Bonjour à tous
L’histoire que je vais vous raconter à commencer il y a quelque années.
J’ai une sœur ainée de 2 ans. Elle mesure 1.65m, pèse dans les 55kg, brune cheveux court et porte des lunettes, style professeur. Elle travaille en thalassothérapie pendant les saisons été. L’hiver, elle revient chez mes parents.
Sexuellement, elle s’éclate. Un gars dans chaque port, comme on dit.
Moi, c’est l’inverse. Gros, timide en vrai,très peu de petites amies.
Gaëtane était donc rentrée de saison chez mes parents. On avait bu l’apéro un peu trop longtemps, ce qui avait amené une grosse prise de bec entre ma mère et ma frangine. Nous ,les hommes, ne disons rien dans ces cas la, car sinon, ça nous retombe dessus. Ma mère décide d’aller ce coucher. Moi, je sort pour fumer une cigarette et profiter de l’air frais. Ma sœur m’y rejoint, les larmes aux coins des yeux. Elle s’apitoie sur son sort, et m’enlace. Je suis surpris, car on a jamais eu de geste tendre entre nous. Pourquoi? Je ne sais pas. Je la sens se lover contre moi, qui reste pantois. Je lui caresse les cheveux de ma main libre et la réconforte comme je peux. Elle me regarde, les yeux embués de larmes, m’embrasse sur la joue et rentre. Je reste là, comme un con avec une érection que je n’ai pas contrôlé du tout. Je pense que c’est du à l’alcool, car je n’ai jamais fantasmé sur ma sœur.
Une fois dans mon lit, ça frappe à ma porte.
-Antoine?
-Quoi?
-Je peux entrer?
-Vas-y, lui répondis-je en soupirant.
Elle ouvra la porte et resta dans l’entrebâillement. La lumière du palier qui était dans son dos, mis ses courbes en valeurs. Elle portait un débardeur assez moche qui lui servait de pyjama ainsi qu’un petit short non moulant mais court. En la voyant dessiner ainsi, mon érection revint à la charge.
Elle pris son air mielleux et me demanda :
-Je peux dormir avec toi?
-Pourquoi?
-Je me sens seule, et après l’affrontement avec maman, j’ai besoin d’une présence dans mon lit pour me réconforter.
-C’est nouveau ça? C’est bien parce que tu as trop bu, sinon, ça ne serais jamais arrivé.
-Allez, s’il te plait?
-Grrr, bon d’accord. Mais je garde le coté gauche.
-OK.
Pendant qu’elle éteint la lumière, je cache mon érection. Elle monte sur le lit à quatre patte pour venir jusqu’à la tête et s’y installer. Ses seins, je pense un 90C, pendent et déforment son haut. J’ai une vue directe dessus. Ma sœur soulève la couette pour s’y engouffrer. Sa merveilleuse poitrine ballotte le temps de s’installer. J’ai une grosse érection car ça fait un bon moment que je n’ai pas dormi avec une fille, ça m’excite.Elle ne manque pas de me le faire remarquer.
-Sa fait longtemps, non?
-De quoi?
– Bah, que tu n’as pas dormi avec une fille?
-Oui, et ne te moque pas car sinon tu retournes dans ta chambre.
-Rooo, je n’ai rien dit.
Elle vient se blottir contre moi, met ses pieds froid sur ma jambe et me saisit le bras gauche pour se le passer autour du cou.
-Qu’est ce que tu fais?
-Bah, je m’installe, pourquoi?
-C’est gênant pour moi Gaëtane. Je suis célibataire et là, tu viens te lover à moi comme si tu étais ma copine. En plus, cela ne te ressemble pas, tu n’as jamais eu de geste tendre envers moi, on ne s’est jamais fait de câlin, de bisous, et la ce soir, c’est l’apothéose. Pourquoi?
-Je ne sais pas. Tu veux que je retourne dans mon lit?
-Non, c’est bon, mais tu arrêtes la.
-OK,merci.
Et elle me fit un bisous sur la joue.
-Arrête, j’ai dit, tu m’agaces. Bon ,j’éteins. Bonne nuit
-Oui, bonne nuit, Antoine.
