Après une nuit sur le bateau me voilà en terre Corse. Je débarque à Bastia sous un beau soleil et c’est avec bon entrain que je me dirige vers Corté puis le col de Vizavonne. Avant de rejoindre Christian qui m’attend pour manger le midi. Je fais une pause au chalet dans le col de Vizavonne dégustant un chocolat face aux montagnes. Je reprends la route et arrive chez Christian. Il habite une maison isolée en montagne avec une piscine et en panorama le golf d’Ajaccio. Mes amis sont des libertins naturistes. Christian m’accueille donc nu, bronzé intégral. C’est un bel homme musclé sans trop et avec un truc wahooo les filles je ne vous dis que çà !!!! Il m’embrasse à pleine bouche et d’emblée sa langue fouille ma bouche. Instantanément je me mets à mouiller.
« Bonjour ma chérie comment vas-tu ? Tu as fait bon voyage ? Tu n’es pas trop fatiguée ?
Mets toi à l’aise, détend toi dans la piscine, je reviens avec un cap corse comme tu aimes. »
Je me mets nue et rentre dans l’eau le soleil caressant doucement ma peau. Christian revient avec les verres et s’assoie au bord de la piscine. Je m’approche pour prendre mon verre et mon visage se retrouve à la hauteur de sa magnifique queue bronzée.
« Tu es toujours aussi craquante Maryaline. Solange est impatiente de te revoir aussi »
Légèrement rougissante :
« Moi aussi je suis impatiente de la revoir. Mais j’ai déjà sous les yeux une barre bien appétissante »
En terminant ma phrase je le prends en main et me met à le sucer. En levant les yeux, je le voie me regarder avec un sourire bienveillant.
« Tu suces toujours aussi bien chérie »
Quel bonheur de sentir sa queue grossir et palpiter dans ma bouche sous ma fellation.
A deux doigts de partir, il me dit :
« Attend ma chérie »
Il se retire de ma bouche, se met dans l’eau. Je prends appuie sur le bord de la piscine en me cambrant. Je sens ma chatte bien ouverte et c’est en poussant un soupir de plaisir que je sens sa queue me pénétrer doucement et commencer un doux vas et viens. Il me prend les seins et titille mes tétins, les pinçant gentiment. Ce qui a pour but de me faire fondre. Il sent que je vais jouir et ressort pour faire glisser son gland sur mon bourgeon bien dur. Puis replonge plus fermement dans ma chatte en me baisant avec plus d’ardeur presque violement tout en masturbant mon clito.
Je me mets à me pâmer de jouissance, hurlant mon plaisir. Là, il se retire brusquement et me retournant d’un geste preste, Il crache son venin sur mon ventre et mes seins en long jets onctueux et chaud dans un râle libérateur.
« Que c’était bon Chricri »
« Tu es vraiment toujours aussi bonne ma petite salope »
Nous reprenons nos verres et trinquons en riant. Nous sirotant note cap corse mon corps couvert de la semence de mon amant.
« Tu viens Dimanche, un barbecue est organisé pour l’anniv’ de Mégane. »
« Oui bien sur ! » Dis-je enjouée.
Après mangé, il m’accompagnât à mon gîte.
Barbeuc party
Pas de chance, il pleut des cordes. Oui oui çà arrive aussi en Corse. Mais rien n‘arrête l’opiniâtreté Corse. Donc à 12h00 me voilà chez Chricri et Solange. Solange est une grande blonde aux yeux bileux avec des seins lourds magnifiques. Elle porte sa cinquantaine avec un charme extraordinaire. Nous allons être une petite dizaine. Mégane le portrait craché de sa mère mais à 20 ans. Lucie sa copine 19 ans brune Petits seins, mignonne comme tout. Maria typée tunisienne plantureuse et chaude. Les mecs, olive’, Seb, Max, Manu et Claude rien à jeter, tous célib’, je n’avais que l’embarra du choix. A cause du temps nous sommes tous habillés ; légèrement certes mais habillés. Nous entamons les « festivités » par un cap corse frappé. Puis 2, 3, 4 et … L’alcool aidant, les langues se délient et les mains aussi. Et les vêtements volent. Je ne peux m’empêcher d’entreprendre Lucie qui n’est pas trop réceptrice à mes avances.
