieds, la tête baissée, honteuse d’être observée par ces inconnus. Il me remet le collier en leurs disant:
« Je prends mes précautions. Je viens juste de l’acheter. On ne sait jamais, avec les animaux les réactions qu’il peuvent avoir parfois! »
Rassurés, les deux hommes se rapprochent. Le plus âgé demande:
» Belle femelle, dites-donc ! Vous l’avez payé chére? »
« Oui! Une blinde! Mais je suis satisfait! »
Le jeune, plus timide, reste en retrait mais ne me lâche pas des yeux. Christian dit à l’ancien:
« Je vois que le jeune homme bave d’envie devant ma femelle. S’il le souhaite, il peut la caresser et jouer avec! »
Le vieux se retourne vers lui et lui demande:
« Petit ! Le monsieur veut bien que tu joue avec sa femelle! Profite-en! Elle ne te dira rien. Elle ne mord pas ! »
Il approche la main et commence à me flatter les seins. Fasciné par le contact élastique de mes mamelles et par ma docilité, il prend confiance et se met à me malaxer les seins avec vigueur. Christian lui dit:
« Vas-y! Fais-toi plaisir! On me la vendu comme étant une bonne suceuse! Rien qu’à la bosse qui se forme au niveau de ton pantalon, on sent bien que t’as envie de te faire sucer! »
Il ouvre sa braguette et sors une magnifique bite flamboyante. Christian tire un coup sur le collier m’ordonne:
« Allez! Suce le ! Montre à ces braves gens comme tu suces bien ! »
Je gobe sa bite et commence à le sucer. Christian content de ma prestation et de mon obéissance dit au vieil homme :
« Si ça vous dit ? Ne vous gênez pas ! vous pouvez même la saillir! »
Il sourit et répond:
» C’est proposé si gentiment ! Pourquoi pas ! C’est pas de refus! »
Il se place derrière moi, sort son engin et m’enfile en levrette.
« Putain, j’avais oublié combien c’était bon ! Vraiment, c’est une bonne chienne que vous avez là, dites-donc ! » Complimente l’ancien.
« Allez! vas-y ma chienne, fais leurs du bien! »
Le jeune lâche rapidement une telle quantité de sperme dans ma bouche que je m’en étrangle.
« Décidément j’ai une belle affaire avec cette petite chienne! Elle avale même sans lui demander! C’est bien! T’es une bonne chienne ! Mais maintenant, tu dois nous vider les couilles ! Viens me sucer pendant que le grand-pére t’encule ! »
Docilement en terminant de déglutir le sperme du jeune, je prends mon Maître dans la bouche pour soulager. Le vieux me ramone sévèrement le cul en me tirant par les hanches. Mes gros seins ballottent sous les coups de boutoirs. Le vieux est le premier à se vider en remerciant Christian de lui en avoir laissé l’usage. Mon Maître ne tarde pas le suivre en lui disant dans un grognement de plaisir :
« Il n’y a pas de quoi Monsieur elle est faite pour ça ! »
Puis ayant bien abusés de moi comme une vide couilles, il me ficelle et me remet dans le coffre pour repartir vers son domicile, laissant les deux promeneur satisfait de la femelle qu’il ont pu utiliser à leur souhait.
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