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La reine Margo – 3

La reine Margo – 3



Par jeux, moi et ma sœur on s’était fait passer pour des jumelles russes, Holga et Yulia en rejoignant un marchand de Venise dans l’une des petites alcôves du château. Ce gros bonhomme avait la bite la plus épaisse que j’avais jamais vue, pas trop longue, mais un vrai canon. Je ne voulais pas qu’il sache que j’étais la reine, car parfois cela intimide trop mes amants et les empêche de profiter pleinement de moi. Je voulais voir cette bite de près, car je n’en avais jamais vu de pareille et maintenant que c’était fait, j’étais certaine d’une chose ; je ne la voulais pas dans le vagin et ma sœur non plus, on avait peur qu’il nous fende en deux. Alors, à genoux toutes les deux devant lui, on s’appliquait à essayer de le faire jouir au plus vite avec nos mains et nos bouches. Mais le bougre semblait en avoir décidé autrement.

Ça, trop gros monsieur !

On passa un long moment à s’occuper de cette bite démentielle ainsi que de ses gros testicules si doux à caresser. L’homme obèse, jubilait, debout, mains sur nos têtes et suaient a grosses goûtes terriblement exciter de ce faire sucer par deux sœurs bien rondes. Moi et Jeanne, en sueur aussi, car l’humidité était effarante ce soir à cause de l’orage, on penchait la tête et on gobait chacune une couille a l’occasion tout en le masturbant en écoutant le gros marchand soupirer visitant visiblement le paradis. J’avais bien essayé d’avaler le gland, mais rien a faire, ma sœur n’y arrivait pas non plus. Alors, à genoux toutes les deux, on se contentait de lécher et de mordiller et de branler cette grosse bite sans veine. Parfois ma sœur la plaçait entre mes gros seins et je la masturbais avec en me les pressant tandis qu’elle crachait dessus pour les rendre bien glissant puis on recommençait a s’occuper du gland du mieux qu’on pouvait, bouche contre bouche, langue contre langue, tout en se caressant seins et fesses au passage, autant pour faire plaisir a l’homme que pour nous faire plaisir.

Je n’avais pas touché ma sœur depuis un an et son corps si doux et ses formes aussi voluptueuses que les miennes me manquaient cruellement. Comme on partageait le même lit enfant, fallait bien se réchauffer l’hiver, non ? En fait, on avait toujours été de sacrée vicieuse toutes les deux. C’était si excitant de baiser ensemble, car on se ressemblait comme deux gouttes d’eau. On nous prenait toujours pour des jumelles identiques malgré nos quelques années de différence. On nous appelait d’ailleurs les jumelles depuis toujours et on laissait courir, surtout que cela excite tellement les hommes de baiser avec des sœurs pareilles en tout point. Même en vieillissant on était resté semblables, même gros seins, même taille, mêmes fesses et même cheveux épais, presque noirs et on aimait toujours autant nous caresser et dormir ensemble a chaque fois qu’on en avait l’occasion. Jeanne était à la fois ; ma sœur, mon amante et ma meilleure amie depuis toujours. Dans la cinquantaine tous les deux a présent, après presque 40 ans de pratique, on savait s’amener a l’orgasme très rapidement l’une et l’autre.