« J’suis pas gouine » me dis-t-elle sèchement
Je me retourne sentant de mains me fouiller la chatte et le cul pour voir le magnifique manu bandant comme un cerf. J’aperçois Olive qui entreprend Lucie avec ferveur et je me dis ; toi ma salope j’vais te gouiner quand tu seras bien trop excité avec lui. Dans mes élucubrations je sens Manu qui s’enfonce dans ma chatte trempée et je pousse un cri de surprise et de plénitude. Seb profite que j’ai la bouche ouverte pour enfourner sa queue. Maria se glisse entre nous et me lèche le clito, alors que présentant ses fesses, Seb lui bouffe la chatte. Seb se vide en long jet dans ma bouche. Il se retire pour mieux s’occuper de Maria qui suce maintenant Manu qui a quitté ma chatte. Je me retourne vais à 4 patte vers Lucie bien occupé à sucer Olive’ pendant que Max s’occupe de sa chatte. Dans la pièce ce n’est que cris, soupir et expressions de jouissance et de plaisirs. Je ne sais même pas ce que font les autres trop attardée à gouiner Lucie qui ne sait plus qui s’occupe d’elle. Je lui suce le clito et suce la queue de max que je replonge dans la chatte de Lucie. Un mec vient me pénétrer la chatte, je ne sais même plus qui. Max est très dur et je sens sa queue palpité prête à jouir. Je le sors de la chatte de Lucie et il explose dans un cri de bête sur sa chatte que je m’empresse de lécher.
Olive’ quitte la bouche de Lucie et fourre sa queue prête à lâcher le venin dans son petit minou accueillant. Celui qui me baisait se lâche aussi et m’asperge le ventre. Je suis épuisée mai comblée.
Tout notre petit groupe a bien jouie et comme il continue de pleuvoir dehors, nous en profitons pour nous doucher sous le torrent de pluie puis nous plongeons tous dans la piscine. Chacun se promet de se voir dans la semaine. J’ai hâte.
Open bar
Hier soir, mes amis Cricri et Soso sont passés pour l’apéro. Autour d’un cap corse frappé, nous avons reparlé de la journée barbecue. De se remémorer cette chaude journée, nous on mit dans un état d’excitation, huuuuum .
Soso me dit :
« Dimanche je ne me suis trop occupée de toi. En plus tu étais bien occupée entre les copains et Lucie. »
Tout en me parlant, elle s’est mise à me caresser et je lui rendais la pareil devant les yeux émerveillés de Cricri qui n’en perdait pas une goutte et nous encourageait même. Pas besoin de ses encouragements pour nous mettre nue et nous frotter pubis contre pubis en gémissant de plaisir.
« Gouinez vous bien les salopes » Nous lance Cricri »
Aussitôt dit aussitôt fait. Nous voilà en train de nous bouffer nos chattes juteuses.
Soso me fouille la chatte trempée et me travaille le petit trou et je cris :
« Oui continue ho que ouiiiii c’est bon haaaa »
En fait prise dans mon délire avec Soso, celle-ci me préparait le cul pour son mec.
Je sentis une poussée ferme mais déterminée sur ma rondelle et la pénétration lente et profonde du membre de Cricri me fît pousser une sorte de feulement de chienne blessée. Soso me mordit gentiment le clito ho que c’était bon. Cricri une foi au fond de mon cul resta un instant immobile. Je me sentais remplie et Soso intensifiât sa caresse buccale alors que Cricri me tripotait rudement les seins. Il commençât alors son lent va et viens. Je croyais que j’allais défaillir quand il quittât mon cul pour ma chatte. Puis il s’amusât à changer de trou. Un coup dans ma chatte, un coup dans mes fesses, un coup dans la bouche de Soso qui continuait à s’occuper de mon clito. J’eu à ce régime un orgasme violent entrainant celui de Soso. Ni tenant plus, Cricri après un va et viens dans mon cul, me poussât presque brutalement pour prendre la place dans la bouche de sa femme et dans un cri de bête fauve se lâche dans sa bouche, sur son visage et ses seins lourds et superbe. Soso le reprit dans sa bouche pour le nettoyer. Moi je m’empressais de lécher Soso pour lui nettoyer les seins et le visage tout en profitant de la bonne crème de mon ami.
