Je profitais comme chaque année de la petite maison de vacances de mes parents en Provence, un petit mas entouré de verdure où je pouvais profiter du calme des montagnes. J’avais proposé à ma sœur de venir me rejoindre afin de lui changer un peu les idées. Elle en avait besoin, après une rupture difficile elle était au bout du rouleau. En attendant son coup de fil, je me délassais au soleil en me disant que je pouvais bien abandonner mon maillot de bain étant protégée par une haie de thuyas assez haute. Je n’hésitais pas longtemps et mon maillot s’est retrouvé bien vite à côté de la serviette où je ne tardais pas à m’assoupir. Réveillée par la sonnerie de mon portable, je n’ai pas réalisé que j’étais entièrement nue et j’ai couru vers la terrasse du chalet où mon mobile se trouvait. Ce n’est qu’au moment de décrocher que je constatais ma nudité dans le reflet de la porte fenêtre. Bredouillant quelque chose du genre « un instant s’il vous plaît » je me faufilais à l’intérieur.
C’était Ludivine, m’informant de son arrivée pour le surlendemain, elle voulait savoir si je pouvais la chercher à la gare Saint-Charles, ce qui lui éviterait des correspondances à répétition. Je lui confirmai ma venue en me disant que j’en profiterai pour faire quelques courses. Après avoir raccroché, j’étais toujours nue et me disais que ce n’était pas si désagréable de se promener comme ça. J’avais jusque là jugé les nudistes comme des pervers en puissance, mais je n’avais alors jamais ressenti cette liberté. Ce n’était pas la première fois que je faisais du bronzage intégral à l’abri de la haie, je n’étais donc pas particulièrement pudique, mais il est vrai qu’au moindre bruit je sautais prestement dans mon maillot. Il faut dire qu’ici, il n’y a que peu de passage, le chemin qui mène au chalet n’est quasiment jamais fréquenté par les promeneurs qui utilisent le GR qui contourne le petit hameau avoisinant. Je décidais donc de rejoindre ma serviette sans me couvrir. C’était assez bizarre comme sensation, la première fois n’étant pas consciente de ma nudité, je ne m’étais pas rendu compte que la distance était aussi importante, il fallait effectivement contourner le massif de fleurs situé devant la terrasse. Regardant dans tous les sens, je me disais que j’étais un peu dingue de me promener comme ça. Si jamais il y avait des promeneurs, s’ils me voyaient ? Une fois allongée sur ma serviette et quelque peu rassurée, je me disais qu’il fallait vraiment que d’éventuels promeneurs s’amusent à regarder à travers les lattes du portail pour m’apercevoir et qu’après tout je faisais ce qui me plaisait.
Le soleil tapait dur et après avoir remis de la crème solaire, je tentais de me rendormir. Mais je n’avais pas sommeil, rien à faire, je ne voulais pas l’admettre, mais cette situation m’avait excitée. Je décidais de me lancer un défi, aller au chalet, chercher un verre d’eau fraîche et revenir, mais cette fois-ci sans me dépêcher ! Je me demandais ce qui me passait par la tête, mais j’étais déjà debout et je m’apprêtais à contourner le massif de fleurs. Me dirigeant vers la terrasse, j’avais l’impression que toutes mes terminaisons nerveuses étaient hypersensibles, je sentais la caresse du soleil, la légère brise, les petits gravillons, les planches disjointes de la terrasse… Une fois dans la cuisine, j’ouvrais le frigo pour prendre une bouteille d’eau et là je ressentais un froid intense, le contraste violent de température était comme un coup de fouet. Je refermais la porte pour remplir un grand verre d’eau et replaçais la bouteille au frais. Le verre à la main j’allais encore plus doucement pour ne rien renverser, et je ne pouvais pas non plus regarder autour de moi. Cette sensation de liberté et en même temps de légère inquiétude me titillait.
Une fois allongée, je repensais à tout cela et posais ma main sur mon ventre. Elle était glacée, à la même température que l’eau du verre mais la sensation était vraiment agréable. Je remontais vers mes seins pour caresser mes tétons qui ne tardèrent pas à pointer. J’aime beaucoup me caresser les seins, agacer mes tétons, lorsqu’un amant me lèche les aréoles, je fonds littéralement. Trempant mes doigts dans l’eau glacée, je continuais à me caresser les seins en pinçant les bouts et en les tournant légèrement, avec le froid ça faisait presque mal, mais c’était tellement bon… Inévitablement ma main gauche s’est posée sur mon sexe pour le masser doucement, je soupirais en me demandant si on pouvait m’entendre. J’étais trempée, mon index ne tarda pas à titiller mon petit bouton qui ne demandait que ça, puis enfin, je glissais un doigt entre mes lèvres brûlantes. Les jambes écartées, je continuais d’une main à me triturer les seins et de l’autre me masturbais comme une folle, introduisant deux puis trois doigts dans mon sexe. Me retournant je me mis sur les genoux et continuait à me donner du plaisir en agaçant mon clito, je léchais mes doigts mouillés de cyprine, je ne contrôlais plus rien et j’explosais la tête enfouie dans ma serviette.
Malgré ce plaisir intense, je restais sur ma faim et tentait d’analyser la raison de mon excitation. Je me souvenais des fois où un de mes amants me bandait les yeux avant de me faire l’amour, les sensations étaient alors très fortes aussi, il m’avait fait découvrir des plaisirs jusqu’alors inconnus en m’attachant parfois les poignets avec un foulard. Rien à voir avec une relation de soumission, il s’agissait vraiment de prendre davantage conscience de son corps et de son plaisir. Nous nous étions quittés bons amis et il m’avait offert des boules de geisha que je n’avais jamais utilisées. Je me demandais quel effet ça faisait de se promener avec ces boules en moi et me disais que c’était peut-être l’endroit idéal pour les essayer. Je téléphonais à Ludivine, lui demandant de passer chez moi pour prendre la petite trousse de toilette dans laquelle je les avais rangées. Espérant qu’elle ne serait pas trop curieuse et n’irait pas voir tout au fond…
Après une nuit assez agitée, je décidais de passer la journée entièrement nue, enfin dans la mesure du possible… Après un brin de toilette, je m’aperçu que je n’avais plus de pain, je ne pouvais bien sûr pas aller ainsi chez le boulanger, je passais donc rapidement un string, une robe légère et des sandales et enfourchais mon vélo. La boulangerie n’était pas loin et je ne tardais pas à me remettre en chemin avec quelques victuailles. Une fois sortie du hameau, je remarquai que ma robe était très sensible aux courants d’air et m’expliquait le regard ravi des jeunes promeneurs que je venais de croiser. Mais cela ne me choquait pas, au contraire, je me disais qu’après tout j’étais bien foutue et qu’il était agréable d’être appréciée ainsi. Une fois arrivée au chalet, comme promis plus tôt, je me débarrassais de mes vêtements et rangeais mes provisions en attendant que le café chauffe. Je n’avais jamais pris de petit-déjeuner nue, mais je me disais d’ores et déjà que je retenterais l’occasion souvent. Le contact du banc de bois sur mes fesses, mes cuisses, était nouveau. Ecartant légèrement les jambes, je sentais le contact du bois un peu rugueux avec mon sexe et c’était une sensation étrange, je commençais à me frotter sur le banc oubliant mon petit déjeuner pour me caresser. Allongée sur le siège de bois je me masturbais en m’imaginant qu’un promeneur entendait mes soupirs de plus en plus forts. Après un orgasme incroyable, je me sentis un peu honteuse, étais-je devenue une exhibitionniste ? Le sexe m’avait toujours intéressée et j’étais loin d’être prude, mais là, il me semblait que je passais la vitesse supérieure.
