Ma vie est devenue d’un ennui mortel. J’ai beau avoir de la thune et une belle femme, je m’emmerde. Mon épouse ne me fait plus bander depuis un bon bout de temps. En fait, si je l’ai épousée, c’était surtout pour me rapprocher de son banquier de père. J’avais, en effet, besoin d’un gros investisseur pour monter mon entreprise. Il ne pouvait rien refuser à son gendre. Et puis sa fille était dingue de moi, alors je me suis convaincu que c’était réciproque. Les années ont passé et l’illusion s’est levée. Elle est devenue fade, insignifiante, chiante. Aujourd’hui, mon entreprise prospère et j’ai de l’argent à ne plus savoir qu’en faire. J’ai atteint mes objectifs et je m’emmerde.
Il y a bien eu cette secrétaire que je me suis faite et qui m’a redonné un peu de goût, mais à part ça, rien d’autre.
Les arbres défilent sous la lumière de mes phares et je roule seul, dans la nuit, bercé par le ronronnement du moteur. Des panneaux directionnels apparaissent. C’était quoi, le nom du bled qu’elle m’a donné, au fait ? Je regarde l’adresse que j’ai griffonnée sur un bout de papier : Solérèse. Ah oui, c’est ça ! Je prends donc la direction de ce patelin paumé. Après plusieurs minutes, j’aperçois une jeune fille blonde dans une robe blanche faire du stop. Je rigole, me moque d’elle. La pauvre, faire du stop à cette heure de la nuit, elle ne va pas trouver grand-monde ! Bon, c’est vrai que j’aurais pu m’arrêter – elle était plutôt bandante – mais je n’ai pas le temps : ma nièce m’attend.
C’est un coup de fil qui m’a réveillé en plein milieu de la nuit. C’était elle ! Elle s’est encore retrouvée dans je ne sais quelle soirée et avait besoin de quelqu’un pour venir la chercher. Et comme d’habitude, qui c’est qu’elle appelle dans ces cas-là ? Son « tonton chéri », comme elle aime me surnommer. Elle sait que je lui refuse rarement mon aide, mais va falloir qu’elle apprenne un jour à se démerder par ses propres moyens ; je ne vais pas toujours m’amuser à voler à son secours.
Il me faut un bon quart d’heure pour atteindre la petite commune de Solérèse et quelques minutes de plus pour trouver la bonne adresse. Mes nerfs me chauffent ; elle avait vraiment besoin d’aller se perdre si loin dans ce coin ? Je la trouve en compagnie de trois gars devant une grande baraque. Elle s’est appuyée le long d’un des types qui en profitent pour lui foutre la main au cul.
Je me gare, sors de la voiture et pars à leur rencontre.
— Cassandra, c’est moi ! déclaré-je, agacé.
— Oh, tonton chéri… tu es enfin arrivé ! s’exclame-t-elle en se jetant dans mes bras et en manquant de trébucher.
Une forte odeur d’alcool émane d’elle. Elle tient à peine sur ses jambes. Elle est bourrée, comme d’habitude.
— Putain, Cassandra, tu es complètement torchée. Tu sais que ta mère déteste te voir dans cet état ?
— Oh, ça va. Je suis majeure, je fais ce que j’veux.
Je l’accompagne à la voiture tout en la maintenant pour ne pas qu’elle tombe. Je l’aide à grimper à l’intérieur tout en frôlant son cul au passage. Pas que je profite de la situation : c’est juste qu’elle ne s’est jamais offusquée quand ma main s’égarait quelques secondes sur ses fesses, le temps d’un bonjour par exemple. Et comme j’aime sentir le sillon de ses fesses sous mes doigts, même un bref moment, c’est devenu une habitude.
Il faut dire que Cassandra est belle ; c’est même le portrait craché de sa mère au même âge : même cheveux roux, même visage angélique, même regard de braise. La seule différence, c’est qu’elle a le cul et les seins plus plats que sa mère. Elle sait que je ne suis pas insensible à son charme et en a toujours joué pour me faire faire ce qu’elle veut, comme me convaincre de lui payer un cadeau, par exemple ; un cadeau cher, bien évidemment. Pour cela, elle me donne toujours des petits surnoms affectueux, utilise son regard de biche désespérée et se montre très câline. Je dois avouer avoir déjà bandé quand elle me colle un peu trop et fantasmer sur elle le reste du temps.
