Debout devant mon tiroir de lingerie ouvert, juste vêtue d’une guêpière noire et de me bas, perchées sur mes escarpins, je faisais face à Sébastien. Il était arrivé plus tôt à la maison, me sachant seule, m’avait emmené dans ma chambre, et fouillant dans mon tiroir m’avait ordonné de revêtir une belle guêpière de marque Ravage. Depuis, il s’amusait avec ma langue pendant que son autre main pétrissait mes seins qu’il avait libérés. Ses commentaires salaces et grossiers complétaient le tableau. Il avait mis dans ma main une de mes culottes, prise au hasard dans le tiroir et m’avait forcé à masturber son membre avec. Sa langue jouait avec la mienne, nous étions tous les deux devant mon tiroir de lingerie ouvert, il était surexcité. Il violait une de fois plus mon intimité et ça le rendait fou de désir. De sa main il était passé sur ma croupe, mes grosses fesses qu’il palpait comme on malaxe ou pétri de la pâte, s’attardant entre mes deux globes qu’il ouvrait de manière bestiale et gourmande.
– Tu m’excites Tata, ton gros cul et tes grosses miches qui ballottent ça me rend fou, je sens que je vais t’en mettre plein tes fesses de bourges, tu veux ma bitte hein dis moi que tu la veux !
– Oui Seb vas y prend moi maintenant en levrette, baise moi vite j’en peux plus, donne moi tout…
– Allez Garage à bitte ton vœu va être exaucé, penche toi en avant… Mets ta face de salope dans ton tiroir, je vais te baiser avec ta tête dans ta lingerie, cochonne…
A l’aide d’un de mes collants, qu’il m’attacha autour du cou, Il me poussa en avant, penchant ma tête en direction du tiroir qu’il referma en me coinçant la tête à l’intérieur, me maintenant à l’aide du collant. Il ramena mes poignets vers l’arrière qu’il lia avec la seconde jambe du collant. J’étais fesse en l’air, la tête coincée dans le tiroir les mains liées dans le dos, ouverte et offerte à ses futurs assauts.
– Je vais te fourrer comme une oie tantine.
Son sexe envahi mon vagin doucement, jusqu’au fond. Il le retira entièrement. Il me re-pénétra a nouveau, et recommença plusieurs fois son petit jeu. Il aimait me pénétrer encore et encore et savait que cela me rendait complètement folle de sentir son gros gland s’introduire en moi. Il joua de moi comme ça plusieurs fois, alternant en faisant coulisser son sexe entre mes fesses, qu’il tenait resserrer afin de maintenir la pression sur son membre. Il finit par se re-introduire en moi.
– Allez ma bourgeoise remue moi ton beau gros cul, pendant que je te pilonne.
Il me pistonna, avec toute sa vigueur, s’agrippant à mes fesses ainsi qu’au collant, me maintenant comme une jument. Secouant mes fesses, les écartant ou les resserrant, pendant que son membre envahissant mon entre jambe, jouant de mon corps comme un piston mécanique.
J’étouffais et gémissais enfermée dans mon tiroir, sentant ses dentelles avec lesquels si souvent Sébastien ou Richard m’avait prise comme des bêtes en rut.
J’étais défaite, anéantie, possédée, complètement à la merci de ses fantasmes, mon corps ouvert et libre d’accès. J’étais comme il m’aimait, et comme j’aimais qu’il me prenne.
Il continua à me baiser tel un étalon, montant sa jument, avec une excitation telle que les spasmes de son sexe me remplissaient entièrement. Ses mains claquaient sur ma croupe à me faire rougir mon cul tout blanc. Il ouvrit enfin le tiroir. Je crus être enfin libéré, mais il me maintenait toujours la tête à l’intérieur grâce au collant. Il se masturbé maintenant au dessus de mon tiroir enserrant son sexe avec l’extrémité du collant.
Il gicla de grand jet sur toute ma lingerie, laissant de grande quantité de sperme sur les dessous. Me tenant avec les collant il m’ordonna de tout nettoyé avec ma langue. Comme je n’y arrivais pas, sans mes mains, il me plaça la plupart de mes dessous souillés devant la bouche. Je mis un point d’honneur à tout nettoyer.
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