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Mon Maître et sa nouvelle Maitresse

Mon Maître et sa nouvelle Maitresse



Mon Maître et sa nouvelle Maîtresse

Plusieurs mois après ma dernière rencontre avec mon Maître et amant, je suis enfin de nouveau en route vers chez lui pour me soumettre à lui et surtout me faire profondément enculer. Mariés tous les deux, c’est toujours la galère pour pouvoir se rencontrer, encore heureux qu’il sait me recevoir chez lui quand son épouse s’absente et ici, coup de bol extraordinaire, ma femme est absente pour trois jours pour un séminaire à Paris et de son côté, sa femme est partie visiter de la famille et ne rentre que demain.

Sur la route, je me remémore les différents moments passés avec lui, la fois où il m’a divinement préparé le cul avec des carottes de différentes tailles, puis un petit concombre pour pouvoir m’enculer en douceur et progressivement. J’adore quand il m’humilie, m’exhibe en pleine nature quand le temps le permet, avec le risque d’être surpris par un promeneur.

La dernière fois fut très excitante aussi. Je venais d’apprendre que mon contrat professionnel n’était pas prolongé et j’en avais ras-le-bol, j’ai inventé des rendez-vous client à mon patron, il était libre sans sa femme et le rendez-vous était fixé pour le lendemain. Le matin, je m’étais préparé, me faire propre de l’intérieur, raser ma bite et mes couilles pour les rendre toutes lisses, débarrasser les poils autour de mon trou de balle. J’avais enfilé, pensant lui faire plaisir, un collant en nylon noir et un string ficelle en ayant pris le soin de m’enfiler un butt plug dans le cul. En arrivant, il avait déjà tout préparé, un spot halogène, un trépied pour mon appareil photo car j’adore garder des souvenir photos et vidéo de nos rencontres, cela me permet de bien me branler par la suite en les revisionnant. J’avais pensé à emporter mes cagoules pour protéger mon anonymat lors de ces séances.

Dès le début, cela n’a pas traîné, je dus me mettre torse nu, il mit des bracelets à mes poignets, signe de ma soumission à son égard, j’enfilai ma cagoule en dentelles et il m’ordonna de venir le sucer, ce que je fis immédiatement, tellement mon envie de le goûter était forte après tant de temps sans le voir. Me tenant par la tête, il imprimait la cadence des va et vient, m’étouffant parfois de sa grosse bite dont le gland venait parfois buter contre ma luette, me donnant des haut-le-cœur. Après dix bonnes minutes de ce traitement, il m’a ordonné de me foutre à poil car il voulait m’enculer sans attendre, comme pour me punir de l’avoir laissé sans visite autant de temps. J’eus beaucoup essayé de lui faire comprendre que c’était difficile pour moi de me libérer professionnellement mais que moi aussi, il me manquait de le revoir, il n’en eut cure et força le ton en m’ordonnant de me foutre à poil.

Il a ricané en me traitant de petite pute allumeuse quand il a découvert mon panty noir et mon string, m’a ordonné de les garder et de me mettre en position à genou sur le lit, la tête posée sur le matelas, comme prosterné, le cul en évidence. Il est venu se placer derrière moi et violemment, il a déchiré mon panty, mettant mes fesses à l’air. Un sentiment d’impuissance me prit, j’avais l’impression que j’allais me faire violer avec mon panty en lambeaux, tellement il était en rut après tant de temps qu’il attendait pour m’enculer. Il a écarté mon string, dans sa précipitation de m’enculer, il n’avait même pas remarqué la présence du butt plug dans mon cul. Je lui en fis la remarque, il le retira violemment, m’arrachant un petit cri de surprise et de douleur. Puis il prit position, posant son gland contre ma rosette, je l’ai supplié pour qu’il me passe de la vaseline, ce qu’il fit un peu à contre-cœur, car il voulait vraiment m’éclater le cul, pour me punir de n’avoir rien fait pour le revoir plus rapidement.

Mais de bonne grâce, il s’est saisi du pot de vaseline, m’en badigeonna le trou de balle rapidement tellement son excitation était immense de me violer le cul, puis je sentis son gros gland peser sur ma rondelle, j’ai essayé de me relâcher un maximum et sa grosse bite me pénétra m’arrachant des grognements de douleur. Je poussais pour distendre ma rondelle et lui de son côté, m’enfonçait sa grosse bite dans mon cul éventré. Il a entamé une série de va-et-vient dans mon fondement éclaté. Malgré que j’essayais de me relaxer pour accueillir sa grosse biroute, je couinais de mal sous ses coups de boutoirs, il m’ordonnait de me taire, sinon la prochaine fois, il inviterait d’autres hommes pour qu’ils me foutent leur bite dans la bouche pour me faire taire.