Une fois calmée, je décidais de partir faire une balade pour me changer les idées et tuer le temps. Vêtue d’un petit short, d’un simple T-shirt, je pris mon balluchon et chaussais mes baskets. La région ne manquait pas de sentiers et sous ce soleil, la forêt procurait une fraîcheur bienvenue. Je ne tardais pas à rejoindre des petits chemins que je connaissais depuis mon enfance. Tout était calme, seul le bruit du vent dans les arbres et les oiseaux troublaient le silence. Après une bonne heure de marche je m’arrêtais pour grignoter un peu, mon petit déjeuner ayant été écourté par mes « pulsions »… Cette balade me faisait du bien, je ne pensais plus vraiment à ma journée d’hier et à ma matinée. Une fois repartie, je tentais de retrouver un petit bras de rivière où je me baignais quand j’étais enfant. Ma mémoire était bonne et je retrouvais cet endroit facilement. Ici aussi, tout était calme, le bruit de l’eau était apaisant, je me disais qu’il était dommage que je n’aie pas emmené de maillot de bain. J’aurais pu profiter de la fraîcheur de ce petit torrent. Et puis finalement, je me dis qu’ici, je n’avais jamais vu personne et que je ne risquai rien à quitter mes vêtements. Une fois de plus je me retrouvais nue, retrouvant cette sensation agréable. Je plongeais dans l’eau froide et barbotais lorsque j’aperçus sur l’autre rive, les deux promeneurs de ce matin se dirigeant vers la petite anse faisant face à l’endroit où j’avais laissé mes affaires. Ils riaient de bon cœur et ne semblaient pas m’avoir aperçue. Par contre si je sortais de l’eau, ils ne manqueraient pas de me voir, je restais donc accroupie dans l’eau espérant qu’ils passeraient leur chemin. Malheureusement, ils connaissaient manifestement « mon » anse et posèrent leurs affaires. Ils ne m’avaient toujours pas vue et en sortant une gourde de leur sac à dos, l’un des deux jeunes me fit un signe de la main. Auquel je répondis, un peu gênée quand même, bien qu’il ne puisse se rendre compte de ma nudité.
S’avançant au bord de l’eau, il me demanda :
— « Elle est bonne ? Vous êtes courageuse, elle doit être un peu froide ! »
— « Non, non, ça va, il faut y aller progressivement… »
— « Vous êtes du coin ? Peu de gens connaissent cet endroit et il n’est pas indiqué sur les itinéraires de randonnée. »
— « Oui je viens souvent en vacance ici. Et vous ? »
— « Nous on est originaires du coin, mais on est au lycée à Ponta, alors on fait un petit retour aux sources ! »
Son copain, jusque là resté sur la plage s’approcha, après avoir enlevé ses grosses chaussures il trempa ses pieds dans l’eau.
— « On est cons d’avoir oublié nos maillots sinon, on aurait pu piquer une tête ! Pourtant on savait qu’on passerait par là en plus ! »
Je commençais à me sentir un peu mal à l’aise, et aussi j’avais un peu froid maintenant. Je ne savais pas trop quoi leur dire mais je ne pouvais plus rester dans l’eau comme ça.
— « Excusez-moi, mais en fait je suis toute nue, vous pourriez vous retourner pour que je puisse sortir de l’eau et passer mes vêtements ? »
Rouge comme une tomate, le premier bafouilla qu’il n’avait pas du tout remarqué et qu’il était désolé. Sur ce, ils se retournèrent vivement. Rassurée d’être tombée sur des jeunes sympas, je quittai l’eau et enfilais un string et mon t-shirt.
— « Merci, vous êtes sympas ! Je commençais à avoir froid ! »
— « Pas de quoi, on voulait pas vous déranger. »
— « Vous ne me dérangez pas, simplement j’avais tellement envie de me baigner que je n’ai pas résisté ! Sinon, je m’appelle Annabelle. »
— « Moi c’est Fred. »
— « Et moi Quentin ! »
Pour éviter de parler plus fort, je décidais de traverser le bras de rivière et me retrouvais à côté d’eux, au soleil assise sur l’herbe. La chaleur du soleil était agréable, car mon T-shirt était mouillé. Je me mis à penser à l’état de ma poitrine que le froid fait réagir de façon assez visible. Effectivement mes tétons pointaient sous mon T-shirt et j’essayais de masquer ma poitrine en croisant mes bras. Quentin, rougit un peu, il devait sûrement s’être rendu compte de mon état, mais ne le mentionna pas. Nous discutions maintenant des balades, des vacances et nous passions un bon moment. Soudain Fred dit :
— « J’ai vraiment trop envie de piquer une tête, moi j’y vais en caleçon et ceux qui veulent me suivent ! »
Joignant le geste à la parole il commença à se déshabiller. Quentin semblait moins enclin à se baigner, quant à moi, je me demandais comment je pouvais faire. Après tout j’avais déjà fait du topless à la plage… Je retirais donc mon t-shirt et sautais dans l’eau. Quentin changeait de couleur, son ami, était peut-être moins « coincé » et m’éclaboussait en riant. Nous nous amusions comme des fous et Quentin se joignit finalement à nous.
Une fois sortis de l’eau, je constatais que mon T-shirt n’était pas tout à fait sec et je décidais de rester en string. Fred et Quentin avaient passé leur short et faisait sécher leurs caleçons sur une pierre. Cette fois-ci Fred n’était pas aussi à l’aise et évitait de me regarder. Cette situation m’amusait, et je ne me sentais pas du tout gênée.
— « Soyez pas timides, vous n’avez jamais vu de fille à poil ? »
— « Ben si, mais t’es drôlement jolie et ça fait bizarre… »
— « C’est vrai, on se connaît presque pas et on te voit presque nue, comme ça… »
— « Surtout que mon string ne cache pas grand chose ! »
— « Oulala… Arrête, sinon on va te sauter dessus », fit Fred en riant !
Je leur faisais confiance, c’est peut-être pour ça que je n’étais pas du tout inquiète de la tournure que prenait la situation.
— « Franchement à vous voir, je pense que vous n’avez jamais vu une fille entièrement nue, je me trompe ? »
— « Ben, euh… »
Je me levais alors, et devant eux, je baissais mon string en les regardant dans les yeux. Ils ne savaient plus trop quoi faire, ni où regarder et je les rassurais :
— « Vous savez, vous devriez en profiter… »
Je voyais une bosse déformer leurs pantalons et j’étais franchement excitée par la situation. Je n’avais jamais fait l’amour avec deux hommes et cette perspective me plaisait. Je me caressais les tétons, bombant la poitrine.
— « Regardez comme c’est sensible, ils sont tout durs. »
Fred s’approcha et me demanda s’il pouvait les embrasser, pour réponse je lui tendis ma poitrine et aussitôt il m’embrassa les tétons en jouant avec la langue sur mes aréoles. Il était doué et je commençais à soupirer. Son copain se mit à me suçoter l’autre sein et glissa sa main entre mes cuisses.
Ils me caressèrent pendant un bon moment, m’embrassant les seins, titillant mes tétons. Mais cela ne me suffisait pas :
— « Vous vous occupez aussi de mon petit minou ? Il adore ça ! »
Ils ne se firent pas prier et je sentis rapidement des coups de langue un peu maladroits mais qui me faisaient mouiller de plus en plus.
N’y tenant plus je leur dis de quitter leurs shorts s’ils ne voulaient pas exploser leurs braguettes. Quelle surprise, deux belles queues, tendues comme des mats. Je leur dis de se mettre debout devant moi, et je m’agenouillais pour les prendre dans ma bouche à tour de rôle. Je léchais leurs couilles, branlais leur sexe, je devais avoir l’air de la pire des nymphomanes ! Je leur disais que leur bite était bonne et que j’adorais les sucer, que je voulais qu’ils me baisent…
Fred, soudain me dit de faire gaffe, et retira sa bite de ma bouche. Il était vraiment sympa de me prévenir mais j’adore avaler. J’ai donc repris son sexe en bouche et j’ai continué à le sucer. Il a éjaculé rapidement, de longs jets de foutre chaud me remplissaient la bouche. Ensuite, allongée dans l’herbe, je demandais à Quentin de me pénétrer. Il me répondit qu’il n’avait pas de préservatif et qu’il ne pouvait pas. Fred avec un grand sourire, partit chercher sa trousse de secours et tendit à son ami un petit sachet. Ce dernier ne se fit pas prier, et une fois protégé il commença à me limer. Je le guidais pour l’économiser un peut et en profiter le plus longtemps possible. Fred, à nouveau au garde à vous me tendit sa queue que j’embouchais voracement. C’était formidable, ces deux sexes pour moi, le contact de l’herbe sur mon corps, c’était incroyable et je ne tardais pas à jouir. Fred remplaça Quentin qui approcha sa bite de ma bouche, je le débarrassai du préservatif avant de le sucer pour qu’il jouisse au fond de ma gorge. Il ne tarda pas à exploser et le sperme coulait entre mes lèvres. Il essuya son sexe sur mes seins que je caressais, étalant le liquide poisseux.