Mais ce n’était pas notre but présentement, on espérait juste faire venir le gars en n’y mettant le paquet. On avait fini par le prendre en pitié le pauvre, on est comme ça nous les filles. Mais le gros marchant résistait bien plus longtemps que je le prévoyais et honnêtement, ma sœur et moi, après avoir vue cette énorme bite de près, on avait plus envie de ce la faire mettre au con. Elle n’était pas très longue, mais si épaisse que j’étais presque certaine qu’elle allait nous déchirer le con. Donc, on y mettait du cœur à notre double fellation, mais le bougre semblait bien décidé à se retenir pour nous baiser. En désespoir de cause, je passé derrière Jeanne (alias Holga), pour lui embrassé et lui mordiller les fesses un moment avant de lui lécher le cul et le con. Rien n’excite plus les hommes que de voir deux femmes se caresser, surtout des jumelles. L’homme reposa ses grosses fesses sur la banquette pour que ma sœur puisse se pencher plus sans lâcher sa bite et me donner un meilleur accès a son sexe ouvert et humide, tout autant que le mien. Elle se mit aussitôt a dodeliner du cul en gémissant et quel beau cul. Comme moi, elle avait de belles fesses bien rondes et toutes blanches et encore pas mal fermes. Le marchand fixait ma langue glissant dans la raie de ma sœur et qui s’attardait sur l’anus brun pâle ou qui léchait la fente détrempée, ou mes doigts mouillés de salive visitant ses deux orifices. Comme je savais très bien ce qui allait faire jouir ma sœur, en espérant que cela fasse jouir le gars, je me mis a la pénétrer dans le vagin avec ma langue raidit l’autre doigt toujours dans le cul tout en me branlant avec ma main libre un bras passé entre mes gros seins.

Je jetais parfois un œil au tableau truquer accrocher au fond de l’alcôve dans l’hombre, un portrait de moi à peine visible que le gars n’avait sans doute pas remarqué, pour voir que ma jeune nièce, la fille de Jeanne nous espionnait toujours du passage secret. L’un de mes yeux bougeait, me faisant les yeux croches. C’était trop drôle. Elle devait se masturber encore la petite vicieuse en me regardant m’occuper de sa mère avec ma langue et l’enculer avec un doigt.

Ça m’excita encore plus comme toujours de me savoir observer, surtout par ma nièce pendant que le goût du sexe de ma sœur m’emplissait la bouche. Jeanne s’agrippa le pubis pour se masturber elle aussi et ce fut rapide, elle jouit en criant de plaisir juste au moment ou j’allais jouir également, mais l’orgasme m’échappa. Ma sœur frémit, son anus se contracta sur mon doigt que j’agitais dans le rectum, elle eut des spasmes vaginaux contre ma langue, puis elle se détendit. Je me redresser, essouffler quelque peut, le visage tremper des sécrétions de ma sœur pour lui caresser les fesses un moment pour voir que le marchant ne venait toujours pas. Je dus me résigner à la rejoindre, car le celui-ci m’incitait a le faire. Me revoilà donc a léché et masturber ça bite canon avec Jeanne qui avait rougie de visage.

-Merci petite sœur, dit-elle avec un faux accent russe.
-De rien petite sœur. Répondis-je amuser.

Je cueillit du bout de la langue une grosse goutte de ce liquide transparent épais comme du blanc d’œuf qui sort de l’urètre des hommes avant l’éjaculation en me disant que ça y était, enfin, pour ensuite embrassé ma sœur, langue en avant, en lui pinçant les mamelons pour lui en faire partager le goût saler et surtout pour exciter encore plus le gars. Il grimaçait et rougissait de plus en plus en nous regardant faire,« bon signe » me dit-je. De retour au gland, je poser les lèvres contre son urètre en agaçant sa petite fente avec la langue tandis que ma sœur le masturbait vigoureusement a deux mains, mais… toujours rien. Jeanne me fit alors un clin d’œil avant de ce sucer un doigt, le majeur de la main gauche, et lui rentra lentement dans le cul. Habituellement, ce petit truc appeler (fellation Royale) les fais jouir rapidement, mais pas lui, aucune explosion de foutre ne se produisit dans ma bouche prête a tout recevoir. Un pied relever sur la banquette, adosser a celle-ci, il gémissait de plaisir les yeux tout petits. Comment pouvait-il encore se retenir ? Je n’en avais aucune idée. Peut-être qu’il était incapable de jouir tout bonnement.

Au bout d’un moment, on passa donc à une autre tactique, taper la bite de haut en bas ou de côté. Elle était si dure et si grosse qu’elle baissait à peine et vibrait comme un gros bâton pendant que l’homme grognait et grimaçait de plus belle. On s’en amusait moi et ma sœur en alternant claque et caresses, mais encore la, rien n’y fit. Notre orgueil en prit un coup finalement.