« Que vous êtes bonne toutes les deux. Vous faites une paire de sacré chaudes salopes »
Nous primes çà pour un compliment et lui répondirent sur le ton de l’humour :
« C’est pour votre bon plaisir mon bon Maître. Surtout on aime ta queue mon salop »
Et nous sommes tous parti à rire. Nous répriment un verre de cap corse et nous mirent à deviser sur l’arrivée d’amis motards du continent et des ballades que nous envisagerions.
Le viol
Je roulais dans Ajaccio en rentrant des sanguinaires quand un jeune salopard en scooter me coupe la route. Je le klaxonne pour marquer mon mécontentement et il me répond par un doigt :
« Vas te faire enculée salope ! »
Vu la réaction de cette racaille, je file doux et rentre à la marine. Dés en arrivant je me mets nue et file sous la douche. Totalement détendu, je m’adore en me savonnant à des caresses bien appuyées qui me font gémir de plaisir. Je n’avais pas fermé la porte de ma marine et bien mal m’en avait pris.
Le cailra m’avait suivi et était en train de m’observer sous la douche. Quand je le vis, je poussais un cri en tentant de cacher mon intimité :
« Salopard casse-toi ou je hurle »
Il se mit à rigoler :
« Tu peux toujours hurler salope personne ne t’entendra ici. Te gênes pas pour moi la pinsoute ! Continue à te branler »
Comme je ne bougeais pas terrorisée, Il défit sa ceinture et m’en assenât un grand coup sur les cuisses qui me fît hurler de douleur.
« Allez salope branles toi ! »
Et vlan un deuxième coup tombait sur mes épaules.
« Aiiiiie non arrêtez, ne me faite pas de mal »
Vlan ! Un troisième sur les seins. Sous les coups je pleurais et me mis à me caresser devant mon tortionnaire en espérant ne plus recevoir de coup. Mais c’était sans compter que se tordu prenait un malin plaisir à me faire mal.
« Oui comme çà putain de blondasse, je vais te rougir la peau à coup de ceinture chiennasse »
« Tu fais moins la fière putasse »
Il s’approchât de moi, sortir sa queue raide et me prenant par les cheveux, il me mit à genoux et forçât ma bouche. Il s’enfonçât à fond me secouait la tête en me baisant la bouche. Je pleurais et avais envie de vomir. Tout en me baisant la bouche, il continuait à m’insulter.
« Tu dois avoir le trou du cul serré putain ! Je vais te l’élargir »
Il me retournât et sans précaution m’enculât me faisant hurler de douleur :
« Nooooooooooon haaaaaaaaaaaaaa pas çààààà noooooooooon pitié arrêtez »
Rien n’y fit et il me pilonnait brutalement. Dans un dernier mouvement il restât bien au fond de mon cul et poussât un cri horrible se lâchant dans le profond de mes entrailles. Il se retira et je m’écroulais sanglotante au fond du bac de douche.
« La prochaine fois tu f’ras gaffe sur la route putain »
Avant de partir, Il me redonnât plusieurs coups de ceinture que j’essayais d’esquiver recroquevillée au fond de la douche. Enfin il partit et je restais prostrée douloureuse, sanglotante dans la douche.
Au bout d’un certain temps je me relevais encore fébrile et me demandant si ce n’était pas un mauvais cauchemar. En me regardant dans la glace les traces de ceinture qui sillonnaient mon corps attestaient de la réalité. J’espérais seulement que les traces allaient rapidement s’estomper.