Fred éjacula en moi alors que je me pinçais les tétons, il sortit sa bite de mon minou et je me jetais aussitôt sur le préservatif pour l’enlever et le vider sur mes seins. Ensuite j’essayais de lécher les pointes recouvertes de sperme. Je ne me reconnaissais plus et les deux lycéens étaient fous :
— « Quelle salope, j’y crois pas ! »
— « En plus on a plus de préservatifs… »
N’y tenant plus je leur demandai de me baiser avec les doigts, leur langue ou tout ce qu’ils pourraient trouver. C’était merveilleux, ils me léchaient, me caressaient, me doigtaient. Quentin, s’enhardissant, commença à me masser l’anus. Je n’appréciais en général cette caresse que lorsque j’étais seule mais là, je lui demandais de me doigter :
— « Oui, mets-moi ton doigt, lèche-moi ! »
Ils me rendaient folle, je n’en pouvais plus, je branlais leurs queues entre mes seins en lapant le gland dès qu’il s’approchait de ma bouche. Fred s’absenta un moment et revint avec un gros sourire, cachant quelque chose dans son dos.
— « Qu’est ce que c’est ? »
— « Devines »
— « Des préservatifs ? »
— « Non, hélas, mais quelque chose qui te réconforteras ! »
Et il me montra une lampe de poche métallique qui semblait faite pour ça.
— « Attention elle est grosse, allez-y doucement ! »
Et il m’enfonça centimètre après centimètre sa lampe de poche dans la chatte. C’était absolument divin, Quentin recommença à me doigter le cul, je me mis à quatre pattes et leur demandais s’ils n’avaient rien de mieux que des doigts pour mon cul. La lampe était trop grosse mais ils me proposèrent une canne de marche télescopique à laquelle ils avaient enlevé la poignée en mousse. Je les suppliais de me goder, de me défoncer. Jamais je n’avais parlé comme ça, je n’en revenais pas, j’étais à quatre pattes dans l’herbe, les jambes écartées, les fesses en l’air et ils me pilonnaient la chatte et le cul avec la lampe et la canne, je me pinçais les tétons à en avoir mal et je jouis comme j’avais rarement joui. Je m’écroulais et ils me caressèrent encore un bon moment tendrement. Je me relevais et leur dit :
— « C’était incroyable, je n’ai jamais joui comme ça, ça mérite une dernière récompense ! »
Et je me remis à les sucer avec application et ils éjaculèrent dans ma bouche et sur mes seins. Je nettoyais leurs bites pour ne plus laisser une trace de précieux liquide.
Ensuite, je voulais me baigner pour laver tout le sperme que j’avais sur le corps mais Fred m’interpella.
— « Attends ne te lave, pas, reste comme ça, tu auras un petit souvenir de cette après-midi ! »
— « Pourquoi pas ? »
Je pris leur numéro de téléphone et les quittai après avoir revêtu mes vêtements qui collaient à ma poitrine gluante de sperme et à mon entrejambe trempée de mouille. Je leur avais laissé mon string en souvenir…
Sur le chemin du retour je ne pouvais m’empêcher de sentir cette odeur de foutre qui me maintenait dans un état d’excitation terrible. Arrivée au chalet, je quittais mes vêtements pour me diriger vers la salle de bains et me doucher. Une fois propre, je regrettai presque de m’être lavée et je cherchais dans le panier à linge, mon T-shirt souillé que je remettais avec délice. Je ne tardais pas à m’endormir bercée dans mon hamac, la main sur mon sexe…
Je me réveillais le lendemain matin, le t-shirt collant à ma poitrine, le sperme avait séché dans la nuit et la sensation n’était plus aussi agréable, je décidais donc d’aller me laver. J’en profitais également pour me refaire le maillot, histoire d’être nette. Je regrettais presque la venue de ma sœur, qui m’empêcherait de donner libre cours à mes fantasmes. Après le petit déjeuner, toujours nue, je décidais de me donner encore un peu de plaisir pour ne pas passer ma journée frustrée. Je cherchais donc dans la maison tout outil susceptible de me convenir. Ce n’était pas terrible, et je décidais d’aller voir dans l’appentis s’il n’y avait rien de mieux. Le soleil n’était pas aussi brillant qu’hier mais la journée promettait quand même d’être belle. Je m’habituais facilement à ma nudité, le sentiment de gêne ou de peur avait été fortement ébranlé par ma rencontre d’hier.
J’aimais le contact un peu rude du gravier sous mes pieds, sentir le vent sur tout mon corps. L’appentis était utilisé comme atelier, étendoir à linge et réserve de bois et était par conséquent abrité. Sur le sol de terre battue et recouvert de sciure je découvrais de nouvelles sensations, en pénétrant une nouvelle fois dans un lieu où on n’était théoriquement pas nue comme un ver. Au milieu se trouvait un billot de bois dans lequel était fichée une hachette. Son manche luisant garantissait l’absence de toute écharde. Elle était profondément fichée dans le lourd billot et je me disais que c’était là un outil tout à fait indiqué… Parcourant l’atelier du regard, je caressais le manche de la hachette comme si c’était un sexe en érection. Accroupie devant je m’imaginais un solide bûcheron généreusement membré. Je posais ma bouche sur ce manche et commençais à le lécher. Je me disais que j’étais devenue complètement folle mais j’étais tellement excitée que je ne contrôlais plus rien. En équilibre je me frottais contre le manche en me triturant les seins. Il était un peu gros et il avait du mal à passer, aussi je me suis retournée, pour trouver une position plus confortable et je me suis accrochée à une corde à linge. Ainsi, les choses étaient beaucoup plus simples et le manche disparaissait à vue d’œil dans mon sexe trempé. Par contre il m’était impossible de me caresser les seins. La vue des pinces à linge me donna une idée, je me relevais et saisis une pince à linge en bois, je n’avais jamais essayé ça, ça devait être douloureux mais j’étais tellement excitée que j’ai tiré sur mon téton droit, et que j’y ai placé une pince à linge. La douleur était immédiate et brûlante et je retirais la pince de suite. Mais en même temps, cela me faisait mouiller comme une fontaine. Je replaçais la pince sur la pointe de mon sein, cette fois-ci plus délicatement, la douleur était toujours présente, mais je décidais de la garder et fit de même avec mon autre téton. Le spectacle d’une femme se torturant les seins et se godant avec le manche d’une hachette devait être assez unique dans son genre.