Puis l’inévitable arriva ;l’homme nous dit d’arrêter et de nous retourner. On aurait pu le laisser en plan le pauvre et se sauver, mais on le prit en pitié en le lâchant et puis il avait l’air gentil. On protesta plus pour la forme qu’autre chose, mais aussi un peu par peur, je l’avoue, en continuant à jouer les jumelles russes assises maintenant sur nos fesses à fixer son vit qui palpitait sous notre nez. Sans se retourner on se regarda inquiète en s’essuyant la bouche puis, prenant toujours mon faux accent russe exécrable, je dis en me caressant les seins :

-Trop gros monsieur, ça pas rentrer en moi, ou dans ma sœur, Holga.
-C’est vrai monsieur, rajouta Jeanne en m’imitant, beaucoup trop grosses. Toi pas capable venir en bouche ou sur gros seins ?
– Si, je pourrais, mais vous êtes tellement bandante mes jolie que je me dois de visiter vos cons identiques, voyons, sinon, je le regretterais jusqu’a la fin de mes jours. Je baise les filles depuis que j’ai 14 ans et ma femme depuis 30 ans et c’est très rare que mon vit ne puisse se faufiler dans une chatte à moins qu’elle ne soit trop sèche ou pucelle. Aller, retournez-vous, je vais vous faire crier, mais de plaisir mes dames ne soyez pas inquiète. Je suis toujours très prudent pendant la pénétration. Jamais je n’aurais cru un jour baiser de vraie jumelle, dit-il tout exciter en se tapant dans les mains comme un garçon espiègle. Faudrait pas que j’oublie de remercier la reine dès que je la verrai, dommage qu’elle ne soit pas la avec vous deux, se serait le paradis. J’espère qu’elle m’offrira ses faveurs bientôt, j’aimerais tant qu’elle voit mon vit et s’en étonne et en profite surtout. On dit que c’est la plus belle femme du pays, une vraie déesse.
-Pof ! Fait ma sœur avec un geste de la main comme si elle chassait une mouche. Joli oui, mais moi et ma sœur beaucoup plus belle, plus bandante, hein Yulia ?
-Oh oui, dis-je en me retenant pour ne pas rire, car j’entendais rire ma nièce dans le passage secret.
-Allez les filles, dit-il en se tapant encore dans les mains. J’espère que vous êtes bien mouillées ? Je vais vérifier ça. Tournez-vous !

Moi et ma sœur on se regarda quelque peut décourager, le front moite de sueur, et on se retourna, résigner a probablement gémir, mais de douleur. On se pencha lui offrant nos beaux derrières en croisant les bras sur la table basse devant nous ou Marie avait déposer le plateau avec la jarre a vin et trois verres. Tandis que le marchand nous caressait les fesses puis vérifiait avec ses gros doigts boudinés si on était bien humide toutes les deux, je nous verser du vin. Son doigt caressant mon sexe humide faisait tout de même son petit effet, surtout quand il le visita. Je ne pus m’empêcher de dodeline du derrière en frappant celui de Jeanne. Quant au vin, on en avait bien besoin toutes les deux. J’eus même droit à un doigt dans le cul en frappant mon verre contre celui de ma sœur qui soupirât de plaisir, en disant :

-Un toast a notre père a tous, le Tsar de Russie, Holga.
-Au Tsar, Yulia. Ouf… Moi doigts dans le petit trou.
-Hummm… moi aussi… Santé.

Tandis qu’il agitait ses doigts mouillés de salive dans nos culs, nous arrachant déjà des grimaces je caler mon verre comme Jeanne et nous en verser un autre. Me faire jouer dans ce coin la me procure toujours énormément de plaisir, surtout que son doigt était aussi gros qu’une bite normal. Nous v’la a nous plaindre toutes les deux de plus en plus fort, les yeux tout petits. Seigneur ! Je mouillais tellement que cela me coulait à l’intérieur des cuisses.