Je m’enduis de crème pour calmer la brulure. Le lendemain les traces commençait à disparaitre.
Les bergers
Cricri m’a donné une bonne adresse en montagne d’un berger qui élève cochons Corse et chèvres.
Il fait sa charcutaille et tient une auberge où l’on mange ses produits. Bref que du bonheur.
Je mis rend donc. C’est un petit village typique Corse accroché à la montagne.
Je suis accueillie par Batista et ses amis qui avaient été avisés de ma venue par Cricri. Ce sont des montagnards, rudes à la voix tonitruante très impressionnant.
« Ha la voilà la petite pinsoute dont Cricri nous a tant parlé ! Bienvenue à l’auberge petite. »
Et ils m’empoignent fermement les épaules en me faisant une bise bruyante sur chaque joue qui m’arrache la peau avec leurs pied de barbe qui ressemble à de la toile émeri. Je suis très intimidée et il le voit bien.
« Allez vient dans le 4X4, je vais te faire visiter mon élevage de cochons Corse. Après je te montrerais mon atelier où je fabrique ma cochonnaille. Tu verras j’ai de magnifiques saucissons. Tu en dégusteras. » Me dit-il en rigolant bizarrement.
Nous voilà arrivé à l’élevage où nous attend un jeune ouvrier. Quand je le vois, je craque. Il est bronzé avec un regard d’ange magnifique. Je suis troublée.
« C’est Roméo, mon ouvrier »
Batista me regarde car je ne lui ai pas répondu.
« He petite ! T’as perdue ta voix ? Ha Ha Ha !!! Oui je vois. Il est pas mal Roméo hein ? Il t’a tapé dans l’œil. Ha Ha Ha ! »
Je dois être rouge écarlate quand il me présente.
« Roméo, je te présente la petite pinsoute que Christian nous a parlé au téléphone. On va lui faire visiter et gouter nos spécialités locales à cette petite. Ha Ha Ha !!! »
Roméo sourit et m’embrasse. Sa peau est douce et sent un mélange d’herbe de Provence et de ferme.
Je bredouille un « Bonbonjour »
Il répond à son patron :
« Oui monsieur, on va bien s’occuper d’elle »
Je n’y prends pas vraiment attention mais leurs discourt me semble ambigües. La visite commence.
Les cochons en fait sont en totale liberté et ils m’expliquent comment tout fonctionne. La visite est très intéressante.
« Bien petite maintenant je vais montrer mon saucissons »
Là je sursaute.
« Mais non idiote les saucissons que je fais ! Ha Ha Ha !! »
Le jeune explose de rire aussi et je me sens toute gourde.
« Maintenant nous on n’est pas contre non plus ! Ha Ha Ha !! C’est toi qui voit petite si tu veux gouter à toute nos spécialités »
Les réflexions devenaient franchement salaces et je ne préférais pas y répondre.
Nous montâmes dans le 4X4. A 3 devant nous étions serrés et je me retrouvais coincée entre les deux gaillards. Au bénéfice d’un virage plus raide, Roméo posa sa main sur le haut de ma cuisse presque à toucher mon minou. Je fermais les yeux et connaissant ma nature, je sentais ma chatte s’ouvrir. N’ayant pas de culotte j’avais une trouille qu’en mouillant je tache mon short.
A l’occasion d’un autre virage, Sa main glissa et ses doigts se retrouvèrent au contact de ma chatte trempée et accueillante. Je sursautais presque quand il dit à Batista :
« La petite, tu sais elle a pas de culotte et elle mouille comme une salope ! Elle va être à point pour gouter nos produits à l’atelier »
« Ha Ha Ha Ha !!! »
Le salop de Cricri qu’avait-il due leurs raconter ? Arrivés à l’atelier, très pro Batista me fît un exposé sur la fabrication des saucissons et autres cochonnailles locales. Roméo quant à lui, s’occupait de mes spécialités. Il s’était placé derrière moi et me pelotait sans vergogne. Il m’enleva mon top. Je me retrouvais les seins à l’air devant Batista qui continuait son exposé comme si rien ne se passait.