L’orgasme ne tarda pas, mais j’avais encore envie de me donner du plaisir et cette fois j’avais envie de sentir quelque chose entre mes fesses. Je m’allongeais à même le sol, et levant les jambes en les plaçant sur un établi je me doigtais le cul, léchant même mes doigts, tapotant les pinces sur mes seins. Je n’avais jamais envisagé la douleur lors d’un rapport, même lorsqu’un de mes amants me liait les poignets, cela restait très soft. Je découvrais une nouvelle facette de ma sexualité et j’avais l’impression que les barrières tombaient les unes après les autres. Saisissant une nouvelle pince à linge, un peu usée, je la plaçais sur mon clitoris gonflé. Je n’ai pas pu éviter un grand cri de douleur mais là encore la sensation de chaleur intense qui s’est instantanément dégagée m’a convaincue de laisser la pince en place. Il ne me restait plus qu’à trouver un outil adapté à mon anus. Mais rien ne convenait, tout était trop gros ou trop sale. Je suis donc retournée à l’intérieur. En cours de route j’avais perdu la pince qui me pressait le clito, je me suis arrêtée, baissée et je l’ai ramassée puis remise en place en écartant les jambes. C’est alors que j’ai remarqué que j’étais couverte de sciure, je m’étais roulée par terre et même mes cheveux étaient parsemés de copeaux de bois, mais qu’importe, je n’avais qu’une idée, m’occuper de mon cul en feu. Je ne trouvais même pas une petite carotte pour me satisfaire et me dis que j’achèterai les légumes en conséquence. Je me finis donc avec deux doigts dans le fion en titillant mes pinces à linge. Chavirée par un orgasme incroyable je m’assoupissais à même le tapis. En faisant un mouvement une des pinces s’est enlevée de mon téton et la douleur m’a réveillée aussi efficacement qu’un seau d’eau froide. Je retirai les deux autres pinces en massant doucement les zones meurtries. La v******e de cet orgasme était impressionnante et je me disais qu’un godemiché me serait peut-être utile à l’avenir. Mais en réfléchissant bien, ce qui m’excitait le plus c’était de détourner l’usage premier des ustensiles que je m’enfonçais dans la chatte, et je me promettais de trouver ce qu’il fallait lors de mon passage au centre commercial du coin.
Mon portable sonna, c’était Ludivine, elle venait de prendre le train à Paris et serait là pour 15h30. Elle me trouva une voix bizarre :
— « Ça va ? Tu as une drôle de voix. »
— « Oui, je suis un peu naze, je viens de me réveiller… Mais dis-moi tu as pensé à ma trousse de toilette ? »
— « Oui, je l’ai cherchée en allant à la gare. On se retrouve sur le quai ? »
— « Oui, à tout de suite ! »
Et je raccrochai, filai prendre une douche et commençais dans ma tête ma liste de courses un peu spéciale… Je ne savais pas trop quoi mettre et je me retrouvais dans la même robe qu’hier mais sans string, elle était assez longue pour que je reste discrète (à moins de faire du vélo). Je chaussais mes sandales et sautais prestement dans la voiture.
Arrivée dans un centre commercial proche de la gare, il me restait plus de 3 heures avant de retrouver Ludi, je mangeais donc un morceau sur une terrasse avant d’aller flâner un peu dans les magasins. Période de soldes oblige, j’entrais dans un magasin de lingerie. À part quelques bas autofixants en promo peu de choses me plaisaient, j’aime beaucoup la belle lingerie et la vendeuse sembla s’en apercevoir.
— « Si vous le souhaitez, je peux vous montrer d’autres modèles, un peu plus originaux ? »
— « Pourquoi pas ? » Répondis-je en me disant que j’allais ressortir avec n’importe quoi juste parce que la vendeuse était sympa.
Elle me montra d’autres ensembles effectivement plus sexys et je décidais de la taquiner.
— « Vous avez plus sexy encore ? »
En rougissant, elle m’emmena dans l’arrière boutique, laissant le magasin à sa collègue. Arrivées au milieu de piles de cartons elle en ouvrit un et me proposa des dessous effectivement beaucoup plus osés, des culottes échancrées laissant voir le sexe, des porte-jarretelles, des ensembles transparents… J’étais surprise de trouver ça ici, et la vendeuse me confia, que seules quelques personnes faisaient leurs courses dans l’arrière boutique. Je ne pus résister à l’idée d’essayer quelques ensembles :
— « Puis-je essayer celui-ci ? » En lui montrant une culotte fendue au niveau du sexe.
— « Bien sûr je vous laisse, Madame. »
— « Non, vous pouvez rester ça ne me dérange pas, par contre je n’ai pas de culotte, est ce que cela pose problème ? »
— « Euh non allez-y ! »
— « Vous avez déjà essayé ça, quelle sensation ça fait ? » Lui demandais-je en enfilant la culotte.
Ses joues subitement rouges répondaient à sa place et je la soupçonnais d’essayer souvent ces dessous. En attendant, la robe sur les reins, je cherchais un miroir pour me rendre compte de l’effet que ça pouvait faire. La sensation était assez agréable et mêlait la caresse de la soie à la sensation de nudité.
— « Avez-vous un miroir ? »
— « Non Madame, mais il vous va à ravir. Cependant, si je peux me permettre… »
— « Oui ? »
— « Il est mal ajusté. »
— « Ah, vous pensez ? » (Je n’étais pas franchement convaincue de l’argument, mais jouant le jeu…) « Et comment doit-on l’ajuster ? »
Sur ce elle s’accroupit devant moi, et tira un peu vers le haut, ce qui fit ressortir mes grandes lèvres en les ouvrant un peu. Elle effleura mon sexe légèrement et ce contact m’électrisa.
— « Voilà, ainsi, il vous fera plus d’effet… »
— « Merci, effectivement c’est agréable, vous n’auriez pas un miroir ? »
— « Attendez je vais en chercher un, je reviens de suite ! »
Je profitais de ce répit pour glisser un doigt dans ma chatte trempée et j’étais en train de le lécher quand la vendeuse revint portant un miroir.
— « Voilà, vous pouvez vous admirer maintenant, mais votre robe vous gêne, enlevez-là vous serez mieux ! »
— « Bonne idée ! »
Et j’enlevais ma robe promptement pour me retrouver vêtue d’une culotte laissant voir mon sexe humide à côté de la vendeuse qui trouvait ça ravissant.
— « C’est superbe, même si ça ne va pas avec vos chaussures plates. »
— « C’est vrai, vous avez raison, si vous voulez bien, je vous laisse et je vais m’en acheter une paire. »
— « Oui, bien sûr, allez-y, je vous attends. Non, gardez la culotte en attendant ! A tout de suite ! »
Et je fonçais dans un magasin proche m’acheter des chaussures à talon noires réalisant que c’était pour plaire à une vendeuse qui me semblait un peu vicieuse. Au moment d’essayer les chaussures le vendeur à du remarquer ma culotte, mais n’a pourtant pas bronché. Après les avoir payées, il m’a gratifiée d’un grand sourire en me souhaitant une très bonne journée. De retour dans le magasin, la vendeuse qui se prénommait Alyssa, abandonna presque une cliente pour m’entraîner au fond du magasin.
— « Alors montrez-moi ce que ça donne avec vos nouvelles chaussures ! »
— « Et voilà ! » Fis-je abandonnant le plus naturellement du monde ma robe devant Alyssa qui ne pouvait pas ne par remarquer que mes tétons étaient dressés.
— « Essayez ça si vous le souhaitez. » Dit-elle en me tendant un corset à lanières.
Il soutenait mes seins en laissant voir les tétons. J’avais l’air un peu pute et franchement ça m’excitait. Alyssa s’approcha de moi et me dit :
— « Nous sommes bien assorties ainsi ! »
Et elle déboutonna son chemisier libérant une jolie paire de seins emprisonnés dans le même type de corset blanc cette fois. Sa peau asiatique bronzée allait à ravir avec son ensemble et contrastait avec ma peau blanche, je nous admirais dans le miroir : elle avait des plus gros seins que moi, et ils paraissaient très serrés dans son ensemble. Je lui proposais donc de l’enlever.
— « Ça à l’air serré, ça ne vous fait pas mal ? »
— « Non j’aime assez porter des corsets un peu étroits, ça met la poitrine en valeur. »
— « C’est vrai, vos seins sont superbes. »
Et j’approchais ma bouche pour les embrasser. Alyssa sembla ravie de mon initiative.
— « Oh c’est bon, mordillez-moi les pointes, plus fort ! »
Et je continuais à la torturer avec mes dents pendant que mes mains cherchaient la fermeture de sa jupe. Sous sa jupe, surprise, pas de culotte ni de string mais comme une petite pince sur son clitoris.