-Et on boit a nos chattes Holga, espérant elle être capable, avalé, si grosses bite… La Reine des bites.

On rit avant de caler cet autre verre en n’en renversant une bonne partit sur nos poitrine qu’on se lécha l’une et l’autre puis je sentis son doigt sortir de mon cul, ça me donna la chair de poule. Soudainement, ma sœur arrondit les yeux tout à coup et se cambra bouche ouverte. Je tourner la tête pour voir l’homme installer derrière elle en train de la pénétrer en se tenant la bite d’une main, l’autre poser au creux des reins cambré de Jeanne. Pauvre elle, elle me donnait l’impression qu’on venait de lui toucher la fente avec un fer chauffer a blanc.

-Ça, vas, petite sœur ? Demandai-je inquiète.
-Hum…. oh oui… petite sœur. C’est entré. Pas croyable ! C’est si gros… comme deux bite en même temps dans vagin… Ouuu…
-Je vous l’avais dit les filles que ma bite entrait facilement dans un con bien mouillé. Fait le marchand tout heureux en lui tapant les fesses. Donne-moi du vin Yulia. C’est bien toi, Yulia ?
-Pas important, mon bon monsieur, répondis-je, ma sœur et moi pareil.
-Oui, et magnifique, de vrai déesse.

Ma sœur révulsa les yeux et l’homme commença à la besogné en la tenant par les hanches. J’y croyais à peine, il fallait que je voie ça de plus prêt. Je remplis mon verre et celui du marchand et, tandis que Jeanne posait son front sur ses bras en se lamentant de plaisir, j’allai regarder son derrière de plus près en restant à genoux. J’appuyai ma poitrine sur le dos de ma sœur secouer par le gros ventre de l’homme qui la pistonnait lentement et lui donner son verre pour regarder la chatte de Jeanne. Jamais je ne l’avais vue autant arrondit et étirer par une bite, son petit trou en était tout écrasé. Le gars la pénétrait jusqu’aux couilles en plus, son gros vit allant et venant déjà recouvert de déjection vaginale blanche. Jamais je n’aurais cru que quelque chose d’aussi gros puisse entrer là. Il but et en profita pour caresser ma poitrine de la main gauche sans cesser de s’agiter. Ce type la savait se retenir en tous cas et je me demander quelle quantité de foutre pouvait bien jaillir d’une bite pareille vue la grosseur des couilles. Je pris un gorgé de vin et la recracher sur l’anus de Jeanne avant le lui agacer du bout d’un doigt, histoire de l’aider un peut. Elle n’en gémit que plus fort, surtout quand je pousser mon index dans son cul jusqu’a sentir et touché la bite par la mince paroi anale. Mine de rien, je jeter un coup d’œil a mon portrait, l’œil de ma nièce semblait agrandit lui aussi. Je lui fis un clin d’œil complice qu’elle me rendit pendant que Jeanne lâchait des :

-Oui ! Oh Oui ! Oui ! Oh Seigneur !

Apparemment, elle appréciait grandement ce qu’elle avait ans le con et le cul a l’entendre gémir, je commençais a en être jalouse finalement quand il dit en sortant sa queue de ma sœur en me souriant :

-A ton tour ma belle.

Je ne pus m’empêcher de déglutir en sortant mon doigt du cul tandis qu’un gros frisson me parcourait l’échine. Je me réinstallai bras sur la table, cul en l’air à côté de Jeanne qui semblait en pleine extase en se frottant le pubis et le sexe. Puis elle remplit son verre en me disant :

-Prend grand respire, petite sœur.