Je me retrouvais vite à poil et Roméo m’explorait avec vigueur.
« Elle est bonne patron la petite »
Batista de dire :
« Regarde se saucisson comme il est doux et bien ferme. Goute-moi çà »
Et le voilà en train de me le fourrer dans la bouche.
« Alors tu l’aimes mon saucisson ? »
Abasourdie et très excitée je répondis oui de la tête. Ils m’allongèrent sur une table basse et Batista me rentrât le saucisson de bonne taille dans la chatte me faisant pousser un soupir de plaisir. Ils sortirent leurs queues et me les présentèrent devant la bouche. Il est évident que dans l’état où j’étais, je ne me fis pas prier et je me mis à sucer goulument et mes deux bergers.
« Cricri ne nous avait pas menti sur la marchandise »
Roméo enleva le saucisson de ma chatte et y pris place me baisant avec vigueur pendant que je continuais à sucer Batista. Puis ils échangèrent leurs places. Je suçais, me faisais baiser me faisant traiter de grosse salope, vide couilles et autres nom qui sonnaient à mes oreilles comme de durs compliments et je gémissais de plaisirs. Leurs autres copains regardaient la scène se masturbant et attendant leur tour. Batista me pilonnait rudement de sa grosse queue bien dure en me malaxant de son gros pousse de berger mon clito et je sentais l’orgasme monter en moi. Roméo lui utilisait ma bouche comme une chatte, me tenant la tête d’une main et torturant un sein de l’autre. A un moment il me pinçât le téton ce qui me fît crier et déclenchât un orgasme fulgurant. Je contractai mon vagin et Batista bien au fond de moi hurlât un grognement rauque en se vidant. Cette déferlante de jouissance fît de l’effet sur Roméo qui faillit m’étouffer en gardant ma tête enfoncée sur sa jolie queue qui lâchait de long jets chaud au fond de ma gorge.
Bastita était resté dans ma chatte :
« Tu es une superbe bonne salope la petite wahooo »
Je me dégageais de Roméo pour reprendre mon souffle.
En toussant et en essayant de déglutir :
« Merci vous m’avez bien faite jouir aussi. J’adore vos produits locaux »
Nous éclatâmes tous de rire. Batista sortît de ma chatte et me présentât sa queue toute molle enduite de ma cyprine et de son sperme.
« Faut que tu me nettoie bien çà maintenant »
« Oui bien sûr » dis-je
Et je le suçai et le léchât pour la mettre toute propre.
« Bon les potes elle est à vous maintenant qu’elle est bien graissée »
Ni une ni deux ils me sautèrent carrément dessus et enfournèrent leurs sans ménagement me secouant virilement. J’étais leur chose. Ils se lâchèrent tous en même temps lâchant sur moi de long jet de sperme chaud. Ma chate et mon cul débordaient de semence masculine.
« Elle est aussi crade que t’es cochon ! Faut la passer au jet la salope »
Et les porcs me nettoyèrent à grande eau sans écouter mes plaintes. Comme je remuais trop il m’attachèrent en riant de ma condition. Le jet d’eau était comme des milliers d’aiguilles sur mon corps. L’un me jetât un sceau d’eau à la figure. J’en étouffais presque. Ils me séchèrent avec plus de douceur. J’étais effondrée. Mais curieusement je ressentais une sorte de plénitude. Ensuite, très gentiment ils me rhabillèrent.
« Bien maintenant la petite, tu as bien mérité un vrai repas Corse pour te requinquer de tes émotions »
Nous prime 3 ou 4 cap corse, puis du rosé et du rouge corse en mangeant. La tête me tournait.
J’étais un peu pompette. Ils me finirent avec plusieurs verres de myrthe. Une sonnerie de téléphone me réveillât le lendemain. C’était Cricri.
« Alors ma chérie c’était bien hier ? »
Le cerveau encore embrumé je lui dis sur un ton à double sens:
« Oui géniales tes spécialités Corses. Merci »
Il se mît à rire et me souhaitât une bonne journée. Je raccrochais et vie que j’étais nue sur mon lit.
