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Je pars à sa recherche

Je pars à sa recherche



Il m’a laissé ainsi, moite et abandonnée, au bord de cette route, je rassemble mes idées et mes affaires… Qui est-il ? Qu’Est-ce qui m’a pris ? Il est 19h00, je remonte en auto et je file préparer les sandwichs. Mon minou ruisselle encore de cette substance, à l’odeur âcre et au goût râpeux. Je suis ailleurs… je renverse le pot de cornichons… 20h45, un SMS me sort de ma torpeur :
« on a faim »
« Oui, j’arrive ».

Les sandwichs sont prêts, je prends le pick-up et je file emmener les 4 sandwich pour lui et son employé. L’air est encore chaud, le soleil attaque encore, l’odeur de poussière commence à stagner dans la vallée indiquant que la nuit est proche.
Eric, son employé me scrute sitôt que j’arrive, il n’a pas loupé une miette de mon entrebâillement tout à l’heure. Je le toise, il baisse les yeux. Je descend du pick-up, et oups… ma robe reste collée au skaï du siège, et à ce moment, il voit tout. Rouge pivoine le gamin ! Cela me donne du peps.

Je distribue les rations et je rentre. Non sans faire un détour par le village voisin, juste pour observer… peut-être que… mon cœur bat à la chamade, je ne sais même pas où il habite.
Rien, nada, que dalle. Je rentre.

Je m’endors sur de belles pensées, avec beaucoup d’interrogations.

Nous sommes dimanche, le lit est déjà vide, je ne l’ai pas entendu rentré s’il est rentré. J’ai l’impression d’avoir bu, j’ai une migraine d’enfer. Il est rentré… une odeur de café flotte dans la maison et les rayons du soleil percent sous la porte de la chambre. J’entends parler. Je n’ose me lever, j’écoute. C’est un autre agriculteur du village.

Je mets un peignoir et je me lève, les cheveux en vrac, c’est le Jean-Paul. Ils boivent le café et refont leur moisson d’hier.
Je déambule telle un robot, je bois mon café et file à la douche. Il me revient à l’esprit. Je somnole dans de confortables pensées sous la douche. Mes tétons se dressent et le pommeau de douche fait le reste.
Ma migraine s’estompe et je décide de descendre au pain au bourg, à 12 kilomètres. J’enfile un petit short en coton et un débardeur et je file. Rien d’autre.
Je monte en auto et retrouve ma bouteille d’eau d’hier, moitié vide, je ne sais pourquoi je renifle l’embouchure… les papillons reviennent, je revois la scène. Je roule machinalement et repense à tout ceci, je traverse son village, les papillons sont de plus en plus présents et un point apparaît sur le fond de mon short gris chiné. STOP ! Mon corps est en ébullition, mais il faut que je me rende à la boulangerie, sérieusement.
Je ne contrôle pas tout, la route est longue, tout se fait mécaniquement -4 baguettes, 1 pain aux graines, 2 chaussons au poulet- et je file. Je rentre à la maison et en traversant son village, j’aperçois au loin sur un chemin blanc quelqu’un qui court. C’EST LUI ! Il n’y a pas de chemin direct depuis ma vue vers lui. Rhaaaaaa…
Alors je décide de faire demi-tour vers le village, mais cette manœuvre qui m’a pris quelques minutes me font louper celui qui m’a refilé cette migraine.

