Voilà donc l’aventure qui m’est arrivée en 2006. C’était la quatrième fois que j’allais chez un ami, et que nous passions des après-midi ensembles.
Il me ligotait dans toutes sortes de positions et me caressais.
Ce jour-là, j’étais chez lui depuis une bonne heure, ligotée bâillonnée en jupe de cuir, bottes et blouson, ma tenue classique de cuir noir.
Il venait de commencer à me caresser les seins, blouson ouvert sur ma poitrine, quand sa femme est rentrée.
Le froid que ça a jeté. J’étais paniquée, je me tortillai par terre en geignant inutilement sous mon bâillon.
Ils se sont copieusement engueulés, et elle voulait me frapper, mais il s’y opposait.
Au bout d’un moment, elle lui a dit de me mettre dehors tout de suite, mais elle n’a pas voulu qu’il me détache.
Elle a balancé mes affaires, sous-vêtements et chemisier, et mon sac par la fenêtre (on était au second étage d’un petit immeuble), et l’a obligé à me mettre dehors ainsi.
Il a dû me ramasser et me porter dans le couloir sous les insultes de sa femme.
Je me suis donc retrouvée ligotée bâillonnée dans un couloir d’immeuble plongé dans le noir.
Je suis restée un bon moment appuyée contre le mur les jambes tremblantes, à reprendre mes esprits et à calmer les battements de mon cœur.
Au bout d’un moment, j’ai repéré la lumière du bouton de l’ascenseur, et j’ai sautillé jusqu’à lui. Je me disais qu’il fallait que je trouve quelqu’un pour me détacher, je n’avais pas d’autre solution.
J’ai appuyé sur le bouton de l’ascenseur avec mon nez, et quand il est arrivé j’ai sautillé pour y rentrer. Je me suis malheureusement pris les talons des bottes dans la moquette, je suis allée buter contre la cloison d’en face et j’ai glissé par terre.
L’ascenseur s’est refermé, et je suis restée ainsi coincée par terre jusqu’au moment où il s’est éteint.
J’ai passé un bon moment ainsi dans l’impossibilité de me redresser, jusqu’au moment où l’ascenseur s’est remis en marche.
A l’arrivée en bas, je me tassais dans mon coin, le cœur battant à tout rompre, un jeune homme est entré et est tombé en arrêt devant ce spectacle. Après un instant d’hésitation et un petit sifflement admiratif, il est entré et a fait démarrer l’ascenseur.
Pendant qu’il montait, il m’a ramassée en douceur, m’a prise contre lui, m’a caressée les cheveux, et m’a dit de ne pas avoir peur, qu’il allait me libérer. En fait, je n’avais plus peur, mais j’étais follement excitée. Moi qui voulait de l’aventure, j’étais servie, ligotée bâillonnée et nue sous mon cuir dans les bras d’un inconnu. Il m’a prise dans ses bras pour me porter jusqu’à son appartement (il sentait bon), et m’a posée allongée sur son lit.
Il s’est assis contre moi, m’a enlevé mon bâillon et m’a demandé ce qui m’arrivait.
Je lui ai rapidement expliqué, et lui ai alors demandé d’aller récupérer mes affaires jetées dehors.
Il est reparti me laissant toujours ligotée sur son lit.
J’ai observé son appartement qui n’était qu’un studio, ce devait être un étudiant.
A son retour, il avait le nez dans ma petite culotte. Il est revenu près de moi, et m’a demandé si je voulais qu’il me détache. Je lui ai dit de faire comme il voulait, et qu’il pouvait profiter de la situation, je n’avais rien contre car je le trouvais mignon et il m’avait tiré si gentiment de ma situation hasardeuse. Il s’est déshabillé et s’est mis à me caresser et à me lécher le corps, en écartant au maximum mon blouson sur mes épaules.
Comme je gémissais beaucoup, il m’a rebaîllonnée, et a continué ses caresses, puis il s’est mis à frotter son corps et sa queue contre mon corps.
Au bout d’un bon moment, il m’a demandé s’il pouvait me baiser. J’ai hoché la tête, il a fait glisser ma jupe de cuir pour me la retirer, puis il m’a détaché les jambes pour les rattacher écartées aux montants du lit et il m’a prise ainsi.
Quand il a arrêté, je n’en pouvais plus, il m’a débâillonnée et m’a longuement embrassée en me massant les seins.
Comme il se faisait tard, je lui ai demandé de me libérer en lui promettant de revenir.
Il m’a alors détaché les jambes, m’a reboutonné la veste et m’a de nouveau embrassée.
Puis, il a placé mes vêtements dans mon sac, en gardant ma petite culotte, m’a reconduite à la porte, et m’a détaché les mains sur le pas de la porte.
Cet après-midi mal engagé m’avait en fait laissé un souvenir inoubliable.
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