Je grimpe à mon tour dans la voiture. Elle est affalée sur son siège, la tête à moitié dans les vapes. Je tourne la clé dans le contact et démarre.
— Putain, tu t’es surpassée ce soir, Cassandra ! Je ne t’avais jamais retrouvée dans un état si pitoyable. As-tu pris autre chose que de l’alcool ?
— Non… juste des verres, parvient-elle à marmonner.
Nous sortons de la commune et roulons dans le silence. Généralement, quand je la récupère dans cet état, elle finit la nuit à la maison pour éviter de se montrer devant sa mère. Ma femme et moi avons joué le jeu jusqu’ici en pensant qu’elle avait le droit de faire ses propres expériences et de commettre ses propres erreurs, mais ces derniers temps Cassandra commence vraiment à exagérer. Il serait peut-être temps de la remettre sur le droit chemin.
Je l’observe dans le rétroviseur. Elle oscille entre des moments de sommeil et de semi-conscience. J’examine sa tenue plus en détail. Elle s’est vêtue d’une robe moulante à fines bretelles qui ne lui descend que très haut sur les cuisses.
— Tu ne vas pas le dire à maman ?
— Cassandra, tu dépasses les bornes ; tu sais qu’il va falloir que je lui dise à un moment.
— Quoi ? Ce n’est pas parce qu’elle est une sainte que je ne dois pas m’amuser, crache-t-elle.
Une sainte ? Si elle savait ce qu’il en est vraiment du passé de Clothilde, elle ne la traiterait pas de sainte… Mais faut avouer que sa mère a changé radicalement du jour au lendemain : elle a arrêté l’alcool d’un coup et s’est montrée beaucoup plus sage avec les mecs. Sa transformation nous a tous surpris.
— Tu sais bien que ta mère s’inquiète pour toi. Dans cet état, tu pourrais tomber sur des sales types. Regarde en plus comment tu sors habillée ce soir ! Tu n’as même pas de soutien-gorge. T’as mis une culotte au moins ?
Je n’attends pas de réponse et soulève le bas de sa robe pour vérifier. Non, elle n’a rien. Quelle salope ! Comme sa mère à son âge.
— D’ailleurs, reprends-je, c’était qui, les mecs de tout à l’heure ?
— Des amis.
— Et c’est souvent que tes amis te mettent la main au cul ?
— Ça arrive.
— Ils t’ont baisée ?
— Peut-être… laisse-t-elle planer.
Au fond de moi, je suis sûr que c’est le cas. Putain, les salauds, ils ont dû bien en profiter ! J’en ai la trique rien qu’en imaginant la scène. Combien de mecs s’est-elle déjà enfilés ? Je suppose qu’elle doit avoir un long tableau de chasse derrière elle, comme sa mère. « Les chiens ne font pas des chats… » à ce que l’on dit.
Je crois qu’elle n’est pas loin de s’endormir pour de bon.
— Tonton chéri… parvient-elle néanmoins à marmonner, ne dis rien… à maman… s’il… te plaît.
— Il va falloir, pourtant. Je ne peux continuer de lui cacher ça.
— Tonton chéri… sois… gentil.
— Gentil ? Tu ne crois pas que tu exagères ? m’énervé-je. Il y en a marre de toujours répondre à tes caprices ! Il va falloir que tu apprennes à assumer les conséquences de tes choix.
— Pitié… sois gentil…
Je ne réponds rien et poursuis ma route. Je continue à l’observer en me demandant ce qu’il s’est vraiment passé à cette soirée. Les a-t-elle sucés ? S’est-elle fait tringler ? Ou s’est-elle juste laissé tripoter ? Une idée me traverse soudain la tête et une forte chaleur me gagne de plus en plus. Il y a longtemps que je ne m’étais pas senti dans un tel état. À vrai dire, c’est arrivé qu’une fois, au moment où j’allais rejoindre ma sœur bourrée dans sa chambre. Je sens que je vais faire quelque chose de mal, et cela m’excite. Je pose ma main sur la cuisse de ma nièce et commence à la caresser doucement. Sa peau est douce et chaude. Cassandra ne réagit pas.
— Si je suis gentil avec toi, toi, tu vas l’être avec moi ? la questionné-je.