— « Qu’est ce que c’est ? » Demandais-je en titillant l’objet métallique.
— « Un bijou intime, c’est vraiment spécial, un peu douloureux mais les sensations sont incroyables. Et ici, au magasin, je ne peux pas porter de pince aux seins alors celle-ci est plus discrète. »
Et elle glissa son doigt entre les pans de ma culotte pour me branler doucement, puis de plus en plus fort, jusqu’à ce que je commence à ahaner.
— « Tu sais je n’ai jamais fait ça avec une femme… mais c’est agréable. »
— « De toutes façons tu ne peux plus reculer, lèche-moi ! »
Son ton était presque impérieux, mais comme je n’avais qu’une envie j’ai approché mon visage de ses jambes écartées et j’ai posé ma bouche sur son sexe luisant. C’était délicieux, je buvais littéralement son abricot qui ruisselait et elle me plaquait la tête contre son intimité. Ensuite elle me mordilla les seins et les lécha longuement avant de se diriger vers mon clito.
— « Tu es excitée, tu aimerais que je te lèche ? »
— « Je t’en supplie, oui, lèche-moi… »
J’étais prête à faire n’importe quoi, sentant son souffle sur mes lèvres. Et subitement elle me mordit les grandes lèvres, pas très fort mais assez pour que j’aie un peu mal. Elle continua ce traitement un moment me pinçant le clito entre ses dents ou ses doigts, m’enfonçant ses doigts dans la chatte. Je n’en pouvais plus.
— « Allonge-toi et écarte les jambes ! »
Toujours sur un ton qui n’acceptait pas de réplique. Je m’allongeais, écartais les jambes et elle se rapprocha de moi, me caressant sans arrêt. Puis elle s’assit à califourchon sur mon visage en m’ordonnant de m’appliquer. Son sexe était à quelques centimètres de ma bouche et je ne demandais qu’à lui montrer ma bonne volonté. Je titillais son petit bijou, léchais sa chatte ruisselante, je ne pouvais me servir de mes doigts, seule ma langue et ma bouche s’activaient. Je risquais un coup de langue entre les fesses d’Alyssa qui immédiatement se réajusta pour me permettre de mieux accéder à son anus. Je n’avais aucune sensation de dégoût, je la léchais sans aucune arrière-pensée, n’hésitant pas à entrer ma langue. Soudain elle se releva.
— « Appuie-toi là et écarte les jambes ! Je vais te récompenser ! »
Et je me mis face au mur, cambrée, les jambes écartées. Je voyais mon reflet dans le miroir qu’elle avait apporté, c’était à peine croyable, j’étais habillée comme une pute, en train de me faire doigter par une femme. Elle glissait son doigt et me le faisait lécher, je prenais un plaisir fou à me regarder faire. Ensuite elle me mit un doigt dans le cul et je la suppliais de me le faire lécher.
— « Tu es vraiment une salope toi, je suis contente de t’avoir rencontrée… » Disait-elle en me faisant goûter mes propres sécrétions et en me sodomisant de plus belle avec ses doigts.
Nous nous retrouvâmes à califourchon l’une sur l’autre, léchant, doigtant, suçant tout ce qui se trouvait à notre portée. Elle se saisit brusquement de mes chaussures et enfonça sans ménagement les talons dans mon sexe et mon anus. C’était d’une v******e peu commune mais j’adorais ça.
Après un orgasme que j’ai tenté d’étouffer en plaquant ma bouche sur son sexe, nous nous sommes embrassées longuement et elle me demanda si nous pouvions nous revoir. Je lui donnais mon numéro de portable, pris le sien et m’habillais rapidement après avoir rangé les dessous qu’elle m’avait finalement offerts.
Il ne me restait plus qu’une heure pour mes courses et repensant à tout ce que je pourrais utiliser à des fins détournées, je me retrouvais néanmoins avec un caddie plein.
J’arrivais à la gare à l’heure prévue mais comme souvent le train avait un peu de retard. Pour patienter j’essayais de me remémorer mes dernières sorties avec Ludivine, cela faisait un bail, depuis mon retour du Québec. Notre complicité d’adolescentes fut quelque peu brisée par ce départ. Nous sortions souvent ensembles et mine de rien nous pouvions nous confier l’une à l’autre. Déjà à l’époque elle était dingue de Jean, elle me saoulait même un peu, à l’entendre, il était formidable, intelligent, drôle… Je lui conseillais alors de ne pas mettre la charrue avant les bœufs et de prendre son temps, elle avait deux ans de moins que moi et j’essayais tant que faire se peut de la faire profiter de mon expérience. Son histoire n’avait à mon avis pas d’avenir, Jean n’était pas fait pour s’entendre avec elle, c’est vrai qu’il était chouette, mais Ludivine n’était pas assez originale pour lui, il lui fallait quelqu’un avec davantage de caractère. À un moment j’aurai bien essayé de le draguer, mais je ne pouvais pas faire ça à ma sœur. Cependant, elle avait finalement réussi à lui mettre le grappin dessus, peut-être un peu à l’usure, je ne sais pas, mais quand elle m’avait appelée, m’annonçant la nouvelle, je ne pouvais m’empêcher de penser que ça ne durerait pas. Quant elle m’a téléphoné la semaine dernière, j’ai de suite compris que mes pronostics s’étaient réalisés. Ludivine avait besoin de se changer les idées et je me suis dit que si un petit bol d’air pur me faisait du bien, il n’y avait aucune raison pour que cela ne lui convienne pas. Cet endroit m’a toujours permis de me ressourcer, et depuis le début du mois, je regonflais mes batteries après un périple professionnel qui m’avait fait visiter à peu près toutes les grandes villes du pays.
Je pensais aussi à ces derniers jours et comptais sur Ludivine pour me faire retrouver un peu de normalité. Maintenant je me trouvais un peu honteuse d’avoir « baisé » avec des partenaires qui m’étaient totalement inconnus l’instant d’avant, on ne peut pas parler d’amour dans ces cas, je m’étais complètement lâchée, je n’avais qu’une envie, me donner du plaisir. Je me jugeais jusqu’à présent assez originale en amour, j’ai toujours aimé ça, j’étais souvent émoustillée à l’idée de faire l’amour ailleurs que sur un lit. Même au niveau des pratiques amoureuses, j’aimais être un peu cochonne, lécher, sucer des sexes ou me faire lécher mais je n’aimais pas que mon partenaire éjacule dans ma bouche. C’est pour moi les préliminaires idéaux avant une pénétration. C’est vrai la sodomie ne m’a jamais trop plu, sauf avec un de mes amis qui avait un sexe assez fin et qui du coup permettait une pénétration sans douleur. Mais depuis trois jours, je me surprends à aimer (un peu) la douleur, à aimer des sensations nouvelles et je trouve que tout cela va trop vite. Il est vrai que ça fait bientôt six mois que j’ai quitté Thierry et que ma vie sexuelle est au calme plat. Bien sûr je me masturbais de temps à autres, je me caressais même un peu plus pour compenser, mais j’étais peut-être quand même en manque !
Je ne savais pas trop comment j’allais retrouver Ludivine, écroulée, au bout du rouleau, anéantie… Le train entrait en gare et j’essayais de la chercher à travers les vitres des wagons. Après un dernier crissement, le train s’immobilisa et je l’aperçus avec un gros sac en bandoulière. Quel choc ! Elle avait complètement changé, elle était vêtue d’un tailleur assez sobre, de chaussures à talons, elle avait toujours ses longs cheveux châtains, mais jamais je ne l’avais vue comme ça, j’étais habituée à des tenues presque trop décontractées et je la trouvais changée. Elle se dirigeait vers moi en souriant et je réagissais enfin en la prenant dans mes bras.