Je n’eus même pas le temps, déjà, je sentais une forte pression sur mon vagin qui s’ouvrait et s’ouvrait comme jamais auparavant. « C’est pas possible me dis-je, il va me le déchirer. » L’effet d’étirement était terrible, mais nullement douloureux comme je le craignais et son gland passa le col du vagin. J’en perdis le souffle, j’y croyais à peine. Et cette chose énorme entra en moi jusqu’aux couilles me comprimant le rectum et la vessie, me donnant juste envie de pisser. J’eus l’impression que quelqu’un venait de me rentrer carrément un bras dans la fente. Il commença à l’agiter lentement en m’agrippant par les hanches avec ses grosses pâtes tandis que ça panse me faisant rebondir les fesses. Seigneur, je crus m’évanouir de plaisir.

Jeanne buvait en caressant mes seins les yeux rieurs. Je devais faire vraiment une drôle de face, car elle éclata de rire carrément et moi a gémir de plus en plus fort sans pourvoir m’en empêcher. On devait m’entendre jusqu’aux villages. Cette bite monstrueuse commençait a me faire drôlement de l’effet et l’homme était très fort en plus alors me secouait rudement. Jeanne lâcha mes seins et glissa une main sous mon ventre pour me chatouiller le clitoris. Je lâcher un petit cri aigu tellement mon petit bouton était dur et sensible et elle le savait très bien la gueuse. Je me mis à gémir encore plus en sentant mon cul frapper plus violemment, si fort que mes seins en heurtaient la table basse.

-Ohhh… seigneur… Lâchai-je les yeux révulser.

Je n’avais jamais ressenti une chose pareille, cette bite me paraissait être comme un bruche me défonçant le vagin. Elle me donnait vraiment envie pisser tout autant que de jouir et, les doigts experts de Jeanne, qui me massait le pubis était tout près de me procurer justement cet orgasme. Je faillis jouir, mais sans pouvoir m’en empêcher, je mis plutôt a pissé drue sur les couilles du gars. Ça ne sembla pas déranger le gaillard, bien au contraire, car il accéléra tandis que Jeanne me masturbait plus fort et je jouis finalement. Un orgasme puissant qui fit battre mon cœur à toute allure et hurler de plaisir. Je me mis à trembler, en secouant le cul, le corps parcouru de spasme violent. Le fait de pisser en même temps me semblait rendre l’orgasme qui me traversait le bas ventre encore plus intense, un véritable feu d’artifice qui irradiait jusqu’à la pointe de mes seins. Cela m’arrivait parfois, mais pas souvent. Seigneur, mon front heurta la table au moment ou il la retirait de mon con pour reprendre ma sœur. Ressentant alors un grand vide je me pris le clitoris un bras glisser entre mes seins et fini de pisser en me masturbant, sentant l’orgasme s’atténuer peut a peut. Un vrai soulagement, une délivrance.

Je reprenais a peine mon souffle en sentant mon cœur se calmer quand ce fut au tour de Jeanne de jouir en gémissant. La seule fois ou je l’avait vue grimacer autant que ça, c’était lorsque deux hommes bien montés l’avaient prise en même temps par le cul et un troisième par le vagin.

Jeanne était toujours en plein orgasme quand le gars me força, en me prenant par les hanches, à me coucher sur le dos de ma sœur pour avoir les deux cons à porter, l’un au-dessus de l’autre. Il m’avait presque soulevé de terre comme si j’étais une gamine. Il me pénétra a nouveau un moment, puis encore ma sœur en nous claquant les fesses et encore moi. Il était pas croyable ce gros et d’une force quasi surhumaine, il ne nous laissait aucun répit, tandis qu’on gémissait l’une après l’autre joue contre joue. J’étais en sueur, les seins écraser sur le dos de Jeanne, bien accrocher a ses épaules et perpétuellement sur le bord de jouir a nouveau, c’était trop bon, mais frustrant quand il se retirait quelques minutes pour revenir en moi. Mon vagin était si dilaté maintenant que son énorme engin y pénétrait avec une facilité déconcertante et quand en plus, il glissait un doigt mouiller de salive dans mon cul, alors la… c’était fantastique. Une sacrée bonne baise finalement et ma nièce, toujours la, n’en manquait rien. En fait, jamais un homme seul ne nous avait baisés avec tant de vigueur.