Peu à peu, mon cul se dilata pour accepter ce pieu de chair aux dimensions non négligeables, puis à un certain moment, il décida de faire une pause après avoir coupé la video qu’il tournait. Je sentais mon cul béer alors qu’on récupère tous les deux en buvant un coup. Après quelques instants de répit, il m’ordonne de lui redonner vigueur, j’ai voulu le branler car malgré mon lavement avant de venir, il subsistait quelques traces brunâtres sur sa bite mais c’était sans compter sur son esprit pervers et d’autorité, il m’a pris la tête pour la diriger vers sa queue en m’ordonnant de le sucer sans rechigner. Avec résignation, je me suis plié à le prendre en bouche, goûtant ainsi aux effluves intimes de mon cul. Je voulais me soumettre à lui et pour moi, il n’était pas question de ne pas me comporter comme une bonne petite pute soumise.

Après que sa bite ait repris de bonnes dimension et soit redevenue bien dure, il m’ordonna de venir m’empaler moi-même sur sa queue, d’abord tourné de dos, puis face à lui et j’ai adoré faire cela, je voulais pouvoir sentir son membre me pénétrer à mon rythme, m’empaler sur ce pieu, gérer moi-même la cadence des aller-retour.

Je ne vais pas vous raconter tout ce que l’on a fait ce jour-là, les différentes positions, les vidéos tournées, il s’est finalement vidé dans ma bouche tout son sperme en 69, que j’ai bien entendu avalé sans discuter, dégustant son nectar abondant.

Me voici enfin arrivé devant chez lui, juste à l’heure et je constate qu’il m’a réservé déjà un premier accueil dans le sens où à sa fenêtre en façade, une affiche m’indique que je dois rentrer par la porte de droite avec l’inscription «Entrée réservée à la pute ». Cela a le mérite d’être clair, je ne sais pas ce qu’il m’a réservé aujourd’hui mais je sens que cela va être ma fête. Je redoute à ce moment-là qu’il ait mis en action son intention de convier d’autres partenaires de jeu comme il me menace souvent de faire. L’avantage de plusieurs autres hommes est de pouvoir être filmés et photographiés sous tous les angles plutôt que d’avoir une vidéo statique.

A peine rentré par la porte secondaire, je vois un message m’ordonnant de me mettre complètement à poil à genou, le bâillon boule posé sur la table dans ma gueule, et d’attendre son bon vouloir, les mains derrière la nuque. Je m’exécute immédiatement, je pose en évidence, le matériel que j’ai apporté (appareil photo, cagoules, …) sachant très bien que lui a aussi pas mal de matériel à sa disposition. Sur ses ordres, je mets le collier de chien autour de mon cou ainsi que des bracelets de contraintes équipés de Velcro à mes poignets et chevilles. Avec une certaine appréhension, je me mets en position et attends mon Maître, le dos tourné à la porte.

Après quelques minutes, j’entends enfin du bruit dans mon dos et une voix tonner :

– « Alors, petite pute, tu as enfin décidé à venir voir ton Maître, je te jure que tu ne vas pas tarder à le regretter car je t’ai réservé pas mal de surprises et tu as intérêt à me satisfaire sinon je vais te tanner le cul à coup de fouet que tu ne sauras plus t’asseoir dessus avant quelques jours. «

– « Oui Maître, je suis venu pour vous obéir et j’essaierai de ne pas vous décevoir » mais je n’arrive qu’à sortir de ma bouche que des borborygmes inintelligibles.

– « Ta gueule, sale pute, si c’est pour dire cela, ferme-la, tu n’as pas encore compris que tu ne pourras ouvrir ta gueule uniquement pour sucer une bite quand on te l’ordonnera ! «

Cette dernière phrase, ces mots se bousculent dans ma tête, «sucer une bite » au lieu de « me sucer », « on te l’ordonnera » au lieu de « je te l’ordonnerai », … je commence à sérieusement à m’inquiéter, voire paniquer car je rends compte que je vais probablement être confronté à d’autres dominateurs, serai-je à la hauteur, je n’ai qu’une seule envie , me relever, me rhabiller et partir mais trop tard, mes poignets sont attachés ensemble dans mon dos, et la fuite est devenue impossible. Je m’en remets alors aux promesses faites par ce Maître de ne jamais faire quoique ce soit qui pourrait mettre mon intégrité corporelle ou mon couple en péril.

Une laisse en cuir est attachée à mon collier et d’une traction courte mais sèche, je fais demi-tour pour suivre mon Maître que je découvre vêtu uniquement d’un boxer en cuir noir. J’ai peine à le suivre à genoux jusqu’à la pièce où se sont déroulés nos jeux précédemment, à la différence près l’aménagement a complètement changé, la pièce est inondée de lumière par plusieurs spots et tout autour du lit, sont disposés sur des trépieds, plusieurs appareils photos et vidéo, dignes d’un studio d’enregistrement.

– Impressionnée, petite pute ? Je me suis dit que tu méritais le top pour immortaliser ce qui va t’arriver ici aujourd’hui.