— « Salut grande sœur ! »
— « Ludivine, je ne t’aurais pas reconnue, je ne t’avais jamais vue en tailleur ! »
— « C’est pour le boulot, j’avais une réunion importante à 8h et j’ai du passer au taf, pour être sûre de ne pas rater le train je suis ensuite allée directement à la gare. »
— « Côte à côte, ça fait rat des villes et rat des champs ! » Lui dis-je en pouffant.
Elle semblait aller pas trop mal et je me disais que le mieux était de la laisser parler au moment ou elle en aurait besoin.
— « Pffff m’en parle pas, j’ai qu’une envie, une bonne douche et retrouver un jean et un T-shirt. »
— « Alors partons, retrouver le bon air pur ! »
Et nous nous dirigeâmes vers la voiture, discutant du voyage, du beau temps et des perspectives de balade. Le trajet était assez long et il faisait vraiment lourd, la chaleur était étouffante, et bien sûr je n’avais pas la clim. J’avais chaud et j’imaginais que Ludivine, en tailleur devait être en train de cuire. Elle avait retiré sa veste, et son chemisier collait à sa peau.
— « Quelle chaleur ! Je pense qu’un orage se prépare, avec un peu de chance, il ne va pas tarder et nous rafraîchir un peu. »
— « J’en peux plus, je suis en nage. » Fit Ludivine en enlevant ses chaussures.
— « Courage on arrive, la douche salvatrice approche. »
Arrivée au chalet, effectivement la douche était arrivée, il pleuvait à seaux et nous nous retrouvions coincées dans la voiture, ne sachant quoi faire pour éviter de se faire tremper. Je proposais à Ludivine de tout laisser dans la voiture et de courir vers la terrasse couverte qui n’était finalement pas si loin. À la une, à la deux, à la trois ! Et nous nous retrouvions à courir comme des dingues sous la pluie battante pour rejoindre l’abri du chalet.
— « Ouah ! Quelle aventure ! On est belles comme ça ! »
Nous avions les pieds couverts de boue, trempées comme des soupes, nos vêtements collaient à la peau. Je voyais par transparence le soutien-gorge de Ludivine et me dit qu’elle devait voir que je ne portais rien sous ma robe…
— « Entre, et fais comme chez toi, si tu veux prendre une douche, la salle de bains est au fond, je t’apporte une serviette. »
— « Ok, merci j’y vais, ça me fera du bien. »
En attendant, je décidais de faire chauffer de l’eau pour un café. Mes pieds étaient encore plein de boue et je sortis pour les rincer sous la gouttière de la terrasse. L’eau était froide mais c’était agréable, il pleuvait tellement fort que même à l’abri je recevais des projections d’eau. Trouvant cela amusant je me mis sous l’averse, laissant l’eau glacée me doucher et couler le long de mon corps. Mais le froid m’a vite ramenée à l’intérieur et pour ne pas tremper le plancher, j’ai ôté ma robe à l’entrée et je l’ai accrochée à une patère. Puis je me suis dirigée vers le placard jouxtant la salle pour chercher des serviettes, une pour moi et une pour Ludivine. J’étais à mi-chemin lorsqu’elle sortit de la salle de bain encore toute habillée. Moi qui croyais qu’elle était sous la douche, elle m’avait peut-être vue dehors. Mais à en juger par ses joues, elle était surprise de me voir entièrement nue au milieu de la pièce et bafouilla :
— « Euh j-j-je voulais juste du shampoing, tu en as ? »
— « Euh il me semble qu’il y en a dans le petit placard sous le lavabo. » Répondis-je ne pensant même pas à me cacher.
— « Je vais voir, euh merci ! »
Et rentrant à nouveau dans la salle de bains elle me cria un « OK j’ai trouvé ! » et j’entendis le bruit du chauffe-eau qui se met en route. Le vacarme de la pluie sur le toit était assourdissant et je me disais que le plus simple était de chercher les affaires dans la voiture avant de prendre ma douche. Je me reglissais donc dans ma robe trempée et allais chercher les provisions et les affaires de Ludivine. L’eau ruisselait sur mon corps et j’avais l’impression de sentir l’impact de chaque goutte. Après trois allers-retours, j’avais vidé le coffre, fermé la voiture et je pouvais m’apprêter à passer la fin de la journée au chaud sans avoir besoin de sortir sous l’orage. Je quittais à nouveau ma robe pour traverser la maison et chercher des serviettes. M’enveloppant dans un grand carré de bain, je toquais à la porte de la salle de bains
— « Je t’apporte une serviette ! »
Je toquais plus fort mais Ludivine de donnait pas de réponse, j’entrouvris donc la porte doucement pour déposer la serviette sur une chaise. Ma sœur était couverte de mousse et se faisait un shampoing, elle avait les yeux fermés et ne pouvait donc pas me voir. Quant au vacarme de la pluie sur le toit et de la douche réunis, il l’empêchait de m’entendre. C’est la première fois que je la voyais nue depuis que nous étions devenues des femmes et franchement elle était belle, sa peau était très blanche, et contrastait avec ses cheveux châtains. Sa poitrine était peut-être un peu plus importante que la mienne. Ses seins en forme de poire avaient l’air fermes et ses aréoles sombres étaient larges. Ses fesses étaient superbes, elle avait un petit cul rebondi qui devait tourner la tête des mecs. Je me disais que ce n’était pas le moment de flasher sur ma petite sœur et je sortis de la salle de bains sans un bruit. Après quelques instants elle en sortit aussi, emmitouflée dans une serviette éponge nouée au-dessus de la poitrine. Ses épaules nues étaient recouvertes de gouttelettes et elle était vraiment craquante.
— « Tu fais star de ciné au sortir du bain ! » Plaisantais-je lui désignant une tasse de café chaud.
— « J’en parlerai à mon producteur ! Tu peux me prêter des fringues en attendant ? »
— « Ton sac est là, j’ai tout ramené, je vais te montrer ta chambre si tu veux. »
— « Je te suis, t’as été courageuse de te faire saucer pour récupérer nos affaires ! »
— « Bah, mouillée pour mouillée… »
Et je lui montrais sa chambre à l’étage, elle était aménagée assez simplement, mais les poutres apparentes et la mansarde lui donnait pas mal de charme.
— « Ouah ! Super, c’est vraiment bien aménagé ici ! »
— « Ce n’est pas grand, mais c’est sympa, je te laisse t’habiller, on se retrouve en bas ? »
— « Ok à tout de suite, et attends… Tu sais c’est sympa que tu m’aie invitée, ça me fait du bien de te revoir. »
— « Moi aussi je suis contente, et encore tu n’as pas idée du repas que je te prépare pour ce soir ! »
— « Je peux deviner ? Je n’ai pas amené de robe du soir ! »
— « Tu verras, mets-toi à l’aise. À tout de suite ! »
Et je rejoignais la salle de bain. Elle avait laissé ses affaires trempées et je les ramassais pour les laver plus tard. Curieuse je fouillais pour trouver ses sous-vêtements. Elle avait des dessous blancs assez mignons mais par contre sa culotte était un peu trop large à mon goût, elle masquait les fesses au lieu de les mettre en valeur. Quel dommage ! Machinalement je portais sa culotte à mon nez et respirais cette odeur particulière, différente de celle d’Alyssa ou de la mienne. La tête me tournait et je sautais sous la douche pour me calmer un peu. Après un long moment sous le jet, je me sentais revigorée et après avoir revêtu une robe et un petit pull, je préparais le repas. Ludivine était descendue, elle était vêtue d’un jean et d’un sweat informe, tenue dans laquelle je la reconnaissais. Elle sirotait son café en regardant la pluie tomber.
