Jean Louis et moi étions comme des frères, nous nous connaissions depuis notre plus tendre enfance et ne nous étions jamais quittés. Cette année ça changeait car ses parents le laissaient en pension, sur sa demande; alors que moi j’entrai à la fac. Nous avions dix-huit ans pour quelque mois encore et avions tout vécu ensemble; le fait qu’il parte sept ou huit semaines était aussi une déchirure pour moi. Pour vous faire une idée, depuis cinq ans nous étions en pension dans le même bahut et rentrions tous les weekends; nous avions roulé notre première gamelle à la même soirée, l’année précédente. Ah.., j’avais oublié de vous dire que nous souffrions tous les deux d’une timidité maladive; nous manquions énormément d’assurance. Je fantasmais énormément sur sa maman, Christiane; bien qu’elle soit d’une grande beauté, sa dureté et sa fermeté me laissaient bête quelquefois. Ses parents l’avaient eu très tôt et c’est sa grand-mère qui s’était occupée de lui au début, le temps qu’ils finissent leurs études.
Imaginez, depuis quelque mois, Jean Louis et moi poussions le vice jusqu’à aller sentir les petites culottes de Christiane dans le bac à linge; ah.., si elle savait… Plus récemment nous avons été encore un peu plus loin, à savoir que dans un délire au début, après c’est devenu une habitude; Jean-Louis me faisait enfiler les vêtements de sa maman. Mon pote se marrait à me voir enfiler les collants de sa mère ainsi que ses culottes, ses bodys ou ses robes; mine de rien cela ne me laissait pas indifférent. Il se moquait surtout de moi car juste le fait de me déshabiller, en sachant que j’allais me métamorphoser; cela me filait une érection monstrueuse. Bien que mon sexe soit plaqué par une culotte et un collant il restait proéminent et on le voyait sans problème à travers la robe. Je me sentais vraiment femme jusqu’au bout des doigts quand j’étais vêtu ainsi et Jean-Louis a fini par s’en rendre compte. Un jour il a commencé à me caresser le sexe et machinalement je me suis laissée faire, j’ai même été à la recherche de ses caresses.
Depuis le début que je m’amusais à me faire belle pour mon pote, j’avais réalisé que j’avais choisi mon camp; à se voir celui du soumis. Maintenant, régulièrement mon copain d’enfance me caressait le sexe, mes petites fesses, me claquait parfois; il allait même jusqu’à me titiller les tétons. Il y avait de la moquette dans sa chambre et j’ai trouvé ça très agréable de marcher dessus avec des collants. Je rêvais maintenant de pouvoir enfiler des escarpins mais je faisais deux pointures de plus que sa maman. Ses attouchements étaient d’une efficacité remarquable et je m’offrais de plus en plus à lui. Maintenant dès que j’arrivais chez lui, il fermait la porte de sa chambre à clé et je me déshabillais pour enfiler les vêtements qu’il m’avait préparés. Je suis rapidement devenue sa soumise offerte et prête à tout faire pour lui donner du plaisir. Au début, une fois que j’étais métamorphosée en femme je me limitais à des attouchements sur son sexe puis vint l’étape des baisers. Dorénavant c’est lui qui dirigeait les opérations et je ne faisais que ce qu’il me demandait, c’est ainsi qu’un jour il m’a présenté son sexe à sucer. C’était la première fois que je me retrouvais nez à nez avec un sexe, ce dernier qui sentait bon le désir me faisait envie.
Au début j’ai commencé par y poser ma langue, cette dernière est partie en reconnaissance sur toute la longueur de son sexe; puis je me suis engaillardi à lui faire des bisous dessus. Tout naturellement je lui devenais obéissant cela s’était opéré tout en douceur; je faisais tout ce qu’il me demandait. Voilà comment quand il m’a demandé de prendre son sexe en bouche, je me suis exécuté tel un automate. Maintenant en plus de l’odeur j’avais le goût, c’était un goût d’homme; totalement différent que celui qu’il y avait sur les culottes de Christiane. Au début je ne fis rentrer que le prépuce, ma langue virevoltait tout autour; surtout à la base. En prenant de l’assurance, son pieu est rapidement arrivé au fond de ma gorge, j’avais pour la première fois la bouche pleine de la queue de mon meilleur pote. Quand je le voyais réagir à mes caresses buccales, il n’y a pas à dire, je lui faisais de l’effet, pendant ce temps lui en profitait pour me caresser entre les deux fesses. Ce jour-là pendant que j’étais en train de le pomper; il s’est mis à me rentrer un, puis deux et même trois doigts dans mon intimité.