La bouche pâteuse, couverte de sperme séché sur le visage, les seins et le minou et que ces salopards c’étaient amusé à m’écrire des cochonneries sur le corps. Les salopards, ils avaient due bien profiter de moi tellement j’étais saoule. Je filais sous la douche et jeu bien du mal à enlever ces inscriptions.
Ma peau en était rouge de me frotter. J’avais une honte terrible en repensant à ces évènements.
Je passerais vraiment pour une salope et maintenant ils voudraient me traiter comme tel et m’utiliser à leur bon vouloir. Heureusement j’allais repartir dans 2 jours.
Adieux
Avant de prendre le bateau de retour, je passais dire au revoir à mes amis.
« Bonjour ma chérie. Alors çà y est tu nous quitte ? »
« Hé oui, il faut bien rentrer. »
Et Cricri de dire :
« Tu vas bien nous faire un streap avant de partir »
Obéissante et pour faire plaisir à mes amis une dernière foi, je me mis à me déshabiller sensuellement. Soso même si c’est une coquine me trouvait vraiment trop obéissante aux ordres de son mari. Une foi nue, il se leva et :
« Suces moi devant Soso »
Elle me regardait furieuse et çà m’amusais. J’enfournais sa queue en regardant sa femme avec espièglerie. Je regardais Criri pour voir ses réactions. Je suçais toujours aussi gourmande de queue.
« T’es vraiment une bonne suceuse. T’as vu chérie comme elle pompe bien ? »
Soso ne répondait pas.
« Tu as envie de participer ? Sois patiente et reste assise à regarder ».
Elle semblait vraiment frustrée et je n’aurais pas voulue qu’elle se vexe.
« Allez ! Ouvre bien les cuisses que je te baise salope. Faut que tu gardes un bon souvenir de la Corse »
Je regardais Soso et provocatrice :
« Oui fourres moi bien »
La Soso faisait une tronche pas possible alors que son mec me labourait vigoureusement la chatte et que je poussais de petits cris de plaisirs. Soso se leva et se dirigeant vers nous :
« Vous commencez à me taper sur le système vous deux »
« Te vexe pas mon ange. Regarde ma queue. Il y en a pour deux »
« Allez Soso viens la sucer la queue de ton homme. En plus tu auras le gout de ma mouille avec »
« Huuum que tu suces bien quand tu es jalouse »
Il lui gratifia de jets chauds dans la bouche. Et moi je l’embrassais à pleine bouche goutant la semence de cricri en même temps. Encore suffisamment dure, il se mit derrière et me défonçât le cul d’une verge ramollissante. Même pas le temps de me laver. J’avais pas vu le temps passer. J’allais louper l’heure du bateau. Je me rhabillais en hâte et m’enfuyais encore le gout de sperme dans la bouche. Ouf quelles vacances.
Retour chez moi
Ce mercredi-là, un meuble devait m’être livré.
Je lisais tranquillement un (union), allongée sur le canapé et des images excitantes flashèrent dans ma tête. J’aime rester nue chez moi. La sonnerie de la porte retentie. J’enfilais rapidement un top et me précipitais pour ouvrir presque nue. C’était Alain qui passait en surprise pour que je lui raconte mes vacances.
« Hummmm Bonjour Maryaline quel accueil »
Je rougie légèrement voyant que mon top cachait mal ma nudité.
« Entres, j’attends des livreurs. »
Il rigole et me dis :
« Dans cette tenue tu vas te faire violer chérie »
Il voit alors que j’ai une revue à la main.
« A oui… Je vois mieux pourquoi tu es dans cette tenue. »
Il me dit :
« Et si j’attendais avec toi les livreurs pour te jeter en pâture ? Tu resterais ainsi sans rien dessous cet après-midi pour accueillir les livreurs ? »
Je le regardais étonnée mais pas rebutée par l’idée. Je lui répondis :
« C’est cela, oui !!! Dans tes rêves !! »
Mais l’idée faisait son chemin. Alain se mis à me tripoter comme j’aime mon sexe qui était déjà bien humide.