Elle met un long moment avant de prononcer un « oui » et d’écarter les cuisses. Ma main se glisse alors dans son entrejambe et découvre un sexe bouillant. Je joue avec ses lèvres intimes et son clitoris, plonge un doigt dans sa vulve. Cassandra reste silencieuse ; pas un mot, pas un gémissement. Elle se contente de poser un regard endormi sur la route. Et puis son corps finit par réagir un peu plus et son sexe s’humidifie davantage. Cassandra lâche enfin deux mots : un « Tonton chéri… » qui ressemble plus à un lointain soupir. Je prends alors sa main et la dépose sur mon entrejambe. Elle comprend ce qu’elle a à faire et me caresse doucement.
Je quitte soudain la départementale pour emprunter une petite route perdue au fond des bois et trouve un coin où me garer. Il est temps de passer à la suite du programme. Je libère mon sexe de mon pantalon et lui détache sa ceinture de sécurité.
— Qu’est-ce qu’il se passe ? réagit-elle. On est déjà arrivé ?
— Non.
J’att**** sa tête et la dirige vers ma queue tendue. Cassandra se laisse faire et accepte de glisser mon sexe dans sa bouche. Mon gland est envahi par une envoûtante chaleur. Oh, mon Dieu, la sensation est exquise ! J’ai peine à croire ce qui est en train de se passer : je viens d’enfourner ma bite dans la bouche de ma nièce, et la petite n’hésite pas à sucer son « tonton chéri ». Depuis le temps qu’elle me faisait fantasmer, Cassandra s’offre enfin à moi et je vais en profiter. Il n’y a pas de raison que ce soit toujours les autres qui profitent d’elle.
Là où sa mère me dévorait voracement la bite le soir où elle m’avait confondu avec son copain, Cassandra préfère prendre le temps de savourer la dégustation. Elle se comporte comme un véritable gourmet, suçote tendrement mon gland et se contente la plupart du temps de coups de langue le long de ma tige ou sur mon gland. Elle ne me pompe pas frénétiquement comme le faisait sa mère.
Je me cale dans mon fauteuil et me laisse envahir par le plaisir. Mes mains partent à la recherche de ses seins avec lesquels ils finissent par jouer. Elle a beau en avoir de plus petits que ceux de sa mère, sa poitrine occupe, quand même, un volume plus que respectable. Je palpe ses seins, les sors de son décolleté et m’amuse avec ses tétons tandis qu’elle continue de me téter amoureusement la bite.
Sentir cette petite langue se promener sur ma tige me donne l’impression d’être au paradis. Ma main glisse maintenant dans ses cheveux que je caresse tendrement. C’est étrange, d’habitude j’adore prendre les choses en main et baiser la bouche de la femme, lui imposer d’une façon égoïste mon plaisir, mais ce soir j’ai envie de la laisser faire à sa façon. C’est tout aussi efficace puisque je sens mon plaisir grimper dangereusement jusqu’à exploser dans sa bouche. Cassandra continue de téter comme si rien ne s’était passé et abandonne mon sexe que quand ce dernier commence à perdre en volume.
Elle se redresse et me fixe avec un regard indéchiffrable. Je ne l’ai jamais trouvée si belle qu’à cet instant, alors je l’embrasse. Ma langue s’insinue dans sa bouche et s’enroule autour de la sienne. Le goût de ma queue est encore bien présent, mais je n’en ai que faire.
J’ai encore envie de profiter d’elle, et je compte bien le faire. J’ai beau avoir déjà joui et n’être plus très jeune, je sais que ce soir je ne vais pas être long à redémarrer. Je ne m’étais pas senti aussi vivant depuis une éternité. Je l’embrasse dans la nuque et lui lèche les seins. Ma langue s’amuse à lui titiller les tétons. Deux doigts se sont insérés dans son intimité et la masturbent. Cassandra se laisse enfin aller à gémir de plaisir. Sa chatte est maintenant complètement inondée. La salope aime vraiment ça…
— Y’a que Mike, lâche-t-elle soudain.
— De quoi ?
— Les garçons de tout à l’heure… Y’a que Mike qui m’a touchée… Il m’a pelotée et m’a doigtée, mais il n’a rien fait de plus… Il voulait que je le suce mais j’ai refusé… J’en avais envie pourtant.
— Alors pourquoi as-tu refusé ?