Il ne m’a pas fallu longtemps pour éjaculer de sa caresse indiscrète; lui m’a rattrapé quelques secondes après en me balançant toute sa purée au fond de la gorge. C’était la première fois que nous nous faisions jouir et tous les deux étions maintenant dans les nuages. Systématiquement nous jouions au papa et à la maman Jean-Louis mettait de la musique pour couvrir les bruits suspects. Je savais que Jean-Louis en voulait plus, mais à plusieurs reprises j’ai préféré que nous nous arrêtions à ça; ce qui n’était déjà pas mal pour de jeunes adultes. Au bout de sept ou huit séances de ce programme, Jean-Louis a décidé qu’il voulait me prendre comme une femelle; et faire de moi définitivement sa chienne. Maintenant c’est doigts rentraient sans problème entre mes jambes et le plus beau c’est que je commençais à bien y prendre goût. J’en étais arrivé à un point où c’est carrément moi qui allais chercher sa caresse indiscrète. Au fond de moi je commençais à être maintenant impatient qu’il se décide à passer aux choses sérieuses, vu que déjà il en parlait.
Cela me faisait tout drôle car j’étais toujours en train de mater les filles, toujours en train de fantasmer sur elles; mais maintenant j’avais envie que mon ami d’enfance me prenne comme une femme. Puis un samedi après-midi, alors que ses parents étaient partis voir des amis à eux; il savait que nous avions tout l’après-midi pour nous, il a décidé que ce jour-là il me ferait femme. Comme d’habitude quand je suis arrivé dans sa chambre sur le lit se trouvait de quoi me métamorphoser en femme, mais le petit plus, ce coup-ci c’est qu’il avait trouvé des escarpins d’occasion chez Emmaüs. Comme à chaque fois j’avais le droit aux culottes usagées de sa maman, mais en plus il en avait pris quelques-unes pour que je puisse en plus de les porter, les sentir pendant que Jean-Louis me fera femme. Une fois habillé, bien évidemment j’avais un collant fendu; au début je manquais de stabilité sur les escarpins mais finalement j’ai fini par m’en sortir. Je me suis approché de mon pote, puis sur ma propre initiative, je ne suis agenouillé devant lui pour le débarrasser de son pantalon, sortir son sexe et le prendre en bouche. Ça y est à mon grand étonnement je me comportais en femme désireuse mais aussi en femme gourmande.
À voir la taille de son sexe quand je l’ai libéré, manifestement Jean-Louis avait l’air de bien aimer l’initiative que je prenais. Au goût et à l’odeur, j’ai pu constater qu’il avait fait attention à ne pas se nettoyer le sexe, car il savait que je n’aimais pas un sexe qui avait le goût de savon; je préférerais qu’il soit goûteux. Par contre il faisait maintenant attention à ce qu’il n’y ait plus de poils pubiens autour de son entrejambe, c’est vrai que pour cela je n’aimais pas trop avoir ses poils dans le nez pendant que je le suçais. Maintenant Jean-Louis n’avait plus besoin de me tenir la tête quand je passais à l’action, c’est plutôt moi qui m’accrochais à ses jambes pour essayer d’en avaler le plus possible. Une fois que je lui avais bien fait sa toilette intime, mon pote a retiré son caleçon et est parti s’asseoir dans le beau fauteuil en cuir qu’il y avait dans sa chambre. Il m’a invité à venir m’asseoir face à lui, les jambes bien écartées, déposées sur les accoudoirs; bien évidemment je me suis exécuté comme il le désirait.
Ensuite je l’ai vu saisir un pot de crème que l’on prend pour les mains, il m’en a déposé plusieurs noix à l’entrée de mon petit trou. Comme d’habitude maintenant je trouvais ça très agréable. Puis je l’ai senti venir positionner son sexe à l’endroit où moi j’étais maintenant tout gras. Il a posé ses mains sur mes deux fesses puis me les a soulevées; au moment de les reposer, son sexe était positionné. Voilà comment il m’a pénétré tout en douceur, c’est moi qui en m’accrochant au fauteuil et à lui commençais à contrôler ma descente sur son pieu sodomiseur. J’étais maintenant en train de l’embrasser avec passion pendant que j’étais en train de m’emboiter sur son dard. Je venais d’arriver en butée j’étais complètement assis sur mon mâle, mes jambes étaient vraiment très écartées. Les mains de Jean-Louis, qui m’aidaient à me relever, m’écartaient en même temps l’accès à mon petit trou. Maintenant mon étalon me parlait au féminin, cela me faisait tout drôle mais en même temps j’appréciais énormément.
Je pourrais vous faire la promotion de cette crème pour son utilisation dérivée, car elle était d’une grande efficacité; cela m’a permis de n’avoir aucune douleur à l’occasion de cette première pénétration. Quand je n’embrassais pas mon homme, je regardais l’armoire où se trouvaient tous ses trophées de sport car Jean-Louis était un sportif confirmé. Il m’arrivait aussi de regarder mes pieds chaussés d’escarpins vernis, je me sentais vraiment offerte à mon homme. Au fur et à mesure que je prenais du plaisir, je découvrais aussi mon potentiel de mon côté à lui en donner en contractant mon sphincter. Cette opération le permettait de mieux sentir son sexe glisser en moi mais en même temps cela lui permettait de mieux me sentir évoluer sur son sexe. Je commençais à prendre confiance face à ce nouvel acte sexuel qui rentrait dans ma panoplie, moi qui étais hétéro voilà peu; j’étais en train de découvrir les plaisirs de la sodomie. Jean-Louis m’a limé pendant une bonne demi-heure, avant de me répandre toute sa liqueur au plus profond de moi.