Si j’avais des films plein la tête qui m’empêcher de m’endormir, ce ne fut pas le cas pour Gaëtane. En à peine 5min, elle dormait. Même très bien, car, chose pas très féminine, elle se mit à ronfler.Je me mis une main dans le boxer pour toucher ma bite bien dure, je me caresser en pensant à l’attitude de Gaëtane. Cela aurait été une autre fille, je lui aurait sauté dessus. Elle se tourna vers moi en posant sa tête sur mon épaule gauche, sa poitrine sur mon flan,son bras gauche sur ma poitrine et sa jambe gauche sur les miennes en remontant jusqu’à ma taille. Je sentis sa cuisse venir s’abattre sur ma main et mon sexe. Je bandais comme un fou. Son souffle chaud, qui sentait un peu l’alcool, venait se perdre dans mon cou. Mon dieu, que c’était dur pour moi. Mon bras gauche, qui lui servait d’oreiller, ma faisait un mal de chien. Je me décida à la repousser pour le récupérer. Je sortis ma main de mon boxer. Je lui caressais la jambe qu’elle avait sur moi. Aucune réaction. J’insistais, mais rien.Je lui caressais les cheveux, mis un grognement, aucune autre réponse de sa part. Je pris mon téléphone pour l’éclairer. Ses cheveux lui cachait une bonne partie du visage. Sa poitrine était écrasée, un sein aurait bien demandé à sortir de son haut. Je le tripotais, le masser pour sentir son volume dans ma main, qu’il remplissais bien. Je m’amusais avec son téton, le fis rouler entre mon pouce et l’index, lui mis des petites pichenettes ce qui le fis devenir tout dur. En me saisissant de sa main pour l’enlever, une idée me vint à l’esprit. Pourquoi ne pas me la mettre dans le caleçon? L’ange qui était en moi me disait:
-Non, ce n’est pas possible, ce n’est pas bien, c’est ta sœur, tu ne peux pas, c’est tabou.
Et le diable, lui protestait:
-Vas-y, elle dort, elle ne sent rien, c’est juste une petite branlette faite par ta sœur, ça reste en famille.
Que faire? Je lui câlinais la main, je faisais passer mes doigts dans les siens, c’était très sensuelle à mon gout. Ses doigts sont long et fins, doux et bien soigner. Tout l’inverse des miens. Tant pis, je craque. Je la fis descendre jusqu’à l’élastique de mon boxer, la fis entrer et me toucha avec. C’était bon.J’enveloppais ma bite avec et commençais à me caresser avec. C’est doigts sur ma hampe, c’était divin. Elle me branlait sans le savoir. La folie s’empara de moi et j’en voulu plus. Je la repoussa en mettant ma main sur sa poitrine. Je libéra mon bras et elle se retrouva sur le dos. Elle poussa un long soupir. J’attendis un peu pour voir. Rien.Je repoussais la couette sur elle et m’assis à coté. Je la regardais dormir toujours avec la lumière de mon téléphone. Je m’enhardis et fit glisser une bretelle de son haut pour libérer un sein.Je l’embrassais gentiment, je titillais son téton de ma langue. Je respire un grand coup car je n’en reviens pas de ce que je suis en train de faire. Je descends et regarde son short. Il entrebâille un peu, je distingue sa chatte de coté. Je saisis l’élastique et tente de le descendre sans la réveiller. Sa chatte est toute rasée, pas un poil et je peux distinguer les marques de bronzages. Très jolie, je trouve ça très sexy. Je m’en approche et la sent. Son parfum est très agréable, je le hume à plein poumons. Ses grandes lèvres enferment ses petites, seul son petit bouton est saillant. Mon membre est à l’étroit dans mon boxer, je l’enlève complétement. Ça fait du bien d’avoir le sexe à l’air. Je passe mes mains de chaque coté de ses hanches et positionne le téléphone sur son short pour qu’il m’éclaire. Je lui fais des petits bisous sur son mont de venus, sur son clito, partout sur ses lèvres. Je vois qu’on a le même grain de beauté au niveau de l’entrecuisse. C’est marrant. Je continue mes bisous, plus fort, partout ainsi que sur son entre cuisse. Je passe ma langue sur son clito. Elle réagit en soupirant. Je me redresse, l’éclaire. Rien, toujours les yeux fermés. Elle bouge ses cuisses mais son short l’empêche de faire de trop grand mouvement. Elle pli finalement la cuisse droite et met son bras droit sur sa tête.Heureusement qu’elle ne s’est pas réveillé car je ne vois pas qu’elle explication j’aurais pu lui fournir. Moi à genoux, la bite au garde à vous en train de l’éclairer et elle, le short à mi cuisse. Finalement, je continue car sa position de jambes est mieux et je me dis que si je la réveille, et bien on verra. Je retourne lécher sa chatte, j’écarte ses grandes lèvres pour voir les petites. Ma langue se fait tantôt dur et pointue pour la pénétrer, tantôt large et molle pour la lécher, ainsi que son bouton. Elle gémit, mais tant pis, je continue, je ne m’arrête pas. Je suis très concentré. Soudain, une décharge dans le bas ventre. Une douce sensation sur ma bite, Gaëtane l’empoigne. Je me redresse, la regarde. Elle a un grand sourire.
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