Jje lui dis :
« Non, pas maintenant, les livreurs peuvent arriver d’une minute à l’autre ! »
Je me baissais pour remettre mon top lorsqu’Alain s’en empara brusquement et me regardant droit dans les yeux :
« Non, non, pas ça ! »
Je lui souris et dit :
« Tu es un sacré coquin, toi, alors ! »
Il me dit :
« Non, non, je suis désolé chérie ! Tu resteras nue »
L’air faussement fâché je lui lançais :
« Sache que je le fais mais ça ne me fait rien ! »
Une heure passa. Puis un camion se gara devant notre maison.
« Les voilà, laisse-moi me rhabiller s’il te plait. » Lui dis-je.
« Que nenni. A poil tu es. A poil tu les recevras comme la salope que tu es. »
Je le regardai avec un petit sourire timide et baissais les yeux rougissante et soumise. On sonna.
Je fis signe à Alain d’aller ouvrir. Alain me fit signe que non et m’intima l’ordre de le faire. Provoquante je m’exécutais et prononçais un :
« Bonjour messieurs, Nous étions impatients ! Entrez ! »
« Je vous présente mon ami »
Les livreurs restaient éberlués par cet accueil curieux. Alain les saluât sans rien dire.
Ils se regardèrent, étonnés, avec un petit sourire au coin des lèvres. Le plus âgé avait la cinquantaine, le visage buriné, l’allure d’un ancien militaire, et était large d’épaules et musclé avec un léger embonpoint. L’autre était jeune, environ 25 ans, grand et plutôt mignon. Leurs regards ne pouvaient quitter ma nudité. Je vis l’homme plus âgé donner un coup de coude au plus jeune et du menton. La seconde d’après, ils regardèrent Alain et il leur souris d’un air entendu. Puis, ils dirent :
« Nous allons chercher le meuble dans le camion. »
« Allez-y, je vous attends pour le pourboire. »
Quand ils remontèrent avec le meuble, Ils faillirent le lâcher. Entre temps Alain m’avait demandé de le sucer et j’étais à 4 pattes à le pomper les fesses bien en vue des livreurs. Ils installèrent le meuble tout en reluquant de côté le spectacle que je leur offrais. Alain me fourrait la bouche vigoureusement. Les livreurs regardaient sans oser s’approcher. Il s’enfonçait tant dans ma bouche que des larmes coulaient sur mes joues. J’étais honteuse mais j’aimais cette situation. Alain se lâche au fond de ma gorge me créant des hoquets. Les livreurs n’en croyaient pas leurs yeux ni leurs oreilles quand Alain leurs dis :
« Payez-vous messieurs ! Cette pute est à vous. Elle adore se faire mettre par des inconnus »
Hésitant au début, ils eurent vite fait de se servir de moi au grand bonheur d’Alain qui jouait le voyeur maintenant. Ils étaient si excités qui en étaient presque brutaux. Mais c’était pas pour me déplaire un peu de rudesse. J’en suçais un et masturbais l’autre qui me triturait un sein à m’en faire mal de ses mains rugueuses. Puis en râlant leurs jouissances, ils m’aspergèrent de leurs foutres.
Ils se rhabillèrent et partirent en remerciant Alain de leurs avoir laissé un si agréable pourboire.
Comme si rien ne c’était passé, Alain me dit :
« Alors la Corse c’était comment ? »
Encore sous l’émotion et couverte de sperme, je le regardais béate sans répondre.
Là, il éclatât de rire.
« Tu sais que tu fais une sacré pétasse toi ».
Piquée au vif :
« Salopard t’es bien content d’avoir une salope comme moi sous la main »
« Tte vexe pas chérie. Tu sais bien que je t’adore »
Et il m’embrasse à pleine bouche.
« Mince faut que j’y aille. Tu me raconteras la Corse plus tard ».
Le regardant partir, je restais là à me sucer les doigts plein de sperme.
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