J’étais assez content de moi car mon étalon était parti en moi dans ma bouche et maintenant dans mon petit trou, bref il m’avait essayé de tous les côtés. Jean-Louis a continué à me ramoner de longues minutes avant de cesser toute activité dans mon boyau. Il m’a fait me lever, puis m’a envoyé prendre ma douche pour éviter que son sperme coule le long de mes jambes finement gainées. Même si mes chaussures étaient un peu source de frayeurs, je commençais à me trouver très à l’aise dedans. Il n’y a pas à dire ainsi vêtu et surtout ainsi chaussé, je me sentais vraiment femme et même un peu salope. En sortant de la douche et après m’être bien nettoyé le fondement, je suis revenu voir mon homme en essayant d’avoir une démarche féminine. Arrivé près de lui, il a été vraiment très câlin, très doux, très affectueux à mon égard; cela m’a beaucoup touché. Puis nous nous sommes couchés, en nous glissant sous les draps cela me faisait tout drôle car c’était la première fois que je me couchais en femme avec un homme calé dans mon dos.
À partir de ce jour, tous les weekends où nous nous voyions je me faisais féconder par Jean-Louis, à tel point qu’à force nous n’avions plus besoin de crème. Les grandes vacances étaient en train de prendre fin et je commençais à appréhender le départ de Jean-Louis pour l’école où il allait être pensionnaire. Comment allais-je faire pour renifler les petites culottes de sa maman et me faire prendre régulièrement par le fiston. Jean-Louis nous a quittés début septembre avec pour projet de rentrer fin octobre, me passer de mon homme pendant huit semaines allait être vraiment dur. Les Adieux ont été très durs avec moi, avec ses parents; il allait se retrouver tout seul pendant 8 semaines. Pour ma part cela m’a filé un coup au moral et quand j’ai repris les cours je n’arrêtais pas de penser à lui. Puis un jour Christiane m’a appelé car elle avait besoin d’un coup de main pour ranger la chambre de son fils. C’est avec grand plaisir que je me suis présenté chez elle, mais c’était plus fort que moi j’avais envie d’aller humer ses petites culottes. Elle mettait plein de choses en cartons pour les ranger à la cave, histoire de libérer un peu de place dans sa chambre.
Alors que la maman de mon pote était descendue travailler au rez-de-chaussée je me suis glissé discrètement dans la salle de bain pour aller savourer ses dessous intimes. Quelle ne fut pas ma honte quand Christiane est apparue dans l’embrasure de la porte en me surprenant en train de me coller une de ses petites culottes contre le nez.
– Alors comme ça tu es fétichiste de mes petites culottes.
– Qu’est-ce que tu ressens comme sensation quand tu respires l’odeur de ma cyprine.
– Est-ce que mon fils sait que tu fais ça.
– Est-ce que mon fils fait la même chose.
– Est-ce que cela fait longtemps que tu fais ça à la maison avec mes dessous.
– Est-ce que tu te masturbes dedans.
Christiane m’a bombardé de questions qui me mettaient mal à l’aise, mais bon je m’étais fait prendre, il fallait que j’assume. Je lui ai répondu que j’adorais l’odeur de son entrejambe, que son fils était au courant mais que j’étais le seul à faire ça et que cela faisait plus d’un an que je faisais ça.
Sa maman m’a remercié pour ma franchise elle est venue s’asseoir sur la baignoire, puis m’a invité à venir lui manger sa friandise. J’avais l’impression de vivre un rêve, j’étais aux anges; je peux vous garantir que je ne me suis pas fait prier pour passer à l’action. Moi qui m’attendais à me prendre une soufflante mémorable, j’avais plutôt l’impression de me faire récompenser… Je me suis agenouillé entre ses jambes puis j’ai glissé ma tête sous sa robe qui sentait vraiment bon la femme, je retrouvais la formidable odeur de ses petites culottes. C’est ainsi que je me suis retrouvé à poser ma langue sur sa culotte qui me séparait de sa toison intime. Le goût de sa culotte était magnifique, je ne regrettais pas ce que j’étais en train de vivre; puis Christiane a saisi ma tête pour l’appuyer contre son entrejambe. Après avoir écarté sa culotte, pour la première fois de ma vie, j’ai posé ma langue sur une toison féminine. Il n’y a pas à dire le clito de la maman de Jean-Louis était très sensible et c’est ainsi que j’ai commencé à lui donner du plaisir, j’étais en train de faire tourner la tête de la mère de mon meilleur ami. Maintenant elle commençait à soupirer très fort, j’en concluais que ma langue était très efficace. Christiane s’est relevée pour me prendre par la main et m’emmener dans sa chambre, j’étais un peu déçu de n’avoir pu aller jusqu’au bout, mais qu’allait-il m’arriver dans sa chambre.
Maintenant que je vous ai bien mis l’eau à la bouche, je vous raconterai le chapitre 2 sous réserve que le chapitre 1 vous ait plu
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