Paniqué, je voudrais lui expliquer mes craintes mais le bâillon-boule m’en empêche et me fait baver, de la salive dégouline sur ma poitrine. Il vient se positionner près d’une des caméras, je découvre sur un moniteur, mon visage, la bouche déformée par la boule de plastique, des filaments de bave coulent sur mon menton

– Mets-toi debout la pute, tu vas être là uniquement pour donner du plaisir et je vais t’interdire d’en prendre, aussi accepte mon petit cadeau.

Obéissant, je me mets debout, apparaît sur le moniteur, ma queue et mes couilles qui comme à leurs habitudes sont toutes petites, n’étant pas gâté par la nature au niveau de mes attributs virils par rapport à mon Maître et son énorme pénis. Sortant d’un écrin, il me montre triomphant l’objet que je reconnais aussitôt comme une cage de chasteté dorée avec un anneau qui se clipse autour de mes couilles et ma mini queue est placée dans un minuscule étui cage incurvé vers le bas. Avec un sourire sadique, il referme le dispositif par un petit cadenas doré également, emprisonnant désormais mon service trois pièces. Mes couilles commencent déjà à virer au rouge du fait de la compression de l’anneau et voir ce bijou intime orner mes attributs fait monter mon excitation mais rapidement, ma queue se sent à l’étroit dans sa cage dorée.

– Tu vois, cette clé, tu vas devoir bien la mériter aujourd’hui pour retrouver ta liberté, prouver ton entière dévotion à mon égard, sinon je te foutrai dehors et tu te débrouilleras avec ta femme pour lui expliquer le fait que tu ne pourras plus bander et l’honorer dorénavant car tu es juste une sous-merde de petite pute. Maintenant, je vais t’enlever ce bâillon mais je ne veux pas t’entendre te plaindre ou supplier, je te répète, tu n’ouvriras ta gueule que pour sucer une bite.

Je fais signe d’un hochement de la tête de haut en bas pour marquer mon accord et d’une traction de la laisse vers le bas, je me remets à genoux. Mon visage apparaît sur le moniteur, juste à hauteur du boxer en cuir de mon Maître, gonflé de sa queue qui a pris de belles proportions. Lentement, il descend son slip et comme un diable de sa boîte, sa bite jaillit sous mon nez, brillante et baveuse de liquide séminal. J’ai envie de la prendre en bouche directement mais par le passé, cela m’a valu une gifle car trop gourmand et que je devais attendre son ordre.

Me narguant de sa bite tendue, il m’enfile sur ma tête une cagoule noire opaque avec juste une ouverture pour la bouche, je distingue encore légèrement le moniteur avec ma tête encagoulée et ma bouche entrouverte. Sans comprendre, il me prive complètement de la vision en plaçant des œillères opaques, me plongeant dans le noir le plus complet. De plus, tous les bruits environnants me parviennent assourdis, je suis complètement désorienté, cela renforce mon sentiment de panique et essaie de calmer mon cœur qui bat à tout rompre dans ma poitrine. Mais aussi, tout cela m’intrigue et m’excite comme en témoigne ma queue qui grossit douloureusement dans sa cage minuscule.

Je sens qu’il se déplace dans la pièce, je me sens ridicule et humilié à poil, à genoux mais ce sentiment atteint son paroxysme quand je perçois qu’une porte s’ouvre et quelqu’un rentrer dans la pièce, accompagné de relents de parfum féminin très capiteux. Ils chuchotent entre eux, j’ai dur, même en tendant l’oreille de comprendre ce qu’ils se disent car ils parlent à voix basses. Je pense directement que mon Maître s’est adjoint la complicité d’un transsexuel car il sait que cela fait partie de mes fantasmes. Il convie la personne à s’installer dans le fauteuil et contempler comme on traite une petite soumise, une sous-merde comme moi.

Je suis encore plongé dans ma réflexion que sans coup férir, une grosse bite viole ma bouche manquant de m’étouffer, entame de puissants va-et-vient au sein de celle-ci, me faisant presque régurgiter chaque fois que le gland touche le fond de ma gorge. La surprise passée, je reprends mes habitudes de bonne soumise, je resserre les lèvres, évitant tout contact avec les dents. Il me baise ainsi la bouche durant de longues minutes, plaquant ses mains sur la tête pour m’empêcher toute tentative de recul. Les mains toujours liées dans le dos, je subis le traitement laissant échapper de temps à autres des grognements. Enfin, le gourdin de chair se retire et je peux prendre de grandes goulées d’air frais.