Il y allait parfois si rapidement que je me serais crue en plein tremblement de terre ou si lentement que je le suppliais d’accélérer. Il avait visiblement décidé de profiter au maximum de ses deux jolies jumelles supposé russe aux formes si généreuses. Nos gémissements identiques se répercutaient dans l’alcôve. Chaque fois qu’il revenait en moi, je criais mon plaisir de plus en plus fort et Jeanne aussi, ou toutes les deux en même temps quand il en baisait une en passant le doigt dans le cul de l’autre. Parfois je me disais ; pauvre gars, il n’arrive pas à jouir tout en gémissant à n’en perdre la voix. J’eus un deuxième orgasme et un troisième avant qu’il finisse par dire cette chose incroyable :

-Retourner vous les filles, je vais jouir.

J’en fus presque déçu en débarquant du dos de ma sœur pour qu’on s’agenouille à nouveau devant lui, assise sur nos fesses. Jeanne avait le visage tout aussi rouge que le mien et couvert de sueur. J’aurais aimé que cela continue, encore et encore même si je me sentais exténué et pleinement satisfaite. J’attendis qu’il vienne, coller contre ma sœur ; seins contre seins, joues contre joues et langue sortit en le regardant se branler a deux mains, la face toute rouge lui aussi, essouffler, en nous fixant. Il grognait comme un ours en se masturbant, visiblement très exciter de nous voir ainsi, à genoux devant lui, prête a recevoir son foutre au visage et sur les seins comme de vulgaire fille de bordel, ce que l’on était censé être d’ailleurs.

Essouffler, on entendit l’heureux avènement en fixant son gland qui dégoûtait de plus en plus tout en nous caressant les seins pour l’aider a venir, mais aussi pour se faire plaisir. Toutes les deux habituer a notre âge a ce faire jouir au visage, cela ne nous dérangeait nullement, enfin, pas trop. Et il gémit plus fort en cambrant les reins et serrant les fesses, ses couilles rentrèrent par en dedans et ce fut l’explosion. Un long jet puissant de sperme blanc jaillit pour me tomber sur la tête, j’en sentis même me couler dans le dos jusqu’entre les fesses. Puis il nous jouit au visage, des giclées très raide qui mous firent cligner des yeux. Le foutre chaud me chatouillait en me coulant le long du nez et sur la bouche. Il nous arrosa d’une quantité impressionnante de sperme liquide et salé, un vrai cheval. Il ondulait du bassin pour bien nous asperger toutes les deux comme s’il tenait une lance a incendie et arrosait un feu. Nos visages en furent recouverts ainsi que nos seins au mamelon tendu. J’essuyai mes yeux recouverts de foutre épais, j’ai toujours aimé voir jouir les hommes, mais là, c’était comme trop. Je ne sais pas pourquoi ça excite tant les hommes de nous venir au visage, mais on y échappe rarement, on finit par s’y faire. Je crus que ça n’arrêterait jamais, mais la source se tarit finalement et sa queue finit par juste dégoûtée en ramollissant. On lui lécha le gland un peut et il se recula pour tomber assit, apparemment satisfait et surtout très soulagé en se la secouant.

Je dois avouer que ce fut sans doute pas un spectacle des plus glorieux pour les yeux de ma nièce, mais par contre, vachement impressionnant. Une chose est certaine, elle allait s’en rappeler longtemps.

Je me sentais vaseuse maintenant, étourdis par mes orgasmes et le goût et l’odeur du foutre. Ma sœur était dans le même état, la face plein de sperme gluant qui pendouillant sous son nez et son menton, elle aussi s’essuya les yeux. L’homme nous remercia gentiment en se levant et nous dit qu’il allait envoyer une servante pour nous nettoyer en rajoutant :

-N’oubliez pas de remercier la reine pour moi, pour le plus joli cadeau que l’on mais jamais fait. Si seulement ma femme n’était pas aussi jalouse, j’essaierais de vous ramener avec moi en vous rachetant. Satisfaite mes dames ?