— « Ton portable a sonné pendant que tu étais sous la douche, je ne savais pas si je devais répondre, alors je l’ai laissé sonner. »
— « Oh tu peux répondre, je ne reçois jamais d’appel du boulot sur ce numéro. »
— « Je peux t’aider pour le repas ? »
— « Non, sinon ce ne sera plus une surprise ! »
— « Ok, alors je vais continuer à rêvasser. »
Et je préparais un petit repas à la chandelle digne d’une soirée de retrouvailles. Une fois la table mise, nous avons ouvert une bouteille de champagne et trinqué à nos vacances. Ludivine était visiblement heureuse d’être là et nous passâmes une excellente soirée à bavarder, et essentiellement dire du mal de Jean, ça fait tellement de bien de dire du mal. Un peu plus tard assises dans l’unique canapé Ludivine me dit :
— « Bah, finalement, c’était plus jouable, c’est vrai que j’aurais du t’écouter quand tu me disais que ça ne marcherait pas. On était trop différents. »
— « Tu ne regrettes pas quand même ? »
— « Non, surtout qu’il m’a appris pas mal de choses sur moi, et puis on s’est quittés bons amis quand même et il a été très gentil. »
— « Je le voyais mal te larguer, il est trop clean pour faire des sales coups. »
— « C’est vrai, j’ai de la chance dans une certaine mesure. »
Je sentais que la discussion commençait à la gêner un peu et je tentais de repartir sur un autre sujet de conversation.
— « Tu as apporté de quoi randonner j’espère ? J’ai prévu de belles balades pour nos vacances. »
— « Oui, j’ai ce qu’il faut, même mon maillot de bain ! »
— « Tu as bien fait je connais quelques endroits sympas où on peut se baigner. »
— « Dis-moi, tu te promènes souvent toute nue chez toi ? »
Elle m’avait posé la question le plus naturellement du monde et j’étais un peu surprise.
— « Ben euh, non en fait ma robe était tellement trempée que je l’ai ôtée pour ne pas mouiller le plancher. »
Mais je voyais à son regard qu’elle trouvait mon explication simpliste.
— « Ah, c’était drôle de te voir toute nue au beau milieu de la maison. »
— « Ben euh oui, je pense que ça doit faire bizarre… Je ne t’ai pas choquée quand même ? »
— « Non, pas du tout, mais tu paraissais tellement à l’aise, ça avait l’air tellement naturel… »
Je n’allais quand même pas lui raconter mes dernières journées. J’essayais de trouver une explication plausible mais je crois que je m’enfonçais davantage. Soudain le téléphone sonna, il était plus de 23 heures et je me demandais qui pouvait appeler.
— « Allo ? »
— « Oui ? »
— « Annabelle ? »
— « Oui »
— « C’est Alyssa. Je t’ai appelée avant tu n’as pas répondu. »
— « Ah j’avais laissé le téléphone dans la voiture. Comment vas-tu ? »
J’étais mal à l’aise, elle avait l’air déçue ou fâchée et je ne savais pas trop quoi dire.
— « Bien, je voulais savoir ce que tu faisais. »
— « Je suis avec ma sœur. Elle est venue passer quelques jours ici pour se changer les idées. »
— « Ah je te dérange alors ? »
— « Non, non pas du tout ! »
— « Tu as repensé à cet après-midi ? »
— « Oui, bien sûr c’était très sympa ! »
— « Tu es bizarre, tu ne peux pas parler ? »
— « Absolument, c’est ça. »
Elle avait deviné ma gêne et du coup devient plus amicale.
— « Alors réponds par oui ou non ok ? »
— « D’accord, je t’écoute… »
— « Tu as pris du plaisir avec moi ? »
— « Oui »
— « Tu n’avais jamais fait ça avec une femme non ? »
— « Non, jamais, effectivement. »
— « Tu as aimé le goût de ma peau ? »
— « Oui »
— « Tu as aimé me sucer les seins ? Caresser mes tétons… »
— « Oui c’était délicieux. »
Je commençais à me sentir un peu chaude, l’alcool aidant, j’étais émoustillée.
— « Tu as aimé quand je t’ai forcée à me lécher ? »
— « C’était fantastique. »
— « Décris-moi ta sœur. »
Elle me posa brusquement cette question et je ne pouvais pas y couper. J’essayais de donner une description de quelqu’un que nous aurions connu.
— « Eh bien à peu prêt de la même taille que moi, tu te souviens ? Avec des cheveux châtains. »
— « Comment s’appelle-t-elle ? »
J’étais coincée, comment répondre… et soudain j’eus une idée.
— « Ludivine, elle était dans l’autre groupe de TD, tu vois maintenant ? »
— « Tu es maligne, et tu me manques, je peux te rappeler plus tard ? »
— « Oui bien sûr »
— « Ton téléphone peut recevoir des photos ? »
— « Oui, et je peux même en envoyer ! »
— « Parfait, quand tu seras seule je veux que tu m’envoies une photo de toi nue pour me prévenir. »
— « D’accord à tout à l’heure ! »
— « Je t’embrasse »
— « Moi aussi ! »
Ludivine semblait être curieuse au sujet de cet appel et me demanda si elle connaissait la personne qui m’appelait. Je lui mentis en prétextant qu’il s’agissait d’une ancienne copine de Paris, et que je pensais que nous nous étions déjà vues toutes les trois. Un peu fatiguée, ma sœur me dit qu’elle allait monter pour faire un tour de cadran.
— « Je suis vannée, je vais dormir, encore merci pour ce repas, on ne pouvait pas faire plus romantique ! »
Et sur ce, elle m’embrassa sur la joue.
— « Fais de beaux rêves ! »
— « Toi aussi, à demain. »
Je débarrassais la table et montais dans ma chambre en fermant bien la porte. Ensuite je me déshabillais entièrement et pris mon appareil photo, il n’y avait pas beaucoup de lumière aussi décidais-je de descendre chercher une autre lampe. Toujours nue, je descendis l’escalier et pris un spot halogène qui devait faire l’affaire. De retour dans ma chambre, je branchais le spot, je commençais à mouiller. Je pris une photo en tendant le bras au maximum et l’envoyais à Alyssa. Quelques instants plus tard un bip m’avertit de l’arrivée d’une photo. C’était Alyssa, elle était nue, allongée sur une surface blanche, un autre cliché arrivait, on voyait ses seins munis d’une chaînette rejoignant les deux tétons. Je lui envoyais un cliché de mon sexe en gros plan.
Le téléphone sonna
— « Allo ? »
— « Oui c’est moi. »
— « Je te propose un jeu… »
— « Oui, je t’écoute Alyssa »
— « Je vais te guider, et tu vas me raconter ce que tu fais. »
— « Ok »
— « Je te demanderai de m’envoyer quelques clichés pour vérifier que tu le fais bien. »
Ok, je ne savais pas où je mettais les pieds mais sa voix m’hypnotisait, je ne pouvais pas refuser et pour être honnête je mouillais comme une fontaine.
— « Tu as vu mes seins ? »
— « Oui, ils sont beaux »
— « Tu aimerais que je mordille les tétons comme hier ? »
— « Oui, ça faisait mal mais c’était tellement bon. »
— « Tu aimerais que je te pince le clito comme hier ? »
— « Je ne sais pas »
— « Tu aimerais que je te pince le clito comme hier ? Réponds ! »
— « Oui ! J’aimerais mais j’ai un peu peur. »
— « Pince tes seins entre tes doigts. »
— « Oui »
Et je pinçais tour à tour mes tétons, assez fort, ils pointaient de plus en plus.
— « Lèche-les maintenant et envoie-moi une photo avec ta langue sur le sein. »
— « Oui je les lèche regarde la photo ! C’est bon. »
— « Maintenant tu vas prendre le paquet que je t’ai donné au magasin. »
— « Il est encore dans la voiture… »
— « Alors sors ! »
Je descendis nue, chercher le paquet, et je pris une photo de moi nue dehors et l’envoyais à Alyssa.
— « C’est très bien, non ne rentre pas encore, promène toi encore un peu… »
— « Il fait froid… »
Et je commençais le tour de la maison.
— « Justement, ça te fera encore plus de bien… »
— « Je suis devant la porte que dois-je faire ? »
— « Entre et retourne dans ta chambre. »
— « J’y suis »
— « Ouvre le paquet. »
— « Je l’ouvre ! »
Il y avait d’autres objets que ma commande initiale, et bien en vue des petites pinces semblables à celles que j’avais vues sur la poitrine d’Alyssa.