Je suis saisi par mon collier et mon Maître m’ordonne de me mettre à genoux au pied du lit, dans une position qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Un corps gras et froid est rapidement étalé entre mes fesses et mon Maître, car c’est de lui qu’il s’agit tellement sa bite est énorme et reconnaissable, positionne son gland sur mon petit trou et attire mon bassin vers lui, m’empalant sur son pieu de chair. J’essaie de résister pour atténuer la douleur naissante dans mon cul éclaté. Je ne peux réfréner des grognements de douleur quand il pousse davantage pour faire passer son gros gland dans mon étui culier. Je pousse comme pour chier pour dilater au maximum mon cul. Enfin, je sens son bassin contre mes fesses, je suis rempli jusqu’aux couilles, j’ai sa bite toute entière en moi, je suis fier de moi et j’espère que lui l’est aussi.

Après quelques minutes de répit plongé aux plus profond de mes entrailles, il commence de lents et longs va-et-vient, n’hésitant pas à ressortir sa grosse bite de mon cul, le laissant béant avant d’y replonger sa matraque d’une traite m’arrachant de petits couinements plaintifs.

– Allez, petite pute, ne fais pas ta chochotte, je suis en train de rendre service, je te prépare car comme tu as dû le deviner, je suis en train de t’enculer sous les yeux de quelqu’un que cela semble très exciter, un nouveau contact sur XH qui a une terrible envie de sauter une petite femelle soumise comme toi. Tes vidéos où tu te fais sauter, enculer par moi lui ont fait forte impression j’ai marqué mon accord de l’inviter à nos petits jeux. Dorénavant, toujours avec mon accord, tu lui devras soumission et obéissance en toute circonstance, que je sois présent ou pas lors de ces jeux. D’accord ?

– Oui, Maître, je ferai comme bon vous semble.

– Je veux avoir ton accord officiel : Acceptes-tu de te soumettre complètement à quiconque que j’estimerai digne de pouvoir te dresser à devenir une bonne petite pute soumise et satisfaire ses envies les plus perverses ?

– Oui Maître, j’accepte de me soumettre complètement à quiconque que vous estimerez digne de pouvoir me dresser à devenir une bonne petite pute soumise et satisfaire ses envies les plus perverses ? dis-je avec une excitation énorme qui congestionne ma bite dans sa minuscule cage dorée.

– Magnifique, il est pour toi temps de sentir réellement défoncé par une énorme bite. Pendant ce temps-là, tu vas me sucer lentement la bite, ce qui nous évitera de devoir t’entendre crier.

On me détache les mains de mon dos tandis que mon Maître s’assied devant ma tête qu’il dirige vers son sexe qui vient buter contre mes lèvres. Malgré l’odeur forte de mon cul qui s’en dégage, j’ouvre en grand la bouche pour gober cette bite qui me limait le cul, trente secondes auparavant. Peu de temps ensuite, quelqu’un vient s’asseoir sur mes reins, je sens des jambes gainées de nylon contre mes flancs, des talons-aiguilles s’enfoncent dans mes côtes et une pluie de claques s’abattent sur mes fesses à un rythme rapide, le poids de la personne sur moi me limite dans mes mouvements et je subis la punition – pour quelle raison, suis-je puni, d’ailleurs – tandis que mon Maître me tient les mains, m’empêchant toute tentative d’y échapper.

Mes fesses me brûlent sous l’intensité des claques, sûrement cramoisies, j’espère qu’elles retrouveront une coloration normale avant de retrouver ma femme, mon Maître sait pertinemment bien que je ne veux pas de traces après être passées entre ses mains mais cette personne semble l’ignorer.

Enfin, ma souffrance prend fin et je suis libéré du poids de mon ou ma tortionnaire, quoique je pense de plus en plus qu’il s’agit d’une femme et non pas d’un transsexuel. Je sens qu’elle vient se positionner derrière mon cul, se saisit de mes couilles hyper gonflées, elle les tire en arrière, les tord, les griffe de ses longs ongles et ricane en entendant mes plaintes déformées par la bite de mon Maître dans ma bouche.

– Vas-y, ma chérie, fais-toi plaisir, tu en meurs d’envie, encule cette sous-merde avec ton gode -ceinture, fais-la couiner, défonce-la.

Ni une, ni deux, je sens un gros gland froid et factice se plaquer contre mon trou de balle et s’enfoncer d’un coup dans mon fondement. Malgré avoir été déjà enculé par une grosse bite juste avant, cet engin est monstrueux, m’ouvre le cul en deux sans s’arrêter, je hurle de douleur sous cette pénétration, tandis que les deux s’esclaffent de ma déchéance et de mon humiliation. Ma nouvelle Maîtresse me pilonne le cul à rythme effréné, j’ai mal, des larmes me viennent aux yeux, imbibant ma cagoule aveuglante. Elle prend du plaisir de me baiser le cul, elle pousse des jappements de plaisir, probablement, elle porte un de ces gode -ceinture doubles dont une partie est profondément enfoncée dans mon cul et l’autre partie dans sa chatte, stimulant son clitoris par le frottement.