— Je ne voulais pas faire n’importe quoi… M’amuser, oui, mais pas n’importe comment… Alors tu vois, je sais encore ce que je fais, tonton chéri… Tu n’as pas besoin de le dire à maman. Je vais être gentille avec toi… Promis… Ne dis rien…
— Oui, je ne dirai rien, la rassuré-je avant de l’embrasser de nouveau.
Sa petite histoire m’a redonné la trique. Alors comme cela, elle n’a pas voulu sucer son copain mais a accepté de me sucer, moi ? Petite coquine i****tueuse, va ! Je n’en ai pas fini avec toi, tu vas voir… Je sors du véhicule et la tire à son tour à l’extérieur. Elle me regarde sans comprendre mon intention. Je lui plaque le ventre sur le capot de ma voiture et me frotte à elle tout en déposant des baisers sur sa nuque. Je lui prends les seins en main et les lui malaxe vigoureusement. Elle sent ma hampe collée au sillon de ses fesses et se frotte dessus. Ma main remonte le bas de sa robe pour découvrir ses fesses, et plusieurs doigts s’amusent à alterner entre son cul et sa chatte. Cassandra gémit. Il est temps de passer aux choses sérieuses ; mon gland pointe sur son anus.
— Non, pas par là.
— Sois gentille, lui murmuré-je dans l’oreille.
— Bon… d’accord, cède-t-elle nerveusement.
— Demande-le-moi, lui ordonné-je.
— Sodomise-moi, s’il te plaît…
— S’il te plaît qui ?
— Encule-moi, tonton chéri !
Je me suis fait le cul de sa mère ; hors de question que je ne me fasse pas le sien. Elle va connaître le même sort. Ma queue fait pression sur son trou et ouvre un passage. Un cri échappe à Cassandra. Je me glisse lentement dans son fondement, de plus en plus profondément. C’est très serré, c’est délicieux. Je commence par de sages mouvements de va-et-vient, le temps que ma nièce s’habitue à ce volume.
Vu ses petits cris, Cassandra a mal mais ne se débat pas. Elle me laisse faire. Elle m’offre son cul comme elle m’a offert sa bouche. Je compte bien en profiter jusqu’à la jouissance. La sentir soumise à mon plaisir commence à bien me faire tourner la tête, et j’accélère la cadence. Si pour la pipe je l’ai laissée faire les choses à sa manière, là j’ai vraiment envie d’y aller plus sauvagement, même si c’est égoïste. Je veux qu’elle sente pendant des jours le passage que je me suis frayé dans son fondement. Son cul est maintenant à moi, et à moi seul ; et rien ne m’empêchera d’en profiter comme bon me semble.
Toutes ces fois où j’ai dû aller à droite et à gauche pour la récupérer bourrée, tous ces cadeaux qu’elle m’a réclamés et que j’ai accepté de lui faire, tous ces caprices auxquels j’ai cédé jusqu’à ce jour, tout ça pour rien… Elle s’est collée à moi, m’a fait les yeux doux, a joué la belle, s’est même trémoussée devant moi tout ça pour que j’accepte la moindre de ses requêtes car elle savait l’effet qu’elle me faisait. Aujourd’hui, la bite dans son cul, j’ai l’impression de prendre mon dû. Elle a profité de moi ; ce soir, c’est moi qui profite enfin d’elle.
Son corps ne tient plus en place sous la puissance de mes assauts. Cassandra braille désormais un son strident qui part se noyer dans les bois. Elle ne se débat toujours pas ; bien au contraire, son attitude semble plutôt m’encourager à continuer. Bientôt elle laisse même échapper des « oui » plaintifs. La petite apprécie donc le traitement qu’est en train de lui infliger son « tonton chéri ». Sa mère aussi avait fini par apprécier se faire défoncer le cul.
Sentir sa bite coulisser dans le cul étroit de sa nièce est la plus merveilleuse des sensations. Savoir en plus qu’elle apprécie la chose est la cerise sur le gâteau. J’ai pris sa mère une fois alors qu’elle me prenait pour un autre, mais avec elle je compte bien jouer sur le long terme. Je ne me suis jamais autant senti vivant de ma vie, et c’est elle qui me fait cet effet-là. Elle est mon moyen de vaincre l’ennui qu’est devenue ma vie ; je vais faire d’elle la plus gentille des nièces.
C’est avec cette promesse en tête que je sens la jouissance arriver. Elle aussi semble sur le point de rompre. Je me déchaîne pour le grand final, et c’est ensemble que nous beuglons notre orgasme.
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