-Hum, fis-je, oh oui, monsieur.
-Oui, beaucoup plaisir, monsieur.
-Voila, fit-il tout heureux, je vous l’avais dit mes jolies. J’espère que l’on se reverra avant mon départ.

On sourit comme on put en le regardant sortir avec ses grosses fesses et son dos poilu. Dès que la porte se fut refermée, nos sourires s’évanouirent.

-Bon Dieu, fit Jeanne a bout de souffle tandis qu’on se retournait, toujours à genoux, vers la table pour si appuyer, les cheveux coller dans le visage par le sperme. Elle rit en nous versant ce qui restait de vin et rajouta ; je me sens comme si une charrette a bœuf m’était passer dessus et pleine de barri à part ça et bien remplie de bière les barris. En faite j’ai l’impression que la charrette m’est carrément passée dans le vagin. Mais cette grosse bite fait son effet, je ne suis pas près d’oublier ça. T’as joui combien de fois Margo ?

J’avalai du vin mélanger a du sperme avant de répondre, chatouiller par le foutre qui s’écoulait lentement de mes gros seins a mon ventre en regardant le tableau de moi dans l’hombre, l’œil de ma nièce y était toujours.

-3 fois et je me suis pisser dessus, un vrai taureau le gros. J’ai jamais autant été arrose de sperme par un seul gars et pas le moindre linge pour s’essuyer.
-C’est pas croyable, imagine sa femme. Quand il la baise, on doit l’entendre hurler dans tout Venise. Moi j’ai eu 4 orgasmes et on a survécu Yulia.
-Et oui, Holga, dis-je en ramassant du foutre sous mon menton pour l’essuyer sur mes seins qui en était recouvert. Et n’oublions pas de remercier la reine pour cette grosse bite et cette pluie de foutre gluant.

On rit comme des folles totalement épuisées, surtout en se regardant. Ce n’était pas la première fois que je voyais ma sœur ainsi couverte de sperme, on baisait souvent plusieurs hommes ensemble, mais cette fois, c’était vraiment quelque chose.

-Ouf, fit-elle en se caressant le ventre, j’ai trop envie, ça bite ma comprimer la vessie. Et pourquoi se faisait-on passer pour des jumelles Russes et idiote, Margo ?

J’allais répondre quand j’entendis ma nièce dire de derrière le mur :

-Parce que ma tante est un peut fo-folle maman.
-Toi, dit Jeanne en pointant le tableau, vas te coucher la voyeuse, sinon, je cours te rejoindre pour te serrer dans mes bras et te donner des baisers sur les joues couvertes de foutre comme je suis.
-Burk, non ! Pourquoi vous laissez un homme vous faire ça ? C’est dégoûtant, à faire vomir.
-Parce que c’est bon, fit sa mère en ramassant du sperme sur mes seins avec un doigt pour le sucer comme si c’était une délicieuse friandise. Moi, je lui lécher une joue pour en ramasser une bonne lampé et l’avaler.

-Hummm…. Maria, tu viens goûter ?
-Pouash ! Dé-gueu-lasse, vous êtes… cochonne ! Jamais un garçon ne me fera ça, je le jure.

On rit très fort à entendre ça.

-On en reparlera demain, fit Jeanne, maintenant au lit. Oust !
-Bonne nuit Holga, bonne nuit Yulia. Et elle rajouta en imitant notre accent russe ; oh non monsieur, trop grosse queue… pas rentrer dans con… pas rentrer dans bouche…
-File, cria Jeanne avant d’éclater de rire avec moi. L’œil disparut du tableau et quand elle remit le bouchon derrière le mur, mon œil peint reprit sa place.

On riait encore quand Marie entra avec une bassine d’eau claire et un gros savon brun et des linges.