Sa grosse bite en bouche, je commence à apprécier le traitement que je subis, en témoigne ma propre bite enserrée dans sa cage dorée qui laisse échapper des filaments de liquide pré séminal, ou serait-ce de la mouille, comme la petite salope soumise que je suis en train de devenir ? L’idée d’avoir à présent une Maîtresse qui secondera mon Maître m’excite terriblement, être soumis à deux personnes multiplie les possibilités, à moi de jouer le jeu, montrer ma dévotion à cette femme comme à mon Maître, quelle qu’elle soit. Serait-ce sa femme qu’il a persuadée à se joindre à nos jeux, je ne le pensais pas qu’il y arriverait car peu portée sur la chose, tout comme ma femme d’ailleurs ?

Enfin, je sens ma délivrance approcher, elle accélère la cadence, pousse des petits cris de plaisir et finalement, un orgasme extraordinaire explose du plus profond de ses entrailles. Stimulé par la jouissance de sa Maîtresse, mon Maître laisse son plaisir exploser, éjaculant des longues saccades de foutre au fond de ma gorge. Comme d’habitude, je m’empresse de les avaler, j’adore le goût de son sperme et puis, je ne suis qu’une pute obéissante, non ? Le gode-factice se retire de mon anus, le laissant béant et l’air frais qui s’y engouffre calme la sensation de brûlure de mon trou de balle.

Après avoir bien nettoyé la bite de mon Maître de toutes traces de sperme, il se dégage de moi tandis que je sens le matelas s’affaisser sous le poids d’un corps qui vient se lover contre lui. J’essaie quant à moi, de reprendre mon souffle et mes esprits, j’ai l’impression qu’un trente tonnes m’est passé dessus tellement je le sens dans tous mes muscles, ce que je viens de subir. A côté de moi, je les entends s’embrasser, elle lui murmure « merci pour tout cela, c’était super, j’ai adoré « , je crois entendre. Enfin, mon Maître prend la parole :

– Redresse-toi Petit Bite mais reste à genoux au pied du lit. Cela t’a plu au moins de te faire défoncer le cul par ta nouvelle Maîtresse à qui tu as juré obéissance et soumission comme à moi.

– Oui Maître, mais j’ai eu très mal, un gode, c’est plus dur que votre queue, …

– … j’avoue qu’elle n’y a pas été de main morte, elle avait peut-être des raisons pour agir ainsi mais je suis fier de toi, tu as été courageuse dans ta douleur. Doucement, tu vas enlever le bandeau puis la cagoule et ouvre doucement les yeux car il y a beaucoup de lumière pour les photos et les vidéos, laisse tes yeux s’habituer.

J’essaie de réfréner mon impatience de découvrir sa femme, ma nouvelle Maîtresse, car je n’ai jamais vu de photos d’elle. J’entrouvre lentement les paupières, je les vois allongés, enlacés, elle porte une guêpière noire en dentelles qui lui laisse les seins à découvert, des bas en nylon noires attachés par son porte-jarretelles et des bottillons noirs à hauts talons. Et là, le choc, la terre s’ouvre sous moi :

– Pat… Patricia, que fais-tu là !

– Hé oui, je ne suis pas en séminaire, mon petit mari, j’ai eu grâce à Mercure, ma vengeance que je voulais t’infliger depuis que j’ai appris vos petits jeux.

– Mais je ne comprends pas, comment tu … ?

– Comment je l’ai découvert ? C’est relativement simple, la dernière fois que tu t’es fait enculer par Mercure, tu as fait ta première erreur pour me dissimuler ta seconde vie en laissant ton disque dur connecté à ton PC et j’ai eu besoin d’aller chercher un document sur ton PC, et je suis tombé sur ton dossier caché et là, je te jure, je n’y ai pas cru une seconde. Dans un premier temps, je croyais que tu te plaisais à regarder des films de mecs en train de baiser ensemble, dans une ambiance BDSM, cela m’a choqué au début d’apprendre cela de toi. Puis j’ai voulu en savoir davantage, j’ai ouvert d’autres dossiers où je t’ai découvert en travesti avec mes jupes et robes, en lingerie sexy, cela m’a amusé que tu aies des fantasmes pareils, mais je pensais que cela restait au niveau du fantasme. Puis, quand j’ai découvert que tu avais en fait des relations homosexuelles de soumission avec un dénommé Mercure via le site de XHamster, avec photo et vidéos à l’appui, cela m’a excitée de te voir ainsi humilié, soumis, ton cul pénétré par différents objets, enculé par une grosse bite, te voir sucer une queue, de te faire pisser dessus, …, je me suis sentie terriblement excitée que je me suis masturbée trois fois de suite dans le bureau.