— « Tu sais ce qu’il te reste à faire ? »
— « Oui, je sais. Je pose le téléphone un instant. »
J’étais hypnotisée par ces petits bouts de métal froid, je savais que la douleur serait importante, mais Alyssa m’avait tellement excitée, je ne pouvais pas reculer et saisissant la pointe de mes seins, je plaçais les pinces dessus. La douleur était immédiate, la sensation de chaleur aussi, je pris un cliché de mes tétons meurtris et l’envoyais à Alyssa.
— « Je suis fière de toi, tu es très belle… »
— « Merci »
— « Tu as mal ? »
— « Oui, mais c’est bon, j’aime ça »
— « Tire sur les pinces et prends une photo »
— « Aahhhh, ça fait mal ! »
— « Prends une photo ! »
— « Oui »
— « C’est très bien maintenant allonge-toi parterre et branle-toi »
— « Merci, c’est bon »
— « Tu as deux trous à remplir n’oublie pas ! »
— « Oui je me branle bien ! »
— « Tu aimerais me lécher comme cet après-midi ? »
— « Oh oui »
— « Tu aimerais que je te doigte ? »
— « Oh arrête, je n’en peux plus ! »
— « Tu aimerais que je te gode avec tes chaussures ? »
— « Attends je vais les chercher. »
— « Oui mais continue à te toucher »
Je descendis, chaque pas faisait tressauter mes pinces et je devais me retenir pour ne pas crier. Je ne savais plus où étaient mes chaussures.
— « Je ne trouve pas mes chaussures »
— « Cherche ! »
— « Attends, il y a celles de mon amie. »
— « Bonne idée, prends une photo que je vois à quoi elles ressemblent ! »
— « Voilà »
Et j’envoyais un cliché où je pressais les chaussures contre mes seins, les talons croisés dans le sillon.
— « Très bien, maintenant lèche-les, suce les comme une bite ! »
— « Oui »
Et je lui envoyais des photos ou j’avalais le talon presque en entier.
— « Maintenant tu sais où les mettre ? »
— « Oui »
— « Où ? »
— « Dans ma chatte et mon cul… » Répondis-je.
Et je lui demandais si je pouvais m’enfermer dans la salle de bains pour ne pas réveiller Ludivine en criant.
— « Non, bâillonne-toi, prends une culotte et mets la dans ta bouche. »
— « Je peux prendre une culotte de ma sœur ? »
— « Oui c’est une bonne idée, va la chercher. »
Je pris une photo de moi avec la culotte dans la bouche, sentir ce parfum m’enivrait, je devenais folle.
— « Gode-toi maintenant et n’oublie pas les photos ! »
Je lui envoyais plusieurs photos, avec les talons des chaussures de Ludivine dans le sexe, l’anus et même les deux talons dans la chatte, écartant mes lèvres à m’en faire mal. Je jouis comme une folle ne pensant même plus à Ludi qui dormait juste au-dessus. Alyssa me tenait, elle avait découvert mes fantasmes et j’étais comme un jouet entre ses mains. Elle m’ordonna de nettoyer les chaussures avec la langue et je lui envoyais une dernière photo avant qu’elle ne me souhaite une bonne nuit, me promettant de me donner bientôt de ses nouvelles.
Je rangeais les chaussures de Ludivine et sa culotte, enlevait mes pinces puis je montais. Je me demandais si je ne l’avais pas réveillée mais elle semblait dormir. Tombant de sommeil je me suis écroulée pour me réveiller alors que le soleil était haut.
Ludivine était déjà levée et m’avait préparé le petit-déjeuner. Une belle journée se profilait devant nous.
Après être passée sous la douche et avoir pris un bon petit-déjeuner je proposais à Ludivine de faire une balade, histoire de profiter du soleil. Elle me dit qu’elle était prête, qu’elle n’avait qu’à mettre ses chaussures.
— « Je ne te conseille pas de rester en pantalon, tu vas avoir sacrément chaud. »
— « Je ne sais pas trop, en plus je n’ai pas de short. »
— « C’est pas un problème, viens avec moi on va t’en trouver un ! »
Et nous sommes montées dans ma chambre. Alors que je farfouillais dans mon armoire à la recherche d’un short, Ludivine ramassa un petit objet parterre.
— « C’est quoi ce truc ? »
Oh merde, elle était tombée sur une des pinces que j’avais laissées tomber hier soir. Je devais être rouge comme une pivoine en répondant :
— « Oh rien de particulier, c’est un bijou sans importance ! »
Mais je suis sûre que Ludivine n’était pas aussi innocente qu’elle voulait le laisser paraître et qu’elle se doutait de l’usage qu’on faisait de cet objet.
— « Je te le pose sur la table de nuit. »
— « Euh, oui merci ! Voilà un short pour toi ! »
— « Oulala c’est court ! Mais tu as raison, je serais mieux là-dedans. Je vais m’habiller. »
— « On se retrouve en bas ? »
— « Ok à tout de suite. »
Et je passais moi-même un petit short et une petite chemise nouée sur l’avant avant de mettre de bonnes chaussures. Quelques victuailles dans un sac, de l’eau, une carte, et nous voilà parties sur les sentiers. Nous discutions de tout et de rien mais je ne pouvais m’empêcher de penser à la pince que Ludivine avait vue. Elle ne mentionna pas ce petit « incident » et nous continuions notre chemin. La forêt était magnifique, le soleil brillait, et la pluie d’hier laissait un parfum de terre un humide. Nous étions bien, et j’avais l’impression que nous n’avions jamais été aussi proches. Ma sœur avait changé, elle était plus spontanée, elle n’avait jamais été coincée mais je la trouvais plus libre, plus confiante qu’avant. Je lui montrai une petite clairière au milieu d’une sapinière qu’on ne pouvait atteindre qu’en passant à travers les arbres.
— « Je crois qu’on peut s’arrêter là pour manger un morceau. Ici on sera tranquilles ! »
— « Bonne idée, et on pourrait en profiter pour faire une petite sieste au soleil ! »
— « Tu m’ôtes les mots de la bouche. »
Et nous nous installâmes pour nous rassasier et Ludivine, s’allongeant sur l’herbe se mit à rêvasser. Je fis de même, nous étions allongées sur l’herbe, silencieuses, goûtant la caresse du vent sous un ciel bleu, le bonheur. Après un moment je me retournais pour voir si elle s’était endormie, elle avait effectivement fermé les yeux et je décidais d’en profiter pour bronzer un peu. J’ôtais mon short et ma chemise pour me retrouver en string, me passais de la crème solaire et m’allongeais. Je n’avais pas sommeil et dès que Ludivine se réveillerait il me suffisait d’enfiler ma chemise. Je l’écoutais respirer calmement et m’endormis malgré tout. Je me réveillais en sursaut, entendant un bruit de vêtements qu’on froisse, je me redressais et Ludivine était devant moi en train d’étaler de la crème solaire sur ses seins. Elle était simplement vêtue d’une culotte.
— « Oh, je ne voulais pas te réveiller, mais si je ne mets pas de crème solaire, je vais prendre un coup de soleil. J’ai cherché la crème dans ton sac. »
— « Ah, euh tu as bien fait, surtout que tu as la peau blanche ! »
Sa peau était un peu laiteuse, et je la regardais passer de la crème, c’était magnifique, sensuel, et pourtant ça avait l’air tellement naturel, j’aurai donné pas mal pour passer moi-même la crème sur son corps.
— « C’est vrai, d’autant plus que je ne profite pas souvent du soleil, on est tellement bien ici, tout est calme, c’est génial ! Tu viens souvent dans cette clairière pour bronzer ? »
— « Oui, c’est un petit coin de paradis, on y est tranquille. »
— « Je n’avais jamais profité du soleil comme ça, avant. »
— « Tu n’étais jamais à
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