Le Dimanche passe, je n’ai rien envie de faire, alors je ne fais rien. seule. Je vaque à mes occupations, prépare mon repas du lundi midi, les sandwichs de moisson et je pense toujours à lui. 19h00, mon mari rentre. Il file à la douche, dîne rapidement, me baise en 5mn, il est fatigué, j’ai simulé, nous dormons.
La semaine est ensoleillée et le samedi, je décide de faire une petite balade, mais à vélo cette fois. Je mets un short et un t-shirt et je file. Et là, ô miracle, à l’ombre d’un petit bois, sur une petite route, je le croise.
« salut »
« salut ».
Et c’est tout ? Oui c’est tout… je suis abattue, comment peut-il ? Il me distance dans le sens opposé. Je fais demi tour et tente de le ratt****r. Je suis essoufflée, il roule vite, je l’appelle. Il se retourne et s’arrête.
« ben alors ? »
« ben alors quoi ? »me répond-il
« salut et rien…, rien de plus ? » Et là, je ne me contrôle plus, il commence à parler, de sa voix posée. Il n’espère jamais rien, n’attends jamais rien, s’était ainsi et rien de plus, l’instant présent… bref, philosophe le type. Et moi, je bois ses mots. Il a toujours la même tenue, la peau halée et luisante, le cheveux ras, le sourire en coin, les sourcils en V. Je craque. Sa taille, les veines saillantes… Et puis il me dit, OK.
Je n’ai rien écouté, j’étais absorbée. « OK quoi ? »
« Je rentre, je me douche, je t’envoie un SMS, voici mon numéro, tu le checks et on s’écrit ».
« Euh oui… » Je retiens son numéro, je n’ai pas son téléphone… il n’est pas difficile à retenir.
Je rentre en vitesse, j’envoie c’est moi, je prends une douche… merde, les sandwichs, quelle heure est-il ? 16h15, ça va.
La douche ressemble à un décrassage, je ne sais pourquoi, me voilà embellie, le sourire aux lèvres. Je sors de la douche, me sèche puis cours consulter mes messages. Rien. Mon cœur bat à tout rompre, me suis-je trompée ? Rhaaaaaaaa…. Je m’habille, enfin, façon de parler, une robe noire et blanche. Je prépare les sandwichs que je mets au frais, le temps me semble long et je pense à plein de chose. Mon entrejambe me chatouille, je retrousse ma robe, je suis humide… il me tarde qu’il m’écrive, j’espère que c’est le bon numéro… et là,deux sons, un message…
« pas de sandwich ce soir, nous finissons et le Jean-Paul me file un coup de main, apéro chez lui après ».
Fais ch…
Je tourne en rond, prépare une bouteille d’eau dans l’auto. Je sue. Je ne sais pas ce que sont ces réactions. 17h45.
« Rendez-vous à la tour de TV, trouve moi ».
Je cours à l’auto, je passe par la route et me voici au pied de la tour de télévision, une voiture mais personne. Le coin est désert, toutes les parcelles sont fauchées aux alentours, peut-être est-il dans le bois au fond. Tût tût, un message. « Jolie robe ». Je m’arrête, scrute, personne. « Je suis nu ».
Mon cœur bat à tout péter, mes seins deviennent durs, il me voit, je ne le vois pas, j’entre dans son jeu. Je défait le haut de ma robe, mes seins fiers dardent et je réalise un 360°. « Il fait bon n’Est-ce pas ? »
« Oui, où es-tu ? »
« Pas loin, tu chauffes ». Je m’avance vers l’antenne et au pied de cette antenne, il y a un château d’eau. Je le vois. Il se redresse. Je fonds. Du haut de ces… bref, tel un chef, il me toise, son sexe reposé est déjà correct. Il y a une bague autour de son sexe ! Première fois que je vois ceci. Il a un bronzage de cycliste.
« Tu montes »
« Par où ? » Sur le côté il y a un petit accès, je le rejoins, il a un grand plaid où il était allongé sur le ventre et m’observait.
« Re-bonjour ».
« Re », nous nous embrassons sur les joues. Sérieux.
« Mets toi à l’aise ».
J’ôte ma robe et me voilà nue devant lui. Il s’allonge sur le dos, je m’allonge sur le ventre et nous discutons, de tout, de rien. De notre vie, de nos familles, le temps n’est plus maîtrisé. Puis avec un doigt, il parcourt mes fesses, me caresse délicatement, ses mains sont râpeuses. C’est agréable, tout doucement, j’écarte les cuisses. Il descend, son sexe se dresse, je me tourne et je le suce, il va me déboiter la mâchoire. Son sexe grossit sans cesse, il est puissant, dur, incroyable. Je n’arrive pas à tout avaler et lui m’a déjà introduit 3 doigts et me fouille. Schlap schlap, je suis trempée. Je suis abandonnée.
« Purée, t’es sacrément ouverte » me dit-il. Je ne réponds pas. Je ne sais ce qu’il fait, mais me voilà remplie, les jambes plus qu’ouvertes, j’ai un peu mal. Il m’a quasiment enfilé sa main. Je jouis une première fois. Lui reste dans ma bouche. Il prend toutes mes sécrétions et tourne autour de mon œillet. Un doigt puis deux, je me sens dilatée.
« Tu es prête ».
Il m’agenouille en levrette et commence à m’enfiler son chibre dans le minou, sans aucune difficulté et il me lime jusqu’en butée. Quel pied, je jouis à nouveau en me pinçant les seins. Puis, changement, je sens que son sexe change d’entrée, le gland presse contre mon œillet, mon muscle cylindrique tente de rejeter ce corps étranger. J’ai toujours refusé la sodomie à mon mari, mais là, j’ai envie de tout essayer.
Et plop, c’est passé. Et ça rentre, ça rentre… j’ai mal, je pleure mais au fur et à mesure la sensation de chatouillis est agréable. Je jouis à nouveau et ça dégouline le long de mes cuisses. Il ralentit la cadence, je comprends ce qu’il se passe. Je me retire, me retourne, ôte sa capote, et avale son chibre, plusieurs gros jets viennent s’écraser contre ma glotte, l’odeur de sa bite est âcre, j’avale. Je suis HS. Je viens de me faire baiser, mes trous sont encore ouverts, j’ai mal au cul. Mais que c’était bon. Il s’allonge, l’angélus sonne au loin. Son sexe ne débande pas si rapidement et je joue avec, mais il doit y aller. Moi aussi. Nous redescendons, nous embrassons à pleine langue. Il me remet deux doigts et me dit à demain.
A demain !!!!! Oh surprise…
Je rentre, reprends une douche, mon minou n’est pas totalement refermé et je me caresse à nouveau. Ah oui, l’apéro. Et bien j’irais avec la même robe, nue en dessous. Vivement demain…

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