– Mais écoute, je peux t’expl…

– Ta gueule, vermine, tu laisses ta Maîtresse continuer et tu ne l’interromps plus sinon je te remets ton bâillon

– Merci Mercure, je continue donc. Tout au long de l’après-midi, pendant que tu étais au travail, j’ai appris à découvrir tes penchants pervers, tes envies de soumission, je sais qu’entre nous, le sexe n’était plus notre raison d’être en tout cas venant de moi, mais tes tendances sexuelles ne devaient pas venir gâcher tout l’amour que j’ai pour toi. Aussi, j’ai pris la décision de te laisser vivre tes fantasmes en connaissance de cause.

– Et dès lors, elle a eu l’idée de prendre contact avec moi ! intervient Mercure.

– Oui, moi qui n’y connaissais rien, il fallait quelqu’un pour me guider. J’ai découvert le site de XHamster, j’ai vu des trucs incroyables que je n’imaginais même pas. Sur base des infos trouvées sur ton disque dur secret, j’ai rapidement retrouvé ton pseudo et celui de Mercure. J’ai trouvé comment me créer un profil « Jeveuxdusexe », avec quelques photos glanées de-ci de-là, une courte description de mes envies et je vous ai envoyé une invitation d’ami. Toi, tu as accepté directement, vu le grand nombre d’amis que tu as. Par contre, pour convaincre Mercure, cela fut plus dur car il est beaucoup plus sélectif. Pour le convaincre, je lui ai envoyé un message privé et on a commencé à dialoguer. Il a rapidement découvert mon jeu et a voulu en savoir davantage sur mes intentions.

– Et je lui ai proposé de se rencontrer, venir chez moi pour que je devienne son guide dans ton éducation.

– J’ai été très naïve de croire que ce serait juste une discussion autour d’une tasse de thé. Dès mon arrivée, il avait compris que si je voulais te suivre dans tes fantasmes, il fallait me décoincer, en finir avec mes attitudes de petite oie blanche, sainte-nitouche, oublier mon vocabulaire prude et chaste, devenir la salope dominante que tu recherchais ailleurs que chez nous. Et ce qui devait arriver arriva …

– Hé oui, Petite Bite, j’ai sauté ta petite femme derrière ton dos, je me suis dit, j’ai une sous-merde à ma disposition mais sa femme est très bandante, cela serait dommage de ne pas en profiter. J’ai repris mon rôle de dominant et je lui ai dit de se foutre à poil.

– Tu sais, au début, j’ai voulu résister, mais j’ai repassé en mémoire vos vidéos, sa grosse queue, rien de comparable à ton vermisseau qui a juste été bon à me faire trois gosses mais pas bien capable de me faire jouir quand tu me pénétrais, cela m’excitait aussi, et quand il s’est approché de moi quand j’ai refusé de me foutre à poil, j’ai compris que j’allais m’abandonner à cet homme, que j’allais devenir son jouet comme toi, tu l’es depuis des mois. Je suis rentrée dans ton monde de soumission, il m’a foutu à poil en deux trois mouvements, fini les gestes pour masquer ma nudité, il m’a attaché les mains dans le dos, lui laissant offertes mes mamelles, ma chatte, mes fesses et mon cul, qu’il ne s’est pas gêné de triturer, palper, caresser durant de longues minutes.

– Cela m’excitait de devenir un jouet entre ses mains, ma chatte dégoulinait de mouille comme jamais et d’une simple pression sur mon clitoris, il a fait exploser mon premier orgasme. Bouleversée d’avoir joui si rapidement, je lui ai demandé de devenir mon guide, mon mentor, me faire découvrir ce que tu as subi. Hé oui, comme toi auparavant, au cours de cette séance et d’autres qui ont suivi, je prenais congé pendant que tu travaillais, à genoux, il m’a forcé à le sucer, moi qui ai toujours détesté cela, je l’ai laissé me défoncer la gorge, il m’a exhibé dans son jardin avec le risque d’être découverte nue, attachée les bras en l’air à une branche, j’ai subi le traitement des orties sur tout le corps, j’ai eu le corps en feu, tu n’as rien remarqué le soir car j’ai mis un long pyjama pour masquer les gourmes. Il m’a baisée à chaque fois, enfin une grosse queue pour me ramoner la chatte, me donnant des orgasmes époustouflants. Comme toi, il m’a attachée sur la grosse table en chêne à l’extérieur et avec patience et douceur, il m’a défloré le cul, au début, c’était dur car il est très gros mais maintenant, j‘adore quand il m’encule longtemps et profondément. Je me demande même si je ne suis pas devenu plus experte en sodomie que toi, tellement j’adore maintenant. A vrai dire, tu n’imagines pas la salope que je suis devenue entre ses mains et nous allons bien en profiter maintenant car plus besoin de se cacher à présent, il viendra chez nous, moins risqué qu’ici, nous baiser à tout de rôle et tu deviendras notre petit cocu, notre larbin entièrement dévoué à notre plaisir.