-Mon dieu, fit-elle en s’agenouillant derrière nous pour poser la bassine par terre et y tremper un linge quelle tordit ensuite pour commencer a me laver les fesses et le sexe, des jumelles russes évadées d’un cirque, couvert de foutre et de pisses. Qu’elle ait l’a****l qui vous a arrosé de sperme comme ça ? Un cheval ? Ah non, c’est vrai, c’est le gros gras avec son gros canon de Venise. Il a bien tiré ce canon, on dirait.
-Elle est très drôle la Marie, trouve-tu Jeanne ?
-Quand je lui lèche la noune oui, la je la trouve drôle, elle en vient les yeux tout croches. J’espère que ton eau est froide la comique, parce que j’ai le con échauffer et… ouuuu… oh oui, frotte plus fort…
-Je vois ça que vous avec le con échauffer, vos sexes sont tout rouge et si agrandit que je pourrais même en faire un petit nettoyage intérieur en y entrant les bras et la tête. Juste par curiosité les jumelles russe, ça fait de l’effet sa petite affaire, ou mal ?

On se contenta de la regarder en souriant et en ondulant du cul.

-OK, j’ai compris, si je veux savoir…. que je l’essaye, dit-elle en nous lavant et c’était fort agréable surtout a voir ses seins se balancer dans son corsage totalement ouvert.
-Elle comprend vite pour une bonne, Margo. Tu devrais la nommé eh… Bonne en chef.

J’éclatai de rire en buvant ce qui me restait de vin.

-La bonne en chef a une bonne nouvelle mes dames les vicieuses, pas besoin de recoudre, mais je vous conseille le repos. Pas de bite pour au moins… un mois.
-T’as pas encore eu ta promotion, toi. Lui dis-je. T’as pris ton bain ?
-Oui ma reine et je me suis parfumé le con et les seins.
-Bien, bonne fille. Tu nous amèneras du vin chaud au lit.
-Je peux dormir avec vous, Margo ? demanda Jeanne.
-Ça, ma petite sœur, ça ne se refuse jamais, ça fait si longtemps, trop longtemps.
-Va pour le vin, dit Marie, mais je ne vous lèche pas la fente ce soir les filles, j’ai pas envie de perdre ma langue dans ces grottes.
-T’as raison, Margo, elle est trop drôle la petite Marie.
-Quand tu partiras chez toi, amène la, moi elle me fait trop rire, je n’en peux plus. Mon beau visage si lisse va devenir tout rider à force de rire de ses blagues.

Marie nous tira la langue avant de rire avec nous tout en nous ordonnant de nous lever pour pouvoir nous laver la tête, le visage et les seins.

Une fois bien nettoyer on fila a ma chambre pour ce retrouver au lit toutes les trois en buvant du vin chaud et épicer adosser à mes gros oreillers en écoutant la pluie abondante qui crépitait sur les toits. Marie bien caler entre nous se mit a bailler en s’excusant. Je ne pus m’empêcher de l’imiter suivit par Jeanne. Elle nous regarda l’une et l’autre et partit à rire soudainement un bon moment pour dire ensuite en s’essuyant les yeux :

-Vous auriez du voir le tableau quand je suis rentré dans l’alcôve. On aurait juré qu’un déluge biblique de foutre c’était abattu sur vous deux. Puis, j’ai croisé le gros bonhomme dans le couloir en allant chercher le vin et il m’a demandé si la reine était au château. J’ai répondu : Non, aux écuries, occuper avec trois étalons. Il a figé, les yeux tout ronds et as dit : Ah bon, avant de filer.

Nous v’la à rire toutes les trois comme des folles. Chaque fois que l’on arrêtait, l’une de nous repartait a rire et on s’y remettait. Et au bout d’un moment, reprenant finalement mon souffle en m’essuyant les yeux je vis que ma sœur avait le même désir que moi pour la petite Marie. Celle-ci nous vit la regarder et dit candidement :

-Oups ! Ça va me faire mal ?
-Oui, très mal, répondis-je.

J’éteignis la lampe de chevet et on se jeta sur elle dans le noir en la chatouillant… et, mélanger à nos rires, je crus entendre celui de ma nièce derrière le mur à la tête de mon lit, et qui ne devait plus voir grand-chose la petite voyeuse.

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