– Et ton plaisir, c’est nous qui en serons les gestionnaires grâce à cette petite clé qui ouvrira …ou pas, le cadenas de ta petite cage, chacun en aura une – je découvre que ma femme en a une au bout d’une chaînette qui pendouille entre ses seins dénudés – mais sinon, à partir de maintenant, ta minuscule bite restera enfermée selon notre bon plaisir. Reste à savoir ce que tu en penses, es-tu d’accord de ta nouvelle vie, je ne sais pas si tu as vraiment le choix, c’est soit devenir au quotidien notre esclave et cocu à tous les deux, soit juste un cocu ignorant de ce que sa femme fera avec moi en ton absence, dans les deux cas, tu resteras vivre avec ta cage de chasteté, pour t’empêcher d’aller te branler comme une petite merde en cachette. Tu as cinq minutes pour y réfléchir !

Je suis anéanti par toutes ces révélations, découvrir que je suis cocu par mon Maître avec qui j’avais cocufié ma femme, découvrir que ma femme s’est transformée en salope perverse et soumise, comme en témoigne sa position obscène qu’elle a prise pendant qu’elle discutait, les cuisses grandes ouvertes, sa chatte détrempée exposée à ma vue et ses doigts qui jouent nonchalamment avec son bouton, ils s’embrassent sans vergogne devant moi, comme si je n’étais pas là à les observer. En fait, je devrais être anéanti devant tout cela, je suis humilié comme jamais devant ces deux êtres qui se plaisent à m’abaisser, mais comment expliquer cette douleur sourde et lancinante dans ma queue qui est congestionnée, ma bite est tendue, gorgée de sang par l’excitation qui me prend, elle n’a jamais été aussi grosse dans sa prison dorée, la chair déborde de tous les barreaux, je mouille comme jamais, des gouttes s’écoulent entre mes genoux. Je voudrais la prendre en mains pour me faire jouir mais docilement, comme un bon cocu soumis, je reste à genoux, les mains dans le dos à contempler mon Maître et ma femme s’embrasser.

– « J’accepte » je parviens à susurrer dans un souffle, comme si je souhaitais qu’ils n’aient rien entendu de ma résignation.

– « Allez, Petite Bite, aie le courage de tes opinions » rétorque Mon Maître avec sarcasme, « c’est un peu court, on veut t’entendre davantage, montre-nous ta joie, ton plaisir dans ta décision. On finirait par croire que c’est par obligation que tu acceptes de devenir notre esclave.

– J’accepte de devenir votre esclave, votre serviteur, « finis-je de lâcher », vous avez tout pouvoir sur moi, mon corps vous appartient, à vous de décider si j’ai droit au plaisir, je me remets entièrement à vous, Maître Mercure et Maîtresse Patricia. »

– Super, on va directement fêter cela comme il se doit. Allonge-toi sur le lit, sur le dos et honore ta nouvelle Maîtresse, ta nouvelle femme. »

Je m’empresse de grimper sur le lit pour me mettre en position et aussitôt, ma femme vient se mettre en tête-bêche sur moi, j’ai à peine le temps d’admirer son cul et sa chatte parés de lingerie qu’elle s’assied de tout son poids sur mon visage, sa chatte trempée se fait ventouse sur ma bouche, j’ai le nez compressé contre le trou de son cul et ses fesses se collent sur mon visage. Je me gave de ses senteurs intimes, ses effluves musquées affolent mes sens, je suis tellement coincé sous son majestueux cul que je ne sais pas la lécher alors que j’en meurs d’envie. Elle va et vient sur mon visage, me barbouillant la figure de sa mouille intime. Rapidement, je viens à manquer d’air sous ses fesses, il faut que je respire, j’essaie de m’aider de mes mains pour me dégager mais elles sont saisies par Mercure, beaucoup plus fort que moi et je subis cette torture. Je gigote comme un poisson sorti de sa rivière, je grogne mon inquiétude, je me sens partir dans les vapes par manque d’oxygène, j’ai une dernière pensée que je bande encore plus fort dans ma petite cage comme si on m’étranglait quand enfin, elle relève son cul et je peux prendre une énorme gorgée d’air qui me brûle les poumons.

– Mais tu es folle, j’ai failli crever d’asphi…

Je suis aussitôt réduit au silence par ce cul majestueux, elle prend plaisir à me sentir sous son emprise, gigoter dès que l’air vient à me manquer, son clito est à chaque fois sollicité, lui arrachant des gémissements de plaisirs. Elle finit par se lasser de ce petit jeu et avec un ton quelque peu méprisant, elle me lâche :

– Bouffe-moi la chatte et le cul, petit pédé, tu as intérêt à t’appliquer à me donner du plaisir.

Mes mains sont relâchées et j’en profite pour empoigner ses fesses, écarter les lèvres intimes de sa chatte et j’y plonge profondément la langue, la faisant ronronner de plaisir. Je bois avec délectation sa mouille abondante tandis qu’elle me met au supplice en prenant en bouche ma queue emprisonnée et malaxant mes couilles prêtes à exploser. Mon Maître m’ordonne de lui lécher le cul pour la préparer à être enculée, ni une, ni deux, je m’empresse de lui butiner son petit œillet, elle qui m’a toujours refusé de lui faire un anulingus sous prétexte que c’était dégueulasse. J’enfonce loin ma langue dans son cul, écarte son fessier, je vois son trou du cul palpiter, s’ouvrir, j’y enfonce un puis deux doigts mouillés de salive, elle pousse des jappements de plaisir. Pour ma part, je suis au nirvana de l’excitation, jamais je n’aurais imaginé pouvoir vivre cela avec ma femme, elle si coincée, est devenue une vraie salope dans les bons sens du terme.

Quand le matelas s’enfonce derrière ma tête, mon excitation atteint son paroxysme, je vois la grosse bite du Maître se présenter à l’entrée de la grotte d’amour de ma petite femme, aucune comparaison entre voir cela sur un écran et ici , à quinze centimètres de mes yeux et qui plus est, savoir que c’est ma femme qui va se faire pénétrer par ce bâton de chair, me rendant réellement cocu sous mes yeux, j’ouvre moi-même la voie en tirant sur ses lèvres intimes et je vois cette magnifique bite pénétrer centimètre par centimètre, la chatte de ma femme qui feule de plaisir de se sentir remplie. Et malgré ma cage de chasteté, tellement mon excitation est immense, je finis par exploser de plaisir, je sens mon sperme fuser au travers de ma queue mais tellement congestionnée et les couilles serrées, aucune goutte de sperme n’arrive à sortir, je grogne de plaisir et douleur simultanément. Et cette queue qui n’arrête pas de progresser dans le bas-ventre de mon épouse chérie jusqu’à la garde, la remplissant à fond, elle en feule de plaisir. Mercure enchaîne les aller-retours, lentement mais sûrement, ces couilles cognent contre mon front tandis que je titille son clitoris de ma langue, elle halète de plaisir, elle enchaîne des phrases vulgaires pour encourager mon Maître à la baiser, pour m’insulter et m’humilier, « tu vois comment il faut s’y prendre pour me sauter, me défoncer la chatte, ce n’est pas avec ta petite nouille que tu y arriverais, … etc ».

Après un dernier coup de rein au fond de sa chatte, il se retire et présente son gland contre l’anus de Patricia, j’écarte les deux fesses au maximum pour la dilater et sous mes yeux ébahis et excité, je vois ce gland forcer l’entrée de son petit trou, son anus se dilate au maximum pour laisser pénétrer cette masse de chair, elle serre les dents, semble plus courageuse que moi qui aurait déjà crié de douleur sous cette pénétration implacable et constante. Le spectacle qui se présente à moi est formidable, extraordinaire, excitant, obscène, captivant, … les mots me manquent. Je lui lèche le clitoris, elle hurle de plaisir tandis que lui entre et sort son gourdin à vive allure, laissant l’anus béer, palpiter avant d’être rempli à nouveau, et encore, et encore jusqu’à ce que Patricia se tétanise sous l’orgasme qui la terrasse sous nos actions simultanées sur son clitoris et dans son cul.

Epuisée et éreinte par le plaisir, elle se dégage de moi pour s’écrouler à mes côtés, haletante, essayant de retrouver son souffle. J’accueille la bite de mon Maître, souillée des sécrétions intimes de mon épouse, dans ma bouche pour la nettoyer consciencieusement. Proche de son plaisir, il empoigne son sexe et se branle au-dessus de ma bouche entrouverte, je suis prêt à recevoir au fond de la gorge, son sperme bouillonnant mais finalement, il préfère vider de longues saccades de sperme sur mon visage, poussant des grognements de plaisir sans discontinuer. Les jets de sperme viennent s’écraser sur le front, les joues, … et puis il prend un malin plaisir à les étaler avec sa bite sur tout le visage, me maculant entièrement la figure de sa semence, avant de m’intimer de lui nettoyer sa bite dégoulinante, ce que je fais avec grand plaisir.

On se repose quelque peu, puis ma femme donne le signal pour prendre congé en commençant à se rhabiller. Je fais de même mais elle m’interdit de le faire, elle me fait comprendre que je resterai à poil car je suis puant et dégueulasse, qu’elle n’a pas envie que je salisse mes affaires. De plus, elle me fait savoir que je serai dans le coffre de notre break, comme les chiens de mon espèce, pour ne pas salir les fauteuils. Ainsi, à 2h00, du matin, j’ai rejoint complètement à poil notre voiture, je suis monté à l’arrière du véhicule, elle a mis le cache-coffre. Tandis qu’elle roulait sans ménagement, j’étais balloté dans tous les sens, elle est partie dans un monologue pour m’expliquer quelle serait dorénavant ma vie à son service et celui de mon Maître lors de nos rencontres. FIN

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